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Diplomacy & Defense Think Tank News

Früher oder später müssen alle auf Null

SWP - ven, 04/11/2016 - 12:02
Das Klimaabkommen von Paris tritt in Kraft. Im Vertragstext versteckt steht ein wichtiges Ziel:...

EEUU 2016: Trump y la política exterior

Real Instituto Elcano - ven, 04/11/2016 - 11:54
ARI 78/2016 - 4/11/2016
Carlota García Encina
Avivando el miedo de lo que ocurre más allá de las fronteras y aunando a los conservadores nacionalistas y no-intervencionistas, Donald Trump ha creado un discurso de política exterior poco ortodoxo y controvertido que ha tenido impacto en su electorado.

François Hollande et le football : des rapports ambigus ?

IRIS - ven, 04/11/2016 - 11:50

Le 11 novembre 2016 aura lieu au stade de France un match qualificatif pour la Coupe du monde 2018 : France/Suède. Il se tiendra presque an jour pour jour après les attentats qui ont meurtri la France, dont l’un eut précisément lieu en ce stade. Le président de la République va-t-il assister à la rencontre ?

François Hollande est un passionné et un fin connaisseur du ballon rond. Il était déjà un fidèle soutien des bleus avant d’être élu président de la République. Mais les révélations du livre « Un président ne devrait pas dire ça… »[1] sont venus troubler profondément ses relations avec le monde du football. Le président y tient des propos peu amènes sur les footballeurs, requalifiés d’enfants gâtés ayant besoin de muscler leurs cerveaux. Si les propos remontent à 2012, il n’en est pas moins troublant de voir le président rejoindre la cohorte de ceux qui ont des préjugés négatifs sur les footballeurs. Comme si les dérapages de quelques-uns concernaient la totalité. Les leaders politiques dans leur ensemble auraient-ils un comportement plus vertueux que les sportifs ? N’y-a-t-il pas non plus des dérapages chez les artistes ? Mais, une fois encore, les amalgames sont plus faciles sur les sportifs en général, et les footballeurs en particulier, qui, par leur visibilité, constituent des cibles faciles et n’ont dans la réalité aucun pouvoir de rétorsion. Et François Hollande a ainsi abondé dans le sens d’un mépris traditionnel des élites françaises à l’égard des sportifs.

L’écart entre son comportement durant le quinquennat et ses propos est pour le moins paradoxal : on peut lui reprocher son manque de sincérité alors qu’il prétend jouer la transparence. Si les footeux sont peu estimables, pourquoi dès lors avoir été aussi assidu auprès des bleus ? François Hollande a assisté à chaque match de l’Euro 2016, est allé rendre visite aux joueurs à Clairefontaine-en-Yvelines au début et reçu les joueurs à l’Élysée à la fin de la compétition. Son jugement n’est-il pas sévère pour Laurent Koscielny qui a investi 600 000 € – sans le claironner – pour sauver une usine de son département ? Pourquoi avoir insisté pour que Blaise Matuidi l’accompagne lors d’un déplacement en Angola ? Il est notable que le président se soit excusé auprès des magistrats pour des propos négatifs qu’il a tenus à leur égard mais qu’il n’est pas jugé nécessaire de le faire pour les footballeurs. Un « deux poids, deux mesures » dû, peut-être, à une supposée capacité de réaction des uns que n’auraient pas les autres. Y-aurait-il une profession à ménager plus qu’une autre ?

Mais il y a dans le livre une autre révélation également gênante. Le président a appelé l’émir du Qatar pour que la chaîne qatarie BeIN sports ne vienne pas gêner Canal + lors de l’attribution des droits opérés par la Ligue de football professionnel. Une sorte de Yalta aurait été établie entre les deux chaînes. Canal + se plaignait de la concurrence de BeIN sports et soulignait son rôle dans le financement du cinéma français, qui aurait été compromis si BeIN Sports marchait trop sur ses plates-bandes. En effet, lors de la vente des droits pour la période 2016-2020, malgré une concurrence apparemment féroce entre les deux diffuseurs, BeIN sports n’a pas voulu renchérir sur les offres de Canal +. Si le football français a obtenu 726 millions d’euros, une concurrence réelle aurait pu ajouter 100 à 150 millions de plus, renforçant ainsi la compétitivité européenne des clubs français, déjà pénalisés par une fiscalité et des charges sociales importantes. Les Allemands, Italiens et Espagnols risquent de dépasser les Français en termes de droits télévisuels, qui le sont déjà depuis longtemps par les Anglais. Ce qui s’est passé, c’est donc tout simplement une entente qui peut être considérée comme une entrave à la concurrence. Le Qatar n’a pas voulu donner l’impression de vouloir tout rafler et s’est rendu aux arguments de François Hollande.

Mais, là encore, on voit que le lobbying en faveur de la culture est toujours plus facile que celui en faveur du sport. Cette révélation a contribué à la critique de François Hollande, mais n’a pas déclenché de tollé sur le mauvais traitement du football. Imaginons qu’on ait soustrait 150 millions d’euros au financement du cinéma ; cela aurait été une bronca nationale. Le lobby culturel est sans aucune mesure bien plus puissant que celui du sport. Les autorités sportives n’ont pas violemment protesté contre ce manque à gagner plus que conséquent, tout simplement parce que, malgré sa puissance, le monde du sport est légitimiste. Fort de millions de pratiquants et de bénévoles, il ose à peine faire entendre sa voix. Le milieu culturel, lui, n’hésite pas à monter au créneau et à protester vigoureusement pour faire entendre ses revendications. Il y a pourtant également dans ce milieu des excès, des salaires mirobolants et du gaspillage. Et beaucoup de « navets » financés grâce à des aides publiques. Le budget de la culture est sanctuarisé contrairement à celui du sport. Le monde culturel trouverait insultant d’être financé par un jeu de hasard. Le mouvement sportif craint toujours de perdre la part du prélèvement sur les paris de la Française des jeux qui le finance. Peut-être, autant que des propos péjoratifs sur les footballeurs, ce choix de fausser la concurrence et de priver le sport de financements qu’il aurait dû normalement avoir, montre qu’inconsciemment, dans l’esprit des élites françaises – même « normales » – les préjugés ont la vie dure. On aime se faire prendre en photo avec les sportifs quand ceux-ci sont performants, mais il est moins naturel d’aider le sport. Ce dernier n’est finalement pas une priorité.

[1] DAVET (Gérard), LHOMME (Fabrice), Un président ne devrait pas dire ça…, Stock, 2016, 672 pp.

EEUU 2016: una política exterior para Clinton

Real Instituto Elcano - ven, 04/11/2016 - 11:05
ARI 77/2016 - 4/11/2016
Carlota García Encina
La experiencia en política exterior de Hillary Clinton, durante cuatro años secretaria de Estado, se apuntaba como uno de sus principales activos. Pero hoy el pueblo norteamericano tiene visiones opuestas sobre el compromiso que quieren de EEUU en el exterior.

Kniffe im Politikjournalismus

Hanns-Seidel-Stiftung - ven, 04/11/2016 - 10:12
Ob ein Bericht über Bürgerproteste über den Rathaus-Neubau, ein Porträt über den neuen Minister in der Landespolitik, ein Feature über die „Wir schaffen das“-Diskussion auf Bundesebene oder eine Reportage über die US-Wahl – Politikjournalismus spielt auf jeder Ebene eine bedeutende Rolle.

Die Ohnmacht Deutschlands gegenüber der Türkei

SWP - ven, 04/11/2016 - 00:00
Die Besonderheiten des deutsch-türkischen Verhältnisses engen den Handlungsspielraum Deutschlands gegenüber der Türkei ein. Ohne den Schulterschluss mit Partnern kann Berlin daher keinen Einfluss auf das Land nehmen, meint Günter Seufert.

Asia-Europe Counter-Terrorism Dialogue: Gemeinsam gegen den Terrorismus in Asien und Europa

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 04/11/2016 - 00:00
Staatssekretär Günter Krings und der Stellvertretende Premierminister Malaysias Ahmad Zahid Hamid beim ersten Asia-Europe Counter-Terrorism Dialogue in Singapur

Albert Bressand – L’Europe face aux défis du pétro-solaire

Fondapol / Général - jeu, 03/11/2016 - 19:16

Au dérèglement climatique, l’Europe oppose sa transition énergétique. Mais ce sont deux révolutions qui remodèlent la scène énergétique mondiale : d’un côté, les énergies renouvelables et les économies d’énergie ; de l’autre côté, les hydrocarbures dits « non conventionnels », que les Européens ont pris l’habitude de traiter par l’imprécation ou l’ignorance volontaire. Pourtant, en […]

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Quelle politique méditerranéenne de la France ?

IRIS - jeu, 03/11/2016 - 17:43

Puissance moyenne à l’échelle mondiale, la France est une puissance majeure du bassin méditerranéen. Mais le rapport avec la Méditerranée n’est pas qu’une question d’intérêt et de « hard power » : il s’agit aussi de la capacité de la France à imposer sa puissance d’influence dans son environnement proche.

Si du point de vue strictement géographique, la France est plus atlantique que méditerranéenne (avec un littoral sud qui la rattache à la fois à la rive nord de la Méditerranée et à sa façade occidentale), son histoire est intimement liée au monde méditerranéen, comme l’attestent le rôle prédominant des « Francs » dans les diverses croisades lancées sur les rives est et sud, le Traité d’Alliance entre François Ier et l’Empire Ottoman de Soliman le Magnifique, l’expédition de Bonaparte en Egypte, la réalisation du Canal de Suez et surtout l’instauration de l’Empire colonial.

Son statut d’ancienne puissance coloniale d’actuels Etats méditerranéens et la fonction qu’elle s’est arrogée en matière de protection des Chrétiens d’Orient, placent la France dans une position particulière vis-à-vis d’une région où elle prétend encore pouvoir exercer un pouvoir d’influence (diplomatique, culturel et économique) et intervenir militairement dès lors que ses intérêts sont en jeu (en Libye et au Mali en 2011, en Irak en 1991 et 2014).

Les tensions et conflits dans les régions sahélo-saharienne et syrienne, ainsi que leurs conséquences en termes de trafics et de migrations clandestines confortent l’intérêt stratégique de la Méditerranée.

Il convient néanmoins de s’interroger quant à savoir si la France dispose des moyens (pas seulement militaires, mais aussi diplomatiques et financiers) d’une ambition nationale qui tend à conjuguer stratégies européennes et méditerranéennes. Le cas de l’échec du projet français d’Union de la Méditerranée illustre la difficulté de l’équation.

A défaut de cadre européen effectif pour mener une véritable politique méditerranéenne et l’absence de d’une Europe toute-puissante de nature diplomatique et militaire au sein de laquelle la France jouerait un rôle moteur, la France tente de trouver un équilibre dans une stratégie d’indépendance et de complémentarité avec la superpuissance américaine dans la région.

Le premier axe de cette stratégie est symbolisé par la « politique arabe », qui revêt une « dimension essentielle de sa politique étrangère » (le Président Jacques Chirac, discours au Caire, 1996). Cette idée de « politique arabe de la France », ancienne puissance coloniale au Maghreb et au Liban, renvoie aux liens privilégiés entretenus avec les pays monde arabo-méditéranéen, dont il faut veiller à respecter la souveraineté et l’indépendance.

La diplomatie française à l’Élysée et au Quai d’Orsay suit une ligne gaullo-mitterrandienne depuis le début de la Ve République, elle-même héritière d’une tradition remontant à Napoléon III et à sa politique du « royaume arabe ». Cette tradition est jalonnée d’étapes : de la condamnation de la guerre préventive israélienne en 1967 jusqu’à la décision de François Hollande de soutenir la demande palestinienne de se voir reconnaître un statut d’État (non membre observateur) à l’ONU (novembre 2012), en passant par le « discours du refus » d’une intervention américaine en Irak prononcé par Dominique de Villepin au Conseil de sécurité (14 février 2003).

Cette cohérence est trompeuse, comme le prouve la participation de la France à la coalition internationale pour mener la guerre contre l’Irak (1991). La politique française envers les Arabes varie en fonction des États comme de ses intérêts. Derrière la formule de « politique arabe », la logique qui prévaut est celle de la Realpolitik.

Ainsi, durant l’opération « Bordure protectrice » menée par l’armée israélienne à Gaza (été 2014), Paris a manifesté sa « solidarité » au gouvernement israélien en l’habilitant à « prendre toutes les mesures pour protéger sa population ». Le caractère partiel et partial du communiqué élyséen du 9 juillet 2014 a fait date.

Si la condamnation des tirs de roquettes du Hamas allait de soi, au nom du principe de légitime défense, elle devait être complétée par un rappel du droit international appelant à une riposte proportionnée au nom de la protection des civils. Cette omission volontaire a été interprétée comme un aval en forme de carte blanche donnée au gouvernement israélien.

L’expression de cette indignation sélective a traduit la tentation chez François Hollande d’infléchir notre traditionnelle ligne gaullo-mitterrandienne – une solution prônant deux Etats sur la base de négociations garantissant la sécurité (et donc l’existence) d’Israël et rendant justice au peuple palestinien.

Ne pas être à la hauteur des principes et valeurs que l’on dit incarner, c’est saper sa propre puissance d’influence. Si la France peut encore s’appuyer sur le vecteur linguistique – la langue française et la Francophonie sont bien ancrées sur le pourtour méditerranéen -, elle a plus que jamais du mal à représenter une « terre d’accueil » digne du « pays des Droits de l’Homme ».

L’esprit des Lumières se trouve étouffé par un obscurantisme identitaire et sécuritaire dont les réfugiés venus de Méditerranée paient aujourd’hui le prix.

Brexit: una lección del CETA a tener en cuenta

Real Instituto Elcano - jeu, 03/11/2016 - 13:13
Comentario Elcano 43/2016 - 3/11/2016
Salvador Llaudes
Si un acuerdo con un socio tan similar como Canadá ha estado en grave riesgo de cancelarse, no está nada claro que hay alfombra roja para el acuerdo al que llegue la UE con el Reino Unido, con unas implicaciones sentimentales y políticas mayores.

Europa und der Brexit

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 03/11/2016 - 12:14
Die Ankündigung der britischen Premierministerin Theresa May, Artikel 50 des Vertrages über die Europäische Union auszulösen und damit die Verhandlungen über den Brexit zu eröffnen, wurde durch die Entscheidung des Londoner High Court vom 3. November 2016 in Frage gestellt, da nunmehr das Parlament noch zustimmen muss.

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