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Diplomacy & Defense Think Tank News

Das Milizenkartell von Tripolis

SWP - mer, 16/05/2018 - 00:00

Im März 2016 traf die Einheitsregierung (GNA) in Tripolis ein. Seitdem hat eine Handvoll lokaler Milizen einen Großteil der libyschen Hauptstadt unter ihre Kontrolle gebracht. Nominell sind diese Gruppen regierungstreu, tatsächlich aber haben sie sich die Regierung untertan gemacht. Dabei wandelten sie sich zu kriminellen Netzwerken, die in Politik, Wirtschaft und Verwaltung operieren. Die Plünderung staatlicher Ressourcen – ein Wesensmerkmal der politischen Ökonomie Libyens – kommt nun einem engeren Kreis von Personen zugute als zuvor. Akteure, die von diesem Kartell ausgeschlossen sind, bilden Allianzen, um die Kräfteverhältnisse in Tripolis gewaltsam zu verändern. Neue Sicherheitsarrangements für die Hauptstadt sind dringend nötig, um neue Konflikte abzuwenden und den Boden für eine politische Lösung zu bereiten.

PuB-Netzwerktreffen: Mehr als nur ein Update

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
CDU-Generalsekretärin Annegret Kramp-Karrenbauer berichtet beim Netzwerktreffen in Berlin über ihre Zuhör-Tour und das neue Grundsatzprogramm der CDU.

Szenarien und Handlungsoptionen: Reicher Kongo, armer Kongo

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Sollte man die humanitäre Katastrophe nicht in den Griff bekommen, führt dies zu mehr Flucht und Vertreibung. 20 der 26 Provinzen sind von Gewalt betroffen.

In Hamburg nichts Neues?: „Antikapitalistischer Krawall” und seine gesellschaftliche Wahrnehmung

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Der gesellschaftliche Grundkonsens gegenüber dem Rechtsextremismus funktioniert, gegenüber linksextremer Gewalt findet sich jedoch große Akzeptanz. Eine Analyse

Italien: Fünf-Sterne-Bewegung und Lega verhandeln weiter

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Seit mehr als 70 Tagen ringt Italien um eine neue Regierung. Es handelt sich bislang um die zweitlängsten Verhandlungen in der Geschichte des Landes.

In Hamburg nichts Neues?

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 16/05/2018 - 00:00
Beim G20-Gipfel in Hamburg im vergangenen Sommer kam es zu erheblichen links motivierten Ausschreitungen. Nicht zum ersten Mal ließ sich dabei feststellen: Während der gesellschaftliche Grundkonsens gegenüber dem Rechtsextremismus funktioniert, findet sich gegenüber linksextremer Gewalt bis weit in die Mehrheitsgesellschaft hinein Akzeptanz. Wie diese gesellschaftlichen Mechanismen funktionieren und wie sie von Linksextremisten aktiv befördert werden, sind Gegenstand der Analyse.

How Peacekeeping Policy Gets Made: Navigating Intergovernmental Processes at the UN

European Peace Institute / News - mar, 15/05/2018 - 22:18

Partnerships are critical to effective UN peacekeeping, particularly in New York, where the Security Council, the Secretariat, and member states examine proposed reforms and seek consensus on the direction of peacekeeping. Yet throughout the nearly seventy-year history of UN peacekeeping, relations among key stakeholders have frequently fractured due to their often diverging interests. These differences have been compounded by member states’ limited access to information on the roles and responsibilities of different UN bodies in taking forward peacekeeping reforms.

This paper examines the intergovernmental processes and partnerships that support and guide the development of UN peacekeeping policy to identify what needs to be considered to build consensus on its future direction. The paper offers several recommendations for the Secretariat, member states, and other stakeholders to strengthen the value and outcomes of intergovernmental processes, as well as the partnerships that guide the formulation of UN peacekeeping policy:

  1. Foster understanding of UN peacekeeping challenges and the policymaking process.
  2. Strengthen consultation mechanisms.
  3. Demonstrate leadership and identify a shared vision.
  4. Improve information sharing, reporting, and accountability.
  5. Encourage awareness of challenges in the field among stakeholders in New York.

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Israël : un boulevard diplomatique ?

IRIS - mar, 15/05/2018 - 18:35

Le point de vue de Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Jours fatidiques au Proche-Orient – quelles conséquences stratégiques ?

Institut Montaigne - mar, 15/05/2018 - 16:26
Jours fatidiques au Proche-Orient – quelles conséquences stratégiques ? Institut Montaigne mar 15/05/2018 - 16:26

Le 8 mai, M. Trump annonçait le retrait américain de l’accord nucléaire avec l’Iran. Le 9 mai, M. Netanyahou était à Moscou pour les fêtes commémoratives de l’armistice de 1945.

A quoi sert une batterie décharge lente ?

RMES - mar, 15/05/2018 - 15:41

Les batteries classiques de démarrage de voiture peuvent paraître parfois agaçantes, surtout lorsque, en dessous de 50 ou 30 % du niveau de charge, elles ne peuvent plus démarrer une voiture. Face à ce problème, il est généralement proposé de recourir à une batterie décharge lente avec laquelle on ne souffre pas de renouvellement permanent ni de faiblesse du niveau de charge. Toutefois, lorsqu’on entend pour la première fois parler de batterie décharge lente, on ne sait pas de quoi il s’agit ni à quoi ça sert.

Pour savoir comment trouver votre batterie décharge lente camping car c’est là : https://batterieabc.com/test-avis-batterie-decharge-lente-hankook-mv24/

Qu’est-ce qu’une batterie décharge lente ?

La batterie décharge lente contrairement à une batterie de démarrage classique est destinée à effectuer plusieurs cycles de charges et décharges sans se délabrer. Lorsque vous utiliser une batterie classique comme batterie de démarrage de votre voiture, elle ne peut pas effectuer des cycles de charges et décharges sans s’abîmer.

En effet, de façon générale, la batterie classique ne supporte pas plus de 3 cycles de charges et décharges avant de ne plus pouvoir être rechargé. Or, avec une batterie décharge lente, vous pouvez effectuer jusqu’à 300 cycles de charges et décharges avant qu’elle s’abîme.

Cela signifie que la durée de vie d’une batterie décharge lente est nettement supérieure à celle d’une batterie classique et c’est d’ailleurs pour cela qu’elle est plus chère. L’investissement que vous devrez faire pour l’acquisition d’une batterie décharge lente est en effet plus lourd que celui que vous devrez faire pour une batterie classique.

De plus, les batteries décharge lente peuvent faire des décharges profondes sans pour autant refuser de fonctionner. Elles peuvent parfois même atteindre 10 % et continuer de fonctionner contrairement à une batterie classique qui est maintenue par l’alternateur à un niveau optimal (entre 30 et 50 %) de charge. Soulignons néanmoins qu’elles mettent plus de temps pour se recharger que les batteries classiques.

Lisez aussi : Où jeter ma trottinette électrique ?

Les usages possibles d’une batterie décharge lente

Comme vous l’auriez déjà compris en prenant en compte sa capacité à subir plusieurs cycles de charges et de décharges, la batterie décharge lente peut servir dans plusieurs cadres.

Dans une voiture, elle peut servir à la place de la batterie classique de démarrage qui s’avère moins performante. Principalement, on utilise une batterie décharge lente dans le camping-car à cause de l’électrification de l’habitacle.

En effet, les différents appareils présents dans un camping-car et dont le fonctionnement nécessite l’apport en électricité sont alimenté grâce à la batterie de la voiture. Or, lorsque vous utilisez une batterie classique, vous risquez de vous retrouver à court d’énergie puisque vous auriez atteint le niveau de charge auquel une batterie classique ne fonctionne pas. Vous vous retrouverez donc coincé dans un endroit quelconque sans batterie pour démarrer. Avec une batterie décharge lente, cela ne risque pas de vous arriver.

Il faut remarquer que vu ses caractéristiques et ses capacités, la batterie décharge lente peut s’utiliser pour plusieurs engins. Ainsi, vous pouvez l’utiliser pour une voiture (surtout un camping-car), un bateau ou pour stocker puis restituer l’énergie solaire.

Lisez aussi : forum camping

Christentum und Liberalismus: Pfeiler der europäischen Identität?

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 15/05/2018 - 15:34
Die Europäische Union ist als Staatengemeinschaft ein Zusammenschluss christlich geprägter Länder, in denen sich Werte wie Solidarität, Freiheit und Gleichheit über die Jahrhunderte fest etabliert haben. Doch welchen Stellenwert nehmen Christentum und Liberalismus im Wertekanon der EU noch ein?

Argentine, Italie, pétrole, ralentissement économique, c’est grave, docteur ?

Institut Montaigne - mar, 15/05/2018 - 15:02
Argentine, Italie, pétrole, ralentissement économique, c’est grave, docteur ? Institut Montaigne mar 15/05/2018 - 15:02

Coup sur coup, plusieurs nuages sombres sont apparus à l’horizon de l’économie mondiale.

Current dynamics and future prospects for Russia and the Atlantic Community

Institut Montaigne - mar, 15/05/2018 - 08:30
Current dynamics and future prospects for Russia and the Atlantic Community Institut Montaigne mar 15/05/2018 - 08:30

Le 15 mai, l’Institut Montaigne recevait Andrey Kortunov, directeur général du Russian International Affairs Council, Dominique Moïsi, conseiller spécial de l'Institut Montaigne, et Strobe Talbott, ancien président de la Brookings et visiting fellow à l'Institut Montaigne. Ils ont échangé sur les dynamiques actuelles et futures entre la Russie et la Communauté Occidentale. Les échanges étaient animés par Sylvie Kauffmann, éditorialiste et chroniqueuse au journal Le Monde.

Blanc 15 mai 2018 Activé Avec Andrey Kortunov, directeur général du Russian International Affairs Council, Dominique Moïsi, conseiller spécial de l'Institut Montaigne, et Strobe Talbott, ancien président de la Brookings et visiting fellow à l'Institut Montaigne Fermé Non Non

Situation in Israel und im Gazastreifen: „Mehrheit glaubt nicht an politische Veränderung“

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 15/05/2018 - 00:00
Der Gazastreifen wird von Gewalt erschüttert. Im Interview mit DOMRADIO.DE erläutert Marc Frings die Situation und Hintergründe des Konflikts.

The German debate on Russia sanctions is out of touch

SWP - mar, 15/05/2018 - 00:00
It is a fallacy to claim that sanctions against Russia are costly and futile. On their own, they will not force Russia to change its policy; but they do create leverage for bringing Moscow to the negotiating table. Sabine Fischer and Janis Kluge argue that sanctions and dialogue are not mutually exclusive.

Quand l'Amérique se retire du monde

Institut Montaigne - lun, 14/05/2018 - 14:58
Quand l'Amérique se retire du monde Institut Montaigne lun 14/05/2018 - 14:58

Avec le retrait de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien, comme avec ses propos indignes sur le Bataclan, Trump révèle sa vraie nature : à ses yeux, son narcissisme et sa volonté de rester au pouvoir valent plus que l'avenir du monde.

Wir brauchen einen neuen Begriff von Fairness im internationalen Steuersystem

Bonn, 14.05.2018. Aktuelle Vorstellungen von Fairness im internationalen Steuersystem greifen zu kurz. Sie beruhen wesentlich auf der Idee, dass Steuern dort erhoben werden, wo Mehrwert geschaffen wird. Aber eine zentrale Dimension jeder nationalen Debatte über Steuergerechtigkeit oder -fairness wird im globalen Diskurs völlig ausgeblendet: Die Frage, in welchem Verhältnis öffentliche Leistungen zu den Abgaben stehen, die die Steuerzahler regelmäßig entrichten. Die Forderung, Steuern dort zu erheben, wo Mehrwert geschaffen wird, ist von zentraler Bedeutung für zwei aktuell vieldiskutierte Probleme: Steuervermeidung, vor allem durch große multinationale Unternehmen, sowie Steuerwettbewerb zwischen Staaten. Steuervermeidung beruht auf dem Prinzip, gewinnträchtige Aktivitäten künstlich dorthin zu verlagern, wo sie niedrig oder gar nicht besteuert werden. Weltweit unterschiedliche Standards oder Rechtsauffassungen ermöglichen es Unternehmen, ihre Steuerlast im grenzüberschreitenden Austausch von Waren und (Finanz-)Dienstleistungen zu minimieren. Steuerwettbewerb zwischen den Staaten wiederum führt zu einer allgemeinen Absenkung der Steuerlast. Er wurde zuletzt durch die US-Steuerreform vom Dezember 2017 weiter angeheizt. Im Rahmen dieses Wettbewerbs gewähren die Regierungen immer großzügigere Steuererleichterungen, um Kapital anzulocken oder im Land zu halten. Sie untergraben damit ihre eigenen fiskalischen Möglichkeiten, öffentliche Leistungen bereitzustellen – auch solche, die für nachhaltige wirtschaftliche Entwicklung notwendig wären. Wenn es nun gelänge, unternehmerische Wertschöpfung wieder enger mit Besteuerung zu verknüpfen – die OECD bezeichnet dies als „Nexus-Prinzip“, könnten Steuervermeidung und Steuerwettbewerb wirksamer als bisher eingehegt werden. Gegenüber der derzeitigen Situation wäre dies ein großer Fortschritt. Das Nexus-Prinzip allein kann aber die Fairness des internationalen Steuersystems nicht sichern, denn es greift in wesentlichen Aspekten zu kurz. Zum einen verlagert sich Wertschöpfung vom eigentlichen Produktionsprozess in vor- bzw. nachgelagerte Aktivitäten. Sie findet heute immer mehr in Forschung und Entwicklung, Design, Marketing und nachgelagerten Dienstleistungen statt, und immer weniger in der Produktion selbst. Die wertschöpfungsintensiveren Tätigkeiten sind dabei typischerweise in den Ländern des globalen Nordens bzw. in sogenannten „Steueroasen“ angesiedelt. Die Finanzierungsprobleme vieler ärmerer Staaten wären somit nicht gelöst. Noch wichtiger: Das Verhältnis von Wertschöpfung zu den dafür notwendigen öffentlichen Leistungen ist nicht immer gleich. Globale Wertschöpfungsketten sind heute so gestaltet, dass wertschöpfungsintensivere Tätigkeiten nicht immer auch höherwertige öffentliche Leistungen (z.B. Infrastruktur, Bildungs- oder Sozialleistungen) erfordern. Das Prinzip der fiskalischen Äquivalenz Hier kommt das von Mancur Olson bereits 1969 entwickelte Prinzip der fiskalischen Äquivalenz ins Spiel. Es besagt, dass der Kreis jener, die von einem öffentlichen Gut profitieren, mit dem Kreis jener übereinstimmen soll, die für dieses Gut bezahlen. Dort, wo dieses Prinzip verletzt wird – wo also Personen oder Unternehmen profitieren, ohne zu zahlen, bzw. zahlen, ohne zu profitieren – kommt es zu einer ineffizienten Bereitstellung von Leistungen. Dies kann auf die Quersubventionierung bestimmter wirtschaftlicher Aktivitäten zu Lasten anderer Sektoren hinauslaufen, oder auf eine Unterversorgung der Bevölkerung mit öffentlichen Leistungen. Eine internationale Debatte, die die Wertschöpfung zum zentralen Maßstab von Besteuerung erhebt, drückt sich letzten Endes um diese Diskussion. Sie zwingt besonders ärmere Staaten zu Anpassungen ihres Leistungsportfolios, die dem gesellschaftlichen Willen eventuell nicht entsprechen. Was also wäre zu tun, um das Prinzip der fiskalischen Äquivalenz international zu stärken? Erstens müssen die Regierungen in einheitlicher Form Transparenz über die steuerlichen Anreize herstellen, die sie im internationalen Wettbewerb gewähren. Nur wenn diese Informationen vorliegen, kann darüber debattiert werden, welche steuerliche Förderung tatsächlich erwünscht oder sogar notwendig ist. Für die meisten Fördermechanismen gilt heute, dass wir nicht wissen, was sie kosten und welchen wirtschaftlichen Nutzen sie bringen. Zweitens müssen multilaterale Ansätze zum Austausch steuerrelevanter Informationen gestärkt werden. Insbesondere muss offenliegen, wer die tatsächlichen wirtschaftlichen Eigentümer von Vermögenswerten sind, denn nur dies ermöglicht es, Nutzer und Zahler öffentlicher Leistungen zu identifizieren. Drittens wäre es für die Staatengemeinschaft wichtig, zu einer einheitlichen Bemessungsgrundlage für Unternehmenssteuern zu gelangen. Diese könnte sicherstellen, dass die Besteuerung von Unternehmen zwischen den Staaten so abgestimmt wird, dass neben Umsätzen bzw. Gewinnen auch andere Kriterien, z.B. Beschäftigtenzahlen, herangezogen werden. Damit ließen sich die jeweiligen Leistungen der Staaten besser als bisher berücksichtigen. Diese Kolumne wurde am 14.05.2018 auch auf makronom.de veröffentlicht.

Echanges avec Alexandre Mars

Institut Montaigne - lun, 14/05/2018 - 08:30
Echanges avec Alexandre Mars Institut Montaigne lun 14/05/2018 - 08:30

Le 14 mai, l’Institut Montaigne recevait Alexandre Mars, président et fondateur d’Epic, à l’occasion de la sortie de son ouvrage La Révolution du partage. L’entrepreneur philanthrope y a évoqué son parcours ainsi que l’histoire et l’activité de sa fondation.

Blanc 14 mai 2018 Activé Avec Alexandre Mars, président et fondateur d'Epic Fermé Non Non

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