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Diplomacy & Defense Think Tank News

Lituania, Letonia y Estonia y la consolidación euroatlántica regional del Báltico

Real Instituto Elcano - ven, 13/07/2018 - 13:41
ARI 89/2018 - 13/7/2018
Rafael José de Espona

La región del Báltico se ha ido consolidando sobre la base de la cohesión geoestratégica de Lituania, Letonia y Estonia y su decidida pertenencia a la UE y la OTAN.

Quels sont les différentes catégories de siège auto?

RMES - ven, 13/07/2018 - 12:32

Depuis la mise sur pied de la nouvelle norme ECE R129 avec fixation Isofix, les marques se démènent pour offrir le meilleur à la clientèle. C’est à qui fabriquera le meilleur  siège auto ou à qui sera la plus appréciée par les parents. La règlementation est si stricte que chaque année, des organismes spécialisés se donnent la mission de commanditer des crash-tests. Cette comparaison donne beaucoup de poids à la sécurité qu’offre le siège auto. Lisez notre comparatif des différents groupes de sièges auto ! Si vous désirez les meilleurs de chaque groupe, alors rendez-vous ici.

La généralité

Les sièges auto sont subdivisés en cinq groupes : le groupe 0, le groupe 0+, le groupe 1, le groupe 2, le groupe 3. Notre classification fournira l’information nécessaire sur les deux meilleurs sièges auto dans chaque catégorie.

Les groupes 0 et 0+

Le Cybex Aton M et le Britax Römer Baby-Safe Isize sont notre coup de cœur pour cette catégorie.

Le premier est conçu avec un design démontable, qui accompagne votre bout de chou jusqu’à ses dix-huit mois. Il possède aussi un coussin détachable, que vous pouvez ajuster à tout moment pour lui assurer plein confort même dans la position couchée.

Idan de GB, pourvu avec sa coque offre 86% de sécurité à votre enfant.

Le groupe 1

Il est fait pour les enfants de 9 à 18 kilogrammes. Britax Römer revient avec Versafix aux sangles réglables. Quant à l’Izi Confort X3 BeSafe, il ne propose pas de réglages mais reste très confortable et sécurisant avec des positions multiples offertes pour arranger les appuis à l’arrière.

Le groupe 2

Du Recaro en Numéro 1 pour les sièges auto du groupe 2. Le groupe 2 regroupe nos trésors qui ont passé les 18 kg et se retrouvent maintenant dans la tranche 15-25 ans. Milano de chez Recaro s’adapte très vite à votre véhicule. Cependant chez Graco, le Junior Maxi évolue avec l’enfant à cause de ses repose-bras réglables.

Le groupe 3

Dans ce groupe, nous avons préféré aux autres sièges auto le Kiddy CruiserFix 3 qui a obtenu 70% comme estimation de sécurité et encore du Recaro Zero 1 Isize. Ce dernier est très facile à installer.

Voilà clôturé notre mini-comparatif des meilleurs sièges auto, vous n’avez maintenant plus qu’à faire votre choix !

 

Plus de lecture ? Venez voir notre article sur les coffres forts.

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Nato-Gipfel in Brüssel: Eine Bewertung: Trumps Schatten über der NATO

Hanns-Seidel-Stiftung - ven, 13/07/2018 - 07:48
Anstatt sich wie geplant den vielfältigen aktuellen und künftigen sicherheitspolitischen Herausforderungen widmen zu können, wurde die Agenda des gestern zu Ende gegangenen Gipfeltreffens der Staats- und Regierungschefs der NATO in Brüssel von der leidigen Lastenteilungs-Kontroverse zwischen US-Präsident Donald Trump und seinen europäischen Allianzpartnern überlagert. Unser Experte für Außen- und Sicherheitspolitik und Leiter der HSS-Akademie für Politik und Zeitgeschehen, Prof. Reinhard Meier-Walser, beleuchtet die Situation.

Think Tank Report 3/2018: Den Funken überspringen lassen

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 13/07/2018 - 00:00
Der neue Think Tank Report liefert Einblicke in die Agenda internationaler Think-Tanks. Diesmal mit den Themen: Zukunft der Mobilität, Big Data und Blockchain.

Otan ou Europe, « ils ne veulent pas payer » : mais d’où vient le mal allemand ?

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 16:59

Les Allemands plus que réticents à ce que leur pays augmente ses dépenses militaires pour qu’elles atteignent les 2% du PIB exigé par l’Otan. L’explication est autant historique que politique.

Atlantico : Selon un sondage publié par Die Welt, seuls 15% des allemands seraient favorables à ce que l’Allemagne augmente ses dépenses militaires jusqu’au seuil de 2% du PIB, conformément aux règles de l’OTAN. Pour 24% d’entre, un seuil de 1.5% serait acceptable mais 36% estiment que cela est déjà trop.​ Comment expliquer cette réticence allemande à financer des dépenses militaires ? Faut-il y voir une conséquence du poids de l’histoire, une peur du retour d’un passé​ allemand, ou le résultat d’une simple volonté de « ne pas payer » ?

Rémi Bourgeot : Plusieurs éléments se superposent en effet, et il est intéressant de voir que la réticence à accroître les dépenses militaires s’ancre en Allemagne dans l’opinion populaire et qu’il ne s’agit pas que d’une option de la classe politique.

L’aspect financier n’est pas l’unique cause naturellement si l’on prend une perspective de long terme, mais c’est un élément central, dans le contexte de la politique de désendettement du gouvernement allemand et de maximisation de l’excédent budgétaire. A partir où une garantie de défense est apportée par l’Otan notamment, on observe un réflexe qui évoque l’approche que les dirigeants allemands ont eue et ont encore de la gestion de la zone euro.

Le paradoxe n’est qu’apparent entre d’un côté une vision qui est restée essentiellement nationale de la responsabilité politique et le fait de dépendre en grande partie de garanties de défense des alliés du pays. Le paradoxe est levé d’une part par la remise en cause progressive en Allemagne des menaces sur lesquelles se concentre l’Otan et, de l’autre, par la doctrine non-interventionniste qui est au cœur de la politique allemande depuis les débuts de la République fédérale.

On peut opérer une distinction entre certains milieux d’experts géopolitiques allemands qui ont souvent été en pointe par exemple sur la thématique de la menace russe qui pèserait sur l’ensemble du continent européen et l’évolution de la perception des milieux politiques et économiques. On pouvait ainsi entendre dans certains milieux d’experts en Allemagne comme en France, vers 2014 -2015, que la Russie menaçait, après la Crimée, d’envahir les pays baltes. Après une phase d’observation de la situation, les milieux politiques et d’affaires se sont en général repositionnés, au-delà des clivages politiques, sur une stratégie plus proche d’une certaine conception de la real-politik et sur les intérêts économiques du pays en termes de débouchés commerciaux et d’approvisionnement énergétique, comme le montre la construction de Nord Stream II.

Autant l’élite allemande s’est longtemps considérée comme parfaitement intégrée à un système mondial emmené par les Etats-Unis et centré sur la participation à l’Otan, autant la mode néoconservatrice a fini par entrer en collision avec le non-interventionnisme allemand, comme en 2003 dans le rejet de l’invasion de l’Irak aux côtés de la France, et au moment de l’intervention en Libye. On observe en Allemagne un scepticisme assez général face au discours géopolitique de ses partenaires, en particulier sur les sujets relatifs au Moyen-Orient mais aussi de plus en plus sur la Russie.

Cette participation limitée à l’effort de défense commune trouve un écho particulier dans le pays au fur et à mesure que certaines des menaces pointées du doigt sont jugées peu tangibles du point de vue allemand.

Ce retrait demeure néanmoins sur des sujets cruciaux comme le Sahel ou plus généralement sur ce que pourrait être une approche coordonnée dans la lutte contre le terrorisme. En d’autres termes, la faiblesse de la contribution allemande relève d’une constante politique profonde et n’est pas simplement conditionnée aux errements de ses partenaires et de l’Otan. Une redéfinition du rôle de l’Otan dans un sens davantage centré sur les défis réels ne suffirait pas en tant que tel à éveiller en Allemagne la volonté d’une plus forte participation.

​Quelles sont les conséquences réelles de cette situation sur le pays et sur l’Europe ? Faut-il voir l’Allemagne comme un pays « à part »​ au sein de l’OTAN ?

L’Allemagne peut être vue comme un pays à part au sein de l’Otan dans la mesure où la faiblesse de sa contribution et son non-interventionnisme dépasse la question des menaces évoquées. Les Etats-Unis, la France et le Royaume-Uni demeurent des piliers de l’alliance, ce qui se traduit notamment par des dépenses plus conséquentes. Les problèmes liés à la question de la redéfinition des finalités de l’Otan et à certaines interventions plus que discutables, notamment en Libye, ont néanmoins indéniablement agrandi ce fossé et conforté l’Allemagne dans son retrait. La fracture au sein de l’Otan s’est ainsi considérablement aggravée et on ne peut imaginer un rééquilibrage d’un point de vue quantitatif sur les montants en jeu et qualitatif sur la capacité d’intervention qu’au terme d’une véritable concertation sur le rôle de la défense commune. Le fait que Barack Obama, et encore davantage Donald Trump, aient pointé du doigt la faiblesse des dépenses militaires allemandes a sans aucun doute créé un malaise qui oblige d’ores et déjà les dirigeants allemands à faire un effort dans une certaine mesure. Mais un rééquilibrage de long terme nécessiterait un véritable débat sur les doctrines stratégiques en vue d’un modèle de coopération qui puisse convaincre les responsables politiques ainsi que la population de la pertinence de l’approche commune.

Les conceptions politiques évoluent ces derniers temps dans un sens qui pourrait en réalité, sur le fond, rendre plus accessible un dialogue au terme duquel il serait possible d’afficher des exigences dès lors légitimes à l’Allemagne. Du fait des constructions administratives liées à l’Otan, mais aussi désormais de la thématique encore évanescente de l’Europe de la défense, ce qui fait office de doctrine commune ne représente pas nécessairement l’évolution des positions des uns et des autres ni même d’un éventuel consensus. Dans le contexte du jeu politique actuel, on voit ainsi Donald Trump accuser l’Allemagne d’être maillotée par le Kremlin ; ce qui ne peut qu’apparaître paradoxal au vu de ses idées personnelles en matière de relations internationales et des accusations auquel il fait face en ce qui concerne sa campagne présidentielle. Derrière la mise en scène autour du sommet de Bruxelles se dessine une reconfiguration qui dépasse l’Otan elle-même et qui voit ses acteurs jouer avec les codes qui la caractérise sans nécessairement les embrasser.

Ne peut-on pas également voir cette situation comme étant également le résultat des intérêts économiques recherchés par Berlin, notamment dans le contexte spécifique de la guerre commerciale initiée par l’administration américaine ?

L’aspect économique entre naturellement en compte dans ce jeu sur les codes de la défense commune. A la critique de sa politique commerciale Trump répond en pointant du doigt le manque d’engagement de Berlin dans le système interétatique qu’est l’Otan. On voit donc un jeu symbolique de mise sous pression des dirigeants allemands renvoyés à leurs propres arguments sur l’unilatéralisme américain, mais aussi un enjeu plus strictement lié aux dépenses de défense elles-mêmes. Trump pointe la faiblesse des dépenses essentiellement pour dénoncer le poids financier qui pèse sur les Etats-Unis, où les dépenses militaires représentent 3% du PIB, mais aussi au passage pour pointer la question du modèle allemand de compression des dépenses et des investissements publics.

Le président américain trouve là un moyen de pression qui est à la fois en ligne avec la doctrine de retrait relatif des affaires mondiales du type « America first » et qui repose sur la critique de politiques non-coopératives. Cette approche a notamment trouvé un écho au Royaume-Uni, qui consacre 1.8% de son PIB aux dépenses militaires et où de nombreux analystes s’accordaient à critiquer l’approche allemande en matière de dépenses militaires, alors que l’élite britannique se montre généralement critique des mesures commerciales de Donald Trump. On voit aussi un certain débat prendre forme en France, où la part du PIB consacré à la défense s’élève à 2.2%.

Soft power, politique intérieure et extérieure… Où en est Vladimir Poutine ?

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 15:41

Arnaud Dubien, chercheur associé à l’IRIS, directeur de l’Observatoire franco-russe, répond à nos questions :
– Peut-on considérer cette Coupe du monde de football comme une réussite diplomatique pour Vladimir Poutine ?
– Alors que Vladimir Poutine vient d’entamer son 4ème mandat, quels sont les principaux enjeux qui se posent à lui ?
– Donald Trump et Vladimir Poutine vont se rencontrer lors d’un sommet bilatéral le 16 juillet. Quels en sont les enjeux ?

Pour tout bagage, on a 20 ans

IRIS - jeu, 12/07/2018 - 12:16

Le 12 juillet serait-il une nouvelle date pour la fête nationale ? Car en réalité, a-t-on jamais autant célébré et illustré la fraternité et l’égalité en France que ce magnifique et bouleversant soir de 1998 ?

Un orgasme collectif pour près de 30 millions de personnes au coup de sifflet final. Des millions qui entonnent la Marseillaise à pleins poumons. Plus d’un million de personnes qui convergent ivres de joie sur les Champs Élysées, du jamais vu mis à part à la libération de Paris. On avait eu en mai 68 une foule en colère, et en janvier 2015 une foule recueillie dans la douleur et le drame. Mais cette fois-là, c’était une France qui était réunie, mélangée, bigarrée, joyeuse, sans esprit de revanche, sans drame à commémorer, sans aucun goût amer, avec juste l’envie d’être ensemble, de fraterniser avec tout un chacun, de devenir l’intime de celui qui était encore inconnu il sy a une minute. Tous unis et différents, il n’y a plus de chômeurs ou de tradeurs, plus de patrons ou d’ouvriers, plus de chrétiens, musulmans, juifs, francs-maçons ou athées. Tous croyaient en une France unie, mais diverse, une France triomphante, mais respectueuse des autres, une France forte, mais ouverte, une France d’un enthousiasme débordant, mais consciente de ce que ce moment unique représente.

Car le football c’est plus que du football. Rien d’autre n’aurait pu et n’a jamais pu susciter cette joie collective où tout est transcendé, magnifié, où l’instant devient éternité, où la vie est champagne, où on voudrait que tout s’arrête et tout recommence.

Mais si l’équipe de France de football a suscité un de ces très rares moments qui ont marqué l’histoire de notre pays, un de ces grands épisodes qui ont fait la France, où chacun se sent heureux et fier d’être français, tout en ayant un regard empathique pour le reste de la planète, ce n’est pas uniquement par ce qu’ils ont fait, à savoir gagner la coupe du monde, c’est aussi et surtout par ce qu’ils étaient, à savoir la France qu’on aime, la France qui rayonne autant dans l’Hexagone qu’à l’extérieur, au niveau global. Les 22 joueurs et leur entraîneur étaient singuliers et pluriels, solidaires et libres, de fortes personnalités individuelles se mêlant dans un collectif harmonieux. « Black-blanc-beur » était un raccourci heureux et approximatif, car il ne suffisait pas à décrire les multiples identités de ceux qui le mettaient en œuvre. C’est parce qu’ils étaient différents, d’une différence assumée et complémentaire, qu’ils s’assemblaient. C’est bien parce qu’on les acceptait tels qu’ils étaient qu’ils donnaient tout aux autres, parce qu’on ne leur demandait pas de compte qu’ils se livraient sans compter.

C’est parce qu’ils étaient cette façon si particulière d’être Français que tout le pays se rassemblait derrière eux et que le monde entier les admirait et les célébrait. Rarement la France n’a autant rayonné. Ils étaient sur le toit du monde, sans arrogance, donnant l’image d’une fraternité universelle, d’une France qui a gagné le mondial parce qu’elle est mondiale. 20 ans après ce moment magique est encore dans toutes les mémoires. Il ne faut pas lui demander plus que ce qu’il peut donner. Il était une arme pour aller plus loin, il n’était pas la baguette magique qui allait résoudre l’ensemble des problèmes du pays. Il demeure la boussole pour l’avenir, la recette d’un vouloir vivre-ensemble qu’on doit retrouver, d’une dignité collective, la victoire de 1998. C’est là la mondialisation heureuse, c’est la France et le monde qui se soutiennent mutuellement.

Internet of Things

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 12/07/2018 - 00:00
Kaum ein Begriff steht mehr für den technologischen Fortschritt und für die zu erwartenden gravierenden Umwälzungen von Wirtschaft und Gesellschaft durch die Digitalisierungsbewegung wie der Begriff des Internet of Things (IoT). Erstmals verwendet wurde er von Kevin Ashton, der ihn allerdings sehr stark auf die automatische Identifizierbarkeit von Objekten reduzierte (Ashton, 2009). Inzwischen hat sich diese Perspektive erweitert, so dass man heute zu Recht sagen kann, dass das IoT in den kommenden Jahren wesentlicher Treiber und integraler Bestandteil der digitalen Transformation sein wird.

Training for Senior Leadership in Missions

European Peace Institute / News - mer, 11/07/2018 - 22:06
Download Meeting Brief

Scenario-based learning for senior leadership teams in UN field missions can greatly improve strategic thinking, decision making, and crisis management in increasingly uncertain operational environments. IPI’s Scenario-Based Learning for Senior Leadership project therefore aims to develop eight training scenarios to be used by senior leadership in peace operations. To integrate these scenarios into existing training being undertaken by the United Nations, the International Peace Institute (IPI) and the UN Integrated Training Service (ITS) within the Department of Peacekeeping Operations/Department of Field Support hosted a closed-door roundtable on July 11, 2018, as part of a continued collaboration between IPI and ITS.

Specifically, the event focused on the idea of developing an in-mission leadership retreat as a means of supporting current leadership teams approach challenges environments, the viability of such an idea, and practicalities involved. The meeting resulting in five main takeaways:

  • Teambuilding is an important priority for senior leaders.
  • Training is most relevant and needed in anticipation of transition or change.
  • Leadership within the UN is different than in other contexts, and these differences should be stressed in training.
  • Topics covered in trainings should be tailored to the needs and requirements of each mission.
  • In-mission training for senior leadership needs support from UN headquarters.

This event forms part of IPI’s project on Scenario-Based Learning for Senior Leadership Teams in UN Field Missions. Within this project, IPI, with support from the Government of Canada, is developing eight scenario-based-learning modules over the course of this year for UN leadership teams in field missions, as well as for tabletop exercises in UN headquarters and capitals. IPI believes that scenario-based learning for senior leadership teams in UN field missions can greatly improve strategic thinking, decision making, and crisis management in increasingly uncertain operational environments. IPI’s Scenario-Based Learning for Senior Leadership project therefore aims to develop eight training scenarios to be used by senior leadership in peace operations. The modules, which include addressing instances of sexual exploitation and abuse, difficult host-state relations, protection of civilians, a security crisis, issues of election support, among others, reflect real-world challenges that confront senior UN leadership teams in most missions. The modules will also address the main leadership skills required for managing complex multidimensional missions.

The overall objective of IPI’s engagement with senior leadership training is to better equip senior leadership within UN missions to manage contemporary crises, lead teams, make decisions while being confronted with competing objectives and priorities, and effectively deliver the mandate of the United Nations. This will ultimately improve senior leadership training and foster team building within missions.

Où en sont les services de renseignement français ?

Institut Montaigne - mer, 11/07/2018 - 17:13

Les services de renseignement et de sécurité français ont connu des évolutions majeures depuis 2007. Les différentes réformes intervenues ont eu pour objet de créer une véritable communauté nationale du renseignement, de légitimer son action sur le plan juridique, de la placer sous la coordination de la Présidence de la République, et enfin, de fixer ses objectifs et d'adapter ses moyens aux missions dévolues, en particulier à l'heure de la révolution digitale et…

Notre Top 5 de coffres-forts

RMES - mer, 11/07/2018 - 15:09

Les coffres-forts ne font l’objet d’aucune rareté sur le marché. Les types, les dimensions et les tailles sont de différents ordres. L’acheteur a sûrement l’embarras du choix, même quand il sait exactement ce qu’il veut. Compte tenu du rôle qu’il joue dans la protection de documents de haute importance ou encore de bijoux et d’argent, les coffres-forts sont très appréciés par plus d’un.

Pour les aider dans leur choix le jour de l’achat, nous avons sélectionné pour eux les meilleures offres des sites, magasins et boutiques. Suivez le Top 5 des coffres-forts.

Master Lock, ignifuge et waterproof

Résistant au feu et résistant à  l’eau. Ce qui implique résistance aux incendies et résistance aux inondations. Disposant d’une capacité de 33,6 litres et pesant exactement 38,9 kilos, c’est le plus apprécié des coffres-forts. Il allie prix moyen et très bonne qualité. Homologué UL/ETL, il est doté d’un éclairage intérieur qui permet une utilisation optimale dans l’obscurité.

Impénétrable, à 100% sécurisé et conçu avec un système de verrouillage très efficace, le coffre-fort Master Lock peut être utilisé aussi bien par les entreprises que par les particuliers. 

Un coffre-fort certifié

Il s’agit du plus populaire, du coffre-fort professionnel de chez Yale. Son prix est très bas et sa taille assez passe-partout. Il possède un clavier numérique de couleur bleue. Reprogrammable, les codes personnels qui y sont insérés doivent être entre 3 et 8 caractères. Il est ignifuge et a capacité de 38 litres.

Dataguard de Chubsaffes

Apparemment, tous les bons coffres-forts doivent être ignifuges. C’est la caractéristique principale qui vaut à ce coffre-fort sa troisième place. Il pèse 145 kilos, est très solide et représente le plus sécuritaire des coffres-forts de notre sélection. Le Dataguard est de très haute qualité, très cher également et plus adapté à une utilisation par les entreprises.

Le moins cher

Il s’agit du mini coffre-fort d’AmazonBasics. Il est moins cher et moins solides que ceux qui l’ont précédé. Il possède néanmoins le minimum de garanties pouvant permettre de répondre aux besoins les plus élémentaires en matière de sécurité. Cependant, il n’est ni ignifuge ni résistant à l’eau.

Un coffre-fort tactile

Il provient de chez Master Lock et ferme ce classement. Il est surtout encastrable et dispose d’une alarme qui dissuadera une personne non autorisée qui a l’intention de le déplacer.

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Défense et sécurité : la France et l’Allemagne regardent-elles dans la même direction ?

Institut Montaigne - mer, 11/07/2018 - 12:15

Depuis septembre 2016, la France et l’Allemagne ont donné un nouvel élan à la Politique de Sécurité et de Défense Commune de l’UE (PSDC) ainsi qu’à leur coopération bilatérale dans ce domaine. Cette dynamique surprend, tant la politique de sécurité et de défense est rarement citée comme exemple de bon fonctionnement du couple franco-allemand. Les cultures respectives des deux pays en matière de sécurité sont trop différentes, leurs prises de…

Orte, die man als Zuhause bezeichnen kann?

Bonn, 11.07.2018. Nach den jüngsten Marathonverhandlungen steht die EU-Politik weiterhin vor großen Hürden bei der Suche nach einem humanen und funktionsfähigen Weg zur Steuerung der Migration im Mittelmeerraum. Das Problem ist, dass die Politik die Frage stellt: „Wie halten wir Menschen von der Migration ab?“ Eine bessere Frage, die nicht als faustischer Pakt daherkommt, würde lauten: „Unter welchen Umständen wollen Menschen bleiben?“ Sie kann mit Instrumenten der Entwicklungszusammenarbeit beantwortet werden und bietet eine hervorragende Gelegenheit für politische Entscheidungsträger, Forschung für Politik nutzbar zu machen. Eine der wichtigsten politischen Antworten, die auf europäischer Ebene diskutiert wurden, ist die Unterstützung von Aufnahmezentren in Nordafrika, in denen Migranten Asylanträge stellen und eine reguläre Einreise nach Europa beantragen können. Diese Politik basiert jedoch auf der Einschränkung der Möglichkeiten von Migranten, was nach neuen Untersuchungen kaum zu besseren Ergebnissen für die Migranten oder die EU führen dürfte. Wenn politische Entscheidungsträger den auf EU-Ebene diskutierten, relativ engen politischen Raum verlassen und kreative Wege finden wollen, um Migranten in ihren Heimatländern zu unterstützen, ist der Ansatz der Entwicklungshilfegemeinschaft bei der Bewältigung von Vertreibungen und der Aufnahme von Flüchtlingen ein guter Ausgangspunkt. Am Horn von Afrika führen Weltbank und Intergovernmental Authority on Development (IGAD) ein Projekt mit dem Titel Development Responses to Displacement Impacts durch, um Flüchtlinge und ihre Aufnahmegesellschaften bei nachhaltiger sozialer und wirtschaftlicher Entwicklung und Governance zu unterstützen. Instrumente der Entwicklungszusammenarbeit eignen sich gut für die Entwicklung von Städten und anderen Räumen der Migration, einschließlich der Entwicklung von Infrastruktur, Finanzsystemen, Bildungs- und Verwaltungsapparaten. Es gibt zwar große Herausforderungen bei der Umsetzung dieser Art von Politiken, aber wichtig ist, dass der politische Ansatz zunehmend durch die Frage, „warum sollten Menschen hier leben wollen?“ statt „wie halten wir sie davon ab, zu gehen?“ geprägt wird. Diese Entwicklungsansätze funktionieren jedoch am besten, wenn sich die Geber der unterschiedlichen Gründe bewusst sind, aus denen die Menschen ihre Heimat verlassen, oder warum sie trotz erheblicher Schwierigkeiten bleiben würden. Neue Forschungsergebnisse, die kürzlich am Deutschen Institut für Entwicklungspolitik (DIE) vorgestellt wurden, helfen, die Komplexität von Migrationsentscheidungen zu erklären, sei es zu gehen oder zu bleiben. Arbeitsplätze und Wohnungen sind wichtige Faktoren, um Menschen zu helfen, sich niederzulassen, aber sie sind möglicherweise nicht die Lösung. Anis Fellahi und Eva Youkhana vom Zentrum für Entwicklungsforschung zeigten, dass die Bemühungen von Lokalverwaltungen in Algerien, junge Menschen dazu zu ermutigen, in ländlichen Gebieten zu bleiben, ergeben haben, dass das Angebot an Arbeitsplätzen und Wohnungen wenig Einfluss auf ihre Entscheidung hatte, in städtische Gebiete zu migrieren. Dies lag zum großen Teil an der Komplexität Zugang zu Arbeitsprogrammen zu erhalten oder sich für Wohnungsprogramme zu qualifizieren. Während der algerische Fall zeigt, dass die Erwartungen nicht immer der Realität entsprechen, bleiben die Menschen oft an einem Ort, an dem wir erwarten würden, dass sie fliehen. Nathalie Williams von der University of Washington zeigt das interessante Beispiel eines Polizeibeamten aus Nepal, der trotz massiver Bedrohung während des Bürgerkriegs in seinem Heimatgebiet blieb. Er blieb nicht nur, weil er einen Job hatte, sondern vor allem, weil der Job mit einer Pension verbunden war. Die Arbeit ermöglichte es, eine Familie dauerhaft zu unterstützen und dies machte sein Bleiben auch bei hohem Gewaltrisiko so lange wie möglich lohnend. Diese Beispiele zeigen zwei wichtige Dinge, die politische Entscheidungsträger bei Migrationsentscheidungen berücksichtigen sollten: Wenn Menschen sich zur Migration entscheiden, ist es schwer, sie aufzuhalten. Wenn sie aber etwas haben, für das es sich zu bleiben lohnt, werde sie trotzt Widrigkeiten ihre Heimat nicht verlassen. Menschen, die vor Armut, Umweltgefahren oder gewalttätigen Konflikten in ihren Heimatregionen fliehen, suchen den besten Ort, um sich niederzulassen und ein Leben aufzubauen. Die derzeitigen von der EU vorgelegten Optionen für die Migrationspolitik konzentrieren sich jedoch hauptsächlich auf die Einschränkung der Freizügigkeit und zwingen die Menschen dazu, nach alternativen Migrationsrouten zu suchen und dadurch noch höhere Risiken einzugehen. Eine wirklich nachhaltige Migrationsstrategie für die Entwicklung sollte sich darauf konzentrieren, die Fähigkeit potenzieller Migranten zum eigenständigen Handeln zu verbessern. Sei es durch neue Kanäle legaler Migration oder durch die Schaffung von Orten on an denen Menschen sich niederlassen wollen.

Déclaration commune de paix et d’amitié entre l’Ethiopie et l’Erythrée : quels enjeux pour la Corne de l’Afrique ?

IRIS - mer, 11/07/2018 - 11:56

Après plus de 20 ans de conflit, l’Éthiopie et l’Érythrée ont signé une déclaration commune, ce lundi 9 juillet, ouvrant « une nouvelle ère de paix et d’amitié ». Cet accord historique prévoit une reprise des relations bilatérales, une intensification du commerce et la mise en œuvre de l’accord d’Alger sur le respect des frontières entre ces deux États de la Corne de l’Afrique. Le point sur la situation avec Patrick Ferras, directeur de l’Observatoire de la Corne de l’Afrique, enseignant à IRIS Sup’.

Après plus de vingt ans de guerre, l’Éthiopie et l’Érythrée ont signé une « déclaration conjointe de paix et d’amitié ». Pourquoi ce rapprochement diplomatique s’effectue-t-il aujourd’hui ? Quels obstacles les pays vont-ils devoir surmonter ?

Le nouveau Premier ministre éthiopien[1] en poste depuis quatre mois, Abiy Ahmed, avait fait lors de son discours d’investiture une déclaration sur la situation de « ni paix, ni guerre » entre les deux États et s’était engagé à mettre fin définitivement au conflit de 1998-2000. La venue à Addis-Abeba d’une délégation érythréenne le 26 juin appelait une réciprocité qui avait été annoncée à l’issue des premières réunions. Le déplacement du Premier ministre éthiopien en Érythrée scelle donc la mise en place effective d’un processus de règlement de la situation avalisé par les deux États.

Les communications téléphoniques ont été rétablies, l’ouverture de liaisons aériennes entre Addis-Abeba, Asmara et Maqalé (capitale du Tegray, Région-État frontalière de l’Érythrée) se fera en août, des rencontres entre artistes éthiopiens et érythréens dans les deux capitales et d’autres villes éthiopiennes se dérouleront prochainement (avant le nouvel an éthiopien, le 11 septembre). Le port d’Assab sera rapidement ouvert pour l’Éthiopie, aucun visa ne sera nécessaire pour entrer en Érythrée pour les Éthiopiens, et l’Érythrée ouvrira son ambassade en Éthiopie en septembre. Les discussions sur l’application totale des Accords d’Alger (signés le 12 décembre 2000 concernant la délimitation de la frontière commune) vont avoir lieu.

Les relations diplomatiques s’ouvrent, les transports et les déplacements vont être possibles. Petit à petit, les obstacles que l’on croyait insurmontables, il y a six mois, sont franchis.

Les États-Unis, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont parrainé la déclaration de paix après avoir négocié cette possible réunification. Quelles sont les raisons de leur implication dans la région de la Corne de l’Afrique ? La réunification entamée entre ces deux frères ennemis va-t-elle pouvoir insuffler un esprit de paix au-delà de la Corne de l’Afrique, notamment entre l’Égypte et le Soudan ?

Ces trois États ont toujours eu des relations privilégiées avec la Corne de l’Afrique, pour des raisons géopolitiques, économiques et sécuritaires. Toutefois, il ne faut pas surestimer leur rôle dans cette déclaration commune de paix et d’amitié. L’Éthiopie et l’Érythrée sont des États souverains. Isaias Afwerki attendait un signe positif depuis longtemps. Abiy Ahmed l’a fait. Ce que les deux dirigeants ont montré en termes de relations internationales, c’est que les États restent maîtres de leur destinée et qu’il suffit parfois de bonne volonté pour que les situations trouvent une solution. C’est, à mon avis, le signal très positif qu’envoient l’Éthiopie et l’Érythrée à destination de l’ensemble de la Corne de l’Afrique et même vers l’ensemble du continent africain.

En revanche, on ne peut que constater l’inefficacité des organisations régionales ou continentales sur ce dossier comme d’autres (Soudan du Sud, République arabe sahraouie démocratique). L’acteur principal des relations internationales reste l’État.

L’Érythrée est aujourd’hui considérée comme un des pays les plus autoritaires et fermés. En quoi cet accord peut-il influer sur la situation du pays ?  

En signant une déclaration de paix et d’amitié – les deux mots sont forts -, les deux États vont donner une nouvelle impulsion à l’évolution de leur situation intérieure et économique. L’Éthiopie des prochaines années a besoin de l’Érythrée et c’est réciproque. Le couple Éthiopie-Érythrée devrait être un élément moteur de l’intégration économique dans la Corne de l’Afrique. L’arrêt des tensions à la frontière devrait amener des changements dans la posture sécuritaire des deux États et sûrement dans les prochaines années, un arrêt du service national en Érythrée.

Il reste maintenant aux Nations unies d’envoyer des signaux positifs à défaut d’avoir pu régler cette situation. Elle avait, en effet, mis fin à sa mission en Érythrée en 2008 et imposait un embargo depuis 2009 appuyé par des rapports du Groupe d’experts, peu crédibles ces dernières années. Sa levée en octobre-novembre 2018 semble incontournable si l’esprit de paix et d’amitié perdure.

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[1] Qui détient le pouvoir exécutif.

 

Working Paper: Ο Δικτυοκεντρικός Πόλεμος (Net Centric Warfare – NCW)

ELIAMEP - mer, 11/07/2018 - 10:55

The vigorous development of military technology has changed the way in which military operations are carried out, and at the same time the way and structure of the Administration. Countries with strong armed forces have broadly developed the so-called “Network-centric War”. The result was to gain a military advantage in the battlefield against the enemy. Regular benefits have arisen due to good image, immediate and timely transfer of information and, finally, effective destruction of hostile targets. Apart from the US, China and Turkey are two countries that are implementing Net Centric Warfare.

Working Paper 95/2018: Net Centric Warfare – NCW (in Greek)

Les avantages et inconvénients de la perceuse sans fil

RMES - mer, 11/07/2018 - 10:17

Pour toute activité de bricolage, la perceuse figure parmi l’un des outils dont on ne peut pas s’en passer. Généralement, les perceuses se déclinent en deux catégories : d’une part les perceuses avec cordons électriques et d’autre part les perceuses sur batterie ou sans fil. En fonction des travaux que vous envisagez d’entreprendre, la question se rapportant au type de perceuse à acheter est souvent soulevée. Concernant la perceuse sans fil, son utilisation présente des avantages mais peut aussi impliquer quelques contraintes. Pour être fixé, nous allons essayer de déceler les avantages ainsi que les inconvénients de la perceuse sans fil.

La perceuse sans fil : quels sont les avantages ?

La perceuse à batterie est un outil compact. De ce fait, il est propice pour ceux qui réalisent des ouvrages en extérieur ou bien dans des chantiers, où il n’y a pas d’électricité. De part sa légèreté, l’appareil est également maniable. L’utilisation de la visseuse perceuse sans fil ne nécessite pas des grands efforts. Ainsi, l’équipement permet et soutient le travail en hauteur.

Il existe des prototypes équipés de témoins de charge et de surcharge. Pour ceux qui envisagent de réaliser des travaux de longue durée, il serait judicieux d’avoir deux batteries pour disposer de plus d’autonomie. Quand l’une des batteries est à plat, vous pourrez vous servir de l’autre. Ainsi, vous n’aurez même pas à stopper vos activités. Nickel Cadmium ou NICAD ainsi que le Lithium – ion sont en général les types de batterie utilisés couramment.

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Qu’en est-il des inconvénients ?

Parmi les désagréments de la perceuse sans fil, on peut évoquer le manque de puissance et l’autonomie. En effet, lors des grands travaux, le problème d’autonomie se pose souvent. Ainsi, l’équipe est souvent amenée à stopper leurs activités et prend du retard dans leur timing. Il faut donc prendre en considération le temps de charge dans son planning lorsqu’on utilise les perceuses à batterie.

Outre les limites au niveau de la durée d’utilisation, on peut aussi évoquer l’importunité que provoque un manque de puissance. Du fait que l’appareil n’est pas branché sur un secteur, sa puissance est un peu restreinte et se limite à celle que peut soutenir sa batterie.

Pour résumer, avec une perceuse sans fil, l’efficience de l’appareil dépend de la puissance exprimée en Watt ou de la tension, exprimée en Volt. En gros, si vous optez pour une perceuse sans fil, il est préconisé de faire la confrontation de la tension des batteries.

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L’autonomie de la perceuse à batterie

Étant donné que la perceuse sans fil comme son nom l’indique n’est pas liée à un prise électrique. Il faut noter que pour les travaux de perçage et de vissage de petite envergure, ne nécessite qu’une tension inférieure ou égale à 14 Volts. Dans le cas contraire, lorsqu’on est en présence d’ouvrages plus étendus, une batterie de 18 Volts, voire même plus est indispensable. Il ne faut pas aussi minimiser le type de batterie. A priori, les batteries de type lithium-ion sont réputées pour être plus performantes par rapport aux autres marques.

Sources : www.percobrico.com

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L’excellente relation de défense franco-américaine, à l’épreuve des turbulences transatlantiques

Institut Montaigne - mer, 11/07/2018 - 10:02

Paris est populaire à Washington en ce moment. La France y est vue comme un allié de confiance, solide, prompt à intervenir, ainsi qu’un partenaire souvent incontournable sur les questions de défense et de sécurité. Dans les cercles militaires américains, les Français jouissent d’une réputation d’excellence et d’un accès aux plus hautes sphères, que leur envient leurs homologues européens, allemands et britanniques en particulier.

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