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Diplomacy & Defense Think Tank News

Der IS wird die Landkarte nicht verändern

SWP - jeu, 11/06/2015 - 08:33
Dem Westen fehlen in Syrien aber verlässliche Partner, um die Dschihadisten zu bekämpfen

XI RAN Marruecos-España: tímida renovación del discurso económico

Real Instituto Elcano - jeu, 11/06/2015 - 06:19
Opinión - 11/6/2015
Gonzalo Escribano
La reciente Reunión de Alto Nivel (RAN) hispano-marroquí celebrada en Madrid el pasado 5 de junio podría recordarse como la de una tímida renovación: aunque ha surgido un nuevo discurso que resalta la complementariedad productiva de ambos países, incluso en nuevos sectores, no se han abordado de manera resolutiva todos y cada uno de los problemas económicos bilaterales.

Hintergründe zu den Protesten gegen TTIP: Emotionen statt Argumente

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Die von Spekulationen und Ängsten geprägten Anti-TTIP Kampagnen laufen einer ausgewogenen und sachlichen Debatte zuwider. (Bild: Empire St. Pauli)

Klicks gegen TTIP

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Das Internet verleiht den kritischen Organisationen enorme Mobilisierungskraft. Im Wettbewerb um Aufmerksamkeit und Unterstützung ist es den Kritikern gelungen, das Potential der Online-Medien auszuschöpfen. Ziel der vorliegenden Studie ist, die deutsche Debatte in den Online-Medien zu analysieren. Daran anknüpfend wird diskutiert, warum die kritischen Kampagnen die öffentliche Meinung in Deutschland prägen.

Emotionen statt Argumente

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Die von Spekulationen und Ängsten geprägten Anti-TTIP-Kampagnen laufen einer ausgewogenen und sachlichen Debatte zuwider. Ziel der vorliegenden Studie ist es, den Hintergrund der Protestbewegungen in Deutschland zu beleuchten und ihre Strategien auf den Prüfstand zu stellen.

Libye : les négociations en cours ont-elles une chance d’aboutir ?

IRIS - mer, 10/06/2015 - 16:02

Les représentants des deux Parlements libyens rivaux sont réunis depuis lundi 8 juin à Skhirat au Maroc pour tenter de trouver un accord politique sur la crise libyenne. Quels sont les enjeux de cet accord pour la stabilité de la Libye ? Quels sont les défis auxquels fait face le pays actuellement ?
L’enjeu de cette négociation à Skhirat au Maroc est de parvenir à un accord intérimaire qui permettrait de constituer un gouvernement d’union nationale dont la durée de vie serait d’un an, afin de stabiliser la situation, faire cesser les combats et désarmer les milices. C’est l’objectif absolu et prioritaire de l’émissaire des Nations unies pour la Libye, M. Bernardino Leon. Mardi 9 juin, ce dernier est apparu très optimiste en annonçant que sa proposition avait été bien accueillie par les deux parties, mais dans l’après-midi, des réactions à la fois des dirigeants qui gouvernent à Tripoli et de ceux qui sont à Benghazi, ont affirmé qu’un accord n’était pas encore en vue. Les négociations sont donc toujours en cours avec à l’esprit de tous les belligérants, l’urgence de la situation qui continue à se dégrader sur le terrain avec la poursuite des combats. Par ailleurs, l’implication de la communauté internationale est évidemment due à la crainte de voir l’organisation de l’État islamique (Daech) devenir le principal acteur politique de la Libye, puisque le groupe islamiste ne cesse d’étendre son influence sur le pays. C’est cette urgence absolue qu’il faut parvenir à endiguer.
Les divergences entre les deux gouvernements et les deux parlements sont aujourd’hui particulièrement exacerbées, et les contacts entre les deux camps ont été rompus depuis plusieurs mois déjà. Par conséquent, la négociation qui se déroule à Skhirat a ce double objectif à la fois de permettre la reprise d’un contact entre les différents acteurs mais surtout de parvenir à stopper les combats fratricides sur le terrain pour redonner un peu de stabilité à la Libye. Cela permettrait, par voie de conséquence, de tenter à nouveau de stabiliser la situation sécuritaire sur le flanc sud de la Méditerranée puisque c’est évidemment une des grandes inquiétudes des Européens.

Les représentants des deux parlements vous semblent-ils partager la même optique de résolution du conflit ? Quelles sont les chances d’arriver à un accord ferme et définitif ?
Bien sûr, toutes les parties prétendent être d’accord sur la nécessité de trouver un compromis. Le problème est qu’elles sont toutes deux pour le moment dans un rapport de force qui les empêchent d’aboutir à un accord. Ceux qui, dans les deux camps, ont des positions à préserver ou à défendre veulent les maintenir en l’état. Si l’on veut parvenir à un accord, il faudra pourtant que chaque camp fasse des concessions. Selon moi, cela va être assez compliqué mais possible, à condition que la communauté internationale maintienne la pression sur les différents acteurs de cette crise. Ajoutons qu’une pression régionale est également à l’œuvre aujourd’hui puisque l’Algérie, l’Egypte et l’Italie ont signé dimanche au Caire une déclaration commune pour qu’un compromis politique voit le jour et que les combats cessent. Cela étant, on est pour le moment loin du compte. Les discussions ont été engagées depuis plusieurs mois maintenant, ce qui est déjà très important. Il faut donc poursuivre les efforts qui ont été entamés en 2014 sous les auspices du Maroc, qui joue un rôle central dans ce dossier.

Alors que M. Bernardino Leon, émissaire des Nations unies pour la Libye, tente de faire pression sur les deux camps via les dispositifs onusiens, la communauté internationale semble divisée quant à la manière de gérer ce conflit. Quid du jeu de la communauté internationale sur celui-ci ?
La situation est un peu compliquée car beaucoup de partenaires de l’Union européenne (UE) considèrent que la France est en grande partie responsable de cette crise dans la mesure où elle a participé en 2011 à l’intervention en Libye avec la Grande-Bretagne, provoquant la chute de Mouammar Kadhafi et par voie de conséquence, l’instabilité chronique dans laquelle vit le pays depuis presque quatre ans. Un certain nombre de pays de l’UE ou de pays arabes – parfois même les deux – considèrent que c’est à la France de travailler à une stabilisation de la situation. Aujourd’hui, des débats ont lieu entre la nécessité de mettre l’accent sur la diplomatie ou bien d’envisager une nouvelle intervention militaire. Pour le moment, l’option militaire semble écartée, mais il n’est pas à exclure qu’elle puisse être un recours à un moment ou à un autre. Ce serait selon moi une aberration puisqu’à l’heure actuelle, on ne sait même pas contre qui il faudrait se battre. Par ailleurs, cela supposerait évidemment l’envoi de troupes au sol, ce qui a des conséquences sur le plan politique, et notamment sur les opinions publiques françaises. Parallèlement, le développement de Daech sur le territoire libyen fait régner une grande inquiétude sur les vieilles démocraties européennes. L’arrivée massive de dizaines de milliers de migrants venant d’Afghanistan, de la Corne de l’Afrique, du Soudan, d’Egypte, du Mali ou du Sahel risque de provoquer des tensions dans ces démocraties européennes qui pourraient également connaitre une sorte d’instabilité.
La situation est donc compliquée, à la fois sur le plan diplomatique, mais aussi sur le plan politique et sur le plan sécuritaire. Nous sommes aujourd’hui dans une situation où il s’agit de ne gérer que des urgences. La question est aujourd’hui de savoir si l’on parviendra à un accord diplomatique entre les différents acteurs de la crise pour tenter de résoudre plus facilement et plus durablement les deux autres aspects de ce conflit qui sont politique et sécuritaire, c’est-à-dire respectivement l’instabilité institutionnelle et la lutte contre Daech. Il faut absolument qu’avant de rejoindre Berlin pour la tenue d’une réunion internationale, M. Bernardino Leon parvienne à arracher un accord, au moins a minima.

Dialogue parlementaire trilatéral France-Allemagne-Pologne

Institut Montaigne - mer, 10/06/2015 - 15:53
Date: Lundi 22 Juin 2015Description: L’Institut Montaigne, la Fondation Genshagen, le Deutsches Polen-Institut et l’Institute of Public Affairs de Varsovie organisent ensemble une journée d’échanges entre parlementaires de nos trois pays.La résolution du conflit en Ukraine, les perspectives d’évolution des relations entre l’Union européenne et la Russie, ainsi que les moyens de garantir la paix en Europe constitueront les axes structurants de ces discussions.Celles-ci réuniront au cours de quatre séances de travail une quinzaine de parlementaires français, allemands et polonais, ainsi que plusieurs spécialistes de ces enjeux : Anne de Tinguy, directrice du Master Relations internationales de l’INALCO, Sławomir Dębski, directeur du Centre russo-polonais pour le dialogue et la compréhension mutuelle, Hans-Joachim Spanger, directeur du département de recherche du Peace Research Institute de Francfort, et Christian Lequesne, professeur de science politique à Sciences Po Paris.Sous le haut patronage de Jean-Pierre Leleux,président du groupe d’amitié France-Pologne au SénatPROGRAMME9H00   > 11H00      Atelier 1 : Analyse du « poutinisme » 11H15 > 13H00      Atelier 2 : Le conflit russo-ukrainien, « Russkiy Mir » et européanisation  14H45 > 16H15      Atelier 3 : Une solution occidentale est-elle possible ? Résultats du sommet de Riga et sanctions16H30 > 18H00      Atelier 4 : France, Allemagne, Pologne : quelles stratégies et quelles actions ?18H00 > 18H30      Conclusion des échanges

«2099 ist leider zu spät»

SWP - mer, 10/06/2015 - 15:21
Oliver Geden äussert grosse Zweifel an der Absicht der G-7-Länder, sich von der fossilen Energie zu...

Francis Mer présente sa note : Nouvelle entreprise et valeur humaine

Fondapol / Général - mer, 10/06/2015 - 14:41

Retrouvez l’interview de Francis Mer sur sa note : Nouvelle entreprise et valeur humaine. Francis Mer présente sa note : Nouvelle… par fondapol

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La France et les musulmans, défi majeur de 2017 : le combat pour l’égalité n’est pas vain

IRIS - mer, 10/06/2015 - 11:00

Le rapport de la France avec ses citoyens musulmans est certainement l’un des défis les plus importants qui se dresse devant nous. Il risque, pour le meilleur ou pour le pire, d’être un enjeu majeur des élections de 2017. Il est essentiel et déterminant, tant pour les équilibres internes de la société française que pour la place de notre pays sur l’échiquier mondial.

Deux options sont sur la table. Soit on considère qu’ils sont des Français à part entière, qu’ils jouissent des mêmes droits que les autres, ce qui ne signifie pas, bien entendu, le droit d’imposer leur vision du monde à leurs concitoyens. Il ne s’agit pas d’accéder à toutes leurs demandes, il s’agit de penser qu’ils ont le droit de les exprimer librement. Ils sont enfants de la République, avec les mêmes droits et les mêmes obligations que les autres.

Soit on considère qu’ils constituent un élément externe et étranger à la République française, qu’ils sont tolérés à la seule condition de ne pas faire de vagues et de n’émettre aucunes revendications, forcément jugées antirépublicaines et dangereuses pour la société française.

Il y a des tentatives de leur assigner dans les médias des représentants désignés de l’extérieur de leur communauté, dans lesquels ils ne se reconnaissent pas et même qu’ils rejettent et on met trop souvent en avant des musulmans à même d’alimenter un discours stigmatisant sur l’islam, ce que l’on ne fait pour aucune autre communauté.

En réalité, certains leur refusent de s’organiser de façon autonome. Pourquoi leur nier le droit de décider eux-mêmes les figures dans lesquelles ils se reconnaissent ?

La radicalisation de quelques éléments est un défi à relever. C’est un problème qu’il ne faut pas occulter, mais dont les Français musulmans ne sont, collectivement, ni responsables, ni coupables.

Certains considèrent qu’il est consubstantiel à l’islam, d’autres, qu’il est le produit d’un moment historique, un processus qui peut être combattu efficacement par un dosage de réponses sécuritaires et politiques. Que l’islamophobie et la radicalisation se nourrissent mutuellement et qu’il faut les combattre simultanément.

Peut-on penser que les musulmans ont leur place en France, à la seule condition de ne pas s’exprimer par eux-mêmes, de rester à leur place, celle qui était la leur il y a quarante ans, en bas, très loin en bas, sans aucuns droits, comme des dhimmis d’une nouvelle sorte ?

C’est trop tard. Ceux qui rêvent de cela, pour des raisons diverses ne réalisent pas le changement fondamental qui s’est opéré.

Nous pouvons choisir entre une société ouverte et dynamique, attractive et apaisée ou des affrontements sans fin, un cercle vicieux où les extrémistes se nourrissent mutuellement.

Les musulmans français ni ne partiront, ni ne se courberont. Ils veulent prendre place à la table de la République. Ils ont déjà formé une classe moyenne supérieure qui accède aux responsabilités. Vouloir les exclure n’est ni possible, ni souhaitable. Et cela donne, à l’extérieur, une image dégradée de la France, aux antipodes de sa tradition d’ouverture et d’universalisme.

Les musulmans français ne sont plus majoritairement des ouvriers non qualifiés dont le principal objectif est de regagner, sans être victimes de ratonnades, leur foyer Sonacotra, comme dans les années 70. Nombre d’entre eux sont ingénieurs, professeurs, avocats, médecins, etc.

Si le plafond de verre existe encore pour les responsables politiques, préfets, généraux, chefs d’entreprise, il y a une classe moyenne supérieure dont on parle peu, ou pas, qui s’est développée. Cela doit d’ailleurs être un motif d’espoir et de mobilisation pour nos compatriotes musulmans.

Ils ont raison de dire qu’ils sont plus discriminés que le reste de leurs compatriotes français – Roms exceptés – mais ils doivent réaliser que des progrès, fort heureusement, ont eu lieu, et que le combat pour l’égalité n’est pas vain, qu’il faut au contraire le poursuivre parce qu’il paye.

La larga marcha hacia Europa: España y la Comunidad Europea, 1957-1986

Real Instituto Elcano - mer, 10/06/2015 - 08:33
DT 8/2015 - 11/6/2015
Charles Powell
El trigésimo aniversario de la firma del Tratado de Adhesión de España a las Comunidades Europeas el 12 de junio de 1985 ofrece un excelente pretexto para recordar los aspectos más notables de la larga marcha de España hacia la Europa comunitaria.

60. Geburtstag von Annette Schavan: "Politik ist Marathon mit viel Geduld"

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 10/06/2015 - 00:00
Annette Schavan, von 2005 bis 2013 Bundesministerin für Bildung und Forschung, ist heute deutsche Botschafterin beim Heiligen Stuhl.

Somalia: The Road to 2016

European Peace Institute / News - mar, 09/06/2015 - 21:42

On Tuesday, June 9th, IPI hosted Nicholas Kay, Special Representative of the Secretary-General for Somalia (UNSOM), and Ambassador Maman Sambo Sidikou, Special Representative of the Chairperson of the African Union Commission for Somalia, who discussed the future of the UN Assistance Mission in Somalia (UNSOM) and the African Union Mission in Somalia (AMISOM) and the challenges Somalia faces as it prepares for a transfer of presidential and parliamentary power next year.

Click here to view the event video on YouTube>>

Mr. Kay termed 2015 the “year of federalism and delivery.” The first five months of the year have seen progress made on this agenda. Somalia is a country, once mired in conflict, which has progressively better functioning governance, where political dialogue is replacing the rule of the gun, and where violent extremism is being countered. Yet much more remains to be done in the run up to the electoral processes scheduled for 2016.

The event was moderated by IPI Senior Adviser, John Hirsch.

Analyse du discours patronal sur la flexibilité

Institut Montaigne - mar, 09/06/2015 - 16:39
Date de parution: Lundi 08 Juin 2015Auteur: Virginie Forest et Mathilde JulienNom de l'editeur: Semaine sociale Lamy supplémentImage de l'editeur: Description: Les travaux de P.Cahuc et S.Carcillo (Les juges et l'économie, une défiance française, Institut Montaigne, déc. 2012) posent le problème en ces termes : "la jurisprudence fait peser sur le licenciement économique un contrôle exceptionnellement fort, allié à une importante insécurité juridique, comparé à nos principaux partenaires européens. En effet, en France, les entreprises peuvent licencier pour sauvegarder leur compétitivité, mais non pour l'améliorer, depuis une jurisprudence élaborée par la Cour de cassation en 1995. La comparaison de la protique française avec celle de nos partenaires européens montre clairement que la France est une exception. C'est le seul pays où le juge apprécie la validité de l'entreprise."Type de parution: L'institut est citéType de média: Presse

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