A jogszabály lehetővé teszi, hogy az eladósodott magánszemélyek adósságaik törlesztését átütemezzék, és egy legfeljebb ötéves adósságtörlesztő ütemterv révén rendezzék tartozásukat. Bár az Unió tagállamainak egyharmadában és az Egyesült Államokban is létezik a fizetésképtelenségről szóló törvény, a Nemzetközi Valutaalap aggályait fejezte ki áprilisban a törvénytervezet miatt. Máté András Levente, az RMDSZ képviselőházi frakciójának vezetője tegnap a szavazást követően elmondta, hogy a törvény megszavazása által Románia felzárkózik az Európai Uniós tagországok mellé, és kijelentette, a jogszabály támasz lehet azoknak is, akik svájci frank alapú hitelt vettek fel, és nem tudják törleszteni.
A pártok vezetőinek tegnapi találkozóján az új parlamenti választási törvény alapelveiről tárgyaltak. Megállapodtak a kétkamarás parlament létszámáról, eszerint a képviselőház létszáma 336-ra csökken, a szenátusé pedig 136-ra. Kelemen Hunor a tanácskozás után arról is beszámolt, hogy az RMDSZ által javasolt alternatív parlamenti küszöb bevezetésében is egyetértettek, így azok a pártok is bejutnak majd a parlamentbe, amelyek legalább négy megyében húsz százalékos támogatottságot érnek el, de országos szinten nem lépik át az ötszázalékos küszöböt. Arról, hogy legalább két szenátora és 4 képviselője lesz minden megyének azt nyilatkozta, hogy pozitív diszkriminációnak számít az átlagosnál kisebb megyékben.
May 20, 2015 (JUBA) - The United Nations Mission in South Sudan (UNMISS) condemned the shelling of its compound in Melut saying four people were killed in the oil producing area where heavy fighting take place between the government and rebel fighters.
On Wednesday , the opposition faction of the Sudan People's Liberation Movement (SPLM-in-Opposition) announced it a "tactical withdrawal" from the oil-rich Melut town which they captured on Tuesday.
While in Juba, the South Sudanese army said they launched a counterattack to repulse the SPLM-in-Opposition fighters and their allied militiamen led by Maj. Gen. Johnson Olony.
Two mortar bombs hit the UNMISS compound and the protection of civilians' site on Wednesday evening. The statement did not say which party shelled the base.
UNMISS in a statement issued on Wednesday "strongly" condemned the recent surge of violence in Melut which resulted in "the deaths of 4 civilians, including a woman and a child and severely injuring another 8 civilians who are currently receiving treatment for their wounds".
“I want to remind the parties of their obligation to take all measures not to harm civilians and guarantee the safety of international aid organizations and United Nations personnel and assets,” said UNMISS chief Ellen Margrethe Løj.
“I call upon them to respect the sanctity of UN installations and staff, so the United Nations can continue to implement its activities and UNMISS its protection of civilians' mandate,” Løj further said.
There are around 1,000 civilians on UNMISS compound in Melut. 270 displaced persons arrived Tuesday on the protection site while another 250 to 350 are in an area adjacent to the compound.
(ST)
A hétvégén rendezték Zágrábban a Sambo Európa bajnokságot. A pénteki versenynapon a győri Vesztergom Józsefért szoríthattunk, aki Combat sambo versenyszámban indult 100 kg-ban. Józsi az elődöntőben a helyiek kiválóságát, Toric Marco-t győzte le az elődöntőben. A döntőben az orosz és bolgár versenyzőt is legyőző ukrán Voloshyanov Anatoliy várta. A mérkőzésen kiütközött rajtuk a rutin különbség, így második helyezettként megszerezte hazánk első érmét az EB-k történetében.
REUTERS/Peter Nicholls
Jusque-là, l’affaire paraissait entendue : l’Union avait vocation à s’élargir à l’ensemble du Vieux Continent tout en poursuivant «le processus créant une union sans cesse plus étroite entre les peuples de l’Europe», comme le proclame fièrement le préambule du traité sur l’UE. Élargissement et approfondissement, les deux faces de la médaille de l’irréversible et irrésistible construction communautaire. Et si cette période était en cours d’achèvement ? Entre une Grèce dont l’avenir dans la zone euro n’est rien moins qu’assuré et un Royaume-Uni qui va organiser un référendum en 2016 ou 2017 sur son appartenance à l’Union, l’Europe n’est-elle pas entrée en «déconstruction communautaire» ?
Certes, des États ont déjà refusé de rejoindre l’Union (la Norvège en 1972 et 1994, l’Islande en 2015) ou l’Espace économique européen (EEE), qui prévoit la participation aux principales politiques européennes sans la participation aux institutions (la Suisse en 1992). Mais ne pas entrer dans l’Union n’est pas la quitter, comme envisage de le faire la Grande-Bretagne. La sortie d’un pays serait une première dont les conséquences sont difficilement mesurables.
Et si la Suède et la Hongrie quittaient l’EuropeD’autres pays pourraient prendre à leur tour la poudre d’escampette, comme la Suède ou la Hongrie. Les effets économiques et politiques pourraient être dévastateurs tant pour le pays qui sort que pour «l’Union canal historique». Après tout, les États tiers et les investisseurs pourraient à juste titre se demander si l’Union en tant que telle et surtout la zone euro, en cas de «Grexit», ont encore un avenir, et privilégier les rapports avec les pays les plus solides en court-circuitant le niveau européen. Enfin, un départ serait susceptible d’annihiler pour longtemps tout approfondissement par crainte de déclencher de nouveaux départs de pays «eurotièdes»…
Pis : la simple menace du «Brexit» pourrait déjà avoir cet effet. Ainsi, jusqu’à la tenue du référendum, les partenaires de Londres vont éviter toute initiative qui pourrait lui déplaire afin de ne pas apporter de l’eau au moulin des europhobes. Ils seront aussi tentés de lui accorder des accommodements qui fragiliseraient l’ensemble de l’édifice en créant une Europe à la carte, chacun étant autorisé à prendre uniquement les politiques qui l’intéressent. Enfin, cela risque de décourager la zone euro, le cœur de l’Union, de poursuivre son intégration, car c’est justement la raison qui pousse les Britanniques vers la sortie pure et simple.
Londres a-t-il un droit de veto sur des décisions qui ne la regarde pas?Eux qui ont toujours voulu éviter que le Vieux Continent s’organise sans qu’ils aient leur mot à dire (d’où leur adhésion à contrecœur en 1973) ont réalisé, à l’occasion de la crise de la zone euro et des pas de géant accomplis à cette occasion vers le fédéralisme (Mécanisme européen de stabilité ou Union bancaire), que «l’opt out», l’option de retrait, sur la monnaie unique dont ils bénéficient depuis 1992 s’était retourné contre eux. Ils sont désormais sur le bas-côté et ne peuvent plus bloquer les progrès de leurs partenaires. Ils craignent désormais que la zone euro agisse comme une seule entité dans les institutions communautaires et impose sa volonté aux pays non-membres de l’Union économique et monétaire. Londres cherche donc à imposer dans tous les domaines du marché intérieur la règle de la double majorité, une majorité au sein de la zone euro, une majorité parmi les États non-euro : elle y est déjà parvenue dans le domaine bancaire. Mais tous les pays ayant annoncé leur intention de rejoindre la monnaie unique, en dehors de la Grande-Bretagne, de la Suède et du Danemark, ce système ne pourra perdurer qu’un temps, sauf à reconnaître à Londres un droit de veto sur toutes les décisions qui ne la concernent pas…
Si l’entrée dans l’ère de la réversibilité est grosse de dangers pour le projet européen, le pire n’est pas certain. Après tout, l’OTAN a bien survécu au départ de la France en 1966, celle-ci rejoignant finalement la structure militaire intégrée en 2009, 43 ans après l’avoir quittée… Cette mise entre parenthèses de l’Hexagone n’a ni freiné la domination américaine ni la montée en puissance de l’organisation atlantique, bien au contraire. En outre, il y a longtemps que l’Union unitaire a vécu : depuis le traité de Maastricht de 1992, il a été acté que certains pays ne participeraient pas à toutes les politiques. L’opt out britannique et danois sur la monnaie unique, auquel s’est ajouté l’opt out de fait de la Suède, puis l’instauration des «coopérations renforcées», les opt out sur Schengen, la charte des droits fondamentaux, la justice, la police, l’immigration, la défense, autant d’éléments qui montrent que l’Union a renoncé à la fiction d’une intégration non différenciée.
L’imbroglio des frontièresAujourd’hui, l’Europe est, de fait, à géométrie variable : d’abord les relations de voisinage, puis l’Espace économique européen, les accords bilatéraux et enfin l’Union. À l’intérieur de l’Union, il existe aussi plusieurs cercles : le marché intérieur, les politiques nouvelles (Schengen, justice et affaires intérieures, défense) et, au cœur, la zone euro dont les membres participent à l’ensemble des politiques communes. Ce cœur agit comme un aimant : en réalité, on n’a pas affaire à une avant-garde, mais plutôt à une petite arrière-garde, dont les rangs ont vocation à se clairsemer, la quasi-totalité des pays européens voulant la quitter.
De ce point de vue, le «Brexit» ne serait pas catastrophique, mais acterait tout simplement la possibilité de passer d’un cercle à un autre : la Grande-Bretagne, si elle décidait de partir, ne couperait pas les ponts avec l’Union, mais soit rejoindrait les rangs clairsemés de l’EEE (Norvège, Islande, Liechtenstein), soit bénéficierait d’un statut à la Suisse. La Grande-Bretagne se priverait simplement de la possibilité de participer aux institutions communautaires et donc de ralentir l’intégration de ses ex-partenaires. L’ironie serait qu’elle aggraverait en réalité son incapacité à peser sur l’avenir du continent, alors que son départ serait justement justifié par sa marginalisation à l’intérieur de l’Union parce qu’elle a refusé l’euro… Un beau Trafalgar diplomatique.
Il en irait différemment, bien sûr, avec un «Grexit», puisqu’une sortie d’un État membre de la zone euro affaiblirait le cœur de l’Union : les marchés se demanderaient alors quel serait le prochain candidat au départ, ce qui accroîtrait les divergences économiques… C’est donc bien là que réside réellement le danger pour l’avenir du projet européen et non dans un éventuel «Brexit». Mais, même là, le pire n’est pas certain : après cinq ans de crise, après la sortie réussie des plans d’assistance financière européens de l’Irlande, de l’Espagne, du Portugal et bientôt de Chypre, les marchés ont intégré le fait qu’Athènes est un cas à part, une aberration. Ce n’est donc pas de «déconstruction communautaire» qu’il faudrait parler, mais de consolidation communautaire, comme l’on consolide un arbre en l’élaguant…
N.B.: article paru dans l’Hémicycle du mois de mai
Envie de piquer une tête ? N’hésitez plus. L’Agence européenne pour l’environnement a déclaré que 95 % des lieux de baignades de l’UE étaient conformes aux normes minimales de qualité de l’eau en 2014.
La Commission européenne a lancé une procédure d'infraction contre l’Allemagne, qui souhaite appliquer son salaire horaire minimum aux conducteurs de camions autrichiens, hongrois et polonais qui traversent son territoire. Une mesure illégale, selon l’exécutif européen.
De retour de deux jours au festival de Cannes, le commissaire chargé de l’économie numérique a déclaré que les négociations sur la directive sur les services de médias audiovisuels, entamées en 2013, devaient s’accélérer. Dans le secteur du numérique, « deux ans, c’est long », a-t-il souligné.
Alléchée part les projets d'indépendance énergétique de l'UE vis-à-vis du gaz russe, la Turquie mise sur le charbon. Mais son bilan carbone et les conséquences sanitaires catastrophiques pourraient pousser l’UE à en bloquer l'importation.
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