À l’approche du mois sacré, les Algériens commencent déjà à sentir les flambées des prix. À l’exemple des viandes, les prix ont connu ces derniers jours des hausses exorbitantes. En prévision du mois de Ramadhan, l’Algérienne des viandes promet un seuil.
Intervenant ce lundi sur les ondes de la Radio nationale, Président-Directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR) Lamine Derradji affirme que son organisation compte mettre au point un dispositif spécial pour le mois de Ramadhan.
En effet, en prévision des pics de consommation de ce produit durant le mois sacré, la filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), compte renforcer son réseau commercial à travers le pays. Et ce à travers « l’ouverture de 150 points de vente dans plusieurs wilayas ».
L’ALVIAR compte également proposer « des prix étudiés, qui ne dépasseraient pas 1.300 Da pour la viande ovine et 1.200 Da pour la viande bovine ». D’ailleurs, l’intervenant a fait savoir que la filiale du groupe agro-logistique a importé « 4.000 bovins dédiés à l’abattage spécialement pour le mois de Ramadhan ».
Flambées des prix de la viande : l’explication de l’ALVIARRevenant sur les dernières flambées des prix des viandes rouges ces derniers jours, l’invité de la Radio estime que cela revient à « la sécheresse enregistrée, et qui a fortement réduit les espaces de pâturages et les zones de parcours »,
En outre, et dans le souci de lutter contre la spéculation, l’Algérienne des viandes suggère aux éleveurs « des conventions triangulaires avec l’OAIC, ce qui permet de leur assurer un approvisionnement en orge subventionné ».
Ces derniers doivent, en contrepartie destiner « la totalité de leur production à l’ALVIAR, qui s’assure, à travers son réseau commercial, que la viande soit vendue au consommateur final à un prix plus accessible, conforme à la subvention accordée par l’État ».
À ce propos, Lamine Derradji indique que « ce nouveau dispositif de convention triangulaire a déjà attiré quelque 200 éleveurs adhérents, ce qui représente un cheptel de plus de 20 000 têtes ».
Par ailleurs, il explique que « le marché est perturbé par les éleveurs saisonniers, qui ne disposent pas d’un cheptel permanent ». Ces derniers optent pour l’achat « des têtes à l’approche des périodes de forte demande, telles que Ramadan et l’Aïd », a-t-il souligné.
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Auteur d’une très haute performance lors de chaque rencontre disputée, avec son club professionnel comme avec sa sélection nationale, le talentueux défenseur des Verts, Ramy Bensebaini, ne cesse d’être sous le feu des projecteurs.
En effet, l’international algérien du club allemand Borussia Möchengladbach continue toujours de briller et de susciter l’intérêt de grands clubs étrangers, notamment européens.
Bensebaini brille avec Borussia MöchengladbachCe dernier, a fait preuve d’une excellente performance lors du dernier match avec son club face à Augsbourg en Bundesliga. Titulaire lors de ladite rencontre, le natif de Constantine s’est montré décisif dès les premières minutes du jeu, où il a fait une magnifique passe décisive à son coéquipier Hoffmann, qui s’est soldée par un joli but.
En outre, Ramy Bensebaini n’a pas manqué d’inscrire un incroyable but dans les filets de l’équipe adverse, et ce, quelques minutes seulement après sa passe décisive.
Le Fennec séduit Manchester UnitedCe grand potentiel a mis le défenseur des Fennecs dans le viseur du grand club anglais, Manchester United, c’est en tout cas ce que révèle plusieurs sources, dont le site espagnol spécialisé Fichajes.net.
Selon la même source, l’ancien joueur du Stade Rennais séduit Manchester United. Le club anglais aurait fait de Ramy Bensebaini pour le prochain mercato estival, notamment après avoir été délaissé sur son flanc gauche par un Luke Shaw et un Alex Telles en difficultés.
Ledit club n’a trouvé mieux donc que de se lancer sur la piste menant à l’Algérien, surtout que le footballeur ne cesse de performer et d’impressionner les observateurs du football européen, mais aussi mondial.
Titulaire indiscutable en Allemagne comme avec les Fennecs, Bensebaini serait la solution pour pallier aux problèmes défensifs de Manchester United. Sachant que le Borussia Möchengladbach estime son talentueux joueur à 25 millions d’euros.
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Depuis la nuit des temps, certains actes et incidents ont obligé les musulmans à se faire tout petits. Suite aux attentats en France, victimes de généralisation, ils ont longtemps étaient pointés du doigts.
Alors qu’ils ne voulaient que pratiquer leur religion et vivre le plus normalement possible, il y a toujours eu ce sentiment de malaise qui leur faisait savoir qu’ils ne sont pas les bienvenus. Bien qu’ils soient français de souche, on leur a fait croire qu’ils n’appartenaient pas à la France, qu’ils étaient étrangers chez eux et qu’ils n’étaient pas « conformes » à l’identité de la « République ».
Ne cherchant que la paix, ils se font de plus en plus petits, ils se recroquevillent sur eux-mêmes contre leur gré, sans pouvoir s’en défendre et en faisant leur vie dans leur « coin ». Avec la montée des idées de l’extrême droite et la haine y afférente, ils se sentent de plus en plus mal, ils ont mal à leur France.
Ce sont les regards du voisin, les débats télévisés au tour du voile et des mosquées, les agressions sur les boucheries Halal et les chuchotements dans les restaurants, si avant on insinuait, maintenant on leur dit haut et fort, oyez musulmans, vous n’avez plus votre place à l’Hexagone.
L’immigration, le sujet de la présidentielle française de 2022A l’approche de la présidentielle, tous les candidats évoquent le sujet de l’immigration qu’ils soient de gauche ou de droite, de quoi créer un malaise qui démange les immigrants et les musulmans français. Le journal américain The New York Times a dédié un papier à ce sujet intitulé « le départ silencieux des musulmans de France » soulignant les compagnes anti-immigration que les principaux concurrents du président Emmanuel Macron mènent aux portes des élections d’avril.
Le thème de l’immigration étant au cœur des programmes des candidats, soulève une question dont on connait la réponse, la France reçoit-elle le plus d’immigration en Europe ? Pour les estimations des professionnels, 10% sont musulmans, un pourcentage qui ne peut justifier l’engouement au tour d’eux notamment dans le débat politique.
La France a-t-elle instillé une culpabilité aux musulmans ?L’article de NY Times raconte l’histoire d’un Algérien musulman, Sabri Louatah qui s’est vu contraint de quitter la France pour les Etats-Unis après les attentats de 2015. “C’est vraiment les attentats de 2015 qui m’ont fait partir — j’ai compris qu’on n’allait pas nous pardonner » a-t-il confié, se remémorant les moments douloureux où on l’a traité de sale arabe et on lui a craché dessus.
Ou encore l’histoire de Amar Mekrous qui a également quitté le pays de Molière à cause de la suspicion pesante sur les Français musulmans après les attentats de 2015, il s’est installé en Angleterre, « il n’y a qu’à l’étranger que je suis français » déplore Amar.
Sachant que les actes anti-musulmans étaient en hausse de 52 % en 2020 par rapport à l’année précédente et que la montée de haine ne fait que s’accentuer, les musulmans français vont-ils partir afin de fuir la haine ?
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Pour rappel, le dollar ne valait pas plus de 80 dinars algériens en 2014. Aujourd’hui, en 2022, soit moins de 10 ans après, la monnaie étasunienne s’échange à la banque d’Algérie contre pas moins de 140 dinars algériens. Depuis le crash des prix du pétrole, le dinar poursuit à vive allure sa descente aux enfers.
En 2014, l’Euro valait 102 dinars, aujourd’hui, il est cédé à 160. Il s’agit bien entendu des cours officiels, car si l’on se penche du côté du marché noir, les choses deviennent plus volatiles, et les flambées confirment de plus en plus leur gravité. Un dollar américain est cédé au Square Port-Saïd contre 192 dinars, et l’Euro contre 217 dinars.
Au-delà du crash pétrolier, il est légitime de se demander pourquoi cette rapide dépréciation ? La réponse nous fait obligatoirement remonter à l’ère du président Chadli, quand les déboires de la monnaie nationale ont commencé. C’est en 1989 que l’Algérie a eu recours pour la première fois au FMI. Le Fonds Monétaire International a accordé un financement à l’Algérie sans aucune condition.
En 1991, l’Algérie se rapproche une deuxième fois du FMI, cette dernière exige des conditions dont la première est la dévaluation de la monnaie nationale, pour qu’elle accorde un nouveau financement. Selon le FMI, cette condition aiderait les économies titubantes à se remettre sur pied. Lors de cette période, un dollar valait 4,83 DA en 1987, En 1992 il flambe à 21,87 DA, puis à 36 dinars en mars 1994, avant d’atteindre 41 dinars fin septembre 1994.
Pourquoi laisser le dinar se déprécier ?À l’arrivée de Bouteflika au pouvoir, et après son installation, un dollar valait environ 75 dinars (l’an 2000). C’est à ce moment-là que l’économie algérienne a commencé à cueillir les fruits d’un régime de change flexible. Toujours selon le FMI, cette politique, qui consiste à laisser la monnaie nationale se déprécier davantage, favorise la diversification de l’économie et protége le pays de la volatilité des prix des hydrocarbures.
Entre l’an 2000 et l’an 2013, un dollar s’échangeait contre une marge étroite allant entre 75,25 et 77,55 DA. En 2014, le crash survient, et le dinar algérien qui était déjà au fond du trou commence à creuser. En effet, pour faire face à la baisse soudaine des prix des hydrocarbures, l’Algérie décide de poursuivre la politique du FMI qui consiste en la dévaluation et la dépréciation du dinar.
«Le gouvernement a été conseillé de déprécier la monnaie pour faire face à la masse monétaire qui se rétrécit ainsi qu’au déficit budgétaire, mais aussi pour préserver le niveau des réserves de change», indique Nemouchi Farouk, docteur en finances, à nos confrères d’El Watan. « La baisse de la valeur de la monnaie nationale, c’est la solution de facilité. La Banque d’Algérie en cherchant à régler par la dépréciation du dinar les problèmes complexes qui perdurent ne résout rien », estime pour sa part Badreddine Nouioua , Ancien gouverneur de la BCA.
Toutefois, et selon la Loi de finances 2022, la dépréciation va se poursuivre, au moins jusqu’en 2024. Le taux de change du dinar sera de 149,3 dinars pour 1 dollar américain en 2022, de 156,8 dinars pour un dollar en 2023 et de 164,6 dinars pour un Dollar US en 2024. Ce sont des perspectives sombres de la chute, que rien ne semble pouvoir arrêter, de la monnaie nationale.
Outre le problème du chômage, l’on constate de plus en plus que même ceux qui travaillent n’arrivent plus à joindre les deux bouts, à cause de la dégradation sans précédent du pouvoir d’achat.
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Avec l’approche des matchs barrages pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar, les hommes de Djamel Belmadi s’apprêtent, avec détermination et beaucoup de motivation, pour ces confrontations décisives, dans le but de participer à ce grand événement footballistique planétaire.
Djamel Belmai devrait bien préparer ses jeunes joueurs pour lesdites rencontres, prévues à la fin du mois de mars de l’année en cours, contre l’équipe camerounaise.
Le cauchemar des blessures poursuit les VertsLes Verts sont appelés donc, à faire preuve d’une bonne performance et de montrer un haut niveau lors du jeu, dans l’espoir de surmonter la déception de la Coupe d’Afrique 2021 au Cameroun, où l’Algérie a quitté la compétition lors du tout premier tour de ce tournoi.
En fait, l’élimination précoce des Fennecs de ladite CAN est intervenue à la suite d’une performance faible, voire catastrophique. Ces derniers n’ont réussi à obtenir qu’un seul point lors de trois rencontres. Ils ont fait d’abord un nul face à la Sierra Leone, pour être vaincus par la suite, par la Guinée équatoriale et la Côte d’Ivoire, respectivement.
Cependant, le cauchemar des blessures ne cesse de poursuivre les stars de l’équipe nationale. En effet, le talentueux Fennec Adam Ounas, a été victime d’une anomalie cardiaque lors de la précédente CAN, l’empêchant ainsi à participer avec ses coéquipiers.
Ounas retrouve enfin la compétition !À la grande satisfaction de son entraîneur Djamel Belmadi, le milieu offensif des Verts a enfin pu rejoindre les entrainements avec son club italien de Naples. Une nouvelle qui pourra certainement rassurer le « Ministre du Bonheur », notamment avec l’approche des matchs barrages.
En fait, l’international algérien du Napoli, vient de retrouver les terrains de Série A, ce samedi 12 février, pour la réception de l’Inter Milan. L’Algérien a participé au match lors des dernières minutes de la rencontre, remplaçant son coéquipier Lorenzo Insigne.
Sachant que c’est son tout premier match de l’année sous le maillot de Naples, et il a disputé sa dernière rencontre le 5 janvier de l’année en cours sous le maillot des Verts, lors du match amical de préparation pour la CAN 2021 au Cameroun contre le Ghana, qui s’est soldé par la victoire des Fennecs, avec 3 buts contre 0.
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L’ancien coordinateur des services de renseignement et de la sécurité, le général-major à la retraite Bachir Tartag, devra comparaitre en compagne de 4 autres anciens officiers, le 21 février prochain devant le tribunal militaire de Blida.
Le nouveau procès qui s’ouvrira incessamment auprès de la même juridiction concerne l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » et l’affaire « de la prétendue fille de l’ancien président Zoulikha Nechnech alias madame Maya », rapporte le quotidien arabophone Echorouk.
Selon des sources citées par le même journal, le général-major à la retraite devra comparaitre le 21 février en compagnie d’autres officiers dont le général B.A, deux colonels et un commandant. Le frère de l’ancien président, Saïd Bouteflika devra également comparaitre, mais en tant que témoin.
Les mis en cause font face à de lourdes accusations dont « l’abus de fonction et non-respect des procédures judiciaires dans les enquêtes ». Les faits concernent, en effet, le non-respect de la voie légale par la police judiciaire lors des enquêtes et leur transfert au procureur de la République du tribunal militaire territorialement compétent.
Le juge instructeur militaire avait, début de l’année 2021, jumelé l’affaire « de corruption et de fraude lors des élections législatives de 2017 » avec celle « de la Zoulikha Nechnech ».
Retour sur les deux affaires et l’audition de TartagLa première affaire concerne les conditions dans lesquelles les fonds et les bijoux de la prétendue fille secrète du Président déchu, Mme Maya, ont été saisis lors d’une perquisition effectuée en 2017, par les officiers de la Sécurité intérieure, dans sa villa de Moretti.
La deuxième affaire est liée à El Wafi Ould Abbès, le fils de l’ex-secrétaire général du FLN, qui avait été arrêté en situation de flagrant délit, sur dénonciation du député Baha Eddine Tliba, pour avoir « monnayé » les places sur la liste des candidatures à la députation.
Lors de son audition en juin de l’année dernière concernant l’affaire madame Maya, le général Tartag avait affirmé qu’il avait appliqué les instructions du président transmises par Saïd Bouteflika, qui servait d’intermédiaire pour toute décision.
« Après avoir demandé une enquête, il m’a instruit de gérer le dossier de manière discrète, parce qu’il s’agit d’une affaire qui concerne le Président », avait-il témoigné. Et d’ajouter que « lors des perquisitions, des sommes importantes en dinar et en devise ont été saisies. Elles ne devaient pas rester à la caserne. Elles ont été déposées à la Banque d’Algérie et les documents afférents à ses dépôts existent ».
Concernant la seconde affaire, il avait affirmé avoir exécuté « les instructions du président Bouteflika, qui était le président d’honneur du FLN, et qui m’ont été transmises par son frère et conseiller Saïd. Djamel Ould Abbès, dont les deux fils ont fait l’objet d’arrestation, était le secrétaire général du FLN. Je n’ai fait qu’exécuter les ordres ».
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Selon les médias français, un franco-algérien, âgé de 75 ans répondant au nom d’Ali Saidi a disparu depuis 10 jours à Valenciennes dans le nord de la France. Le septuagénaire a été vu la dernière fois dans le tramway, portant un gilet à capuche, un polaire, un pantalon en jeans et des chaussures de sport grises et noires.
Décrit comme un homme sympathique et adorable, Ali Saidi est très respecté par ses voisins. Suite à sa disparition, sa famille a alerté le commissariat de Valenciennes qui a lancé un avis de recherche ce samedi. En signe de solidarité, une trentaine de personnes se sont lancés à sa recherche dans la commune voisine, où le disparu avait été repéré pour la dernière fois.
La famille du vieil homme disparu a exprimé sa profonde inquiétude, d’autant plus qu’il souffre de troubles mentaux. Selon Farhat Saidi, son neveu, c’est la première fois qu’il part seul ainsi.
Suicide par le feu en coïncidence avec la disparition de l’AlgérienLa disparition du vieil homme est survenue après que ses proches aient constaté un étrange changement de comportement chez lui. D’ailleurs le neveu d’Ali a déclaré : “Mon oncle s’est rendu en Kabylie (Algérie) à la fin de cette année pour fêter le réveillon. Le 31 décembre, il est rentré à Valenciennes. Mais, depuis son retour, ses troubles mentaux semblaient s’accentuaient. Il ne voulait pas retourner chez lui, il s’imaginait que des personnes viendraient le ligoter et le kidnapper.”
En plus des troubles mentaux dont souffre le septuagénaire, un drame survenu ce vendredi et coïncidant inquiète sa famille. En effet, un homme s’est suicidé par le feu à Anzin, à proximité du parc de Dampierre vers 11h30 du matin.
Craignant que ce soit lui, des proches se sont rendus dans les magasins pour vérifier s’il avait acheté du liquide inflammable le jour de sa disparition, mais, aucune conclusion n’a été tirée jusqu’à ce jour.
À rappeler que deux autres algériens ont été portés disparus l’année dernière en France, il s’agit de la jeune femme Karima disparue le 15 août 2021 et de l’octogénaire Maamar Belghali, disparue le 11 février 2021.
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Récemment, plusieurs polémiques tournent autour des étrangers en France, particulièrement les Maghrébins. On constate l’émergence de questions qu’on ne se posait pas auparavant, ont-ils leur place ici ? faut-il diminuer ou carrément arrêter l’immigration ? plusieurs questionnement pour une seule réalité, l’Hexagone ne peut se passer des immigrants.
Le podium des polémiques a été occupé par l’exode des médecins. Tout le monde en parle, les statistiques ont fait couler beaucoup d’encre et ont fait l’objet de multiples débats politiques. En effet, cela partait d’une interrogation et sa réponse, lorsque le candidat à la présidentielle française Eric Zemmour s’est prononcé sur le sujet des médecins étrangers. Sur BFM TV dans l’émission La France dans les yeux, avec 1200 médecins algériens acceptés sur un total de 2000 places disponibles, le polémiste s’est montré clairement défavorable.
Contre les médecins étrangers pour le bien des Français ?Avec 15 000 médecins algériens déjà installés en France et les nouveaux qui arrivent en masse, le journaliste politique s’est interrogé sur la place que l’on laisse pour les médecins français, » Je veux y mettre fin » avait-il déclaré. Néanmoins, Zemmour ne s’est jamais montré contre l’accueil de l’élite et des intellectuels étrangers, s’il s’y oppose cette fois-ci, c’est plutôt pour souligner les réformes que nécessite le secteur médical en France.
Zemmour développe en expliquant « depuis 30 ans, on a empêché les jeunes français de faire médecine pour un quart de point, pour un demi point. Tout ça pour aller chercher ensuite des médecins algériens, tunisiens ou marocains qu’on enlève à leurs pays, et en plus, on les paye moins. C’est un double scandale« .
Les médecins algériens « volent » la place des français ?Le Parisien a abordé ce sujet avec les témoignages et les opinions des médecins français, à l’instar de Patrick Pelloux, un praticien hospitalier qui explique qu’un grand problème de démographie médicale persiste en France, en plus d’une concurrence entre le secteur privé et le public.
D’autres partagent son avis comme Jérôme Marty, médecin et président de l’Union française pour une médecine libre qui a fait savoir que les étrangers n’occupent que 30% des emplois, et qu’ils ne prennent en aucun cas les places des français, notamment à cause d’un quota limité de 8% pour les étrangers. Il déclare dans le même contexte que l’Hexagone ne peut se passer des médecins étrangers, cela engendrera la fermeture des hôpitaux.
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Le porte-conteneurs Imedghassen de la compagnie algérienne Global maritime Algérie (GMA), qui était sous saisie conservatoire à Sète en France depuis le 9 novembre 2021, a accosté hier dans le port d’Alger. C’est le procureur général près la Cour d’Alger, Mourad Sid Ahmed qui a annoncé, hier dimanche, la récupération du navire « Imedghassen ».
Selon le procureur, le navire « Imedghassen » a été détourné à l’étranger au moment où il faisait l’objet d’une saisie judiciaire dans le cadre d’une enquête de corruption. Suite à cette « récupération », un mandat de dépôt a été prononcé contre l’accusé principal tandis qu’un autre mis en cause a été mis sous contrôle judiciaire.
Il s’agit d’une affaire de « récupération de biens et avoirs issus des affaires de corruption », a déclaré le procureur hier dimanche lors d’une conférence de presse tenue dans la capitale Alger. Mourad Sid Ahmed assure que « cette affaire largement relayée sur les réseaux sociaux fait l’objet de suivi par les hautes autorités du pays ».
Un navire de 18 millions de dollarsLe même intervenant a fait savoir, lors de cette même conférence de presse, que « la valeur du navire Imedghassen est de 18 millions de dollars et faisait l’objet de saisie suite à une enquête judiciaire dans une affaire de corruption ». C’est suite à cette enquête que « que l’affréteur le détourne vers l’étranger, d’où sa saisie dans un port étranger », accuse le procureur.
Le principal accusé qui n’est qu’un « directeur d’une société privée », confie le procureur, qui précise que le mise en cause « a été placé en détention provisoire » suite à une enquête sur l’affaire lancée le 23 janvier 2022. Un autre accusé a été mis sous contrôle judiciaire.
Les responsables de ce détournement font face à plusieurs chefs d’inculpations liés au « recel d’avoirs criminels issus des affaires de corruption et du blanchiment d’argent », explique le procureur prés la cour d’Alger.
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Les matchs barrages Zone Afrique pour les qualifications à la Coupe du Monde 2022 au Qatar s’annoncent bientôt. Il s’agit, en effet, d’une double confrontation aller-retour, qualifiée de « décisive », qui déterminera les cinq sélections africaines, parmi dix, pour jouer au grand tournoi footballistique du monde entier.
Sur ce, le tirage au sort a révélé que la sélection camerounaise sera l’adversaire de l’équipe nationale pour ces matchs en question. Une rencontre qui s’annonce déjà enflammée, regroupant deux grandes sélections du continent africain.
Le stage des Verts dans un pays voisin du Cameroun ?Pour la date des matchs barrages, ces derniers sont prévus la fin du mois de mars de l’année en cours. Les hommes de Djamel Belmadi vont tout d’abord se déplacer au Cameroun pour la rencontre aller, avant de rejoindre le territoire national pour le match retour, prévu au Stade de Blida, Mustapha Tchaker.
À cet effet, l’APS a révélé que les protégés de Djamel Belmadi devraient organiser leur stage d’acclimatation dans un pays limitrophe du Cameroun, à partir du 21 mars en Guinée équatoriale, au Gabon ou au Congo.
Selon la même source, cette décision est prise par le sélectionneur national Djamel Belmadi dans le but de permettre à ses joueurs de s’acclimater avec le temps chaud et humide de l’Afrique centrale.
Bouhanika critique la décision de BelmadiToutefois, cette décision ne semblrait pas être au goût d’un présentateur d’une émission sur la chaine arabophone El Heddaf. Il s’agit bel et bien de Redouane Bouhanika.
Dans une émission sur la chaine sportive en question, ledit présentateur a fortement montré son opposition à l’égard de la stratégie du « Ministre du Bonheur ». Ce dernier juge, en fait, que le stage des Fennecs dans un pays limitrophe des Lions Indomptables sera impossible en raison du manque de temps.
« On parle ici d’un stage au Nigeria, au Gabon ou autre. Les joueurs arrivent le 21 et jouent le 24. Comment peut-on faire le stage dans un pays limitrophe ? C’est impossible. Les joueurs n’ont que 48 heures. », affirme Bouhanika, qui estime que le temps est très serré pour programmer un stage dans un pays voisin du Cameroun et commencer les entraînements, pour revenir par la suite, au pays des Lions Indomptables.
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Les amoureux du ballon rond du monde entier, notamment du continent africain, seront au rendez-vous à partir de ce dimanche 9 janvier, avec la compétition footballistique africaine, la Coupe d’Afrique des Nations.
Le tournoi se déroulera à partir de ce dimanche au Cameroun, et s’étalera jusqu’au 6 février de l’année en cours. À cet effet, la délégation des Verts s’est envolée aujourd’hui vers le pays organisateur de ce championnat africain, afin de se lancer dans l’aventure.
Aujourd’hui, le journal sportif L’Équipe a dédié un article spécialement pour désigner les équipes nominées à remporter le prestigieux trophée de la CAN.
Le nom « Algérie » a figuré en tête de la liste de nominations, contenant plusieurs autres grandes équipes. En effet, selon ledit journal, les Fennecs sont le principal nominé et le sacré favori de cette compétition africaine.
Cela revient sans doute à la haute performance présentée par les hommes de Djamel Belmadi, mais aussi grâce à leur grand jeu d’équipe, qui les a permis d’atteindre une sacrée série d’invincibilité de 34 matchs invaincus.
» Le champion d’Afrique, invaincu en 34 rencontres, n’a guère faibli depuis sa prise de pouvoir, il y a deux ans et demi en Égypte « , a affirmé le média français.
Quelle place pour le Sénégal, le Maroc et le Cameroun ?Dans le même sillage, L’Équipe a placé le Sénégal comme deuxième candidat, tandis que le Maroc et le Cameroun ont partagé la troisième place.
Ainsi, la même source a classé en bas de la liste, les sélections du Mali, l’Égypte, la Tunisie, la Côte d’Ivoire, le Nigéria et le Ghana, comme candidats moins dangereux.
Rappelant que la 33e édition de la Coupe d’Afrique des Nations donnera son coup d’envoi ce dimanche 9 janvier, par le match opposant le Cameroun et le Burkina Faso. Les Verts disputeront leur première rencontre le mardi 11 janvier face à leurs homologues de la Sierra Leone, au Stade Japoma à partir de 14 heures (heure locale).
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Le bilan des contaminations au nouveau variant Omicron augmente en Algérie. Hier, l’Institut Pasteur a annoncé 29 nouveaux cas, ce qui porte le total à 63 cas d’Omicron. Malgré cette situation, la suspension ou la réduction des vols internationaux n’est pas abordée.
L’information a été donnée ce samedi 8 janvier 2022 par le membre du Comité scientifique chargé de suivi de l’évolution de l’épidémie du coronavirus, le Dr Lyes Akhamouk dans une déclaration à la presse en marge du séminaire national sur la modernisation du système de santé tenu à Alger.
Selon lui, « la suspension des vols internationaux est écartée pour le moment, d’autant que la mesure de fermeture de l’espace aérien n’a pas prouvé son efficacité devant les différents variants du coronavirus ».
Cependant, le même responsable a évoqué la possibilité de généralisation du pass sanitaire pour d’autres espaces comme deuxième étape. S’exprimant sur le variant Omicron, le spécialiste affirme qu’il sera prédominant en Algérie d’ici à la fin du mois en cours.
Vers le retour au confinement dans certaines wilayas ?Dans le même contexte, le membre du Comité scientifique annonce le durcissement prochain des mesures sanitaires dans les écoles. En outre, l’intervenant n’a pas écarté le retour au confinement partiel dans certaines wilayas et communes qui connaitront des nombres importants de contaminations.
Pour rappel, l’Institut Pasteur d’Algérie a annoncé durant la soirée d’hier la détection de 47 nouveaux cas du variant Omicron (B.1.1.529), confirmés au niveau du Laboratoire de référence de l’Institut, sur tests PCR positifs des concernés.
Selon la même source, 11 cas parmi les 47 ont été enregistrés dans la wilaya de Constantine. Ces derniers représentent des retours de voyages de France, de Turquie et du Royaume-Uni.
Pour les autres cas, à savoir « 29 cas de la wilaya d’Alger, 06 cas de la wilaya de Béjaïa et 01 cas de la wilaya de Bouira », ils représentent des personnes ayant été en contact avec des cas confirmés précédemment.
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Le public sportif algérien, mais aussi africain, est impatient quant au lancement officiel de la grande compétition footballistique du continent, la Coupe d’Afrique des Nations.
Prévu initialement en 2021 au Cameroun, ce tournoi africain a fini par être reporté pour janvier 2022, et ce, à cause de la situation sanitaire alarmante qu’a connu le monde.
Sur ce, les équipes africaines qualifiées s’annoncent prêtes au défi, notamment face à une certaine sélection Championne d’Afrique en titre, mais aussi qui enchaine une série monstrueuse de 34 matchs sans défaite.
À cet effet, la Télévision Nationale Algérienne, dans un communiqué rendu public, a dévoilé son obtention des droits de diffusion des matchs des Verts tout au long de la Coupe d’Afrique au Cameroun.
» Afin d’offrir un service qui réponde aux attentes du public algérien, l’ENTV assurera la retransmission des matchs de l’équipe nationale d’Algérie tout au long de la CAN au Cameroun « , peut-on lire dans ledit communiqué.
En outre, la même source fait savoir qu’elle assurera également la diffusion du tout premier match de la CAN, prévu ce dimanche 9 janvier, opposant le Cameroun et le Burkina Faso, ainsi que le match de la finale.
Bein Sport assure la diffusion des matchs de la CANDans le même sillage, la chaine sportive Bein Sports va à son tour, assurer la diffusion des matchs de la compétition africaine de football. Cette dernière a programmé pour le dimanche, la diffusion du premier match entre le Cameroun et le Burkina Faso, prévu à partir de 17 heures, dans sa chaine 2, ainsi le que match réunissant l’Éthiopie et le Cap-Vert sur sa chaine 6, à 20 heures.
Pour le lundi, la même chaine a programmé les rencontres opposant le Sénégal au Zimbabwe, la Guinée au Malawi, le Maroc au Ghana et les Comores au Gabon, et ce, à partir de 14 heures jusqu’au 22 heures du soir.
Le mardi sera sans doute le jour exceptionnel, pour cause : les Champions d’Afrique vont jouer leur premier match face à la Sierra Leone à 14 heures. À cet effet, Bein Sport a opéré sa diffusion, mais aussi le reste des rencontres, opposant le Nigeria à l’Égypte et le Soudan à la Guinée-Bissau, prévues respectivement, à 17 heures et à 20 heures.
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Si le variant Delta est considéré comme le responsable de la 3e et 4e vague du Coronavirus en Algérie, le nouveau variant baptisé Omicron pourra bien prendre sa place et anticiper l’arrivée de la 5e vague qui pourrait, selon Professeur Lounici, « anéantir le système de santé algérien ».
C’est ce qu’a laissé entendre, le Chef du service de médecine interne au CHU de Tlemcen et membre du conseil scientifique de l’Agence nationale de la sécurité sanitaire, le Professeur Ali Lounici.
Dans une déclaration à Algérie360, le spécialiste confirme que la quatrième vague que traverse l’Algérie actuellement est provoquée par le variant Delta. Dans le même sillage, le Pr Ali Lounici a tenu à mettre l’accent sur le danger du nouveau variant Omicron qui commence déjà à prendre place.
D’emblée, il indique que l’image relayée par les médias concernant le variant Omicron, est qu’il n’est pas fatal et sans conséquence grave. Cependant, il souligne que ce même variant « est en train de mettre à genou les systèmes de santé européens, et ce, par le nombre élevé des hospitalisations ».
Selon lui, le variant Omicron est, certes moins grave, mais il se propage en revanche très rapidement. Citant l’exemple de l’Europe, notre interlocuteur estime que c’est « le taux de vaccination qui dépasse les 80% et l’accélération de la 3e dose, qui aident leurs systèmes à tenir », face à Omicron.
5e vague et variant Omicron : à quoi faut-il s’attendre en Algérie ?Pour ce qui est de l’Algérie, le spécialiste cite deux cas de figure ; un scénario comme celui qu’a connu l’Afrique du Sud ou le scénario européen. Si l’Algérie fera face au variant Omicron comme l’avait connu l’Afrique du Sud, « on est sauvé », car ce variant s’y était montré plus clément qu’en Europe.
En revanche, le spécialiste estime que si le scénario européen se produit en Algérie, « on est foutus », notamment si l’on prend en considération « la vaccination qui est en retard ». D’ailleurs, il ajoute « qu’il vaut mieux craindre le pire et se préparer avec la vaccination ».
Ainsi, l’intervenant estime que « s’il y a l’Omicron avec une 5e vague ou un télescopage des deux vagues, notre système de santé va complètement être à genou ». Autrement dit, il explique que si la 5e vague de l’Omicron intervient en Algérie sous la forme européenne, ça sera catastrophique.
En conclusion, le Pr Ali Lounici estime que la vaccination est la solution idéale, pour faire face au variant Omicron et tout ce qu’il pourra engendrer sur la santé publique et le système sanitaire de l’Algérie.
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Les chiffres de suivi de l’évolution de l’épidémie du coronavirus en Algérie ne cessent de grimper. Ce samedi 8 janvier 2022, le nombre de contaminations a enregistré une nouvelle baisse, tout en restant au-dessus de la barre des 400 cas.
Dans son dernier bilan établi sur les dernières 24 heures, rendu en cette fin de journée, le ministère de la Santé a fait état de 426 nouveaux cas de contamination. Hier, le nombre des nouveaux cas de Covid-19 était de 491.
Le nouveau bilan a également fait état de 218 nouveaux cas rétablis de la maladie. Hier, le nombre des guérisons avait atteint les 294. Pour les décès, le bilan d’aujourd’hui indique 5 morts contre 7 décès du Covid-19 hier.
Pour ce qui est des cas graves hospitalisés à travers le territoire national, le ministère de la Santé a annoncé que 35 patients sont actuellement en soins intensifs, ajoute la même source.
Avec ces nouveaux chiffres, le total des cas confirmés s’élève ainsi à 221 742, celui des décès 6 330 cas, alors que le nombre de patients guéris est passé à 152 116 cas.
Variant Omicron : l’Algérie totalise 63 cas confirmésDans le cadre de la continuité des activités de séquençage, l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA) a annoncé durant la soirée d’hier vendredi 47 nouveaux cas du variant Omicron du coronavirus. Ces nouveaux cas ont été confirmés au niveau du Laboratoire de référence de l’Institut, sur tests PCR positifs.
Les nouveaux cas du variant Omicron sont repartis comme suit : « 29 cas dans la wilaya d’Alger, 06 cas dans la wilaya de Béjaïa, 01 cas dans la wilaya de Bouira, représentant des personnes ayant été en contact avec des cas confirmés précédemment ».
Il s’agit également de « 11 cas dans la wilaya de Constantine représentant des retours de voyages de France, de Turquie et du Royaume-Uni ». Ainsi, « l’Algérie enregistre à ce jour un total de 63 cas confirmés de ce variant ».
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L’événement footballistique le plus attendu par la population africaine débute bientôt ! Moins de 24 heures nous séparent du coup d’envoi de cette grande compétition continentale : la Coupe d’Afrique des Nations.
À cet effet, Youcef Belaili et ses coéquipiers, sous la supervision du sélectionneur national Djamel Belmadi, se sont rendus à Doha, au Qatar, dans le cadre d’un stage en prévision dudit tournoi.
Toutefois, la star de l’équipe nationale, mais aussi de Manchester City, Riyad Mahrez, n’a pas été présent avec les membres de la sélection lors de leurs entrainements au Qatar.
Ce dernier, n’a donc pas participé à la rencontre face au Ghana (3-0), tenue ce mercredi 5 janvier à Doha. Une situation qui a suscité beaucoup d’interrogations chez les fans du capitaine des Verts, vu que son club anglais l’a libéré bien avant ladite rencontre.
Mahrez et ses coéquipiers s’envolent vers le CamerounÀ la grande satisfaction des Algériens, notamment le public sportif, Riyad Mahrez a enfin rejoint ses coéquipiers à Doha, au Qatar.
Selon des sources sûres, le Fennec était présent ce matin à l’hôtel où séjournent les Verts à Doha, préparant leurs voyage au Cameroun aujourd’hui, la veille de la Coupe d’Afrique.
Riyad Mahrez devrait commencer à s’entraîner avec ses coéquipiers à Douala, au Cameroun, après avoir été incapable de rejoindre le terrain d’entraînement de Doha.
Par ailleurs, il est utile de préciser que le programme de voyage de la sélection nationale a connu un changement de dernière minute.
Prévu initialement à 15 heures de Doha, le départ a finalement été avancé à la mi-journée d’où l’annulation de la séance d’entrainement programmée dans la matinée d’aujourd’hui, précisément à 11 heures.
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Le Ministre du Commerce Kamel Rezig, s’est de nouveau exprimé sur la question de la pénurie des produits de large consommation, notamment l’huile de table. Dans sa dernière sortie médiatique, il livre l’ambition de son secteur pour l’année 2022 concernant ce produit.
En marge d’une visite effectuée dans la wilaya d’Oran, le premier responsable du secteur du commerce en Algérie a affirmé que la pénurie de l’huile de table que connaissent certaines wilayas revient à « la consommation irrationnelle de ce produit et à la spéculation ».
À cet égard, il ajoute que ses services œuvreront en « collaboration avec les services de sécurité à punir tous ceux qui ont été derrière cette crise ». Dans le même sillage, il revient sur la décision de l’interdiction de la vente de cette matière aux mineurs.
À ce propos, le Ministre du Commerce indique que la décision d’interdire la vente d’huile de table aux mineurs est intervenue après « la découverte de parties qui utilisaient des enfants pour spéculer sur ce produit ».
Huile de table : Rezig livre ses ambitionsSoulignant que l’année 2022 sera une année « industrielle et économique », l’intervenant ajoute que l’Algérie sera, durant cette année, « le premier exportateur de la matière première pour la production de l’huile au niveau africain ».
À propos de la disponibilité de ce produit de première nécessité, il précise que le besoin national en huile de table s’élève à 1600 tonnes par jour, avant d’ajouter que l’usine « Safia » à Oran couvre, à elle seule, 50% de ce chiffre.
Tout en appelant les citoyens à faire preuve de rationalisation de la consommation, Kamel Rezig affirme que la production nationale en la matière dépasse de loin la demande sur le marché national.
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Depuis plusieurs jours, notamment en ce début de l’année 2022, la plupart des produits alimentaires de première nécessité enregistrent des pénuries et des hausses de prix. Face à cette situation, des mesures ont été décidées afin d’en déterminer les raisons.
Si le gouvernement, par le biais du Premier ministre, rassure quant à un retour à la normale « durant les prochains jours », la chambre haute du parlement opte plutôt pour une approche de terrain, en annonçant la création d’une commission d’enquête parlementaire.
Dans un communiqué rendu public, ce samedi 8 janvier 2022, à l’issue d’une réunion, le Bureau du Sénat a annoncé la création d’une commission d’enquête parlementaire sur la pénurie et la spéculation sur des produits alimentaires de large consommation.
Ladite commission aura pour mission d’enquêter sur la pénurie et la spéculation qu’on connut plusieurs produits alimentaires de large consommation, et ce, à travers le territoire national. Les enquêtes devront également définir les raisons derrière ces crises.
La création de cette commission d’enquête intervient conformément à l’article 159 de la Constitution et au vu de la situation à travers plusieurs wilayas ayant connu les graves agissements de spéculateurs, impactant la vie des citoyens, précise encore le communiqué.
Les objectifs de la commission parlementaire d’enquêteLa création de la commission parlementaire aura également pour but de faire barrage aux comportements « malveillants » des spéculateurs, ainsi qu’à leur « individualisme » à l’égard, à la fois des consommateurs et des produits.
À ce propos, le bureau du Conseil de la Nation estime que ce sont les interprétations politiques de la question des pénuries des produits alimentaires qui ont « affecté la stabilité sociale de l’Algérie ».
Pour rappel, le Premier ministre Aymen Benabderrahmane avait indiqué, jeudi dernier, que la pénurie de certains produits de consommation qu’a connu récemment le marché national était due principalement à une perturbation dans la distribution.
Selon lui, ce dysfonctionnement « résulte des procédures et formalités accomplies par certaines usines vers la fin de chaque année, telles que l’opération d’inventaire qui entraîne une baisse du rythme de distribution », rassurant que « les choses reviendront à la normale durant les prochains jours ».
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Les averses de pluie et les chutes de neige devront continuer à affecter plusieurs wilayas de l’est du pays, indique un bulletin météo émis par l’ONM. Des vents seront également au rendez-vous dans des wilayas du sud du pays.
Sept wilayas de l’extrême est du pays sont placées en vigilance orange « pluie », selon la carte de vigilance de météo Algérie. Il s’agit des wilayas de Souk Ahras, Guelma, Taref, Annaba, Sétif et Constantine.
Les quantités de pluie attendues peuvent atteindre les 50 mm localement, et ce, jusqu’au début de soirée de ce samedi aux environs de 18 h 00.
Chutes de neige sur plusieurs wilayas de l’estDes chutes de neige persisteront également sur deux wilayas de l’est du pays. Il s’agit, selon la même source, d’Oum El Bouagui et de Mila. Ces deux wilayas sont placées en vigilance orange « neige et verglas ».
Ces chutes devront affecter les reliefs dépassant les 1000 m d’altitude des wilayas citées. L’épaisseur de la neige est estimée entre 15 et 20 cm, indique encore la même source.
En outre, les wilayas concernées par la vigilance jaune « vent violent » sont Bejaïa, Jijel, Skikda au nord du pays et Adrar et Bordj Badji Mokhtar au sud du pays. La validité de l’alerte s’étalera, de 09 h 00 jusqu’à 21 h 00 de ce samedi.
Pour ce qui est des températures, Météo Algérie prévoit un temps froid sur l’ensemble des régions du nord et des hauts plateaux. En effet, les températures varieront entre -2 et 2 degrés sur les régions intérieures et ne dépasseront pas les 8 degrés sur les régions côtières.
Le thermomètre devra également afficher -5 degrés durant la soirée sur les wilayas de Naama, El Bayadh, Batna et Khenchela.
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Les cours des principales monnaies face au dinar algérien, continuent toujours d’afficher une stabilité tant dans les cotations officielles de la Banque qu’au niveau du marché parallèle des devises.
Ce samedi 8 janvier, le cours de l’euro dans les guichets de la Banque d’Algérie s’échange contre 156.91 dinars algériens à l’achat et 156.95 dinars algériens à la vente, soit les mêmes niveaux enregistrés durant la journée d’hier.
Pour la monnaie étasunienne, un dollar s’échange dans les cotations officielles de la Banque contre 138.88 dinars algériens à l’achat et 138.90 dinars à la vente. Il s’agit également des mêmes niveaux qu’hier.
Le taux de change de la livre sterling à la Banque centrale d’Algérie affiche 187,58 dinars à l’achat et 187,67 dinars à la vente. Quant au dollar canadien, il s’échange contre 108,43 dinars à l’achat et 109,49 dinars à la vente.
Taux de change du dinar sur le marché parallèleSur le marché parallèle des devises, un euro s’échange toujours aux environs de 213 dinars à l’achat et 215 dinars à la vente, soit 21.300 dinars pour 100 euros à l’achat et 21.500 dinars à la vente.
Pour ce qui est de la monnaie étasunienne, un dollar demeure encore stable sur le marché parallèle. L’unité de cette monnaie s’échange contre 190 dinars à l’achat et 192 dinars à la vente.
Pour la livre sterling, un pound s’échange contre 248 dinars à l’achat et 250 dinars à la vente. Le cours du dollar canadien affiche, quant à lui, 143 dinars à l’achat et 146 dinars à la vente.
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