C’est un véritable coup de massue qui est tombé sur la tête du latéral droit international Youcef Atal. En raison d’une blessure, il ne pourra plus rejouer avant la fin de la saison en cours. Aujourd’hui, Il s’est fait opérer avec succès à la clavicule. Comme tous ses compatriotes, Youcef Atal est retourné abattu à […]
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La peur et le chaos résident toujours, 21 ans après le drame des tours jumelles du World Trade Center. Le mardi matin du 12 avril 2022, 23 personnes ont été blessées – dont une dizaine par balles – à la suite d’une attaque de métro dans une rame de Brooklyn (New York), aux États-Unis. À […]
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Appelé à la rescousse par l’équipe nationale algérienne, l’attaquant Saïd Benrahma n’est pas parvenu à lui faire éviter la débâcle. Pourtant, il continue de briller sur les terrains anglais et européens sous le maillot de West Ham. Parviendra-t-il à hisser les Hammers vers la victoire en Ligue Europa ? Saïd Benrahma, itinéraire chahuté d’un jeune […]
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Le nouveau régime indiciaire qui est entré en vigueur après sa publication dans le dernier numéro du Journal Officiel de la semaine passée, continue de susciter le courroux et l’indignation du partenaire social. Il en est ainsi pour la Confédération des syndicats algériens (CSA), qui compte déclencher un vaste mouvement de protestation pour exprimer son […]
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Le conflit entre la Russie et l’Ukraine a eu de nombreuses répercussions sur l’économie mondiale. En effet, depuis le début de la crise entre Moscou et Kiev, les prix de l’énergie et des denrées alimentaires sont à la hausse. Cette augmentation des prix pourrait aggraver la pauvreté et la famine dans le monde, mais aussi […]
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L’affaire de l’exode des 1200 médecins algériens vers la France ne cesse de faire parler d’elle. Après les spécialistes, c’est au tour du premier responsable du secteur de la Santé d’apporter des précisions sur ce dossier qui a fait couler beaucoup d’encre durant ces dernières semaines.
Lors d’une réunion d’évaluation ce lundi 14 février avec les directeurs de santé ; le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid a tenu à apporter quelques précisions sur l’affaire des 1200 médecins qui s’apprêtaient à quitter l’Algérie pour la France.
« Une bonne partie des médecins algériens, ayant réussi au concours d’équivalence en France, résident à l’étranger. De ce fait, cette majorité n’a pas quitté directement le pays », a déclaré le Pr Abderrahmane Benbouzid.
« J’ai en ma possession la liste de ces médecins. Certains sont nés en 1961, ils ont 61 ans ; alors que d’autres en 1971. La lecture qui a été faite des résultats de ce concours a donné à penser que ces médecins ont quitté le pays en une seule vague, alors que c’est faux », a ajouté le ministre de la Santé.
Pour Benbouzid, « la solution n’est pas facile »Dans le même sillage, Pr Abderrahmane Benbouzid n’a pas nié l’existence du phénomène de l’exode des médecins, mais il a tenu à souligner que son département était en train de travailler sur le dossier.
« Au ministère de la Santé, cette affaire (de l’exode des médecins) a tiré la sonnette d’alarme (…) Moi et plusieurs ministres, nous allons travailler sur ce dossier afin de trouver les raisons qui poussent nos médecins à quitter le pays. Je tiens à préciser que la solution à ce phénomène n’est pas facile, car on ne peut pas empêcher des étudiants en médecine de quitter le pays », a expliqué le ministre.
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Alors que le concours d’accès au troisième cycle (Doctorat) approche à grands pas ; le ministère de l’Enseignement supérieur annonce la suppression d’une condition.
Lors d’une rencontre avec les organisations estudiantines tenue ce lundi 14 février, le premier responsable du secteur de l’Enseignement supérieur a annoncé la suppression de la condition du test de dépistage au coronavirus.
En effet, le ministre Abdelbaki Benziane a fait savoir que son département avait annulé l’obligation de la présentation d’un test Covid-19 pour les candidats au concours.
Une condition remplacée par un strict respect du protocole sanitaireCertes la condition du test de coronavirus a été supprimée, mais le protocole de lutte anti-covid (port de la bavette, distanciation…) reste toujours en vigueur.
« Il a été décidé d’annuler la condition de présenter un test Covid-19 à condition de respecter strictement le protocole sanitaire à travers la mesure de la température des candidats avant l’accès aux salles d’examens ; mais aussi la mise en quarantaine des cas suspects dans des salles spéciales. Sans oublier, le port des masques durant les examens », a expliqué le ministre.
À noter que les examens du concours de doctorat 2022 sera organisé du 20 février au 20 mars. Selon les chiffres du département de Benziane, 170.000 candidats se sont inscrits pour un total de 5600 postes pédagogiques d’accès à la formation.
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Il s’agit d’un véritable patrimoine qui est entrain de se dissiper sous le regard impuissant des éleveurs. Les races ovines algériennes poursuivent leur marche effrénée vers l’extinction, laissant le pays pauvre de sa diversité. Les causes sont multiples, cependant, la sécheresse dû principalement au réchauffement climatique, a causé beaucoup de tort au secteur.
Lors de son passage sur les ondes de la Radio Nationale, le Président directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR), filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), Lamine Deradji, s’est penché sur la problématique des races ovines en Algérie.
Danger de disparitionLe responsable a indiqué que l’Algérie doit protéger les races ovines locales, à l’instar de la race Hamra et celle de Ouled Djellal. Hélas, ces races sont dorénavant menacées d’extinction, déplore M. Deradji, qui assure que les raisons derrière ce drame sont principalement «la hausse et la pénurie des prix des fourrages » d’une part, et « le manque de pâturages dû au manque de pluies au cours des deux dernières années » d’autre part.
Le Président directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR) explique que le cheptel en Algérie compte maintenant plusieurs milliers de ces races qu’il qualifie de « patrimoine qu’il faut protéger » afin d’éviter de recourir à l’importation. Le responsable a également dénoncé l’abattage que subit « le capital reproductif » des races ovines qui se vend au niveau de certaines boucheries.
Il est à noter que sur 10 races ovines connues en Algérie depuis des millénaires, il ne reste dorénavant que le mouton d’Ouled Djellal, qui continue de résister. Plusieurs autres races locales comme la Berbère, la Barbarine, la Targuia ou le Sidaho, ne sont pas loin de se perdre à jamais.
La sécheresse quant à elle reste un défi majeur auquel l’Algérie doit faire face. Dans un contexte marqué par la crise écologique et le réchauffement climatique, la région de l’Afrique du Nord est au premier plan sur la carte du stress hydrique qui ne peut qu’avoir des répercussions graves sur le mode de vie des Algériens.
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Il n’est secret pour personne que la plupart des éléments de l’équipe nationale, voire tous, évoluent dans des clubs professionnels en Ligue 1 à l’étranger, notamment en Europe.
Ces derniers, et grâce à leur bon niveau et leur haute performance, ne cessent, à chaque occasion, d’impressionner l’opinion sportive nationale, mais aussi internationale.
C’est le cas d’ailleurs du capitaine des Verts et la star de Manchester City, Riyad Mahrez. Ce dernier est devenu désormais, une référence pour les Citizens. L’ailier algérien, et grâce à son potentiel, a réussi à occuper une place dans la cour des grands, dans le monde du ballon rond.
Feghouli va-t-il changer de destination ?Au sujet de son talentueux coéquipier, Sofiane Feghouli en l’occurrence, qui évolue toujours au poste d’ailier droit au Championnat turc, avec le club Galatasaray SK.
Selon des sources sûres, l’ailier algérien aurait reçu de nombreuses offres venant de l’Espagne et de la France. Toutefois, le Fennec aurait préféré rester avec son club turc.
En fait, ledit club n’aurait toujours pas trouvé un accord quant au prolongement du contrat de son joueur algérien, qui devrait toucher actuellement près de 4 millions d’euros par an.
Feghouli tranche sur son avenirLes mêmes sources ont affirmé que Sofiane Feghouli est même prêt à revoir son salaire à la baisse pour son nouveau contrat. Ce dernier aurait tranché sur son avenir, et a pris la décision de rester en Turquie.
Par ailleurs, il est également utile de préciser que son coéquipier de l’équipe nationale, Ramy Bensebaini, est dans le viseur du grand club anglais, Manchester United. Plusieurs médias ont révélé cette information quant au natif de Constantine, notamment après son excellente performance lors de son dernier match, où il s’est montré décisif en marquant un joli but et délivrant une superbe passe décisive.
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De jour en jour, la situation sanitaire, liée à la pandémie du coronavirus, s’améliore en Algérie. Aujourd’hui, le 14 février 2022, le nouveau bilan des contaminations vient d’être annoncé par le ministère de la Santé. La décrue est maintenue, ce qui n’empêche pas les spécialistes à appeler les citoyens à la vigilance.
413 nouveaux cas de contamination à la Covid-19 ont été enregistrés ces dernières 24 heures selon le bilan publié ce lundi par le ministère de la Santé. Il s’agit donc d’une nouvelle baisse, en comparaison avec le bilan d’hier qui a fait part de 526 nouveaux cas d’infection.
En plus du nombre de contaminations, le même communiqué du département de Benbouzid a également annoncé que l’Algérie a enregistré 15 cas de décès à cause de complications liées au coronavirus, 27 nouvelles admissions au services de réanimation, ainsi que 340 nouvelles guérisons.
Ces derniers chiffres dévoilés aujourd’hui font monter le bilan total des contaminations au coronavirus en Algérie à plus de 263.612 cas depuis le début de la pandémie en mars 2020. Le nombre de décès quant à lui s’élève à plus de 6.741 cas, selon les chiffres fournis quotidiennement par le ministère.
Covid-19 : le pic est derrière nousSelon le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, l’Algérie a dépassé le pic de la 4ᵉ vague sans subir trop de dégâts.
Le pic, indique le ministre, est survenu en Algérie le 25 janvier dernier, ou le pays a enregistré pas moins de 2525 cas de contamination.
Benbouzid confie que la quatrième vague a fait que 6.000 patients occupaient les lits des hôpitaux, un chiffre qui est descendu à 685 aujourd’hui.
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Le Président directeur général de l’Algérienne des viandes rouges (ALVIAR), filiale du Groupe public agro-logistique (AGROLOG), Lamine Deradji, a confié aujourd’hui que les prix des viandes rouges lors de ce mois de ramadan seront contrôlés via la mise en place de plusieurs points de vente à travers le territoire national.
En effet, ALVIAR, précise le responsable, lors de son passage sur les ondes de la radio nationale, va instaurer pas moins de 150 points de vente à travers le territoire national en vue de limiter le prix d’un kilo de viande ovine à 1.300 dinars le kilo, et la viande bovine à 1.200 dinars, et cela durant ce mois de ramadan.
« Alviar a entamé l’ouverture de ses points de vente dans les grandes villes comme c’est le cas dans la capitale Alger, Annaba et Oran », annonce le responsable qui ajoute que l’objectif est « d’établir 150 points de vente répartis sur plusieurs wilayas, à des prix étudiés qui ne dépassent pas 1300 DA pour la viande ovine et 1200 DA pour la viande bovine ».
L’importation en baissePar ailleurs, Deradji a expliqué qu’Alviar avait importé « 4.000 têtes destinées à l’abattage, notamment pour le mois de Ramadan ».
Deradji explique que «La filière de la viande rouge en Algérie représente environ 17 % de la taille de l’économie agricole nationale, et produit un flux estimé à 600 milliards de dinars, avec un taux de croissance de 18,4%».
Le responsable fait également savoir que le cheptel ovin en Algérie est estimé à « 31 millions de têtes, dont 19 millions sont des brebis porteuses ».
Le directeur de ALVIAR assure que « la production nationale annuelle de viande rouge s’élève à 580.000 tonnes », et que « l’importation de viande bovine fraîche et congelée a enregistré une baisse de plus de 87 % au cours de la période 2016-2021 ».
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À la veille de la Saint-Valentin, une affaire insolite a été présentée devant le Tribunal de Dar El Beida ce dimanche. En effet, un ancien repris de justice a été pris en flagrant délit tentant de voler 3 boites de chocolat dans un supermarché à Alger.
Il s’agit de « A. Youssef », qui été arrêté après avoir dérobé du chocolat, un délit coïncidant avec la Saint-Valentin. Et, même si le mis en cause a partiellement reconnu les faits pour lesquels il a été inculpé, il affirme n’avoir volé que 3 pièces de 3 boites différentes.
Cependant, l’accusé a exprimé ses remords, d’autant plus que cela ne faisait que quelques mois qu’il était sorti de la prison d’El Harrach. En effet, il a été condamné précédemment pour avoir commis le même acte à l’Exposition Maritime du Club des Pins à l’est de la capitale.
Saint Valentin en Algérie : que risque le voleur de chocolat ?Le procureur de la République a reproché à l’accusé, de commettre le même délit à chaque événement sans en avoir la conscience lourde. Il a également demandé une peine d’emprisonnement de six mois et une amende de 50 000 DZD. Par ailleurs, Le juge a ordonné que l’affaire soit mise en délibéré avant de prononcer le verdict.
Un événement ou une fête peut être un aimant à voleurs. En effet, même pendant la période du Ramadan ou l’Aïd le nombre de tentatives de vol se multiplient. Certaines personnes qui choisissent de passer leurs fêtes loin de chez eux se font cambrioler, d’autres peuvent être sujets à des agressions dans la rue.
Par ailleurs, la plupart des Algériens prétendent ne pas fêter la Saint-Valentin pour des raisons religieuses. Cependant, plusieurs vendeurs de cadeaux ornent leurs magasins avec de jolies décorations visant à attirer plus de clients durant cette période de l’année. Toutefois, les décors extravagants et les articles en vente que certains ne peuvent pas se permettre, séduisent aussi bien les amoureux que les voleurs.
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Pour son deuxième match sous le maillot du Stade Brestois, le milieu de terrain algérien, Youcef Belaili, a su s’imposer et offrir à son nouveau club, une très haute performance, mais aussi un excellent niveau lors du jeu.
En effet, le maestro des Verts a disputé, ce dimanche 13 février, sa deuxième rencontre avec les Brestois, contre leurs homologues de Troyes. Une confrontation où le Fennec a participé 83 minutes et qui s’est soldée par une sacrée victoire des Pirates, avec un score lourd de cinq buts contre un seul.
Belaili décisif face à TroyesYoucef Belaili en a profité pleinement pour établir une belle statistique. Pour sa deuxième avec le Stade Brestois, l’Oranais s’est montré déjà décisif. Contre Troyes dès la 11e minute de jeu, l’Algérien a adressé une merveilleuse ouverture pour son coéquipier, l’attaquant uruguayen Satriano, qui n’a pas manqué d’inscrire un but dans la cage de Gauthier Gallon.
S’exprimant sur la performance de Belaili, son coéquipier Steve Mounié a révélé que c’est la première fois depuis 2020, qu’un Brestois se montre décisif après ses deux premiers matchs sous le maillot des Pirates.
Mounié salue la performance de Belaili« Youcef Belaili a délivré sa première passe décisive en Ligue 1 Uber Eats. Depuis 2020, personne n’avait été décisif après ses deux premiers matchs avec Brest », estime ledit footballeur.
De son côté, l’entraîneur de Brest, Der Michel Zakarian, n’a pas manqué, quant à lui, de livrer son analyse et son avis après le match de ses hommes contre Troyes : « Un match abouti du début à la fin. On a bien su utiliser le ballon. On a marqué de très jolis buts ». « Tout est serré en bas. On passe la barre des 30, c’est bien. Il faut encore 4 victoires ! », a-t-il ajouté.
Par ailleurs, il convient de rappeler que le premier match de Belaili avec les Brestois remonte à la semaine passée, contre Rennes. Le niveau de l’Oranais a été jugé de « faible » lors de ladite rencontre, notamment après la défaite de son équipe.
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Le 14 février, la fête de l’amour, est-ce le jour où Nizar Kabbani a sorti ses poèmes ? est-ce le jour où Baudelaire a offert au monde les fleurs du mal ? ou est-ce le jour où le défunt Cheb Hasni a chanté les chansons d’amour auxquelles s’identifient les couples et les amoureux éconduits ? non non, c’est la Saint Valentin, une fête liée au culte du prêtre romain Valentin, mort décapité un 14 février au troisième siècle pour avoir célébré des mariages chrétiens.
Au fil des années et sans forcément tenir compte de l’histoire ou de la signification de cette fête, les couples partout dans le monde célébraient l’amour le 14 février, où les villes sont envahies de roses et de rouge écarlate, où les peluches gigantesques voient enfin la lumière du jour et où les vendeurs de chocolat font leurs meilleures recettes de l’année.
En Algérie, est-ce que l’on fête la Saint Valentin ? Selon un sondage Viber, 12% des 2000 utilisateurs algériens la célèbrent et 54% d’entre eux la fêtent en envoyant des stickers, des filtres et toutes les lexies d’amour que peut proposer google. Grâce à un micro-trottoir effectué par nos équipes on a pu distinguer 3 catégories d’Algériens le 14 février.
D’abord, les Roméo – Juliette et les « why not »Evidemment, de plus en plus de couples algériens fêtent la Saint Valentin. Mariés ou pas, c’est une bonne occasion pour exprimer son amour dans un pays où ce sentiment est hélas souvent inassouvi. Les « pourquoi pas » passent une journée clichée 14 février, un starter pack infaillible de fleurs rouges, cadeaux à la dernière minute faute de romantisme ou de temps selon le prétexte et un message d’amour.
Idéalement, un dîner ou un déjeuner dehors, le couple se met sur son 31 et fait abstraction des « litiges » pendant 24h. Sans oublier de mentionner ceux qui font tout cela pour réellement fêter leur attachement envers la personne.
Ensuite, les prêcheurs de l’amour familial et du « Haram »Cette catégorie prêche l’amour de la mère, du père, de la sœur et des amis, souvent une opinion adoptée par les célibataires qui tiennent à conjuguer leur amour malgré l’absence du « special someone » ou simplement par des personnes qui éprouvent de l’amour envers leur entourage et saisissent cette opportunité pour l’exprimer.
Il y a également ceux qui crient « Haram », soit en faisant allusion à l’origine de la fête ou par simple conviction que la religion va à l’encontre de l’amour, affirmant que ce sujet demeure tabou dans la société algérienne.
Enfin, la nonchalance amoureuse ou « l’amour n’existe pas »Et enfin, la catégorie qui souvent représente l’Association des Célibataires Algériens (ACA), bien que cette association soit purement fictive, les adhérents ont perdu espoir en l’amour suite à des déceptions ou autre et donc n’y croient plus. Les conditions d’adhésion ? Une forte allergie contre les films d’amour, une montée de vomissement en écoutant la fameuse « all of me » de John Legend et une bio instagram « love yourself first ».
Sans oublier ceux qui passent cette journée dans une insouciance remarquable, une nonchalance à la Shopenhaouer, ils se contentent de hocher la tête lorsqu’on leur demande « tu sais quelle date on est ? ».
Et vous, vous vous mettez dans quelle catégorie ?
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Avec une tendance baissière qui commence à s’installer, l’Algérie semble sur le point d’en finir avec la 4e vague de l’épidémie du coronavirus. C’est ce qu’a laissé entendre ce lundi 14 février 2022, le ministre de la Santé Abderrahmane Benbouzid.
Intervenant lors d’une réunion d’évaluation tenue avec les Directeurs de santé des wilayas, le premier responsable du secteur a affirmé que l’Algérie est sur le point de sortir de la 4e vague du coronavirus, et ce, au vu de la baisse du nombre quotidien de contaminations.
Le ministre a souligné que le pic de la 4e vague a été enregistré le 25 janvier dernier lorsque l’Algérie avait connu 2525 cas de contaminations en l’espace de 24 heures. Depuis, les chiffres n’arrêtent pas de diminuer pour atteindre aujourd’hui 413 cas, ajoute-t-il. Or, il signale que le nombre de décès reste toujours élevé.
Concernant la situation épidémiologique, Benbouzid indique que « nous nous attendions à ce que la 4e vague soit difficile, mais la mobilisation du personnel médical et la disponibilité des lits et des médicaments nous a permis de la dépasser en toute sérénité ».
« 685 patients se trouvent actuellement dans les hôpitaux »Dans ce sens, il a souligné « qu’il n’y avait pas eu de problème, car il y avait plus de 6 000 patients hospitalisés et maintenant le nombre a diminué à 685 patients qui se trouvent dans les hôpitaux ».
Avec cette amélioration, le ministre de la Santé a appelé à la nécessité de la reprise progressive des autres activités médicales dans les structures sanitaires tout en dégageant des services spéciaux pour les patients Covid-19. Il a également préconisé de libérer les lits disponibles pour les autres patients.
S’exprimant autour de la vaccination, l’intervenant a encore une fois, déploré le faible taux atteint jusque-là, malgré les importantes quantités de doses dont dispose l’Algérie, « qui devront suffire pour deux ans ».
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À peine entrée en vigueur, la loi de finances 2022 suscite déjà la controverse, notamment en ce qui concerne les taxes douanières, à tel point que les autorités ont tout bonnement décidé d’en suspendre ou geler plusieurs dispositions portant sur les taxes.
Vraisemblablement, la loi de finances pour l’exercice de l’année en cours a carrément foiré ses calculs en ce qui concerne l’imposition de taxes sur divers produits. Outre cela, plusieurs autres points sont restés en suspens, malgré l’adoption et l’entrée en vigueur du texte de loi en question.
A priori, les dispositions portant sur la levée des subventions généralisée et leur transfert direct au profit des ménages qui y sont éligibles, sont dans l’attente de textes réglementaires et de la mise en place d’un dispositif national de compensation monétaire. À cela viennent s’ajouter donc la suspension et le gel de plusieurs taxes prévues dans le cadre de cette même loi.
Lors de la réunion du Conseil des ministres, tenue hier dimanche, le président de la République a ordonné le gel, à compter d’aujourd’hui et jusqu’à nouvel ordre, de tous les impôts et les taxes, notamment les taxes contenues dans la loi de finances 2022 sur certains produits alimentaires.
De surcroit, le chef de l’État a également décidé la suppression de tous les impôts et taxe sur l’e-commerce, les téléphones portables, les matériels informatiques à usage personnel et les startups en se contentant des tarifications réglementées.
Une réponse à la polémique ?Il convient de rappeler qu’une vive polémique a éclaté, il y a seulement quelques jours, concernant les montants des taxes douanières imposées sur le E-Commerce, et notamment sur les articles électroniques commandés en ligne sur des sites étrangers.
Cela sans parler de la liste des produits importés, soumis au droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS). Face à la polémique, ou dans un souci de corriger les lacunes contenues à ce propos dans la LF 2022, les autorités ont tout bonnement décidé de revenir à la raison.
En applications des instructions du président, la Direction générale de la régulation et l’organisation des marchés au ministère du Commerce tiendra, mercredi prochain, une réunion avec les professionnels et producteurs de produits alimentaires, tels que les pâtes et le sucre, afin d’appliquer le gel des taxes et revenir aux prix appliqués en 2021.
C’est ce qu’a annoncé ce lundi, le Directeur général de la régulation et de l’organisation des marchés au ministère du Commerce Sami Kolli lors de son passage sur les ondes de la Radio nationale. Pendant ce temps-là, des experts préconisent que les taxes prévues dans le cadre de la LF 2022 soient révisées dans la loi des finances complémentaires.
Vers une révision radicale dans la loi des finances complémentaireSuite aux dernières décisions du Conseil des ministres, des experts prévoient donc que les taxes imposées sur des produits alimentaires, des activités e-commerce et des appareils informatiques, soient toutes révisées dans le cadre de la loi des finances complémentaires 2022.
Selon l’expert financier et en économie Nabil Djemaâ, cité par le quotidien arabophone Echaab, « la loi des finances 2022 contenait plusieurs irrégularités, notamment en ce qui concerne les taxes douanières imposées sur plusieurs produits ». Selon lui, certaines de ces taxes « touchent au pouvoir d’achat des citoyens et d’autres aux efforts de développement et de généralisation de la numérisation ».
L’intervenant estime que « l’Algérie peut jouer la carte des prix du pétrole afin d’investir dans le développement de la numérisation et sa généralisation dans de nombreux secteurs ». À ce propos, il préconise de profiter de la hausse des prix du pétrole par rapport au prix de référence fixé dans la loi de finances.
En effet, il suggère qu’au « lieu d’imposer des taxes douanières sur les appareils informatiques, on peut profiter de la différence du prix de référence du pétrole dans la loi de finances par rapport au prix actuel ». Il convient de rappeler que les prix du pétrole dépassent actuellement les 95 dollars le baril, alors que la loi de finances 2022 table sur un baril à 45 dollars et un prix du marché du baril à 50 dollars.
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La pandémie du Covid-19 a touché négativement pleins de secteurs. Avant d’arriver à la conclusion qu’on ne peut que coexister avec le coronavirus tout en respectant un protocole sanitaire et des mesures préventives visant à l’endiguer, tout a été mis « on hold » notamment le trafic aérien.
Le trafic aérien a enregistré une baisse considérable de 40% en Algérie par rapport à 2019 avant le début de la pandémie du Covid-19. Algérie Presse Service a révélé les chiffres avancés par Youcef Safir, le directeur général de l’Etablissement national de la navigation aérienne (ENNA), et le constat est amer.
En effet, le recul de la navigation aérienne a engendré la baisse de 50% en 2020 et 45% en 2021 du chiffre d’affaire de l’ENNA qui avoisinait 13,22 milliards DA en 2019, une véritable chute dans les chiffres dans un secteur viscéral dans l’économie nationale. Ce n’est pas tout, car il a prévu une baisse de 40% du chiffre d’affaire en 2022 par rapport aux niveaux enregistrés avant la pandémie (2019).
L’impact négatif persiste en 2022Les compagnies aériennes du monde entier ont été durement frappées par la pandémie. La preuve en est, la crise financière à laquelle la compagnie aérienne nationale Air Algérie fait face avec plus de 500 000 billets à rembourser et un programme très réduit. Bien que le secteur souffle à nouveau en 2022 et effectue un retour progressif à la vie normale, il est encore très fragilisé.
Selon les prévisions de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI), le trafic aérien mondial retrouverait entre 69 % et 74 % de son niveau d’avant crise en 2022, contre 51 % en 2021 et 40 % en 2020. Avec les assouplissements des conditions d’entrée et la décrue de la pandémie, les voyages pourront se multiplier et faire un bond qualitatif.
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Après une attente qui a dépassé deux ans et demi, un couple algérien s’est impatienté et a décidé de poursuivre Immigration Canada en Justice. En effet, Nidhal Chaabena et Amira Meslem n’ont reçu aucune réponse de la part de ce ministère, depuis l’expiration de leur permis de travail dont le délai de renouvellement semble être très long.
Selon le règlement d’Immigration Canada, le délai pour l’obtention d’une résidence permanente est de deux ans et 4 mois. Cependant, le délai ne semble pas être respecté, car le couple en question a été contraint d’attendre plus de 32 mois.
Attendant un bébé au cours des prochains mois, Amira et Nidhal n’ont pas eu d’autres choix que d’avoir recours à la justice pour dénoncer ce délai déraisonnable.
Selon le média canadien ayant relayé l’information, le gouvernement fédéral justifie le dépassement des délais de l’obtention de la résidence permanente au Canada par plusieurs raisons. En effet, la pandémie a imposé le mode de travail à distance pour plusieurs employés alors que le système informatique est obsolète.
“Je sais que les délais de traitement ont été incroyablement frustrants pour de nombreuses personnes. Aider les clients à venir rapidement au Canada, avec des délais de traitement prévisibles et une communication efficace avec IRCC, demeure pour moi une priorité absolue”, a déclaré le ministre de l’Immigration à la fin du mois dernier.
Par ailleurs, le premier reportage qui a été publié concernant cette affaire, la poursuite judiciaire qu’Amira et Nidhal ont entamé semble être fructueuse. En effet, le jeune couple algérien a reçu une invitation pour un examen médical, étant une étape essentielle pour l’obtention d’une résidence permanente. Cependant, la prise de conscience soudaine d’Immigration Canada qui a ignoré le couple pendant plus de deux ans n’a pas suffi pour que ce dernier renonce à son recours à la justice.
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C’est depuis 2014 que les Algériens attendent la reprise de l’importation des véhicules neufs et la baisse des prix des voitures d’occasions. Les dernières déclarations du ministre de l’Industrie, Ahmed Zeghdar, ont enterré les espérances des plus optimistes.
Le ministre a clairement fait savoir, dans une déclaration accordée à l’APS, que le retour de l’importation des véhicules « doit aller de paire avec la relance d’une véritable industrie mécanique orientée, au début, vers le marché national avant d’explorer d’autres voies d’exportation une fois maîtrisée ». Le ministre, qui ne dit pas que l’industrie nationale de l’automobile est au point zéro, laisse entendre de ce fait que le retour de l’importation est encore loin.
L’autre point que le ministre a évoqué est celui de l’écologie. Ahmed Zeghdar a déclaré que “la nouvelle stratégie tracée pour l’industrie automobile tient en compte la fabrication de véhicules électriques et hybrides, au diapason de l’évolution des voitures à moyen et à long terme, et ce, pour cadrer avec les objectifs de la transition énergétique adoptée dans plusieurs pays à travers le monde”.
Importation de véhicules : Zeghdar veut-il gagner du temps ?Pour Zeghdar, l’importation des véhicules, « est principalement à l’origine de l’hémorragie de devises ». Cette déclaration intervient au moment où les prix du pétrole ont atteint leur plus haut niveau depuis 2014, l’année ou l’importation des véhicules a été suspendue.
Il est à rappeler que le même responsable a affirmé que le nouveau cahier de charges sera prêt la fin du mois de janvier écoulé. Zeghdar rectifie son tir et assure cette fois que le cahier des charges a été révisé “en application des instructions du président de la République”, sans s’aventurer cette fois à donner une échéance quant à sa publication.
Le dossier du retour de l’importation de véhicules traine depuis plus de deux ans. Les concessionnaires, qui s’attendaient à du nouveau lors de ce début d’année 2022, ont été frappés par la dernière sortie du ministre. Ils dénoncent «l’absence d’une volonté d’accorder les agréments, et ce, malgré les instructions du président».
Les concessionnaires ont, dans une énième lettre formulée par le groupement des concessionnaires automobiles, en guise de réponse au ministre de l’Industrie, exprimé leurs «inquiétudes quant aux mesures qui vont à l’encontre des instructions du président de la République qui avait insisté, en décembre dernier, sur la nécessité d’accélérer la délivrance des agréments».
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Les femmes sont de plus en plus courageuses pour dénoncer les agressions et les menaces. Cette dénonciation est souvent le détail qui les sauvent de la violence, de l’insécurité et de la mort.
Le 5 janvier dernier, Ahmed Kahlouche, un Algérien en situation irrégulière âgé de 27 ans a commis un acte odieux et irréversible, une scène choquante que la police a du voir et que sa femme et son bébé ont du vivre. En effet, les policiers se sont présentés chez la maman à Lille, où ils l’ont trouvé figée avec un bébé dans les bras avec des vêtements gorgés d’essence. Elle tente tant bien que mal de leur raconter ce qui s’est passé, son conjoint l’a menacé elle et son enfant d’immolation.
Elle raconte difficilement les moments d’horreur qu’elle a vécus, son mari avait un bidon d’essence qu’il versait sur elle. Ahmed Kahlouche, son époux, avait sorti son briquet, l’a allumé et ne cessait de lui répéter « je te brûle », il est sorti à cause des pleurs de son bébé. Les policiers partent à la recherche d’Ahmed et le trouvent grâce à la géolocalisation de son téléphone.
Un déni sans pareilLe journal La voix du nord raconte comment s’est déroulé la garde à vue de l’Algérien. Il a évoqué « une histoire virtuelle » pour démentir sa femme, il nie totalement toute acte de violence et explique l’odeur envahissante de l’essence par son travail, il est mécanicien.
Comme de coutume, les agresseurs passent rarement aux aveux, ils nient jusqu’au bout. Sauf que leur innocence est vite estompée par les preuves, dans ce cas là les messages adressés à sa femme du genre «je te tue pour ce que tu fais», « t’es morte ! », « je te jure je vais te tuer ! ». Devant les enquêteurs, il continue à se dédouaner expliquant que les messages n’étaient que du second degré. Avec sa défense douteuse, il passe à une autre technique, le silence.
La procureure réclame une peine sévère afin de le sanctionner de façon aussi grave que les faits. Ahmed Kahlouche est donc condamné à 8 ans de prison avec maintien en détention, il perd l’autorité parentale totale sur sa fille et il est interdit définitivement du territoire français.
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