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Union européenne

Turquie: après le putsch raté, la minorité kurde d’Istanbul craint la répression

RFI (Europe) - Tue, 26/07/2016 - 04:35
En Turquie, la reprise en main du président Erdogan se poursuit, dans la foulée du coup d’Etat manqué du 15 juillet dernier. Avec l’instauration de l’état d’urgence, avec les purges et les arrestations, les minorités Kurdes et Alévis s’inquiètent d’être les victimes collatérales de cette reprise en main. A Istanbul, ces minorités craignent que le coup d’Etat manqué et l’état d’urgence servent de prétexte à une répression accrue des forces de sécurité et des autorités à leur égard. Reportage dans un quartier à majorité kurde d’Istanbul.
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Pologne: à Cracovie, des JMJ sous haute sécurité

RFI (Europe) - Tue, 26/07/2016 - 00:40
La grande rencontre mondiale de la jeunesse chrétienne s’ouvre ce mardi 26 juillet à Cracovie, la seconde ville de Pologne, où le pape François est attendu mercredi.
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EUCAP Nestor: new head of mission

CSDP blog - Tue, 26/07/2016 - 00:00

"On 26 July 2016, Ms Maria-Cristina Stepanescu, a senior police officer from Romania, was appointed Head of the European Union mission on regional maritime capacity building in the Horn of Africa, EUCAP Nestor. She will take up her duties on 1 September 2016. She takes over from Acting Head Simonetta Silvestri.

This civilian CSDP mission forms part of the EU's comprehensive approach to fighting piracy in the Horn of Africa, alongside the EU Naval Force Somalia and the EU training mission for Somalia. EUCAP Nestor works to reinforce the capacity of Somalia to effectively govern its territorial waters in order to help them fight piracy more effectively. This includes advice, mentoring and training for the coast guard, maritime criminal justice system and coastal police.

Since February 2010, Ms Stepanescu has been a Seconded National Expert/Police Expert to the Civilian Conduct and Planning Capability (CPCC)/EEAS. She has previously held positions such as: Head of the Cooperation - Single Point of Contact/Schengen Department (2008-2010); Head of Programme Development and coordination Department (PDCD), European Union Police Mission in Bosnia and Herzegovina, Sarajevo (2005-2007); Policy Officer with the Institute for Research and Crime Prevention, within the General Inspectorate of Romanian Police, Ministry of Interior (2002-2004); Chief Investigator of Gracanica Police Station/Team Leader of Trafficking in Human Beings and Prostitution Unit, Serious and Organised Crime of Pristina Regiona, UN Mission in Kosovo (2000-2002); Policy officer, General Inspectorate of Romanian Police (1998-2000); Intelligence/CID officer, General Inspectorate of Romanian Police (1994-1998).

She has a Masters degree in Sociology and Social Sciences/Implementation of community Justice from Bucharest University, Romania (2000-2002) and a Law Degree from Alxandra Ioan Cuza Police Academy, Bucharest, Romania (1990-1994). She speaks Romanian, English and French.

The decision was taken by the Political and Security Committee."

(European Council - Press Release)

Tag: EUCAP NestorMaria-Cristina Stepanescu

Purge en Turquie: 42 journalistes visés par des mandats d’arrêt

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 23:59
Alors que 13 000 personnes ont déjà été mises en garde à vue ou incarcérés suite au putsch manqué du 15 juillet, c'est au tour des médias d'être visés par la purge en Turquie. Le ministère de la Justice a émis ce lundi 25 juillet une quarantaine de mandats d'arrêt contre des journalistes.
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Zika: un premier cas européen de microcéphalie détecté en Espagne

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 21:05
Les autorités espagnoles ont annoncé ce lundi 25 juillet la naissance d’un bébé atteint de microcéphalie, une malformation liée au virus Zika. C’est le premier cas recensé en Europe de cette épidémie, apparue en 2015. D’après une étude publiée ce lundi, d’autres cas sont à craindre.
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Juncker condamne (enfin) Barroso

Coulisses de Bruxelles - Mon, 25/07/2016 - 20:53

Mieux vaut tard que jamais. Ce matin, sur France 2, dans les« 4 vérités », Jean-Claude Juncker a enfin condamné le recrutement de son prédécesseur, José Manuel Durao Barroso, par Goldman Sachs. À la question de Gilles Bornstein: « est-ce que ça vous choque », le président de la Commission a sobrement répondu : « je ne l’aurais pas fait », même si « Monsieur Barroso a respecté toutes les procédures qui sont prévues ».

Il aura donc fallu plus de deux semaines pour qu’enfin Jean-Claude Juncker cesse de se dissimuler derrière la langue de bois de son porte-parole, Margaritis Schinas, qui a certes laissé entendre que l’institution n’approuvait pas le comportement éthique de Barroso, mais sans le dire franchement. On a du mal à comprendre les raisons d’une telle réserve, alors même qu’en interne une grande partie des fonctionnaires européens sont furieux de voir une nouvelle fois abimée, en plein Brexit, l’image de la Commission, qui plus est par celui qui l’a dirigée durant dix ans (2004-2014).

Une condamnation franche et immédiate, comme celle de François Hollande, le 14 juillet, qui a qualifié ce pantouflage de «moralement inacceptable», aurait pourtant été tout bénéfice et surtout sans aucun risque politique, Barroso ne jouissant plus d’aucun soutien en interne (cette pétition demandant des sanctions a déjà été signée par 3000 fonctionnaires) ou en externe, comme l’ont montré les réactions indignées dans son propre pays d’origine, le Portugal. Juncker aurait, au contraire, tout gagné en se montrant éthiquement irréprochable, lui à qui une partie de l’opinion publique européenne reproche le « Luxleaks ». Manifestement, certains, dans son entourage, ont clairement sous-estimé l’impact désastreux de cette affaire Barroso, notamment en France, sans doute pour ne pas insulter leur propre avenir. Dommage.

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Allemagne: le groupe EI revendique l’attentat à Ansbach

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 18:31
L’organisation Etat islamique a revendiqué ce lundi 25 juillet l’attentat-suicide qui a fait 15 blessés hier à Ansbach, dans le sud de l’Allemagne. Son auteur, un réfugié syrien de 27 ans, avait vu sa demande d’asile rejetée.
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Communiqué de presse - Le Parlement européen va compenser ses émissions de CO2 pour 2015 - Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 25/07/2016 - 15:33
Le Parlement européen vise à devenir la première institution de l’UE 100% neutre en carbone, comme décidé à la fin de l’année dernière par le Bureau (qui réunit le Président du PE, les Vice-présidents et les Questeurs). Afin d’atteindre cet objectif, un appel d’offres a été lancé le 16 juillet 2016.
Commission de l'environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire

Source : © Union européenne, 2016 - PE
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Etat des lieux des négociations d'adhésion à l'Union européenne

Toute l'Europe - Mon, 25/07/2016 - 14:18
Sept pays sont aujourd'hui candidats à l'Union européenne : Albanie, Bosnie-Herzégovine, Kosovo, Macédoine, Monténégro, Serbie et Turquie. Ancien pays candidat, l'Islande s'est retirée du processus d'adhésion le 12 mars 2015.
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Succession de drames en Bavière: les politiques restent solidaires

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 13:51
L’Allemagne a été le théâtre d'un nouveau drame, un attentat, ce dimanche 24 juillet en soirée. Un jeune Syrien s’est fait exploser dans le centre-ville d'Ansbach, en Bavière, blessant 12 personnes à l'entrée d'un festival. Malgré ce nouveau choc pour une région peu épargnée ces jours-ci, la classe politique reste soudée.
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Putsch manqué, état d'urgence: le président turc rencontre l'opposition

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 08:07
Au lendemain d'une manifestation de masse, qui a réuni à Istanbul des partisans de Recep Tayyip Erdogan et certains de ses détracteurs au nom de la défense de la démocratie, le président turc et son Premier ministre rencontrent ce lundi 25 juillet 2016 le dirigeant du principal parti d’opposition, le CHP (laïc, centre gauche), et celui du MHP (nationaliste, classé à droite). Une première depuis le putsch raté du 15 juillet.
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Article - Le premier semestre 2016 en photos

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 25/07/2016 - 08:00
Général : La fin de la présidence néerlandaise du Conseil de l’Union européenne, la Rencontre des Jeunes européens à Strasbourg, le débat en plénière consacré aux résultats du référendum britannique… Quels ont étés les moments forts de ce premier semestre 2016 au Parlement européen ? Parcourez notre diaporama pour un récapitulatif en images de ces principaux événements.

Source : © Union européenne, 2016 - PE
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Allemagne: un jeune Syrien se fait exploser à Ansbach, 12 personnes blessées

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 06:22
Un réfugié syrien s’est fait exploser dimanche 24 juillet au soir près d'un festival de musique dans le centre-ville d'Ansbach, dans le sud de l'Allemagne. Les autorités allemandes ont indiqué ce lundi que d'après une vidéo retrouvée sur son téléphone portable, il avait fait allégeance au groupe Etat islamique
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[Reportage] Turquie: l’ambiance après le putsch raté inquiète les expatriés

RFI (Europe) - Mon, 25/07/2016 - 00:37
Une semaine après la tentative de putsch raté en Turquie, les expatriés se remettent peu à peu de leurs émotions. Mais au-delà de la peur ressentie le soir du 15 juillet, c'est surtout l'ambiance qui a changé, une ambiance très nationaliste qui inquiète les ressortissants étrangers.
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Gouvernements européens et eurosceptiques, populistes, europhobes sont-ils complices ?

EU-Logos Blog - Sun, 24/07/2016 - 22:00

Qu’attendre des gouvernements européens, ces éternels « intermittents de l’Europe » (Sylvie Goulard). On peut être tenté de répondre à la question pour les gouvernements européens :oui ! ils sont complices ! Probablement à l’insu de leur volonté consciente, si non, comment expliquer leur abandon de l’espace politique, médiatique sociétal, à toutes ces forces obscures rétrogrades qui saturent tout le débat sans que soit organisée une réplique structurée? Une véritable démission des gouvernements qui se sont cachés derrière le Royaume-Uni pour ne rien entreprendre, le Royaume-Uni parti, un nouvel alibi s’est établi années après années : ne pas heurter l’opinion publique supposée gagnée par l’euroscepticisme, l’europhobie, le souverainisme xénophobe.

N’avait-on pas prédit avec un plaisir gourmand qu’en cas de victoire du Brexit , un coup décisif serait porté à la crédibilité de l’Union européenne et à la foi dans le projet européen porté par plusieurs générations de citoyens. Le sondage réalisé par IFOP dans six Etats membres cinq jours après le référendum pour le compte de la Fondation Jean Jaurès indique clairement que le soutien reste élevé(newsletter@jean-jaures.org «  les européens et le Brexit, enquête et analyses »). Non seulement il reste élevé, mais il s’est renforcé. Le sondage ne reprend pas les pays nordiques réputés plus eurosceptiques , mais d’autres en quêtes donnent des résultats spectaculaires  : d’avant le référendum et après, le soutien à l’appartenance à l’UE est passé de 59% à69% au Danemark, de 56% à 68% en Finlande et de 49% à 52% en Suède. Quant à la Pologne régulièrement présentée comme anti, européenne et qui a porté au pouvoir un parti souverainiste et autoritaire, elle est le plus européen avec un soutien de 89% dans l’enquête IFOP . Ce sondage post Brexit dément une autre prétendue vérité : les européens ne veulent pas entendre parler de plus d’Europe. Surtout pas plus d’Europe ? C’est très précisément le contraire que nous constatons : dans les six pays sondés des majorités consistantes se prononcent en faveur d’une armée européenne, d’un Ministère européen des finances, de l’élection d’un Président européen au suffrage universel etc … L’enquête Eurobaromètre pour le Parlement européen du mois de juin confirme cette tendance : dans une trentaine de secteurs, lutte contre la fraude fiscale, chômage, migration, protection des frontières, sécurité défense, lutte contre le terrorisme, les citoyens de l’UE demandent massivement(de 60 à 70%)plus d’action européenne et non pas moins comme le prétendent chaque jour nombre de chefs d e gouvernement apeurés devant leurs oppositions populistes et europhobes. Et comme le dit de façon excellente Jurek Kuczkiewicz du Journal le Soir dans son éditorial du 15 juillet dernier :« on vient de voir outre-Manche ce qui finit par arriver lorsque plutôt que les combattre, on emprunte les thèses europhobes pour tenter de les déjouer… »Simple politique de Gribouille. « La grande majorité des dirigeants nationaux en Europe sait parfaitement sans oser le dire à leurs opinions publiques, que sur les grands enjeux les solutions ne peuvent qu’être européennes. On voit que les opinions européennes le pensent aussi. Et elles ne demandent que cela et après la décision du Brexit encore plus qu’avant. »

Mais pour que ces prédispositions aient leur effet encore faut-il que les gouvernants s’adressent à leurs opinions avec des idées nouvelles et avec le courage de les proposer et de les défendre. Ce n’est pas la disponibilité des opinions européennes qui fait défaut, comme le prétendent les dirigeants mais les idées et le courage des dirigeants.

Alors que les risques d’un effet domino étaient régulièrement évoqués dans les medias avec un multiplication de référendums partout en Europe, les opinions publiques européennes semblent partagées sur ce scénario et peu tentées de l’appliquer pour leur pays. Et dans l’hypothèse où de telles consultations auraient lieu des majorités encore plus massives se prononceraient pour le maintien dans l’UE. Entre 63% des italiens et jusqu’à 83% des polonais rejetteraient l’exit. Une épidémie de départ n’est pas d’actualité : le Brexit a revalorisé l’appartenance à l’Union et ses bienfaits. Si l’on compare ces résultats au rapport de force observé au moment de Maastricht, le gain du camp pro-européen s’établit à 16 points. Le retour à la monnaie nationale affiche un repli dans la plupart des pays. On note aussi des opinions publiques peu enclines à faire des concessions aux britanniques. Dans tous les pays une très large majorité a plébiscité l’idée selon laquelle le noyau dur des pays fondateurs prenne rapidement l’initiative pour créer autour de la zone euro, une Europe plus intégrée politiquement et économiquement. Les scores sont massifs. Des pays comme l’Espagne ou la Pologne réalisent des scores importants ( 68 à 70 %) même s’ils sont en retrait sur ceux des pays fondateurs ( le plus souvent supérieurs à 80%).L’enquête marque un coup d’arrêt important au processus de l’élargissement. Autre point fort de l’enquête, a priorité marquée en faveur de la consolidation de l’édifice européen, à la suite de la crise ouverte par le Brexit. Principale victime, la Turquie. Le déclin prononcé de la faveur portée à l’élargissement ne constitue pas le seul facteur ayant renforcé les réticences à l’égard de la Turquie. La dégradation de la situation sécuritaire et politique avec la dérive autoritaire, la reprise de la guerre avec les Kurdes, la multiplication des attentats, pèsent également lourdement.

Conclusions : la voie solitaire du Brexit n’est pas la voie royale de la sagesse. Gouvernants et politiques doivent répéter inlassablement   que c’est ensemble que nous sommes le plus forts. Souligner davantage et proclamer encore que les Européens partagent une même volonté commune de concilier efficacité économique, cohésion sociale et protection environnementale dans une démocratie pluraliste. C’est à l’Europe que revient de prendre les décisions qui traduiront cette volonté d’équilibre, unique au monde tout en soutenant croissance et emploi dans un nouveau grand plan d’investissement amplifiant le « plan Juncker ». C’est se situer loin du ton désabusé et stérile de ceux qui se complaisent à ressasser sur la crise identitaire. Notre identité est claire comme l’évidence.

Aux gouvernants et politiques d’indiquer fortement que l’Union fait la force lorsque l’Histoire redevient tragique. Promouvoir l’UE comme seule réponse possible à des menaces multiples : terrorisme islamique, chaos syrien et libyen, mouvements migratoires désordonnés, agressivité russe, prétentions turques mégalomanes, finances folles, débridées, dépendance énergétique, changement climatique, volonté de puissance irrépressible de la Chine…Autant de défis énormes qui nous obligent à partager nos souverainetés plutôt que de gloser une fois de plus et de façon stérile sur les changements du Traité et jouer au mécano ou au lego institutionnel. C’est ouvrir la boîte de Pandore du détricotage de tout ce qui a été réalisé depuis l’appel de Robert Schuman. Le récent appel des pays du Visegrad est à cet égard significatif. Pas de Parlement européen, désormais rôle accru des parlements nationaux qui devront être les derniers décideurs en dernier ressort, dans le processus législatif, renforcer le Conseil européen représentant les Etats au détriment de la Commission, la plus grande proximité possible du Royaume-Uni, hostilité à tout projet de renforcement du noyau dur autour de la zone euro et des pays fondateurs. Telles sont les conclusions de la réunion des chefs de gouvernement du groupe de Visegrad à Varsovie le 21 juillet dernier.

Les grandes lignes d’action qui viennent d’être esquissées, sont la meilleure façon de répondre aux angoisses identitaires . C’est le sens à donner aux jeunes générations. Le nouveau monde est plein de menaces mais il est aussi rempli d’opportunités mobilisatrices.

 

Pour en savoir plus :

     -.Attentes à l’égard de l’UE, résultats de l’Eurobaromètre spécial pour le Parlement européen . Les grands enseignements https://jean-jaures.org/nos-productions/eurobarometre-special-du-parlement-europeen-les-grands-enseignements

     -. L’UE malgré tout ?Les opinions publiques européennes face aux crises (2005-2015)Daniel Debomy, Institut Jacques Delors http://www.institutdelors.eu/011-23086-L-UE-malgre-tout-Les-opinions-publiques-europeennes-face-aux-crises-2005-2015.html


Classé dans:Citoyenneté européenne, QUESTIONS INSTITUTIONNELLES ET BUDGETAIRES
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Allemagne: un demandeur d’asile syrien tue une femme à la machette

RFI (Europe) - Sun, 24/07/2016 - 21:06
Ce dimanche 24 juillet, un demandeur d’asile syrien a tué une femme et blessé deux autres personnes à la machette à Reutlingen, dans le sud-ouest de l’Allemagne. Ce drame, le troisième de ce type en moins d’une semaine, risque de fragiliser un peu plus la politique de la chancelière Angela Merkel à l’égard des migrants.
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Turquie: une foule de manifestants pro-démocratie rassemblée place Taksim

RFI (Europe) - Sun, 24/07/2016 - 20:23
Huit jours après la tentative de putsch avortée en Turquie, une manifestation pro-démocratie a été organisée ce dimanche soir sur la place Taksim d’Istanbul. Elle a réuni pour la première fois une partie de l’opposition et les partisans de l’AKP au pouvoir, qui occupent la place tous les soirs.
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Fusillade de Munich: le tueur avait préparé son acte «depuis un an»

RFI (Europe) - Sun, 24/07/2016 - 18:53
Deux jours après la fusillade de Munich en Allemagne, qui a fait 9 morts et 35 blessés, la police a indiqué ce dimanche 24 juillet lors d’une conférence de presse que son auteur avait préparé son geste « depuis un an ». Mais contrairement à ce qui a été envisagé, il ne semble pas avoir choisi ses victimes.
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Fusillade à Munich: la presse allemande dresse le portrait du tireur

RFI (Europe) - Sun, 24/07/2016 - 11:02
En Allemagne, la presse a largement évoqué la peur qui a envahi le pays suite à l’attaque dans un train en Bavière, puis la fusillade à Munich. Les journaux outre-Rhin rapportent que les enquêteurs brossent le portrait d’un jeune homme présentant des troubles psychiatriques, harcelé durant sa scolarité et qui aurait attiré via les réseaux sociaux ses victimes vers un restaurant McDonald's de la ville.  
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