It is now OK for European leaders to officially endorse Macron:
Despite a lot of implicit support from other world leaders and foreign politicians, few people chose to officially endorse Macron before the first round of the elections. For example, Barack Obama called him in front of cameras. Even if it is not an official endorsement, a friendly “good luck” speaks volume. The former American president holds no official position in the American administration, but he knew an official endorsement would have triggered a considerable backlash in both countries.
Not meddling with foreign in partner countries is a basic rule of diplomacy. First, trying to influence the internal political life of a country is usually perceived as a violation of the country’s sovereignty. Foreign politicians are, by definition, not part of the people that elect their own leaders. Second, endorsing a candidate in a foreign elections comes with great risks. If your candidate wins, then he might be grateful for the endorsement. But if another candidate wins, he will probably hold a grudge against you. This grudge might make posterior cooperation between the two countries harder.
German chancellor Angela Merkel understands that very clearly. She failed to endorse him before the first round, despite receiving him on 16th March. This was a favour she did not grant to François Hollande in 2012, or even to his conservative counterpart François Fillon. She still has not endorsed him officially, but some of her aides and Ministers did. Other leaders are using the same technique to voice over their preference for Macron, like the Italian Prime Minister Paolo Gentiloni through his Minister of the Economy Pier Carlo Padoan.
Why is it important?
Foreign endorsements might not be decisive for Emmanuel Macron to win the Presidential race. It might actually give Le Pen some room to attack him on his pro-European and pro-globalisation views. Georgi Gotev, a senior editor for Euractiv’s, writes in The Brief, that EU Commission President Jean-Claude Juncker’s endorsement is a « poison kiss ». Once, again Juncker believes the opposition of a Eurosceptic populist party and a pro-European candidate allows him to meddle in a national election. But his official support might be counterproductive. Juncker called the Dutch no to oppose the EU-Ukraine agreement, the Greeks to vote yes to the 5th July 2015 referendum, and he requested the Britons to stay in the EU.
Macron does not need these endorsements to win, but it gives him some international stature. Pierre Moscovici, the EU Commissioner for Economic and Financial Affairs and former Hollande Minister, told the European press that this election is about Europe, and most European observers agree. All the international attention, and the broader political context in the world, make this election crucial for the EU. And this attention it gets from Brussels and the national capitals reinforces the prominence of the issue. But the French presidential election is not a mere referendum on the EU. French voters have plenty of others topics to care about, and many of them have different priorities than most European observers.
Eurosceptic populism has not been defeated:
One part of Europe does not endorse Macron at all. This French presidential election can be linked to a broader context of the rise of populism in the Western world. We can read this election as yet another round of the struggle of right wing nationalist populists to win over their countries. The Brexit referendum and the election of Donald Trump in the United States were decisive victories for populists against the establishment. The Austrian and the Dutch elections saw populists fail to win the elections, but neither of Geert Wilders nor Norbert Hofer actually lost. Marine Le Pen might not be the next president of France, but she already succeeded in beating the French establishment. The National Front now enjoys a European reputation, and many extreme right parties are seeing Le Pen as an example of a successful politician. Macron is likely to win the Elysée, but he will not defeat Eurosceptic populism this time. Some people will try to emulate Le Pen’s performance, and Europeans know it. This potential spill over effect makes it appropriate for European leaders to ignore the traditional diplomacy and to meddle in.
Rémi Petitcol
Sources:
http://www.politico.eu/article/macron-france-president-eu-leaders-were-not-meddling-by-backing/
Picture by Robert Pratta/ Reuters
La politique européenne de sécurité et de défense commune : "Parce que l'Europe vaut bien une défense"
par André Dumoulin et Nicolas Gros-Verheyde
Editions du Villard (3 avril 2017)
Pour tout comprendre à l’Europe de la défense, il y a enfin une solution. Un manuel complet sur la « politique européenne de sécurité et de défense commune », le premier d’une longue série, publié aux éditions du Villard.
Une vraie « bible » sur l’Europe de la défense
C’est une première car il n’existe aujourd’hui, aucun ouvrage en français, à jour, faisant le tour de toutes les questions que pose l’Europe de la Défense, de façon claire et pédagogique. Ce qu’on appelle la « Politique européenne de sécurité et de défense commune » (PSDC) reste encore un no man’s land, bourré de fantasmes et largement méconnu.
Une politique encore méconnue
Née dans les Balkans, cette politique européenne devenue commune a évolué par à-coups. Certains la rêvent comme une « armée européenne » ou une alternative à l’OTAN. D’autres vilipendent sa faiblesse ou sa lenteur. La PESD devenue PSDC n’a ni ces ambitions ni ces tares. Au contraire ! Et elle recèle des avantages, mal connus. C’est tout l’enjeu de cet ouvrage : savoir comment fonctionne réellement l’Europe de la Défense.
Un ouvrage à quatre mains
Cet ouvrage est rédigé à quatre mains, par un universitaire et un journaliste, qui ont allié leur commune expertise : André Dumoulin (chargé de cours à l’université de Liège et professeur à l’Institut royal militaire – belge) et Nicolas Gros-Verheyde (rédacteur en chef de B2, ancien auditeur à l’IHEDN, correspondant de Sud-Ouest auprès de l’UE et de l’OTAN). Le premier apporte le recul historique pour comprendre, le second donne une mise en relief de l’actualité.
Tag: PSDCAndré DumoulinNicolas Gros-VerheydeLe rachat de crédit présente des risques importants pour sortir de ses problèmes financiers. Il est donc important de ne pas se précipiter sur les différentes offres proposées par les organismes financiers, mais de bien analyser avant de faire son choix.
Qu’est-ce que le rachat de crédit ?Le rachat de crédit permet de rassembler vos dettes en un seul crédit. Pour cela, vous n’avez plus à vous adresser qu’à un seul organisme financier, qui sera en mesure de vous conseiller sur les meilleures offres selon votre situation.
Opter pour cette démarche ne se fait bien évidemment pas dans la précipitation. Il vous faudra du temps pour avoir une idée de la meilleure offre vous convenant. De plus, l’organisme en question pourrait ne pas vous octroyer ce rachat si votre cas ne lui semble pas solvable.
Enfin, les risques encourus sont assez importants si on a des difficultés de remboursement lors de ce rachat. En effet, les engagements pris pour honorer ce rachat ne concernent généralement pas les petites sommes d’argent. Ainsi, les conséquences peuvent être d’ampleur, si vous n’arrivez pas à honorer vos engagements. D’où la nécessité de bien réfléchir avant de prendre toute décision et surtout choisir le bon organisme.
Quels sont les critères à prendre en compte ?Pour un rachat de crédit, vous pourrez vous adresser soit à un organisme bancaire, ou à un spécialiste dans ce domaine ou enfin faire appel à un courtier. Vous aurez ainsi différentes offres parmi lesquelles choisir et donc effectuer un comparatif de rachat de crédit.
Les organismes bancaires sont destinés aux personnes n’ayant pas encore des sommes importantes engagées. La meilleure solution dans ce cas est de s’y prendre à l’avance en vue de limiter les impayés. Les organismes spécialisés ne prendront en charge que les personnes solvables, en épluchant votre dossier.
L’avantage est le délai de remboursement qu’ils proposent. Mais la meilleure solution est de faire appel à un courtier. Celui-ci sera le mieux placé pour vous conseiller sur votre rachat de crédit. Dans ce cas, il faut vous assurer que ce dernier ne soit pas affilié à un organisme bancaire, car il n’aura comme intérêt que de vous faire affilier à celle-ci, sans se soucier de votre situation. Avant de vous lancer, effectuez une comparaison des différentes offres et ayez en tête que même s’il peut s’agir de la meilleure solution, ce dernier n’en est pas moins une dette.
Et même si l’organisme n’est plus les mêmes, vous devrez vous acquitter de vos payements. Si vous ne choisissez pas le bon racheteur, le risque peut être grave, vous risquez de vous retrouver dans une situation dans laquelle vous serez surendetté, voire totalement ruiné. La meilleure solution avant de souscrire à un rachat de crédit est de vous fier à un expert en la matière tout considérant tous ces critères.
On Tuesday 18th, Theresa May has called for snap general election “to make a success of Brexit”. She claimed that division at Westminster could obstruct the Brexit negotiations. Election would help to unify Parliament and to prevent instability.
“I think it is right now to ask the British people, to put their trust in me and the Conservative Party to deliver on their vote last year a Brexit plan that will make a success for this country and deliver a stronger, fairer global Britain in the future”, she said.
As a reminder, Theresa May became prime minister after British approved Brexit in June 2016. David Cameron, who had campaigned against leaving the European Union, resigned when Brexit passed. Currently the conservative party hold 330 seats out of 600. This is thus a small majority. The snap election could increase this majority and allow her to pass the Brexit legislation more easily.
The House of Commons has voted this proposal on Wednesday. To agree the vote Theresa May needed two-thirds of all MPs (so 434 MPs). Finally 522 MPs were in favour while 13 were against. Therefore British will go to the polls on June 8 instead of 2020. The question is: why are certain MPs reluctant? Of the 13 all but two were against the Brexit and had campaigned to stay in the European Union.
A short election campaign of less than 2 month will now begin in UK. Theresa May already announced that she would not participate to TV debates before election. “I believe in campaigns in which politicians actually go out and meet the voters”
Will Brexit be at the heart of the election campaign? Until now Theresa May sticks to her formal document setting out her desire for more control over immigration, leaving the single market and removing the UK from the jurisdiction of the European courts.
One thing is certain: elections in Europe are full of surprises!
Margaux Etienne
Sources / to find out more:
http://www.euronews.com/2017/04/19/uk-to-hold-snap-general-election-on-june-8
http://www.euronews.com/2017/04/19/who-are-the-13-rebel-uk-mps-who-voted-no-to-a-general-election