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Défense

Armées - De Villiers : statu quo, démission ou éviction ?

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Mon, 17/07/2017 - 13:23
Emmanuel Macron veut casser le chef d'état-major des armées. Il lui fait un procès en "expression publique", alors qu'elle ne s'est pas produite.
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BPN Industrial Cluster: 100% useful

MeretMarine.com - Mon, 17/07/2017 - 12:35

2007-2017. BPN’s 10th anniversary is being proudly celebrated as the cluster has been remarkably active supporting the Naval, MRE and Oil&Gas industries over the past decade. Year over year, Bretagne Pôle Naval has got stronger and as many as 180 businesses now enliven the network, thus adding 24,000 professionals for greater economic strength.

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Nouvelle-Calédonie : Le combustible du Kea Trader, toujours échoué, va être pompé

MeretMarine.com - Mon, 17/07/2017 - 09:15

Echoué depuis le 12 juillet sur le récif Durand, en Nouvelle-Calédonie, le porte-conteneurs Kea Trader va voir ses cuves à combustible pompées. Même si aucune pollution n’a jusqu’ici été constatée, les autorités françaises, pour prévenir tout risque, ont mis en demeure l’armateur du navire de faire évacuer les hydrocarbures présents à bord.

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L’objectif de 2% du PIB consacré à la défense

Bruxelles2 - Sat, 15/07/2017 - 20:17
(B2) L'objectif de consacrer 2% du produit intérieur brut à la défense est un objectif avant tout politique parmi les Alliés de l'Alliance atlantique. Cet objectif est inscrit de façon générale et politique dans la directive politique globale de l’OTAN approuvée en décembre 2005 (1). « La mise au point des capacités ne sera pas […]
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L'APNM-Marine écrit à Florence Parly

Le mamouth (Blog) - Fri, 14/07/2017 - 21:43
Le courrier est daté d'hier : l'APNM-Marine appelle Florence Parly à la "vigilance sur les
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Un risque pour le travail parlementaire

Le mamouth (Blog) - Fri, 14/07/2017 - 19:15
C'est bien le récit indirect, par la presse, de l'audition du CEMA à la commission de la défense, et
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Macron remet au pas l’armée. Un tir politique, à fragmentation (V2)

Bruxelles2 - Fri, 14/07/2017 - 19:05

(B2) Aux militaires et aux autres qui n’avaient pas tout à fait saisi que leur nouveau chef des Armées, Emmanuel Macron, avait un goût assez prononcé pour la stratégie, les manœuvres tournantes, les tactiques de retraite silencieuse et de contre-attaque brutale, ils viennent d’en avoir un avant-goût. La première bataille budgétaire du quinquennat qui vient de se dérouler, ces jours-ci, s’achève sur un air de blitzkrieg de la communication.

Une séquence bien organisée

La séquence parait très organisée, trop organisée d’ailleurs, pour être totalement improvisée. Le 28 juin, la Cour des comptes lance un rapport qui se veut alarmiste sur les finances de l’État. Il manque neuf milliards d’euros en 2017 par rapport aux objectifs annoncés. La conclusion est claire : il va falloir serrer la ceinture jusqu’à la fin de l’année et racler les fonds de tiroir.

Le temps du serrage de vis

Pour accompagner cette gestuelle, le gouvernement frappe partout, y compris dans la défense. Le 11 juillet, il présente la douloureuse décision. Il s’agit de montrer que les efforts demandés aux uns (social, éducation) est aussi demandé aux autres (affaires étrangères, défense). Le montant demandé aux armées – 850 millions d’euros – parait énorme et contradictoire avec les engagements de campagne du candidat et, surtout, au contexte international et national.

Le temps de l’addiction est terminé

Un acte politique destiné à montrer, en interne, l’inflexion du nouveau président et du nouveau gouvernement sur le redressement des comptes. Le Premier ministre Edouard Philippe l’avait dit, dès le 5 juillet, lors de la déclaration de politique générale : « Il y a une addiction française à la dépense publique. Et comme toute addiction, elle nécessitera de la volonté et du courage pour s’en désintoxiquer ».

Emotion militaire

Naturellement, les militaires s’émeuvent. Le général des armées Pierre De Villiers, chef d’état-major des armées, monte au créneau. Devant la commission de la défense de l’assemblée nationale, le 12 juillet, à huis clos il ne modèle pas son mécontentement. « Je ne vais pas me faire baiser comme ça » s’écrie-t-il selon un témoignage relaté par mon confrère . « Le grand écart entre les objectifs assignés à nos forces et les moyens alloués n’est plus tenable ». Les armées ont déjà trop contribué au redressement des comptes. « On a déjà tout donné » (1).

Un pas en direction de l’Allemagne

Le président Macron et le gouvernement semblent inflexibles aux critiques. Ils n’y répondent qu’à peine. Ce n’est pas l’urgence. L’important est ailleurs. Le 13 juillet, c’est le Conseil des ministres franco-allemand, spécialement convoqué à l’Elysée. Paris doit montrer à Berlin, actes à la clé, que le temps du déficit continuel est terminé. L’intensité, et la brutalité, des coupes démontre à la Chancelière allemande que la France ne se paie pas de mots. Le fait que la défense – point-clé pour le président et pour la sécurité européenne – ne soit pas épargné n’est pas un détail. C’est une garantie, nette, que l’engagement français, est déterminé. Ce qui permet à la Chancelière, à son tour, lors de la réunion au sommet de faire, un pas en direction des Français pour accéder à certaines demandes françaises comme le renforcement financier et politique de la Zone Euro (budget, ministre, etc.) ou l’élévation du niveau d’ambition en matière de défense européenne. Le projet d’avion de chasse en commun est plutôt une idée française qu’allemande.

Le temps du recadrage : La défense est un secteur protégé

La réunion franco-allemande est à peine terminé, le président Macron repasse à l’offensive et rappelle son engagement de campagne : l’objectif de consacrer 2% à la défense. Et il le prouve lors de son discours tenu devant les différents responsables de l’armée réunis à l’Hotel de Brienne (le siège du ministère de la Défense) en cette veille de la fête nationale (video). Dès 2018, le budget de la défense va rebondir passant de 32,7 milliards à 34,2 milliards d’euros (2). Soit un peu moins qu’espéré les militaires — le général De Villiers avait placé la barre à 34,8 milliards –  mais largement plus que le budget actuel (+ 1,5 milliard d’euros). L’important est de décrocher de la barre des 32 milliards où restait scotché le budget de la Défense depuis plusieurs années.

Le patron : c’est moi !

Reste ensuite à recadrer les râleurs qui ne sont pas encore insoumis. C’est chose faite dans le même message. « Il n’est pas digne d’étaler des débats sur la place publique. J’ai pris des engagements […] » rappelle le président de la République. « Les engagements que je prends devant les concitoyens, devant les armées, je sais les tenir et je n’ai à cet égard besoin de nulle pression, de nul commentaire ».

Un rappel au devoir de réserve

Et d’ajouter, histoire d’être bien compris. « J’aime le sens du devoir, j’aime le sens de la réserve qui a tenu nos armées là où elles sont aujourd’hui. Et ce que j’ai parfois du mal à considérer dans certains secteurs, je l’admets encore moins quand il s’agit des armées ». « Je suis votre chef » ajoute-t-il, de façon assez directe, et brutale, histoire d’être bien compris. Le président de la République cause, les militaires obéissent et la bouclent. Fermez le ban ! (3).

Un certain souvenir

Le piège se referme sur ceux qui ont cru que, comme sous la période de François Hollande, ils pouvaient manœuvrer à loisir et s’exprimer, éventuellement, contre le gouvernement. Le « jeune » Macron a une certaine expérience de ces arbitrages budgétaires et une certaine mémoire. Durant la période de 2014 à 2016, particulièrement lors de l’arbitrage difficile de 2015, quand il n’était qu ministre de l’Économie, les chefs d’armée ne s’étaient pas privés d’exprimer leur point de vue, soutenu (et soutenant) en cela « leur » ministre de la Défense, J.Y. Le Drian. Des ‘scuds’ que n’a, semble-t-il pas oublié, le Macron devenu chef des Armées. D’où un rappel à l’ordre qui coupe les pattes à toute possible contestation notamment sur le budget 2018 (où le CEMA n’obtient pas l’enveloppe désirée).

Un message à double détente

Ce message paraît donc s’adresser, en premier chef, au général Pierre de Villiers. Mais au-delà, il s’adresse à tous : officiers généraux comme simples officiers, hauts fonctionnaires et diplomates. Jupiter est de retour, la règle de discipline vocale également (4). Ce message est aussi à destination de la population : c’est le président qui fixe le cap et lui seul. Mais le président entend s’affirmer et montrer qu’il tient ses promesses. Le budget de la défense sera augmenté même si ce n’est pas un blanc seing pour les armées. Chaque million d’euro devra être soigneusement justifié, à entendre l’exécutif. Pas question de dépenser l’argent dans des équipements superflus (5). Sinon la hache budgétaire reviendra…

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Lire sur cet aspect ce qu’en écrit Vincent Lamigeon dans Challenge

(2) Dont 650 millions d’euros pour les opérations extérieures (OPEX) et non plus 450 millions d’euros comme traditionnellement, soit 200 millions d’augmentation.

(3) Un message reçu « fraichement » par les hauts gradés ainsi que le rappelle J.D. Merchet dans l’Opinion

(4) Est-ce souhaitable que les militaires et les officiers généraux soient ainsi réduits au silence, c’est une autre question qui mériterait au moins un autre article.

(5) Une position qui impose cependant que des choix clairs soient opérés et que des priorités d’investissement soient marquées clairement où se trouvent les manques les plus criants. Comme l’indiquent, justement, les militaires, certains équipements sont à bout de souffle, notamment dans l’armée de terre (mais aussi la marine) : les équipements de protection manquent, les hélicoptères doivent être remplacés, les drones sont encore trop peu nombreux. Peut-on combler ces manques en maintenant à la fois la posture d’engagement sur trois terrains à la fois (intérieur, extérieur, cyber et terrorisme), en maintenant les contrats indiqués (Rafale notamment) et en renouvelant la posture nucléaire dans ses deux armes. C’est là toute une question qui mérite d’être posée.

(Mis à jour : papier complété le 15.7 – réintroduction d’un § sur l’épisode de 2015 (au lieu d’une note), ajout de la réaction dans les armées – précision (note 5) sur la notion d’équipements superflus (mal comprise ou mal exprimée) à la suite de certains commentaires)

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Carnet (14.07.2017). EUTM Mali (CBSD). Menaces hybrides (centre). EUCAP Sahel Mali (jobs). COPS (agenda). Liste Al Qaida. Ukraine (Risque chimique). UE-Ukraine (Sommet). Opération sentinelle (révision). Mission ONU Colombie (décision). UE-Russie ...

Bruxelles2 - Fri, 14/07/2017 - 18:55
(B2) Parus récemment : Le Rhein sauve 919 personnes au large de la Libye Les 28 approuvent le concept de la nouvelle mission EUSSR en Iraq Les 28 veulent frapper les passeurs libyens au portefeuille La France soutient une mission européenne au sud de la Libye ? Fermer l’opération Sophia, pas efficace. Les Lords ne […]
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Le Rhein sauve 919 personnes au large de la Libye

Bruxelles2 - Fri, 14/07/2017 - 14:23

(B2) Le navire de soutien allemand « Rhein » – qui participe à l’opération européenne en Méditerranée – ont procédé à une action de sauvetage au large des côtes libyennes concernant 919 personnes au total, jeudi (13 juillet). L’intervention a commencé vers 12h, précise un communiqué de la Bundeswehr, avec le soutien d’un navire de la garde-côte italienne.

L’équipage a commencé à prendre en charge les 919 personnes (dont 121 femmes et 203 enfants) qui étaient à bord de sept bateaux pneumatiques et deux radeaux. Elle a également pris à son bord des personnes recueillies par les bateaux de deux ONG. Le sauvetage et le transbordement ont duré jusqu’aux petites heures du soir.

Parmi les naufragés, une personne gravement malade. Le malade, ainsi que sa femme et ses enfants, ont été immédiatement transférés vers la Sicile à bord du navire de la Garde côte. Le malade était « dans un état stable » précise les militaires allemands.

Huit bateaux pneumatiques ont été coulés, selon la pratique habituelle des marines présentes en Méditerranée. Suivant les instructions du centre de coordination des secours (MRCC) de Rome, le navire s’est ensuite dirigé vers le port de Corigliano Calabro qu’il devait atteindre ce vendredi (14 juillet).

(NGV)

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Les 28 approuvent le concept de la nouvelle mission EUSSR en Iraq

Bruxelles2 - Fri, 14/07/2017 - 13:13
(B2) Les ministres des Affaires étrangères vont approuver ce lundi (17 juillet), le concept de gestion de crises (CMC) de la nouvelle mission que l'UE entend déployer en Irak pour contribuer à la réforme des systèmes de sécurité (EUSSR Iraq). Une mission menée au titre de la PSDC Il s'agira finalement d'une mission de type […]
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Quand la ministre des Armées demandait le soutien du Sénat pour s’opposer aux coupes budgétaires

Zone militaire - Fri, 14/07/2017 - 11:18

Invitée de RTL, ce 14 juillet, Florence Parly, la ministre des Armées, a justifié la « remontée de bretelles » du général Pierre de Villiers, le chef d’état-major des armées (CEMA) par le président Macron au sujet de l’effort budgétaire de 850 millions d’euros décidé par le gouvernement. « Il a notamment réaffirmé quelque chose de très attendu : […]

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Armées : quelle mouche a piqué Emmanuel Macron ?

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Fri, 14/07/2017 - 10:46
La veille du 14 juillet, qui célèbre le lien entre les armées et la nation, le chef de l'État a humilié le chef d'état-major des armées. Mais pourquoi donc ?
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Les 28 veulent frapper les passeurs libyens au portefeuille

Bruxelles2 - Fri, 14/07/2017 - 10:20

(B2 – exclusif) La lutte contre les réseaux de passeurs en Libye n’a pas vraiment marqué d’effets notables. C’est un fait qui ne peut être nié aujourd’hui. Et l’Europe semble décidée à sortir son bâton « sanctions » pour frapper les « têtes » et les bénéficiaires de ces réseaux.

Un faible résultat de l’opération Sophia

L’opération maritime en Méditerranée (EUNAVFOR Med / Sophia) n’a pas vraiment obtenu de résultats dans la lutte contre le trafic d’êtres humains. L’objectif premier de la mission : démanteler les réseaux de passeurs est, pour l’instant, loin d’être atteint. C’est un euphémisme… Le nombre de personnes interpelées par les marins de l’opération Sophia (110 en deux ans) ne doit pas faire illusion. Ce sont en général de petites mains, des migrants eux-mêmes qui ont reçu mission de conduire leurs compagnons d’infortune. Dans ce lot, il y a très peu de passeurs — moins d’une dizaine selon nos sources (1) –, et encore moins de responsables du trafic. Ce que nous confirme un diplomate : « on le sait bien que les têtes de réseaux ne sont pas à bord des pneumatiques ». Ceux qu’on appréhende ainsi sont « des hommes de paille ou des personnes qui sont placées tout en bas de l’échelle des réseaux ».

Changer de méthode …

L’Union européenne va donc passer à ce qu’elle sait le mieux faire : établir des sanctions. Elle prépare ainsi une liste noire de personnes placées dans les réseaux, qui seront à la fois interdites d’entrée dans l’Union européenne (interdiction de visas) et dont les avoirs seront gelés dans les banques européennes. « C’est une nouveauté » — reconnait un diplomate européen avec qui B2 s’est entretenu –. Ce n’est pas tant le volet « interdiction de visas » qui sera efficace. Chacun en est conscient au niveau européen. « Ce n’est pas en leur interdisant de venir à Paris et à Rome qu’on aura un effet » Il faut frapper au portefeuille » y compris en Europe. « Nous avons identifié des personnes qui sont dans ces réseaux, ce qu’ils font, d’où ils viennent, qui ils sont. Nous sommes capables donc de mettre des noms ».

... et geler les fonds dans les banques européennes

« Les flux financiers ne restent pas dans des matelas à Tripoli. On le sait. Il y a des donneurs d’ordre, de l’argent qui circule y compris dans les banques européennes, il faut y mettre un terme. » Une mesure « indispensable […] Le trafic d’être humains génère d’importants profits. Il faut frapper au portefeuille. »

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) Un chiffre non confirmé officiellement. Les autorités européennes se refusent à donner tout détail sur le devenir de ces personnes, leur profil, leur devenir (condamnés, pas condamnés). Une sorte d’aveu de semi-échec…

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Il ne veut voir qu'une tête

Le mamouth (Blog) - Fri, 14/07/2017 - 09:23
Le président de la République vient traditionnellement saluer l'engagement des militaires à la
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Emmanuel Macron met un « bourre-pif » au chef d’état-major des armées

Blog Secret Défense - Thu, 13/07/2017 - 23:38
Par la violence de sa sortie, le chef de l’Etat a semé la consternation lors de la garden-party du défilé du 14 juillet.
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