Le Burkina Faso, à l'instar de la communauté internationale, a commémoré conjointement les journées mondiales des toilettes et du lavage des mains, le vendredi 19 novembre 2021 à Dédougou, chef-lieu de la région de la Boucle du Mouhoun. Cette célébration a été l'occasion de lancer officiellement la réalisation de 50 000 latrines et de 10 200 cabines d'assainissement communautaires, dans le cadre du Programme d'approvisionnement en eau et assainissement (PAEA).
La ville de Dédougou a abrité la cérémonie commémorative des journées mondiales des toilettes et du lavage des mains, le vendredi 19 novembre 2021. Placée sous le thème « Notre avenir est à portée de mains -avançons ensemble », la Journée mondiale de lavage des mains, célébrée chaque 15 octobre, a été commémorée en différé cette année. Celle des toilettes, célébrée chaque 19 novembre, a été placée sous le thème « La valeur des toilettes ».
Au niveau national, le ministère de l'Eau et de l'Assainissement a marqué ces journées par une série d'activités dont le lancement des travaux de construction de 50 000 latrines familiales au profit des populations de quatre régions du pays (Hauts-Bassins, Boucle du Mouhoun, Cascades et Sud-Ouest). Il y a eu aussi le lancement de la réalisation de 10 200 cabines d'assainissement communautaires dans le cadre du Programme d'approvisionnement en eau et assainissement (PAEA) et la remise de matériel de lavage de mains aux personnes déplacées internes. Ce programme est cofinancé par la Banque mondiale et l'Etat burkinabè.
L'édition 2021 est l'occasion d'interpeler l'opinion nationale et internationale sur le sous-financement des volets toilettes et systèmes d'assainissement, avec son lot d'impacts négatifs sur la santé, l'économie, l'environnement et les répercussions graves sur la vie des populations en général et des plus vulnérables en particulier.
Selon le ministre de l'Eau et de l'Assainissement, Ousmane Nacro, la commémoration couplée de ces journées représente une occasion pour informer le public sur le rôle crucial que jouent les ouvrages d'assainissement, et inciter les populations à l'adoption des bonnes pratiques d'hygiène. « En dépit des efforts de l'Etat et de ses partenaires, notamment la Banque mondiale, les indicateurs en matière d'accès à l'assainissement demeurent très faibles au Burkina Faso, avec un taux d'accès national en 2020 de 25,3%, dont 19,9% en milieu rural et de 38,6% en milieu urbain », a-t-il déclaré.
A en croire le ministre, la mise en œuvre du PAEA, soutenu par la Banque mondiale, a permis de réaliser plusieurs ouvrages d'assainissement au profit des populations. Il s'agit, en milieu urbain, de la construction et/ou la réhabilitation de plus de 18 000 latrines familiales et de 7 000 puisards domestiques dont certains ont été réalisés gracieusement au profit des familles qui accueillent des personnes déplacées internes dans les villes concernées. Il y a aussi la construction de 2 000 toilettes familiales en milieu rural au profit des déplacés internes et/ou de leurs familles d'accueil.
3,6 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à des toilettes
Pour la représentante résidente de la Banque mondiale au Burkina Faso, MaÏmouna Mbow Fam, la Journée mondiale des toilettes a pour but de sensibiliser tous les acteurs et partenaires sur « la valeur des toilettes ». « Le thème de la présente Journée mondiale des toilettes nous interpelle tous à ne pas faiblir dans les efforts, afin que toutes et tous les Burkinabè aient un accès adéquat et durable à l'assainissement », a-t-elle lancé.
A l'écouter, cette journée est célébrée dans un contexte où environ 3,6 milliards de personnes dans le monde n'ont pas accès à des toilettes gérées en toute sécurité. « Environ un demi-milliard de personnes continuent à déféquer en plein air, alors que l'accès à l'assainissement est mondialement reconnu comme un droit humain », a-t-elle déclaré, avant d'ajouter : « Chaque jour, près de 700 enfants de moins de cinq ans meurent de diarrhée dues à l'eau insalubre ou au manque d'hygiène et d'assainissement ».
Selon Maïmouna Mbow Fam, pour empêcher les maladies et les décès évitables, et transformer positivement la vie des populations, les gouvernements doivent se mobiliser, faire preuve de leadership, s'appuyer sur des innovations technologiques et se tourner vers des modèles innovants de prestations de service et de financement. Cela permettra sans doute d'atteindre l'objectif de développement durable 6.2 relatif à l'assainissement qui vise « d'ici à 2030, à assurer l'accès de tous, dans des conditions équitables, à des services d'assainissement et d'hygiène adéquats ».
La visite des réalisations du Programme d'approvisionnement en eau et assainissement (PAEA) dans la commune de Dédougou a mis fin à la commémoration des dites journées.
Yipénè NEBIE
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Le président de l'Assemblée nationale, Alassane Bala Sakandé, s'est rendu, le vendredi 19 novembre 2021, au chevet des éléments des Forces de défense et de sécurité (FDS) blessés lors de l'attaque d'Inata, pour s'enquérir de l'évolution de leur état de santé.
Accompagné de membres du bureau parlementaire et de présidents de groupes parlementaires, le président de l'Assemblée nationale est allé témoigner sa solidarité et celle de la nation entière aux blessés de l'attaque d'Inata. Il a aussi exprimé sa compassion et celle de la représentation nationale aux parents des éléments qui ont succombé.
Alassane Bala Sakandé s'est rendu respectivement au camp Général-Sangoulé-Lamizana et au camp de gendarmerie de Paspanga afin de remonter le moral des blessés qui y reçoivent des soins.
Pour le président du parlement, les soldats méritent une reconnaissance nationale. Il a donc demandé sur place que toutes les commodités soient accordées aux blessés afin qu'aucun d'entre eux n'ait à dépenser une quelconque somme de sa poche pour des soins. Loin des caméras et des micros, Bala Sakandé a écouté les confidences de certains blessés.
A l'issue de la visite, il a rassuré qu'une commission d'enquête parlementaire sera mise en place afin d'examiner la situation actuelle des attaques, et faire des propositions au gouvernement en vue d'une sortie de crise. Le président de l'Assemblée nationale a également promis de revenir avec l'équipe parlementaire pour des échanges francs. Il s'agira de discuter avec la hiérarchie militaire et avec les soldats eux-mêmes, afin de situer les rôles et responsabilités, recenser les problèmes et trouver ensemble des solutions.
Mais en attendant, l'Assemblée nationale a convié le gouvernement à s'expliquer sur la situation sécuritaire devant les députés, le mardi 23 novembre 2021.
Inocent H. Alloukoutoui (Stagiaire)
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L'Institut africain pour le développement économique et social - Centre africain de formation (INADES-formation Burkina) a organisé un atelier de lancement du Projet d'agriculture contractuelle pour un développement durable et équitable de la filière anacarde (PACFA). C'était à Banfora, le vendredi 19 novembre 2021, en présence des acteurs de la filière anacarde.
Le Projet d'agriculture contractuelle pour un développement durable et équitable de la filière anacarde (PACFA) a été mis en place dans le cadre du Projet d'agriculture contractuelle et de transition écologique (PACTE). Financé par l'Agence française de développement (AFD), l'Etat burkinabè, l'Union européenne et la Banque de développement allemande (KFW), le PACFA sera mis en œuvre par INADES-formation Burkina. Le projet couvre six communes de la région des Cascades pour la période 2021-2023. Ce sont les communes de Banfora, Tiéfora, Bérégadougou et Mangodara dans la province de la Comoé, et les communes de Niankorodougou et Loumana dans la province de la Léraba.
S'inscrivant dans la dynamique de faire de la filière anacarde un pôle de croissance dans la région des Cascades qui en est la première productrice, le PACFA, selon les initiateurs, vise à contribuer à la modernisation de la filière anacarde au niveau local.
La professionnalisation des acteurs à travers l'agriculture contractuelle ainsi que l'intensification agroécologie à destination du marché privé seront, entre autres, les enjeux du projet.
Le directeur pays d'INADES-formation Burkina, Isidore Della, a justifié le partenariat avec le PACTE pour la réalisation du PACFA, par les enjeux que présente la filière anacarde. « Ce projet répond aux préoccupations des coopératives qui sont dans la production de l'anacarde et qui font face aux problèmes de production en quantité. Ainsi, le PACFA entend soutenir les unités de transformation qui connaissent souvent des difficultés d'obtention de noix de qualité », a-t-il expliqué. Aussi, ce projet, a poursuivi M. Della, permettra de fédérer les actions pour que les coopératives de production et les usines de transformation puissent produire en quantité et en qualité.
« Le projet devra renforcer les liens entre les producteurs et les acheteurs de la noix de cajou », a fait savoir Roland Sié Kam, le représentant du PACTE. La première mission du PACTE est de régler la problématique de la commercialisation. « Nous intervenons beaucoup dans la gestion des différents problèmes liés à la filière anacarde. Nous essayons aussi de gérer les différents aspects du marché », a renchéri M. Kam.
Minata Koné, directrice générale de la Société industrielle de transformation de l'anacarde (SOTRIA-B), a salué les initiateurs du projet qui, selon elle, va avoir un impact considérable pour la filière anacarde dans la région des Cascades. Son usine, selon ses dires, rencontre des difficultés d'approvisionnement. Mme Koné espère donc que le lien qui va s'établir entre les producteurs et les transformateurs permettra de pallier ce problème. « La forme actuelle de l'approvisionnement contractuelle qui sera mise en place va aider la SOTRIA-B à augmenter sa production, à employer plus de personnels et, pourquoi pas, atteindre sa capacité de production de 2 500 tonnes », s'est enthousiasmée la présidente-directrice générale de la première usine de transformation de noix de cajou dans cité du Paysan noir.
Inoussa BANDAOGO
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Après deux jours de blocus sur le convoi français à l'entrée de Kaya à une centaine de kilomètres de la capitale Ouagadougou, des soldats français ont finalement procédé à tirs de sommation pour disperser la foule, selon l'agence d'information du Burkina.
Ces tirs ont malheureusement occasionné trois blessés. Un a été victime d'une fracture à la cheville, évacué à l'hôpital. Le deuxième a été touché à l'oreille et le dernier a reçu une balle dans la joue.
Le convoi essentiellement composé de militaires français était bloqué depuis jeudi 18 novembre 2021, par des manifestants à l'entrée de la ville. Après deux coups de feu, les manifestants se seraient dispersés mais ont vite repris position. Le bras de fer continue entre les deux protagonistes.
Le gouverneur de la région, Casimir Segueda, a annoncé, ce jour, au nom du gouvernement, que le convoi ne passera pas la nuit à Kaya. Il a demandé aux manifestants, de libérer le passage pour que le convoi rebrousse chemin sur la capitale (Ouagadougou) pour finalement quitter le territoire du Burkina Faso.
Lefaso.net
Source : AIB
La clôture de la session 2021 du cadre national de concertation des acteurs de l'inclusion financière a eu lieu ce 9 novembre 2021, à Ouagadougou. Au sortir de ce cadre national, six recommandations et quatre résolutions ont été retenues.
Durant deux jours, les participants au cadre national de concertation se sont penchés sur la situation de l'inclusion financière dans le contexte d'insécurité, afin d'accroître la résilience de l'offre des services financiers auprès des populations déplacées.
Six recommandations, ainsi que quatre résolutions, ont été retenues à la fin de ces échanges.
Pour les recommandations, on peut noter l'institutionnalisation de cadres régionaux de concertations périodiques des prestataires des services financiers, le renforcement du réseau de distribution, l'éducation à l'utilisation de la monnaie électronique et la réduction des coûts de transactions par une facturation spéciale. Il y a aussi le renforcement du fonds de relance économique pour réduire la vulnérabilité des clients, l'intégration des indicateurs liés au secteur des assurance dans la création du taux de l'inclusion financière, la mise en place d'une coordination formelle des actions d'éducation financière sous l'égide du Secrétariat permanent pour la Promotion de l'inclusion financière (SP-PIF) et la mise en place d'un mécanisme pour inciter les sociétés d'assurance à la couverture des risques liés à la crise sécuritaire.
Constituer une base de données fiables et justifiées des crédits en souffrance afin de faciliter les requêtes auprès de l'Etat, œuvrer à l'assouplissement des conditions de financement du Fonds national de la finance inclusive (FONAFI) pour tenir compte du contexte sécuritaire, lutter contre la cavalerie financière par la mise en place de centrales régionales d'échanges d'informations sur le crédit et une adhésion progressive, développer et mettre en place des mécanismes de collaboration entre prestataires pour assurer la continuité des activités d'épargne et de crédit au profit des membres issus des localités ayant connu la fermeture des agences, sont entre autres les résolutions prises.
Le ministre en charge de l'Economie, Lassané Kaboré, représenté par le secrétaire général du ministère, Dr Seglaro Abel Somé, a invité les acteurs de ce cadre à traduire ces recommandations et résolutions en actes concrets sur le terrain, afin d'avoir un bilan plus expressif à la prochaine session.
Il a aussi rassuré de l'engagement du gouvernement à jouer sa partition pour l'atteinte des objectifs.
Selon le secrétaire permanent pour la promotion de l'inclusion financière, Lin Hien, ces recommandations et résolutions seront déployées sous forme de plans d'actions.
Cette deuxième édition était placée sous le thème « Inclusion financière et situation sécuritaire au Burkina Faso : Quelles innovations pour un meilleur accès des populations aux produits et services financiers ? ».
Hanifa Koussoubé (Stagiaire)
Lefaso.net
Poste : Assistant(e) Logistique
Lieu d'affectation : Ouagadougou – Burkina Faso
Date d'entrée en service : Dès que possible
Clôture de Candidature : 03/12/2021 – 17h00
Comment postuler : Formulaire à télécharger depuis la plateforme www.lefaso.net
Seuls les candidats sélectionnés seront invités pour l'entretien.
1. Présentation de MAG :
MAG est une ONG britannique spécialisée dans le déminage humanitaire et dans la gestion et la destruction des armes et des munitions, et opère actuellement dans 17 pays à travers le monde. MAG recherche un(e) Assistant(e) Logistique pour soutenir les activités de son bureau au Burkina Faso.
2. Rôle principale et Responsabilités :
• Appui logistique pour les petits achats liés au programme : Participer au processus d'approvisionnement du programme, demande et recueil de devis, passation des commandes, suivi des livraisons.
• Inventaire et gestion des biens : contrôle qualité – réceptionne les biens commandés et assure l'inventaire (consommable, fournitures bureaux, etc.).
• Gestion du transport : en charge de la gestion et du suivi des mouvements des personnes et des biens en conformité avec les procédures établies (tableaux des mouvements…).
• Gestion des véhicules (voitures, motos, générateurs, …) : assure l'approvisionnement et fait le suivi de la consommation de carburant et la maintenance, conduire la moto pour les courses logistiques ou selon certains besoins du programme MAG BF.
• Participer au test de conduite lors des recrutements de chauffeurs (si besoin).
• Entretien et maintenance générale : assure le suivi de l'entretien et la maintenance des bureaux, résidences.
• En collaboration avec l'équipe recherche des lieux pour les formations, ateliers ou pour l'hébergements du personnel.
• Point focal pour toutes les activités logistiques dont il/elle est responsable et assure le lien avec les fournisseurs et stations carburant.
• Rédige et soumets à son superviseur – selon des échéances définies – les différents rapports en lien avec les activités dont il est responsable : suivi d'approvisionnement, rapport de stock, consommation de carburant, et inventaires des immobiliers, compilation des rapports terrain etc.
• Archivage : responsable de l'archivage physique et électroniques des documents de la logistique en conformité avec les standards.
• Aider au chargement et déchargement des véhicules.
• Assurer l'intérim de ses collègues de la logistique durant leurs absences (congés, maladie, formation…) sur délégation du Responsable Régional des Programmes.
• Apporter des conseils à l'équipe pour toutes les questions liées à la logistique du Programme.
Tout le personnel d'encadrement doit assumer les fonctions générales suivantes :
• Travailler dans le cadre des valeurs fondamentales de MAG, la promotion de sa philosophie et de sa mission
• Œuvrer à la réalisation des projets et des objectifs du plan d'action annuel
• Veiller à la connaissance et au respect de toutes les politiques et procédures MAG et se tenir informer des activités de MAG
• Entreprendre et appliquer les connaissances acquises à partir des programmes de formation et de développement appropriés.
• Assumer le rôle d'une manière adaptée au contexte culturel et dans le cadre juridique local.
• S'assurer que toutes les procédures logistiques utilisées par le programme sont conformes aux lois et réglementations nationales/locales et internationales, ainsi qu'aux exigences des bailleurs de fonds.
Il s'agit d'un document non contractuel pouvant être modifié de temps à autre selon les circonstances. Cette description de poste est destinée à résumer les principales fonctions et responsabilités du poste ; ce n'est pas destiné à être une liste complète et exhaustive des tâches. Tout le personnel de MAG doit faire preuve de souplesse et de volonté pour effectuer des tâches appropriées en cas de besoin.
3. Profil du candidat
Exigences : Minimum BEPC ou plus
Expérience : Minimum deux (02) années d'expériences professionnelles en ONG (poste similaire ou autre)
Connaissance Informatique : Bonne connaissance et utilisation courante des logiciels bureautiques (Word, Excel, Outlook)
Connaissance linguistique : Excellente maitrise de la langue française et la connaissance de la langue anglaise serait un atout.
Qualité : Esprit de proposition et d'initiative, aptitude à travailler sous pression programmatique.
Le formulaire à remplir doit être retourné par courrier électronique à l'adresse suivante : rh.burkina@maginternational.org
La date de clôture de l'offre d'emploi est fixée au 3 décembre 2021 – 17h00
Seuls les candidats présélectionnés seront contactés
Poste : Chargé d'Information,
Grade : NOC
Structure : Nations Unies Burkina Faso
Lieu d'affectation : Ouagadougou
Date limite de candidature : 30 Novembre 2021
Pour les informations relatives
• Aux responsabilités liées au poste
• Aux compétences requises
• Au niveau d'étude requis
• A l'expérience professionnelle requise
• Aux connaissances requises
• A la méthode d'évaluation
Veuillez consulter ce lien : https://bit.ly/UNBFNIO
Le Mercredi 16 Novembre 2021, le Conseil des Ministres a adopté un décret, portant création, composition, attributions et fonctionnement du Comité National d'Organisation du Forum National de Réconciliation.
La mise en place de ce Comité s'inscrit dans la perspective de la tenue du Forum national de Réconciliation, prévu du 17 au 23 Janvier 2022.
Le Comité National d'Organisation (CNO) a pour mission l'organisation pratique et la coordination de toutes les activités entrant dans le cadre de la tenue effective du Forum National de Réconciliation.
Le Comité national est dirigé par une Cellule de Coordination, présidée par le Ministre en charge de la Réconciliation.
Il comprend les 13 commissions spécialisées suivantes :
Commission Secrétariat et Documentation ;
Commission Accréditation ;
Commission Thème ;
Commission Finances ;
Commission Sécurité ;
Commission Presse et Communication ;
Commission Protocole ;
Commission Infrastructures et Matériels ;
Commission Transport et Logistique ;
Commission Animation ;
Commission Accueil et Hébergement ;
Commission Restauration ;
Commission Santé.
Dans chacune de ces commissions siégeront des représentants des ministères, de la classe politique, des autorités coutumières et religieuses, des femmes, des jeunes, des OSC, des personnes âgées, des personnes vivant avec un handicap, etc...
Les différentes structures choisies pour siéger au sein du Comité National d'Organisation, seront invitées à désigner leurs représentants, qui seront nommés par arrêté du Ministre en charge de la Réconciliation.
Le Ministre d'Etat, Ministre auprès du Président du Faso, chargé de la Réconciliation Nationale et de la Cohésion Sociale, se félicite de la prise de ce décret, qui marque une étape importante dans l'organisation du Forum National de Réconciliation.
Il se réjouit à l'avance, de pouvoir travailler avec toutes celles et tous ceux qui seront désignés par leurs structures, pour siéger au sein de ce Comité.
Ouagadougou le 18 Novembre 2021
Le service de Presse et de Communication du Ministère de la Réconciliation nationale et de la Cohésion sociale
Pour le Ministre d'Etat P/O
Le Chef de Service Communication
Issouf ZABSONRE
Chevalier de l'Ordre national de l'Etalon
Le Président de l'Université Thomas SANKARA informe le public (Etudiants et Professionnels) du recrutement de la 6ème promotion d'étudiants en Master professionnel en Développement local et gestion des collectivités territoriales (DEVLOG), à former à l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) pour la rentrée 2021-2022.
Cette formation est ouverte aux titulaires d'un diplôme de niveau licence (BAC + 3) en économie, droit, sociologie, géographie, ou de tout autre diplôme équivalent.
Le Master pro Développement local et gestion des collectivités territoriales s'adresse à un public large de responsables exerçant des fonctions diverses au sein des instances internationales, nationales ou locales, aux acteurs des politiques publiques locales et responsables de collectivités territoriales, aux économistes, juristes, géographes et sociologues parties prenantes au développement local et à la gestion des collectivités territoriales, tout public intéressé par un perfectionnement dans ce domaine.
Les candidats doivent déposer un dossier de candidature adressé à Monsieur le Président de l'Université Thomas SANKARA comprenant :
une demande manuscrite timbrée à 200 FCFA adressée à M. le Président de l'Université Thomas SANKARA ;
la copie légalisée des diplômes depuis le baccalauréat ;
une lettre de motivation exprimant clairement les objectifs poursuivis et le projet professionnel ;
toute attestation d'expérience professionnelle pertinente (le cas échéant) délivrée par le supérieur hiérarchique du candidat ;
un curriculum vitae (avec un numéro de téléphone et une adresse électronique) ;
un reçu de paiement des frais de dossier (non remboursables) d'un montant de 15.000 FCFA délivré par l'Agence comptable de l'Université THOMAS SANKARA.
Durée de la formation : 18 mois
Dépôt des dossiers de candidature :
Les candidats devront déposer leurs dossiers physiques à l'Institut de Formation Ouverte à Distance (IFOAD) sis à l'Université Thomas SANKARA ou envoyer par e-mail à : ifoad@ifoad-uo2.net
Période de dépôt de candidature : du 16 au 30 novembre 2021.
Date de publication des résultats de sélection : 03 décembre 2021 par affichage à l'Université Thomas SANKARA, sur les sites de l'IFOAD et de l'UTS : www.ifoad-uo2.net ; www.uts.bf et sur la page facebook de l'UTS.
Début des cours : 06 décembre 2021.
Frais de formation : les frais de formation d'un montant d'un million six cent trente-neuf mille huit cent quatre-vingt-douze (1 639 892) francs CFA seront versés en deux ans :
• 1ère année (M1) : huit cent dix-neuf mille neuf cent quarante-six (819 946) francs CFA à raison de quatre cent quatre-vingt-onze mille neuf cent soixante-huit (491 968) francs CFA à verser au plus tard le 14 mars 2022 et de trois cent vingt-sept mille neuf cent soixante-dix-huit (327 978) francs CFA à verser au plus tard le 29 avril 2022 ;
• 2ème année (M2) : huit cent dix-neuf mille neuf cent quarante-six (819 946) francs CFA à raison de quatre cent quatre-vingt-onze mille neuf cent soixante-huit (491 968) francs CFA à verser au plus tard le le 25 novembre 2022 et trois cent vingt-sept mille neuf cent soixante-dix-huit (327 978) francs CFA à verser au plus tard le 28 avril 2023.
Frais d'inscription : En plus des frais de formation, les candidats retenus pour le Master doivent s'acquitter des frais d'inscription suivants selon leur statut respectif :
• 15 000 francs CFA pour les étudiants de la zone UEMOA ;
• 50 000 francs CFA pour les travailleurs ressortissants de l'UEMOA ;
• 250 000 francs CFA pour les candidats hors zone UEMOA.
Attention ! : Une fois la formation commencée, il ne sera plus possible au candidat sélectionné d'annuler sa participation et de se faire rembourser, quelle que soit la raison de ce désistement.
Pour de plus amples informations, prendre contact avec le :
Secrétariat de l'IFOAD
Tél : 63 28 28 74
e-mail : ifoad@ifoad-uo2.net.
Le Président
Pr Adjima THIOMBIANO
Chevalier de l'Ordre des Palmes académiques
Chevalier de l'OIPA/CAMES
La grande famille SAWADOGO à Noh, Sabcé, Piitenga, Ouagadougou, Bobo Dioulasso, cote d'ivoire et aux etats Unis.
Le TENGAND SOOBA de Goungla
Sa majesté le Naaba Tigré de Boussouma, département de sabcé et famille
Sa majesté le Naaba Delwendé de Doulou, commune de Koudougou et famille
Les familles alliées,
La veuve OUEDRAOGO madeleine, les enfants et petits enfants à Bobo dioulasso et Ouagadougou
Très touchés par les expressions de compassion lors du rappel à Dieu de leur regretté époux, père, grand père, beau-père, frère, gendre, cousin, neveu et ami
SAWADOGO BOUKARY MATHIAS
Précédemment formateur au CESAO à la retraite, décès survenu le samedi 25 septembre 2021 à l'hopital Souro Sanou de Bobo Dioulasso de l'inhumation au cimétière municipal de sikasso-cira le 30 septembre 2021.
Elles remercient du plus profond du cœur tous ceux ou celles qui les ont soutenu moralement, matériellement, financièrement et spirituellement lors de cette douloureuse épreuve.
Elles remercient plus particulièrement :
Toutes les autorités administratives et religieuses des Hauts Bassins
Le personnel du Ministère de l'environnement, de l'économie verte et du changement climatique
L'archevêque de Bobo Dioulasso
Le conseil National du Laïcat
Le conseil diocésain des laïcs de Bobo Dioulasso
La délégation des ressortissants de la province du Bam
La délégation des ressortissants de la province du Yatenga
La délégation des ressortissants de la province du Bulkiemdé
Le PCAR du CESAO et l'ensemble des anciens collègues du défunt
Le directeur Général de la SOFITEX et son personnel
Le directeur Général de Filsah et son personnel
Le directeur Général de Pacific Hôtel et son personnel
Le Président National de l'ABBEF et son personnel
Le groupe des Samuels de la paroisse de Tounouma
Les CCB de la chapelle Saint Paul de Ouézzin ville
Les membres de la fraternité MontLigeon de la Paroisse de Tounouma
Les voisins et les jeunes du secteur 15 Ouézzin ville
les nombreux parents, amis et connaissances de la famille
Et tous ceux dont le nom n'a pu être cité.
Puisse dieu rétribuer a chacun et à chacune ses bienfaits au centuple.