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Afrique

Prise d'otages dans un hôtel à Sévaré, au Mali Afrique – France 24 - L’Actualité Internationale 24h/24

France24 / Afrique - Fri, 07/08/2015 - 15:31
Une prise d'otages est actuellement en cours dans un hôtel de Sévaré, dans le centre du Mali. L'armée malienne a encerclé les lieux et tente de déloger les assaillants. Cinq militaires et deux assaillants ont été tués, selon le gouvernement.
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2017: le Califat du Ponant, fédérant la Libye et l’Algérie, déclenche l'opération Prophète des mers

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Fri, 07/08/2015 - 11:09
(Ce communiqué peut être repris à condition d'en citer la source)
En 2017, la Libye et l'Algérie sont passées sous le contrôle de Daesh qui en a fait le Califat du Ponant. Profitant du désarmement moral des Européens, les islamistes décident de l'envoi, par vagues successives, de 4 millions de migrants vers l’Europe et plus spécifiquement vers la France, nouveau dâr al-harb[1]. A bord de certaines embarcations, ont pris place des kamikazes chargés de couler les navires portant secours aux forceurs de frontières et cela, afin de déstabiliser encore davantage l'ennemi. L'opération est baptisée Prophète des mers.
Face à cette guerre navale asymétrique, les rares frégates ultra-sophistiquées de la marine française, taillées pour la lutte de haute mer, sont débordées. A l’inverse les navires garde-côtes qui auraient dû être construits depuis longtemps afin de sécuriser les frontières maritimes, manquent cruellement. Faute de prise en compte par les autorités politiques des enjeux stratégiques vitaux que constitue la frontière maritime méditerranéenne, la marine française est impuissante.
Au sud, harcelé le long d'un front ouvert depuis la Mauritanie à l'ouest jusqu'au Soudan à l'est, le dispositif Barkhanes'est replié sur le Burkina Faso afin de protéger la Côte d'Ivoire. Quant aux dernières réserves opérationnelles françaises disponibles après des années de déflation des effectifs, elles ont été positionnées autour de N'Djamena afin de couvrir le Cameroun. Boko Haram, un moment affaibli, a en effet refait ses forces grâce à des cadres venus de Libye, d'Algérie mais aussi de Syrie.
En France même, alors que se déroule la campagne présidentielle, plusieurs banlieues se sont soulevées à la suite de contrôles d'identité ayant dégénéré. En raison de la dissolution de plusieurs escadrons de gendarmes mobiles opérée sous la présidence de Nicolas Sarkozy, les forces de l'ordre qui n'ont pas les effectifs suffisants pour intervenir doivent se contenter de boucler les périmètres insurgés. Les associations d'aide aux migrants dénoncent l' "amalgame"  et leurs mots d'ordre sont abondamment relayés par les médias. Vingt cinq mille réservistes de la gendarmerie sont rappelés cependant qu’ un peu partout, face à la passivité de l'Etat, se constituent clandestinement des groupes de résistants prêts à passer à l'action. La France est au bord de la guerre civile.
Comment en est-on arrivé là ? Entre 2011 et 2017, conduite au chaos par l'intervention franco-otanienne, la Libye est passée de la plus totale anarchie au califat, Daesh ayant réussi à y engerber les milices. Quant au général Haftar, sur lequel la "communauté internationale" comptait pour constituer une troisième force, il n'a pas pesé lourd face aux jihadistes.  Impuissante, l'Egypte s'est illusoirement retranchée derrière un mur électronique cependant que, quotidiennement, des attentats y entretiennent un climat de guerre civile. Quant à la Tunisie, une artificielle quiétude y règne car les jihadistesqui ont besoin d'un pays-relais, se gardent de trop y tendre la situation, se contentant d'y maintenir une pression calculée. Après plus d'un demi-siècle de gabegie, de détournements de fonds publics, de népotisme et de récriminations à l'égard de l'ancienne puissance coloniale, l'Algérie, cible principale des islamistes de toutes obédiences depuis la décennie 1990, a, quant à elle, basculé dans l'islamisme à la suite d'émeutes urbaines déclenchées par l'effondrement de la rente pétrolière.
Tel est le scénario auquel nous pourrions nous attendre à la veille de l'élection présidentielle française. Avec une Marine sans moyens, mais en première ligne face à la déferlante venue du sud, une Armée de terre aux effectifs rognés et isolée sur le rideau défensif sahélien et une Gendarmerie démotivée en raison de son alignement sur le modèle policier.
Bernard Lugan07/08/2015

[1] Pays des infidèles contre lequel les musulmans  sont en guerre jusqu'à la conversion de ces derniers.
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L'Afrique Réelle N°68 - Août 2015

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Tue, 04/08/2015 - 11:12
Sommaire
Dossier : Algérie - Une situation qui empire- Les données économiques de base- Mzab : les Berbères face au « grand remplacement »
Dossier : Les jihad africains - Les jihad d'hier- Les jihad de 2015
Histoire : Le premier conflit mondial en AfriqueL'Afrique de l'Est, suite et fin

Editorial de Bernard Lugan :L'actualité de cet été 2015 nous ramène en Afrique du Nord où tout procède du cancer libyen mais où la principale menace vient d'Algérie.
Jusqu'à ces derniers mois, la Libye était en totale anarchie. Les conséquences de cette situation pour la sous-région étaient certes gravissimes, mais pas apocalyptiques. L'intrusion de Daesh a changé les données du problème car la coagulation islamiste qui s'opère actuellement à travers cette organisation sunnite menace toute l'Afrique du Nord. La situation est la suivante :
1) Il n'est plus question d'une intervention internationale en Libye car le général Haftar sur lequel la « communauté internationale » comptait pour constituer une troisième force a échoué dans sa guerre contre les islamistes.
2) Daesh, dont la force de frappe est composée de non Libyens, a renversé le paradigme tribal à travers lequel, jusque là, passait toute solution. Sa méthode est simple : les chefs qui ne veulent pas lui faire allégeance sont égorgés. Terrorisés, les autres se rallient.
3) L'Egypte et la Tunisie ont décidé de se retrancher derrière l'illusoire protection constituée par deux lignes électrifiées. Quant à l'Algérie elle n'a qu'un seul objectif : protéger sa frontière avec la Libye, ce qui passe par de complexes accords avec les milices concernées.
4) Face à Daesh, Frères musulmans, Al Qaida et diverses milices islamistes viennent de s' « allier ». Dans cette guerre entre islamistes, l'Europe a totalement perdu la main.
5) Pour le moment, le Maroc résiste mais il va être dans les prochains mois la cible d'un nouveau mouvement fondamentaliste baptisé Unicité et jihad au Maghreb al-Aqsa, mouvement qui pourrait, lui aussi, se rallier à Daesh. Comme viennent de le faire plusieurs groupes algériens qui considèrent désormais Al Qaida comme trop « modéré »...
A ce tableau peu réjouissant vient s'ajouter le naufrage économique, social, politique et moral de l'Algérie. Or, la cible principale des islamistes de toutes obédiences est précisément ce pays. Depuis plusieurs mois, l'Afrique Réelle  met en garde les dirigeants français en leur montrant qu'il est illusoire de vouloir fonder une politique sécuritaire sur une Algérie au bord de l'explosion et où, économiquement, le compte à rebours a commencé. Après plus d'un demi-siècle de gabegie, de détournements et de népotisme, l'histoire se prépare en effet à présenter l'addition à un système à bout de souffle étranglé par l'effondrement du prix du pétrole.Entre juin 2014 et avril 2015, l'Algérie a puisé un peu plus de 33 milliards de dollars dans ses réserves pour simplement continuer à nourrir et soigner sa population. Or, fin avril 2015, les réserves de change du pays s'élevaient à 160 milliards de dollars. Dans une fourchette comprise entre 24 et 36 mois le pays ne pourra donc plus importer de quoi nourrir ses habitants, ne sera plus en mesure d'acheter la paix sociale à travers les actuelles ubuesques subventions qu'il verse à des millions d'assistés.Pour sortir de l'impasse, il faudrait que le prix du baril soit supérieur à 100 dollars ; or les prévisions le donnent à un cours moyen de 60 dollars jusque fin 2019 et à 80 ensuite. De plus, comme les réserves algériennes s'épuisent, la situation est sans issue. Heureusement qu'avec une dette inexistante - un peu plus de 3 milliards de dollars -, le pays n'a pas, en plus, à faire face à ses créanciers.
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Mallettes

Survie - Tue, 28/07/2015 - 10:10
Dans une série d'articles consacrés à « L'après Sassou », LeMonde.fr (16/06) dresse le portrait de Jean­-Dominique Okemba, « l'homme de l'ombre » du dictateur congolais : « Décoré de la légion d'honneur, en 2011, sur demande Nicolas Sarkozy, le contre­-amiral est un habitué du palais présidentiel français. Surtout du bureau du secrétaire général. De Dominique de Villepin à Claude Guéant, ils ont été quelques­-uns à fréquenter cet homme à la grande silhouette d'ascète. Chef des services de renseignements, (...) - 248 juillet-août 2015 / , , ,
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Premier ministre béninois des Affaires étrangères françaises ?

Survie - Tue, 28/07/2015 - 09:57
Si l'on en croit La Lettre du continent (19/06), le président béninois Boni Yayi aurait sollicité le chef de la diplomatie française pour convaincre Lionel Zinsou d'accepter le poste de Premier ministre. Ce Franco­-Béninois fut en effet le conseiller spécial de l'un comme de l'autre. Une bonne affaire pour le président béninois, qui pourra compter sur l'indulgence de la diplomatie française à l'égard de son régime en bout de course. Une meilleure affaire encore pour la « diplomatie économique » chère à (...) - 248 juillet-août 2015 / , , ,
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Bilan « globalement positif »

Survie - Mon, 27/07/2015 - 15:00
Comme Georges Marchais en son temps au sujet de l'ex­URSS, les députés français jugent « globalement positif » sur « le plan militaire » le bilan de 60 ans d'interventions militaires françaises depuis les indépendances puisque « nous pouvons dire sans nous tromper que l'armée française est aujourd'hui au meilleur niveau mondial » (Présentation du rapport d'information « Engagement et diplomatie : quelle doctrine pour nos interventions militaires ? » par le député Guy-­Michel Chauveau, 20/05). Pour ce qui (...) - 248 juillet-août 2015 / , ,
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Libye : allons-nous être contraints de soutenir Al-Qaida contre Daesh ?

L'Afrique réelle (Blog de Bernard Lugan) - Mon, 27/07/2015 - 13:15
En Libye, les interventions de l'Egypte, de l'Algérie et de la France, destinées à limiter les conséquences devenues incontrôlables de la guerre insensée déclenchée contre le colonel Kadhafi, deviennent de plus en plus problématiques. Pour cinq grandes raisons :
1) Cette intervention était subordonnée à la constitution en Libye même d'une force "nationale" susceptible d'être appuyée. Or, le général Haftar a échoué dans sa guerre contre les islamistes.
2) Plus que jamais, le principal objectif algérien en Libye est la fin du chaos en Tripolitaine afin d'assurer la sécurité de la frontière orientale. Englué en Cyrénaïque, le général Haftar n'a aucun pouvoir en Tripolitaine. Voilà pourquoi Alger traite actuellement avec les islamistes hostiles à Daesh qui contrôlent l'ouest de la Libye.
3) L'Egypte se trouve prise au piège. Dans sa lutte à mort contre les islamistes et les Frères musulmans, elle dépend en effet du financement des monarchies sunnites du Golfe. Or, paniquées par le retour de l'Iran chiite sur la scène politique régionale, ces dernières ont décidé de se rapprocher de tous les mouvements sunnites, dont les Frères musulmans et Al Qaida, comme cela vient de se produire au Yémen. Nous sommes en présence d'une politique de simple survie dont le terme est imprévisible, mais qui bouscule l'échiquier régional. Pour deux raisons majeures :- Ce rapprochement a affaibli Al Qaida car plusieurs groupes sunnites qui y sont opposés viennent de se rallier à Daesh, notamment en Tunisie et en Algérie.- L'Arabie saoudite freine l'interventionnisme du général Sissi afin de ne pas affaiblir ses nouveaux alliés en Libye, ce qui favorise indirectement Daesh, nébuleuse sunnite qui ne la menace pas encore.
4) Dans ce jeu d'échecs, la France est sur l'arrière-main, se limitant à éviter au Sahel une contagion venue de Libye. Or, tous les connaisseurs du dossier savent bien que sans une "pacification" de la Libye, l'opération Barkhane est bancale.
5) La solution libyenne qui était tribale n'est plus d'actualité. Dans les zones conquises, Daesh, dont la force de frappe est composée de non Libyens, a en effet  renversé le paradigme tribal en liquidant physiquement les chefs qui ne voulaient pas lui faire allégeance afin de terroriser les autres. En conséquence de quoi, les ralliements se multiplient...
Face à cette situation, l'Egypte et la Tunisie ont décidé de se retrancher derrière  deux lignes électrifiées. Cette illusoire défense va certes permettre à certaines firmes européennes de faire de fructueuses affaires, mais elle ne stoppera pas la gangrène.Alors, comme je ne cesse de le préconiser depuis des mois, il ne reste qu'une seule solution pour tenter, je dis bien tenter, d'empêcher la coagulation islamiste qui s'opère actuellement dans toute l'Afrique du Nord à partir du foyer libyen. Cette solution a un nom: Saif al-Islam, le fils du colonel Kadhafi actuellement détenu à Zenten. Lui seul est en effet en mesure de reconstituer les anciennes alliances tribales de Cyrénaïque, de Tripolitaine et du Fezzan détruites par l'intervention franco-otanienne.  Or, cette solution est impossible puisque, dans l'ignorance bétonnée du dossier et aveuglée par ses principes juridiques européocentrés déconnectés des réalités, la Cour pénale internationale l'a inculpé pour "crimes de guerre".
Dans cette évolution vers le pire que connaît la Libye, poussés à la fois par l'Arabie saoudite et par l'Algérie, Frères musulmans, Al Qaida et diverses milices viennent de s' "allier" contre Daesh. Dans cette guerre entre islamistes qui menace notre flanc sud, allons-nous donc être contraints de considérer Al Qaida comme un nouvel "ami"... ? Voilà le scénario apocalyptique auquel le sémillant BHL et l'éclairé Nicolas Sarkozy n'avaient pas pensé...

Bernard Lugan
27/07/2015
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Burkina : hypocrisie

Survie - Mon, 27/07/2015 - 12:42
« Nous sommes aussi à ses côtés pour que la justice puisse faire son travail en toute indépendance par rapport à des événements ou à des faits qui ont pu à un moment saisir le Burkina Faso » , a affirmé François Hollande à l'occasion de la visite officielle du président burkinabè de transition Michel Kafando. Sauf bien sûr quand la France organise l'exfiltration de l'ancien dictateur Compaoré pour le soustraire à la justice de son pays, mais c'est un détail. On doute également de la grande motivation des (...) - 248 juillet-août 2015 / , , , , ,
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Un bon score (bis)

Survie - Mon, 27/07/2015 - 12:35
Un deuxième chiffre qui n'est pas sans lien avec le précédent : invité le 18 juin sur BFMTV, pendant le salon du Bourget, le ministre français de la Défense a annoncé qu'il s'attendait à plus de 15 milliards d'euros de prises de commandes pour l'année 2015 en matière d'exportation de matériel de défense, notamment grâce à la vente des Rafale. Un succès qu'il attribue à l'insécurité grandissante dans le monde et à « l'excellence » des matériels proposés qui sont « combat proven », c'est­-à-­dire qui ont fait leur (...) - 248 juillet-août 2015 / , , ,
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Opex : un bon score

Survie - Mon, 27/07/2015 - 12:32
C'est officiel : pour l'année 2014, le surcoût dû aux opérations extérieures (Opex) a dépassé de 665 millions d'euros les prévisions du budget, pour atteindre un total de 1,115 milliard d'euros. Soit un résultat assez comparable aux années antérieures. Rappelons que cette sous­ évaluation est délibérée et vise à faire financer ces dépassements par les autres ministères. Ainsi, l'Education nationale aura par exemple contribué pour 93 millions aux Opex (L'Obs, 05/03). Et encore, les chiffres des Opex ne prennent (...) - 248 juillet-août 2015 / ,
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Monsieur « petite blague »

Survie - Mon, 27/07/2015 - 12:31
En visite officielle en Algérie mi­juin, François Hollande n'a pas pu refréner son goût pour les plaisanteries de mauvais goût. Interrogé sur la santé du président algérien, le président français a déclaré : « Le président Bouteflika m'a donné une impression de grande maîtrise intellectuelle et même c'est rare de rencontrer un chef d'Etat qui a cette alacrité, cette capacité de jugement (...) Je ne suis pas médecin, mais ce que je peux vous dire c'est que la qualité de la discussion que nous avons eue était (...) - 248 juillet-août 2015 / , ,
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Paris, capitale de la chasse aux migrants

Survie - Mon, 27/07/2015 - 12:16
Depuis le 2 juin et l'expulsion d'un camp où survivaient des centaines de réfugié­e­s sous le métro la Chapelle, Paris vit aux rythmes des expulsions, des fausses réponses apportées par les autorités et des violences, policières ou groupusculaires. Depuis plus d'un mois, les expulsions se multiplient, de la Chapelle à la Halle Pajol en passant par l'église St­Bernard (près de 20 ans après la célèbre expulsion de ce lieu ordonnée par le gouvernement de Juppé et dont le Parti socialiste, ironie de l'histoire, (...) - 248 juillet-août 2015 / , ,
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Quand l'Europe sous-traite le contrôle des migrations

Survie - Mon, 27/07/2015 - 10:59
La fermeture des frontières européennes s'est accompagnée d'une intensification de la coopération avec les « pays tiers » pour les transformer en gardes-frontières de l'UE. D'abord bilatérale, la "coopération" entre l'Union européenne (UE) et les pays tiers a été approfondie sous diverses formes, selon quatre objectifs différents : déléguer le contrôle des flux migratoires et des frontières aux pays voisins de l'UE, sous­-traiter les procédures liées à l'asile, obliger les pays tiers à réadmettre les migrants (...) - 248 juillet-août 2015 / , , , ,
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Politique migratoire européenne : une approche sécuritaire criminelle

Survie - Mon, 27/07/2015 - 10:41
Passée une vague passagère d'émotion collective, l'Union européenne a repris sa politique migratoire sans changer de cap : l'option sécuritaire lui semble être la seule voie. Près de 29 000 morts ou disparus en Méditerranée depuis 2000, plus de 2000 migrants portés disparus en mer depuis janvier 2015, et 1100 sur le seul mois d'avril : les chiffres des drames de l'immigration vers l'Union européenne (UE) ont fait la une des journaux ces trois derniers mois, provoquant en avril une vague d'indignation et de (...) - 248 juillet-août 2015 / , , , , ,
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Hollande au Cameroun

Survie - Mon, 27/07/2015 - 10:07
Le président français fait escale à Yaoundé le 3 juillet, après Cotonou et Luanda. Cette visite, après celle de l'année dernière au Tchad, confirme le renoncement de François Hollande à la moindre rupture dans la politique françafricaine. Pourtant le Cameroun ne brille pas par son respect de la démocratie. Paul Biya, au pouvoir depuis 1982, s'est arrogé la présidence à vie lors de la dernière réforme constitutionnelle en 2008, qui entraîna des émeutes dont la répression fit plus de 150 morts. Il ne brille (...) - 248 juillet-août 2015 / , , , ,
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RDC : l'ONU entend accélérer la neutralisation des groupes armés

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Tue, 14/07/2015 - 07:00
Lors d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU sur la situation en République démocratique du Congo (RDC), le Représentant spécial du Secrétaire général pour le pays, Martin Kobler, a salué mardi les avancées récentes en matière de lutte contre les groupes armés, dont la menace continue cependant de peser lourdement sur la population.
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Cameroun : l'ONU condamne un double attentat suicide dans le nord du pays

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Tue, 14/07/2015 - 07:00
Le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a condamné fermement un double attentat suicide qui a visé la ville de Fotokol, dans l'extrême nord du Cameroun, dimanche 12 juillet.
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Abyei : le Conseil de sécurité proroge jusqu'au 15 décembre 2015 le mandat de la force de l'ONU

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Tue, 14/07/2015 - 07:00
Le Conseil de sécurité de l'ONU a prorogé mardi le mandat de la Force intérimaire de sécurité des Nations Unies pour Abyei (FISNUA) jusqu'au 15 décembre 2015, en demandant instamment aux gouvernements du Soudan et du Soudan du Sud d'adopter des mesures visant à renforcer la confiance entre les différentes communautés concernées par cette zone frontalière qu'ils se disputent.
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Centrafrique : l'ONU condamne l'exclusion des réfugiés centrafricains des futures élections

Centre d'actualités de l'ONU | Afrique - Mon, 13/07/2015 - 07:00
Le Coordonnateur humanitaire de l'ONU en République centrafricaine, Aurélien A. Agbénonci, a exprimé lundi sa profonde préoccupation face à la décision du Conseil national de transition (CNT) du pays de refuser le droit de vote aux futures élections présidentielles à l'ensemble des réfugiés centrafricains ayant fui dans les Etats voisins.
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