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Croatie (Republika Hrvatska) : Dossier (-2013)

OPÉRATIONS / MISSIONS RÉCENTES EN CROATIE
  • ECMM (Mission d’Observation de la Communauté européenne, 15/07/1991-22/12/2000)
  • > EUMM (Mission de surveillance de l’Union européenne, 22/12/2000-31/12/2007) (-2004 en Croatie)
  • FORPRONU/UNPROFOR (Force de protection des Nations unies, 21/02/1992-15/12/1995)
  • > ONURC (Operation des Nations Unies pour le Rétablissement de la confiance en Croatie, 03/1995-01/1996)
  • UNPF Zaghreb (United Nations Peace Forces, 09/1995-01/1996)
  • ATNUSO /UNTAES - Administration transitoire des N. U. pour la Slvaonie Orientale, la Garanja et le Srem Occidental (15/01/1996 - 15/17/1997)
  • MONUP/UNMOP - Mission d'observation des Nations Unies á Prevlaka /Croatie/ (02/1997 - 15/12/2002)
  • UNPSG - United Nation Civilian Police Support Group /Croatia - Danube region/ (16/01 - 15/10/1998)

MOE - Missions d'Observation des Élections de l'UE en Croatie

Relations de l'UE avec la Croatie

ANALYSES

- ...

VIDEOS

HISTOIRE - CHRONOLOGIE

- Au néolithique, trois civilisations sont présentes sur le territoire bordé par la Drave, le Danube, la Drina et l'Adriatique : celle de Vucedol (Slavonie actuelle), celle de Butmir (Bosnie actuelle) et celle de Hvar (Dalmatie).

Illyres, Celtes, Grecs et Romains
- XIIe s. av. JC : Après l'installation des Illyres le territoire connaît celle des Celtes (Ve siècle). Parallèlement, les Grecs colonisent la côte adriatique et y fondent les premières cités : Corcyra Negra (Korcula), Epidaure (Cavtat), Issa (Vis), Pharos (Hvar), Tragurion (Trogir)...
- 50 av. JC.: victoire des Delmates sur César après deux siècles de résistance farouche des tribus illyriennes
- 27 ap. JC. : les Romains pacifient l'Illyrie
- 395 : Partage de l’Empire Romain par l'empereur Théodose.


Source des images : http://www.amb-croatie.fr/croatie/chronologie.htm

- VIIe-VIIIe s. : Installation sur les rives de l'Adriatique. Quittant l'éphémère "Croatie blanche" établie autour de l'actuelle Cracovie, dans le sud de la Pologne, les Croates se déplacent vers le sud, à la faveur des grandes migrations slaves. Ils s’installent sur les terres de l’ancien Illyricum romain (Illyrie) à l’ouest de la ligne de Théodose, dans les contrées croates et bosniaques actuelles, entre Drave et Adriatique, d'où ils repoussent les Avars (799) et où ils s'imposent aux Illyriens et autres populations autochtones romanisées. Intégrés dans la sphère culturelle romaine, ils sont les premiers slaves à se convertir au christianisme.

- IXe s. : Duchés croates. Sur les marches sud-est de l'empire carolingien, ils fondent trois banats (duchés) :
> la Croatie blanche,
> la Croatie rouge
> et la Croatie pannonienne,
à la tête desquels se trouvent des bans, notamment Vojnomir, Ljudevit, Borna, Trpimir [845-864] (Dux Croatorum), Domagoj (864-876) et Branimir [879-892], reconnu prince de Croatie en 879 par le Pape Jean VIII.


La Croatie en 1073
Source : http://www.croatia-in-english.com/images/maps/1073.jpg

Premier royaume croate (925-1091)
- 925 : Réunifiant ces territoires, Tomislav s`est proclamé roi et a fondé un puissant royaume. Selon l`ouvrage du empereur byzantin Constantin VII (De administrando imperio, vers 950), les territoirs hongrois (Slavonie) et croate ont été divisés en deux par les montagnes (et non par les fleuves Drava et Szava, comme les historiens croates affirment).
- 1058-1074 : apogée du royaume sous Pierre Kresimir IV
- 1075-1089 : La mort de Zvonimir, couronné "roi de Croatie et de Dalmatie" par un légat du pape, annonce le déclin de la dynastie nationale croate des Trpimirovici. A cette même époque, Rome accorde aux Croates le privilège unique d’employer dans la liturgie, aux côtés du latin, leur langue, qui s'écrit alors en caractères glagolitiques.

Union avec la Hongrie - sous la couronne hongroise (1102-1526)
- 1091 : Conquête de la Croatie par la Hongrie (roi Saint Laszlo/Ladislav), le roi a fondé l`évêché de Zagreb en Slavonie (1091/94)
- 1102 : Unie à la couronne hongroise : union entre la Croatie (incluant la Dalmatie) et la Hongrie sous l'égide du Royaume hongrois. Les Croates demandent la protection hongroise contre la République de Venise (dont l'objectif est contrôler la Dalmatie).
La Dalmatie (Dalmacija) s'étire sur 350 km sur la côte est de la mer Adriatique sur environ 60 km de large, et couvre 12 100 km2. Elle est traversée par les Alpes dinariques et comporte en outre de nombreuses îles, de l'île de Pag, au nord-ouest, jusqu'à à Dubrovnik et à la baie de Kotor (Monténégro) au sud-est. Dubrovnik et l'ancien territoire de la République de Raguse ne faisaient pas partie de la Dalmatie historique, mais sont aujourd'hui considérés comme inclus dans la Dalmatie géographique.
Les provinces de Croatie (Croatie, Slavonie /ne pas confondre avec la Slovénie/, plus parfois la Dalmatie) du royaume ont disposé d'une large autonomie administrative. Elle a été dirigé au nom du roi par le dauphin puis (afin de renforcer la région contre la lutte permanente contre la Venise) par un ban, faisant de ce titre préexistant l'un des plus élevés de Croatie.
- 1225 : l'autorité est divisée entre un ban pour la Slavonie, et un ban pour la Dalmatie et la Croatie.
- 1115-1420 : la Dalmatie fut le théâtre de nombreuses confrontations entre le Royaume hongro-croate et la République de Venise, qui avait hérité les îles dalmates de l'Empire byzantin.
- 1345 : les deux positions des bans sont occupées tour à tour par la même personne, et finalement regroupées en une seule en 1476.

La Croatie et l`Empire ottomane (1527-1699)
> la partie est du pays : est devenu partie de l`Empire Habsbourg (appartenue à la couronne hongroise). Les Habsbourg ont diminué l`autonomie de la Croatie bénéficiée sous le Royaume de Hongrie, le Sabor (parlement croate) a cessé de fonctionner.
> la partie est du pays : sous la domination de l`Empire ottomane
> les îles (Dalmatie) : sous la domination de la République Vénitien jusqu`à 1797
- 1699 : Paix de Karloca : L`Empire Ottoman perd le territoire de la Croatie sauf la Bosnie-Herzégovine (comme ancienne partie de la Croatie). Le territoire de la Croatie est coupé de plusieurs quartiers administratifs. Les Croates commencent à peupler la Slavonie (partie de la Hongrie) car sous l`occupation turque les Hongrois ont dépeuplé et/ou quitté cette région.


Occupation turque en Croatie jusqu'à 1606
Source : http://www.croatia-in-english.com/images/maps/1073.jpg

Sous la domination de l'Empire Habsbourg (1699-1918)
> 1699-1867 :
- Croatie
- Slavonie
- Districts frontaliers sous administration militaire (-1870)
? 1848 la Croatie perd son autonomie
1848-1849 : pendant la révolution hongroise, la Croatie a lutté à côté des Habsbourg pour avoir plus d`autonomie
> 1867-1918 : comme partie de la couronne hongroise (Monarchie d`Autriche-Hongrie)


Les changements de territoire de la Croatie et de la Slavonie projetés sur le territoire actuel de la Croatie - Source d'image : http://mek.oszk.hu/11800/11891/html/8827f1a.jpg

- 1809-1813: Napoléon et le réveil national croate (Les Provinces illyriennes)


La Croatie dans la Monarchie Austro-Hongroise (1867-1918)
Source : http://www.croatia-in-english.com/images/maps/1073.jpg

- 1918 La première expérience yougoslave


Source : http://www.euratlas.net/history/hisatlas/balkan_states/fr_194129YG.html

- 1941: La Seconde Guerre mondiale

La Croatie dans la République Fédérale Socialiste de Yougoslavie (1945-1992)
- 29 novembre 1945 : Fondation de la République fédérative populaire de Yougoslavie.
- 1946 : exécution de Draza Mihailovic, chef des tchetniks.
- 1948 : rupture avec Moscou.
- 1950 : introduction de l'autogestion, concept de base du titisme.
- 1956 : première réunion en Yougoslavie du mouvement des Non-alignés fondé par Tito, l'Indien Nehru et l'Egyptien Nasser.
- 7 avril 1963 : Le pays prit le nouveau nom officiel de République fédérative socialiste de Yougoslavie (RFSY - Socijalistička Federativna Republika Jugoslavija), qu'il garda jusqu'au 15 janvier 1992.
- 1965 : réforme économique; la planification est démantelée. Mise en place du "socialisme de marché".
- 1968 : manifestations étudiantes et ouvrières. Au Kosovo, les Albanais revendiquent un statut de république pour la province.
- 1971 : mouvement social et régionaliste en Croatie : "Printemps croate".
- 1974 : nouvelle constitution. Tito reconnaît l'autonomie du Kosovo et de la Voïvodine au sein de la Serbie.
- 1980 : mort de Tito. La Yougoslavie est gouvernée par une présidence collégiale, assurée à tour de rôle pendant un an par les représentants de chacune des six républiques fédérées (Bosnie-Herzégovine, Croatie, Macédoine, Monténégro, Serbie, Slovénie) flanquées de deux provinces autonomes (Voïvodine et Kosovo).
- 1981 : émeutes au Kosovo. Les Albanais réclament un statut de république.
- 1986 : l'Académie des sciences de Serbie publie un mémorandum qui accuse le régime de Tito d'avoir défavorisé la Serbie.
- 1987 : le scandale politico-financier d'Agrokomerc compromet de nombreux dirigeants politiques. Le président Ivan Stambolic démissionne; Slobodan Milosevic prend la tête de la Ligue des communistes serbe.
- 1988 : manifestations contre l'armée en Slovénie. Série de meetings de masse en Serbie pour soutenir les Serbes minoritaires au Kosovo.
- 1989 : émeutes et grèves au Kosovo; la Serbie abolit le statut autonome du Kosovo et de la Voïvodine. Discours nationaliste de Slobodan Milosevic à Kosovo Polje. Création d'un parti nationaliste, le HDZ, par Franjo Tudjman en Croatie. Affirmation du droit de sécession en Slovénie où le rôle dirigeant du parti est aboli.
- 1990 : fin du rôle dirigeant de la Ligue des communistes. Etat d'urgence au Kosovo. Elections libres dans les six républiques. Alija Izetbegovic en Bosnie, Franjo Tudjman en Croatie et Slobodan Milosevic en Serbie sont élus présidents
- 15 janvier 1992 : Dissolution de la RFSY


Source : http://www.atlas-historique.net

- 1986 : La croisade grand-serbe de Milosevic
- 1991: La guerre et l’indépendance de la Croatie

Présidence de Franjo Tuđman (30 mai 1990 – 10 décembre 1999)
- Les liens de Tuđman avec la diaspora croate lui permettent de créer l'Union démocratique croate ("Hrvatska demokratska zajednica" ou HDZ) en 1989, parti qui restera au pouvoir jusqu’en 2000. Le parti est un mouvement nationaliste revendiquant la tradition historique et culturelle croate et prônant les valeurs liées au catholicisme. Le but est alors de créer un État-nation croate et de gagner l’indépendance. Il annonce vouloir rétablir la Croatie dans ses frontières naturelles et historiques, qui aurait inclus la Bosnie-Herzégovine et se serait étendu jusqu'à la rivière Drina.
- 30 mai 1990 : Tuđman a formé un gouvernement non communiste avec à sa tête Stjepan Mesić.
- octobre 1990 : la Croatie comme la Slovénie a proposé de transformer l'État fédéral en confédération d’États souverains coiffée d’un parlement consultatif, menaçant de faire sécession si cela ne se produit pas.
- 21 décembre 1990 : la Croatie a adopté une nouvelle Constitution, lui conférant le droit de faire sécession.
- 31 mars 1991 : les premiers incidents ont éclaté au Parc national des lacs de Plitvice entre les milices serbes de la Krajina et les forces croates.
- 12 mai 1991 : un référendum illégal a été organisé en Krajina. Les Serbes se sont prononcés pour un rattachement à la République de Serbie si la Croatie fait sécession.
- 19 mai 1991 : la République de Croatie a organisé un référendum. Près de 95 % des votes exprimés étaient pour un État souverain et indépendant, libre de s'associer aux autres républiques de la fédération yougoslave. Le référendum a obtenu une participation de 70 % ; il est boudé par la minorité serbe (11 % de la population). Ces évènements, ainsi que la déclaration de la région de la Krajina proclamant son rattachement à la république de Serbie, ont poussé la Croatie vers la guerre.
- 1991-1995 : la Croatie en guerre. Tuđman se révélera être un fin stratège sur le plan diplomatique et militaire et arrivera à créer une armée croate. Il a profité des cessez-le-feu pour faire passer l'armée croate de 7 à 64 brigades après vingt cessez-le-feu, et ceci malgré un embargo sur les armes. Lors de la guerre en Bosnie Tuđman rencontre 47 fois Slobodan Milošević en dix ans pour s’accorder sur le partage de la Bosnie et la réoccupation de la République serbe de Krajina par la Croatie, point qui mènera certains membres du HDZ à quitter le parti. Tuđman a mené une politique de privatisation de l'économie croate. Il lui est reproché d'avoir « bradé » les entreprises croates à des profiteurs de guerre.
- 1992 : Tuđman élu président par suffrage universel (57 % des voix au premier tour)
- 1994 : Stjepan Mesić a quitté le HDZ pour former un nouveau parti, les Démocrates indépendants croate (HND).
- 1995: La victoire militaire croate et le retour de la paix
- 1997: Tuđman réélu par 61 % des voix au premier tour
- 10 décembre 1999 : Atteint d'un cancer dès 1993, il meurt d’une hémorragie interne.

Présidence de Stjepan Mesic (18 février 2000 – 18 février 2005; 18 février 2005 - 18 février 2010)
- 7 février 2000 : Stjepan Mesić a été élu président de la République en remportant 1 433 372 voix, soit 56 % des suffrages exprimés. Dix jours seulement après l'investiture du Premier ministre social-démocrate Ivica Račan, la HDZ s`est retrouvé totalement exclue du pouvoir.
- Mesic a critiqué durement la politique de l'ancien président Franjo Tuđman, le tenant pour nationaliste et autoritaire, privant de liberté des médias et menant une mauvaise politique économique. Mesić a favorisé alors les investissements étrangers et a mené une politique plus libérale pour la Croatie. Très actif en matière de politique étrangère, Mesić a défendu le projet d'entrée de la Croatie dans l'Union européenne. Il a aussi été à l'origine des excuses au président de l'État de Serbie-et-Monténégro, de la part de la Croatie, pour les crimes de guerre éventuellement commis. Il s'est déclaré réservé au sujet de l'intervention militaire des États-Unis d'Amérique en Irak et a préconisé une action sous l'égide de l'ONU. Il a développé des relations avec la Libye et a rendu visite à plusieurs reprises au colonel Mouammar Kadhafi, contre l'avis du Royaume-Uni et de la diplomatie européenne.
- septembre 2000 : amendements constitutionnels. Le président a perdu beaucoup des pouvoirs en matière de politique intérieure, transférés au Premier ministre et ses ministres.
- septembre 2000 : suite au mises en accusation du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie (TPIY) Mesic a mis 7 généraux croates à la retraite, dont Ante Gotovina. L'opposition d'extrême-droite et le HDZ ont critiqué cette mesure, l'accusant de mettre en danger la sécurité nationale.
- 23 décembre 2003 : Aux élections législatives la coalition menée par Ivica Račan a echoué. Mesic a nommé Ivo Sanader, président de la HDZ au profil pro-européen, au poste de Premier ministre. Pour la première fois depuis son indépendance, la Croatie a commencé une période de cohabitation.
- 2 et 16 janvier 2005 : élections présidentielles, Stjepan Mesić a reçu l'investiture du HNS, du SDP, du HSS, de l'IDS et de petits partis libéraux et régionaux.
- juillet 2009 : Ivo Sanader a démissionné, Mesić a suit la recommandation de la coalition majoritaire et a confié à Jadranka Kosor la direction du gouvernement. C'est la première fois en Croatie qu'une femme a pris ainsi la tête de l'exécutif.

Présidence de Ivo Josipović (18 février 2010 – 18 février 2015)
- 14 avril 2010 : devant le Parlement de Bosnie-Herzégovine, Josipović a affirmé regretter que la Croatie ait « contribué » à « la politique des années 1990 qui voulait que la division de la Bosnie-Herzégovine soit la seule solution pour le pays », qui « a semé les graines du malheur ». Il s'agit du premier discours d'excuses officielles d'un responsable croate reconnaissant la volonté politique de division de la Bosnie-Herzégovine.
- 2011 : Josipović a déclaré que les crimes commis par les Oustachis lors de la Seconde Guerre mondiale, comprenant ce qui s'est passé au camp de détention à Jasenovac (Croatie), ne devaient pas être oubliés.

1er juillet 2013 : L`adhésion à l`Union européenne

- 11 janvier 2015 : Kolinda Grabar-Kitarović est devenue première présidente de la Croatie avec une très courte avance, 50,74 % des voix face à Josipović. C'est la première fois depuis l'indépendance de la Croatie qu'un chef de l'État sortant rate sa réélection, et qu'une femme est élue à ce poste au suffrage universel direct. Elle a passé son enfance et son adolescence aux États-Unis, à Los Alamos...
- 23 décembre 2011 – 22 janvier 2016 : Zoran Milanović a été le Premier ministre de la Croatie. (En 1994 il a été envoyé au Haut-Karabagh et était le premier Croate à participer à une mission de paix de l'Organisation des Nations Unies. En 1996 il est devenu conseiller au sein de la mission croate auprès de l'Union européenne et de l'OTAN à Bruxelles. À la fin de son mandat en 1999 il a retourné au ministère des affaires étrangères.)
- 22 janvier 2016 : Tihomir Orešković, un homme d'affaires et homme d'État croate n'appartenant à aucun parti politique est devenu Premier ministre de la Croatie.

PERSONNAGES CLES

CLIVAGES, CONFLITS INTERNES

ARMEE DE LA CROATIE

Chefs des missions


ETHNIES ET MINORITÉS


Source : http://voyages.ideoz.fr/croatie-carte-minorites/

RESOLUTIONS DU CDS, RAPPORTS DU SG DE L'ONU :

Résolution 1437 (2002) : Croatie
Résolution 1424 (2002) : Croatie
Résolution 1387 (2001) : Croatie
Résolution 1362 (2001) : Croatie
Résolution 1335 (2001) : Croatie
Résolution 1307 (2000) : Croatie
Résolution 1285 (2000) : Croatie
Résolution 1252 (1999) : Croatie
Résolution 1222 (1999) : Croatie
Résolution 1183 (1998) : Croatie
Résolution 1147 (1998) : Croatie
Résolution 1145 (1997) : Croatie
Résolution 1120 (1997) : Croatie (UNTAES)
Résolution 1119 (1997) : Croatie (UNMOP)
Résolution 1093 (1997) : Croatie
Résolution 1079 (1996) : Croatie
Résolution 1069 (1996) : Croatie
Résolution 1066 (1996) : Croatie
Résolution 1043 (1996) : Croatie
Résolution 1038 (1996) : Croatie
Résolution 1037 (1996) : Croatie
Résolution 1025 (1995) : Croatie (mandat ONURC cessera après une période de soudure qui pourrait se terminer le 15/1/96)
Résolution 1023 (1995) : Croatie (application Accord fondamental sur Slavonie orientale, Baranja et Serm occidental)
Résolution 1009 (1995) : Croatie (exige que Croatie cesse actions militaires)
Résolution 994 (1995) : Croatie (accélération retrait troupes des zones de séparation)
Résolution 990 (1995) : Croatie (autorisation du déploiement de l'ONURC)
Résolution 958 (1994) : Croatie (protection zones de sécurité en Bosnie-Herzégovine)
Résolution 815 (1993) : Croatie (30 mars)
Résolution 807 (1993) : Croatie (19 février)
Résolution 802 (1993) : Croatie (25 janvier)
Résolution 779 (1992) : Croatie (6 octobre)
Résolution 753 (1992) : Nouveau membre : Croatie (18 mai)

SOURCES :
http://www.croatia-in-english.com/maps/
http://www.amb-croatie.fr/croatie/chronologie.htm
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