Les petites et moyennes entreprises (PME) bénéficieront, aux termes d’un avant-projet de loi adopté mardi en Conseil des ministres, d’un « soutien modulé » notamment dans les filières prioritaires, ainsi que d’un appui aux investissements dans les domaines de la recherche, de l’innovation et de la sous-traitance.
Cet avant-projet de loi d’orientation sur le développement des PME encourage également « l’émergence d’associations et de groupements professionnels des PME, ce qui favorisera le développement des synergies de filières ».
L’avant-projet, selon le communiqué publié au terme du Conseil des ministres présidé par le Président Abdelaziz Bouteflika, propose aussi « un dispositif public rénové pour le suivi et l’encouragement des PME, à travers l’Agence nationale de développement de la PME (Andpme) et ses démembrements locaux ».
Cette mise à jour législative « reflète l’importance grandissante des PME pour réaliser, dans notre pays, la croissance, la création d’emplois et la diversification de l’économie nationale », ajoute-t-on de même source.
Renforcer la mise à niveau et réduire le taux de mortalité des PME
Ce projet de texte, deuxième grand dossier législatif après celui du code des investissements adopté récemment par le Parlement, vient modifier et compléter la loi de 2001.
L’élaboration de cette nouvelle loi intervient après les résultats « mitigés » de l’opération de mise à niveau des PME, lancée effectivement en 2012 mais qui n’a pas atteint tous ses objectifs.
Dotée d’une enveloppe financière de près 386 milliards de DA, l’opération de mise à niveau visait 20.000 PME jusqu’à fin 2014.
Cependant, seulement 5.000 PME avaient adhéré à ce programme, soit 25% du programme, selon les chiffes de l’ANDPME.
Dans ce cadre, le nouveau texte prévoit une réforme du dispositif de soutien des PME sur les plans législatif et institutionnel ainsi que des institutions qui auront à mettre en place ce dispositif.
A travers la nouvelle loi, chaque entreprise sera soutenue selon ses propres besoins au lieu d’une démarche standard, et ce, pour prendre en charge es besoins différents et spécifiques de chaque entreprise.
Elle prévoit, entre autres, la création d’un Fonds d’amorçage destiné à accompagner financièrement les jeunes entreprises dans leurs premiers pas. Il s’agit aussi de protéger les PME et de réduire leur taux de mortalité estimé actuellement à 8%.
Selon les chiffres du ministère de l’Industrie et des mines, un peu plus de 900.000 PME opèrent actuellement en Algérie, un chiffre qualifié de « très faible » par rapport au potentiel du pays et aux objectifs du secteur.
Dans cette optique, le plan d’action du gouvernement vise la création d’un (1) million de nouvelles PME durant le quinquennat 2015-2019.
Outre la loi d’orientation pour le développement des PME, le dispositif de soutien aux entreprises sera également renforcé par d’autres textes de lois comme ceux de la normalisation, adopté récemment par le Parlement, et de la métrologie actuellement en cours d’élaboration.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a exprimé mardi la condamnation par l’Algérie de l’attaque terroriste perpétrée dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray et sa solidarité avec la France en cette tragique circonstance, dans un message adressé au président François Hollande.
« C’est avec une vive émotion que j’ai appris l’horrible nouvelle de l’attaque terroriste perpétrée dans une église de Saint-Etienne-du-Rouvray au cours de laquelle un homme de culte a perdu la vie de la manière la plus atroce alors qu’une autre personne a été blessée », a écrit le Président Bouteflika dans son message.
« En cette douloureuse circonstance et devant un acte aussi inadmissible commis dans un lieu sacré, je vous exprime, au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel, nos condoléances les plus attristées et nos sentiments de compassion », a affirmé le chef de l’Etat.
« L’Algérie, profondément choquée, condamne dans les termes les plus forts cet acte qu’aucune cause ne peut justifier. L’Islam qui sacralise la vie humaine et anoblit les autres religions du livre ne peut aucunement être souillé par un tel crime barbare », a souligné le président de la République.
« En vous réitérant l’assurance de ma pleine communion dans votre endurance personnelle et celle de votre peuple face aux épreuves affectant la quiétude publique dans votre pays, je vous prie d’agréer, Monsieur le Président et cher ami, l’expression de ma très haute considération et de mon estime cordiale », a conclu le chef de l’Etat.
Le Conseil des ministres a approuvé mardi la conclusion d’un marché de gré à gré au profit de l’Office de promotion et de gestion de l’immobilier (OPGI) de la wilaya de Blida pour la réalisation de 4.400 logements sociaux dans la commune de Meftah (Blida).
Le coût du marché conclu entre l’OPGI de la wilaya de Blida et l’entreprise « Atlas génie civil Company », un groupement spécialisé dans les études et réalisations dans le BTPH, est de 12 milliards de dinars et le délai de réalisation est arrêté à quatre (4) années, selon le communiqué publié à l’issue du Conseil.
Le lancement de ce projet, à l’arrêt depuis près de 10 ans, est prévu au cours du second semestre 2016.
Le retard accusé par ce projet s’explique notamment par le problème de rareté du foncier, considéré comme l’une des principales entraves dans le programme de logement de la wilaya de Blida.
Ce projet figurait parmi ceux programmés dans 15 communes de cette wilaya mais mis à l’arrêt pendant des années pour manque d’assiettes foncières conformes.
Pour rappel, les logements sociaux s’inscrivent dans la poursuite du programme sectoriel de l’Habitat qui vise globalement à réaliser 1.787.139 logements publics, toutes formules confondues.
Ce programme important comprend 724.090 logements de type public locatif (LPL), connu sous l’appellation de logement social, soit une part de 40% du volume global des réalisations prévues par le secteur.
Cette formule, destinée aux catégories sociales défavorisées et dépourvues de logement ou logeant dans des conditions précaires ou insalubres, a enregistré une consommation financière de près de 42,23 milliards de dinars durant le premier trimestre 2016, selon les chiffres du ministère de l’Habitat et de l’urbanisme.
Ces efforts permettent d’améliorer le cadre de vie des citoyens et d’éradiquer progressivement l’habitat précaire en Algérie qui ambitionne de devenir un pays exempt de bidonvilles.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a adressé mardi un message de condoléances à l’Empereur du Japon Akihito, dans lequel il a condamné « avec force » l’attaque « barbare » qui a ciblé un centre pour handicapés mentaux à Sagamihara (Kanagawa), faisant 19 morts et 25 blessés.
« J’ai reçu avec une profonde affliction la nouvelle de l’attaque barbare qui a ciblé un centre pour handicapés mentaux à Sagamihara (Kanagawa), faisant 19 morts et 25 blessés », a écrit le président de la République dans son message.
« Tout en condamnant avec force cet acte vil, je vous présente au nom du peuple et du gouvernement algériens et en mon nom personnel mes condoléances les plus attristées et adresse aux familles des victimes l’expression de ma profonde compassion en cette douloureuse épreuve, souhaitant un prompt rétablissement aux blessés », a conclu le Chef de l’Etat.
Les Algériens étaient plus grands avant. Littéralement. La taille moyenne des Algériens a poursuivi un déclin enclenché il y a près de 30 ans, dû à des facteurs alimentaires et environnementaux, selon une étude publiée mardi 26 juillet.
L’étude a été effectuée par des chercheurs de l’université britannique Imperial College London en analysant la taille moyenne des jeunes adultes entre 1914 et 2014 dans plus de 200 pays et territoires. Elle démontre que, à l’inverse de la tendance mondiale, la stature moyenne a baissé dans de nombreux pays de l’Afrique du Nord, de l’Afrique subsaharienne et du Moyen-Orient.
En Algérie, la taille des hommes adultes est passée de 172,3 centimètres en 1987 à 170,1 cm en 2014, soit une baisse de 2,2 cm. Bien que moins importante, cette baisse a également touché les femmes algériennes dont la taille moyenne a atteint 159,1 cm en 2014 alors qu’elle était de 159,7 cm en 1987.
Dans certains des pays les plus pauvres au monde, comme la Sierra Leone, l’Ouganda ou le Rwanda, la baisse de la hauteur moyenne des habitants a atteint jusqu’à 5 cm sur les décennies récentes.
« Cette recherche nous donne une idée sur la santé des populations au cours du siècle précédent. Elle révèle que la hauteur de certaines populations a même baissé tandis que d’autres continuent d’augmenter », a indiqué Majid Ezzati, professeur à l’école de santé publique du Imperial College London.
« Elle confirme que nous devons en urgence améliorer l’environnement et la nutrition des enfants et des adolescents sur une échelle mondiale, et nous assurer de donner le meilleur départ dans la vie aux enfants du monde », a-t-il ajouté.
L’étude a par ailleurs trouvé que les hommes aux Pays-Bas (182.5 cm en moyenne) et les femmes en Lettonie (170 cm) étaient les plus grands au monde en 2014.
Les dix populations les plus grandes se trouvent toutes en Europe.
Les hommes du Timor oriental sont par ailleurs les plus petits au monde avec 160 centimètres en moyenne, alors que les femmes au Guatemala, avec 149 cm, sont les plus petites.
Les femmes sud-coréennes ainsi les hommes iraniens ont enregistré la plus grande progression sur 100 ans, respectivement 16,5 et 20,2 cm, a aussi indiqué cette étude.
Nous avons appris que le directeur général Arabes Banque Algérie a été reçu hier par monsieur le wali de Mostaganem dans le cadre d’une réunion de travail pour booster l’investissement économique.
Le PDG, s’est engagé à ouvrir un siège à Mostaganem pour le fameux organisme international leadeur dans le finance investissement ‘’Arabes Banque’’. Selon des sources, le PDG s’est engagé a livré cette banque dans un délai de réalisation de 6 mois. La banque arabe est spécialisée dans le financement d’investissements.
Se posant avec acuité, la multiplication des parkings anarchiques en ville et aux stations balnéaires de ‘’Sablettes’’ et de la Salamandre, a fini par faire réagir vivement les autorités, dont le wali, M. Abdelwahid Temmar, qui recommande de mettre un terme dans les meilleurs délais à cette inextricable situation de la gestion de ces lieux sensibles, qui perdure depuis si longtemps.
Devenus de véritables sources de gain d’argent facile, les parkings clandestins se sont multipliés pour en faire de Mostaganem, une vaste aire de stationnement à ciel ouvert où le moindre mètre carré se facture en dizaines de dinars sous la menace de gourdins.
Fortement décriée les conducteurs , cette pratique contraint tout automobiliste a payer le prix fort pour le stationnement de quelques minutes, et malheur à celui qui ose réclamer, il verra sans trop de discussion, son pare-brise voler en éclats, et risquera fort de se faire bastonner. Face à cet état de fait, le wali vient de prendre de fermes décisions en coordination avec ses collaborateurs concernés de plus près par le problème, dont le chef de la daïra et le président de l’A.P.C.
Le wali tient à régler définitivement cette anarchie, qui caractérise le stationnement en ville. En ce sens, il désire en faire de Mostaganem, une ville-pilote dans la gestion des parkings, il a déclaré qu’il ne peut plus voir ces personnes avec des gourdins n’hésitant point à insulter les automobilistes pour quelques dinars. A ce titre, il a fixé une réunion pour le jeudi prochain sur la question des parkings, en exigeant la présence des partenaires concernés par le sujet. Le stationnement en ville frôle l’intolérable et la situation ne peut plus perdurer.
Une quantité de 1.697 quintaux de blé dur détournée pour être vendue comme aliment du bétail a été saisie dans la commune d’Ain El Melh dans la wilaya de M’sila a-t-on appris mardi auprès de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.
La même source a précisé que la saisie a été effectuée suite à un contrôle de police de la daïra d’Ain El Melh sur un axe routier de la route nationale (RN) n°70, détaillant que les céréales saisies étaient transportées dans six (6) camions. Après audition des chauffeurs de ces camions, il s’est avéré que ces céréales devaient être acheminées vers les wilayas limitrophes, pour être transformées en aliment de bétail et vendues aux éleveurs à des prix excessivement élevés.
Les enquêteurs ont procédé à la saisie des camions et de la marchandise, a-t-on noté ajoutant que les personnes impliquées dans cette affaire de trafic et détournement de produits soutenus par l’Etat ont été soumises à la citation directe.
Le « nouveau modèle de croissance économique », » débattu » et » adopté » mardi en conseil des ministres, se fonde sur une politique budgétaire « rénovée » avec l’amélioration de la fiscalité ordinaire et une mobilisation de ressources financières supplémentaires tout en privilégiant l’investissement à forte valeur ajoutée.
Ce nouveau modèle débattu par le Conseil des ministres s’appuie, selon le communiqué publié au terme de Conseil des ministres, sur une politique budgétaire rénovée soutenue par une amélioration des recettes de la fiscalité ordinaire de sorte qu’elle puisse couvrir, à l’horizon 2019, les dépenses de fonctionnement ainsi que les dépenses « incompressibles » d’équipements publics.
En outre, la nouvelle politique budgétaire repose sur une « réduction sensible » du déficit du Trésor à l’horizon 2019 et sur une mobilisation de ressources additionnelles sur le marché financier local, à l’image de l’emprunt obligataire, lancé en avril dernier, « dont les résultats appréciables témoignent de la confiance des participants dans les perspectives prometteuses de l’économie nationale », selon les termes du communiqué.
Concernant les objectifs du nouveau modèle de croissance économique, ils consistent notamment à privilégier, pour les investissements publics, ceux destinés aux infrastructures générant un effet d’entraînement sur les capacités productives du pays, avance le Conseil des ministres dans son communiqué.
Il s’agit également d’investir essentiellement dans les secteurs à forte valeur ajoutée tels que les énergies renouvelables, l’agro-industrie, les services, l’économie numérique et celle du savoir, l’industrie en aval des hydrocarbures et les mines.
Le nouveau modèle de croissance repose aussi sur la reprise de la production des hydrocarbures, une stimulation de la création d’entreprises par la poursuite de l’amélioration du climat des affaires et l’ouverture des secteurs non stratégiques à l’investissement privé et public ainsi que la promotion des exportations hors hydrocarbures, détaille le communiqué.
Ce faisant, cette démarche générera une croissance économique plus soutenue de 3,5% en 2016 et de 4% en 2017, selon la présentation faite au Conseil par le ministre des Finances, M. Hadji Babaammi.
Nul besoin de s’enfoncer dans la religion musulmane et nos traditions et coutumes pour savoir que la propreté de nos quartiers et nos ruelles est un devoir de tout musulman et un acte de civisme.
Beaucoup d’exemples et des questions nous interpellent à chercher le fond de ce mal, mais limitons-nous plutôt aux faits que nombreux sont ceux qui ne réagissent pas, comme s’ils avaient perdus la valeur d’exister où ils se sont habitués à vivre dans la saleté.
Les partisans du moindre effort se plaignent toujours des autorités qui les tarabustent à longueur d’année de bien vouloir nettoyer auprès de leur pas de maison, mais ces derniers se défendent avec fermeté pour dire que cette tache ne leur incombe pas et c’est aux autres de le faire car ils sont propres de naissance et que selon eux les propres ne se lavent jamais et que ceci relève du rôle des pouvoirs publics et plus précisément des collectivités locales. Mais malheureusement c’est leur culture Allah Ghaleb!
C’est honteux, frustrant et désolant de voir que ces rurbains puissent avoir une telle culture et que notre pays après plus d’un demi siècle d’indépendance et des caisses pleines à craquer, ne puisse pas jusqu’à l’heure actuelle trouver une solution radicale et adéquate à ce problème très grave qui est le manque d’hygiène qui asphyxie nos villes par ces décharges à ciel ouvert dans toutes les villes d’Algérie sans exception et même la capitale Alger qui jadis était surnommée « Alger la blanche » soit noircit par la pollution. Mais qui peut-on incriminer dans ce cas : le peuple ou l’Etat ? Nous dirons que les deux sont coupables en même temps à savoir que le peuple l’est par son incivisme et son laxisme qui vu sa maturité, est responsable et ne pourra être plus discipliné que par un Etat fort usant de toute son autorité sur les récalcitrants.
Par ailleurs, l’Etat ayant tout le pouvoir de décisions pourrait au lieu de dépenser des sommes colossales pour ramener des stars qui ne sont d’aucune utilité publique investir une part de cet argent pour doter les A.P.C de matériels de dernière génération et valorisé l’éboueur en le rémunérant en conséquence car ce métier est avilissant comme cela se fait dans les pays occidentaux où l’éboueur est le mieux rémunéré et étant motivé financièrement pourra faire un travail de qualité tout en n’oubliant pas de procéder à des campagnes de sensibilisation et par la même sanctionner tout contrevenant à l’exemple de la Turquie qui lorsque Ordogan prit le pouvoir commença tout d’abord par nettoyer les villes turques en priorité et c’est ce que nous devons faire en premier car dans l’état actuel de nos villes, nous ne sommes pas prêts de recevoir des touristes de sitôt.
Selon des sources concordantes, on a appris que 5 membres d’une même famille ont été tués dans un accident de la route, ce dimanche, suite au dérapage d’un véhicule de marque ‘’Suzuki Alto’’, à bord duquel, ils se trouvaient.
L’accident s’est produit à 14h30 sur la route nationale n°35, au lieudit «El Hamri», à proximité d’Aïn Fettah, dans la wilaya de Tlemcen, quand le véhicule a dérapé terminant sa course en contrebas de la route. Alertés, les éléments de la Protection civile de Tlemcen se sont déplacés sur les lieux de l’incident pour malheureusement constater le décès des personnes.
Il s’agit de deux femmes, âgées, de 38 et 27 ans, d’un homme, âgé de 66 ans, de deux filles âgées, respectivement de 8 et 6 ans. Ces derniers ont extrait les dépouilles mortelles du véhicule avant de les évacuer vers la morgue de l’hôpital de Maghnia. Une enquête a été ouverte par les autorités compétentes pour déterminer les circonstances exactes de l’Accident.
Un malfaiteur âgé de 42 ans a été arrêté lundi à Bir El-Ater, à 90 kilomètres au sud du chef-lieu de Tébessa, par les éléments de la police, apprend-on d’un communiqué de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.
En effet, deux jeunes femmes se sont présentées lundi matin au siège du commissariat de Bir El-Ater pour déposer une plainte contre un individu résidant dans la même ville originaire de l’Ouest algérien. Selon les deux plaignantes, elles ont été victimes de harcèlement et de fausses promesses contre un mariage. Selon la même source, l’escroc en question entre en contact avec ses victimes par téléphone et prétend être à la recherche de l’âme sœur.
Au fil des jours, il demandait à ses proies des bijoux en or et de l’argent en leur promettaient qu’il allait tout rendre après le mariage.
Les éléments de la BRI n’ont pas tardé à agir et il a fallu quelques heures seulement pour que l’escroc tombe entre les mains des services de sécurité. Il a été transféré au commissariat pour être présenté demain devant le tribunal de Bir El-Ater. La valeur de bijoux volés était estimé à 100 millions de centimes. Par ailleurs, 1000 litres de carburants ont été saisis sur l’axe Ouenza-El Merij à 70 kilomètres au nord de la wilaya.
Le carburant était chargé dans des fûts à bord d’une voiture de marque Renault espace. Le conducteur a pu prendre la fuite une fois intercepté par la police laissant derrière lui le véhicule et le carburant. Une enquête a été déclenchée.
“J’ai décidé d’annuler tous les PCD non lancés depuis 2012 et de les attribuer
aux APC qui le méritent !”, a déclaré le wali de Guelma lors de la deuxième session ordinaire de l’APW.
Au cours de la deuxième session ordinaire 2016 de l’APW, les élus ont saisi l’opportunité de l’ordre du jour pour soulever les préoccupations citoyennes aux autorités locales. Le problème récurrent des vide-sanitaires inondés d’eaux usées au niveau des bâtiments collectifs relevant de l’OPGI a été souligné par les intervenants qui déplorent également la prolifération des moustiques, des rats et des chiens errants qui enveniment la qualité de vie de la population. La cité Bara-Lakhdar, qui a bénéficié de travaux d’assainissement et de rénovation des conduites d’alimentation d’eau potable, est dans un état déplorable car les intervenants n’ont pas procédé à la remise en état des lieux concernés au grand dam des résidents qui évoluent dans un environnement hostile.
Un élu s’étonne de l’existence de décharges sauvages aux abords du CET, complexe d’enfouissement technique, de Bouguerguer, dans la localité d’Héliopolis. Un locataire de l’APW déplore que l’APC de Guelma, qui dispose d’un vaste patrimoine, gagnerait à réactualiser les loyers qui sont minimes, et ce, afin de disposer de ressources financières adéquates. Le wali, qui a pris note de ces doléances a déclaré d’emblée, “beaucoup de doléances relèvent des APC et je ne m’immisce pas dans leur gestion car elles doivent assumer leurs responsabilités et leurs prérogatives. Les biens des APC sont un sujet d’actualité puisque le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales en a fait son credo lors des regroupements régionaux des walis. Désormais, chaque collectivité locale doit s’ingénier à se prendre en charge en récupérant les loyers de son patrimoine car l’État est confronté aux retombées de la chute vertigineuse des cours du pétrole. L’APC de Guelma a les moyens de s’offrir la gestion de sa ville et elle ne peut plus prétendre à l’octroi d’enveloppes financières pour concrétiser ses projets. Cependant l’aménagement du Pos Sud et la création de la nouvelle ville de Guelma n’ont obéi à aucune étude sérieuse préalable et nous sommes arrivés à un goulot d’étranglement. Un bureau d’études de Constantine est à pied d’œuvre afin d’assainir cette situation et de mettre en place un schéma directeur. D’autre part, j’ai décidé d’annuler tous les PCD non lancés depuis 2012 et de les attribuer aux APC qui le méritent”.
Les services de sécurité de la wilaya de Blida ont arrêté 42 personnes durant le mois de Ramadhan pour avoir transformé les rues de la ville en parkings de voitures non autorisés. Parmi les personnes appréhendées, quatre ont été condamnées à des peines de prison ferme, d’autres (38 personnes) ont été aussi condamnées à des peines entre 2 et 8 mois de prison avec sursis et des amendes
de 20 000 DA. Selon le bilan, les services de sécurité ont arrêtés 126 personnes impliquées pour différentes affaires dont 39 ont écopé de peines préventives, 38 autres condamnées à des peines entre 2 à 8 mois de prison avec sursis plus des amendes alors que 49 autres personnes ont comparu en citation directe.
Depuis le 7 juillet dernier, la SNTF a adopté un nouveau programme de circulation des trains, qui sera en vigueur jusqu’à la mi-septembre. D’après des citoyens qui nous ont saisis, le nouveau plan suspend certains départs du matin, qui étaient adaptés aux horaires de travail. À titre d’exemple, les départs de la gare d’Alger vers celle d’El-Affroun et vice-versa (5h50, 6h45 et 16h15) sont arrêtés. Donc, les gens qui travaillent, qui ont l’habitude de prendre le train à ces heures-là, sont astreints d’embarquer tous sur celui de 6h20 de la gare d’El-Affroun vers la capitale, avec ce que cela sous-entend de surcharge et d’arrivées tardives sur les lieux de travail. “Est-ce que le programme usuel a été élaboré en fonction des étudiants sans prendre en compte les gens qui travaillent ? Être en été ne signifie pas que tous les fonctionnaires sont en congé”, relèvent nos interlocuteurs. “Depuis la mise en application du nouveau plan, c’est une vraie souffrance. Non seulement des départs importants fortement fréquentés ont été suspendus, mais aussi le train arrive en gare en retard”, ajoutent-ils. Renseignement pris, ce n’est pas le manque d’effectifs en cette période qui a motivé le changement opéré dans les horaires des trains.
Des photos prises sur le vif montrent l’ampleur du niveau d’insalubrité et d’amoncellement des ordures et déversement des eaux usées sur la chaussée, principalement au chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Les lieux sont devenus de véritables dépotoirs à ciel ouvert. Les gens de passage dans la ville, surtout les touristes en cette période estivale, sont confrontés
à un état de dégradation avancé de l’environnement dans pratiquement tous les quartiers, principalement ceux qui donnent sur la mer. Les habitants de Boumerdès ne font guère preuve de civisme. Ils jettent leurs ordures n’importe où, jusqu’aux accotements de plusieurs établissements scolaires. Si l’insalubrité gagne du terrain au chef-lieu de wilaya, que dire de la situation qui prévaut dans les 32 communes que compte cette wilaya ?
Les responsables des services centraux du département de la Jeunesse et des Sports ont établi un rapport, transmis au ministre de tutelle, dans lequel ils font état de la fermeture impromptue de certaines infrastructures de jeunesse et sportives, durant l’été, propice aussi à la préparation de la prochaine saison sportive. Il s’agit notamment des piscines. À ce titre, le ministre de la Jeunesse et des Sports, El-Hadi Ould Ali, a rappelé, dans une instruction adressée aux directeurs de wilaya, l’obligation d’adapter les horaires d’ouverture de l’ensemble des infrastructures aux horaires d’été. Il les a exhortés, en outre, à rendre accessibles en permanence les piscines en cette période estivale, d’organiser, dans la mesure du possible, des sorties vers les plages et forêts en faveur des jeunes des régions enclavées et enfin de suivre et accompagner les centres de vacances et de loisirs des jeunes par les DJS des wilayas côtières. Le membre du gouvernement a réitéré, dans ce sillage, “l’impérieuse nécessité de contribuer à la prise en charge du temps libre des jeunes conformément aux directives du Premier ministre”.
La Tunisie n’est pas uniquement une destination touristique pour les Algériens. Les habitants des localités frontalières avec ce pays s’y rendent aussi fréquemment pour acheter des médicaments.
Précisément, les Algériens traversent la frontière terrestre entre les deux pays pour rejoindre Tabarka, une ville tunisienne qui se trouve aux portes de la daïra d’El-Kala, à peine à une vingtaine de kilomètres de la municipalité d’Oum Teboul, pour une ordonnance. Le déplacement peut paraître surprenant pour un tel motif. Pourtant, selon les témoignages recueillis par le journaliste de Liberté à El-Tarf, les produits pharmaceutiques sont jugés moins chers et plus efficaces de l’autre côté de la frontière. S’il est difficile de statuer sur “l’efficacité” des médicaments vendus en officine en Tunisie, il est effectivement avéré que leurs prix sont plus bas, pour certains produits, qu’en Algérie.
La politique du médicament, appliquée depuis de longues années en Tunisie, maintient les prix à la consommation au montant négocié à leur première mise sur le marché. Le différentiel afférent à l’augmentation progressive des tarifs, au fil des années, est alors compensé par la Pharmacie centrale de Tunisie (PCT), sur ses propres fonds. Ce modèle, unique au monde, est recommandé par l’OMS pour favoriser l’accès aux médicaments des populations démunies.
Rien que dans la capitale, la violence dans les stades a fait, durant la saison écoulée, 41 blessés parmi les policiers mobilisés pour sécuriser les rencontres de football.
Désormais, la police n’assurera plus la sécurité dans les stades de football. La mesure annoncée, il y a deux ans, par le général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), va rentrer en vigueur à partir de l’année 2017 et le retrait des policiers se fera graduellement pour laisser place aux stadiers.
La question a officiellement été tranchée pour assigner aux policiers des missions liées au maintien et au rétablissement de l’ordre public, que ce soit sur les itinéraires ou les alentours des enceintes sportives. Du coup, toute violence enregistrée à l’intérieur des stades, jusqu’ici gérée par la police, sera assumée par les stadiers et les clubs porteront l’entière responsabilité des dégâts humains ou matériels qui surviendraient.
Avec une moyenne de 150 incidents et près de 1 000 blessés chaque année, en sus des enceintes et des véhicules saccagés, la violence dans les stades s’est installée et s’est vite propagée pour devenir “un sport national”. Hier, lors d’une rencontre-bilan organisée au site balnéaire Les Sablettes d’Alger, le chef de la sûreté de la wilaya d’Alger, Noureddine Berachedi, a fait état de 41 blessés parmi les rangs de la police dans le Grand-Alger lors des
139 rencontres de football jouées durant la saison 2015-2016. “La sûreté de la wilaya d’Alger prépare activement la saison sportive 2016-2017, avec, en amont, le retrait graduel de la police des enceintes sportives.
Fort heureusement, nous n’avons pas enregistré de blessés graves, mais on déplore cet état de fait. Les instructions du directeur général de la Sûreté nationale sont claires, en ce sens que nous devons assurer la sécurité des personnes et des biens, et contribuer à l’instauration de la culture de la tolérance et d’un climat de sérénité.” Sur un autre plan, M. Berachedi a également dévoilé le plan de sécurisation de la saison estivale. Ce plan, qui se déploie vers les 48 wilayas, est déjà opérationnel et consiste en la mobilisation de gros moyens humains et matériels pour permettre aux familles de passer leurs vacances en toute tranquillité. En outre, la criminalité durant le mois du Ramadhan a été abordée avec des chiffres qui donnent froid au dos.
En effet, le conférencier a révélé que, durant cette période, pas moins de 1 211 personnes ont été arrêtées par les services de la police dans le Grand-Alger, dont 441 placées sous mandat de dépôt. En plus de la petite criminalité, les 13 sûretés de daïra d’Alger ont mis la main sur 1 187 personnes pour trafic de drogue, de cocaïne et de psychotropes. Durant cette période, il a été procédé à la saisie de 6,7 kg de cocaïne, 59 kg de résine de cannabis et 34 180 comprimés hallucinogènes. Au volet du vol des véhicules, les mêmes services ont réussi à récupérer 17 voitures sur les 43 volées au mois de Ramadhan dernier.
Raison pour laquelle des directives ont été données pour intensifier les identifications de jour comme de nuit pour juguler ce phénomène. Selon M. Berachedi, près de 44 000 véhicules et 6 300 motos ont été identifiés lors de cette période qui a enregistré, par ailleurs, plusieurs vols par effraction.
Le Maroc a, finalement, accepté le retour de la composante civile de la MINURSO au Sahara Occidental, soit 25 à 30 fonctionnaires de cette composante. Par la voix d’une source autorisée marocaine, des médias ont indiqué que seule la composante civile est concernée, précisant, dans ce sens, qu’il n’y a pas de retour de la composante politique de la mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental. Par ailleurs, le retour du reste doit être avant la fin du mois de juillet.
Le Maroc avait expulsé, pour rappel, en mars dernier la composante civile et politique de la MINURSO, après la visite du Secrétaire général de l’ONU dans la région et ses déclarations qualifiant la présence marocaine au Sahara occidental d’occupation. Le retour de la mission de la MINURSO au Sahara Occidental, signifie que Rabat a perdu le bras de fer contre Ban Ki-moon qui a fini par avoir le soutien du Conseil de Sécurité dans sa volonté de garder la totalité du contingent de la MINURSO en vue de garantir sa pleine fonctionnalité.
La victoire de Ban Ki-moon a été possible parce que le Maroc a perdu le soutien de la France, ce qui explique, donc, la décision de Rabat d’annuler provisoirement la visite du Ministre français des Affaires Etrangères, Jean-Marc Ayrault.
Encore une fois, les autorités marocaines ont fait preuve d’immaturité dans la gestion du conflit du Sahara Occidental. Comme il explique le succès retentissant du Congrès extraordinaire du Front Polisario et le succès de la nomination du nouveau président de la RASD et Secrétaire Général du Front Polisario, Brahim Ghali qui a souligné dans son discours devant les participants du Congrès extraordinaire que « la MINURSO devrait être en mesure d’assumer sa mission principale pour laquelle elle a été mise en place en 1991, à savoir l’organisation d’un référendum au Sahara occidental », regrettant que cette mission se transforme en un gardien du fait accompli colonial marocain et du cessez-lefeu » .
«Il est temps pour que les Nations Unies et le Conseil de sécurité exercent des pressions et impose des sanctions contre le Maroc qui continuer de saboter les efforts de la communauté internationale devant mettre fin à l’occupation de la dernière colonie en Afrique « , a-t-il souligné. Rabat cherche à gagner du temps en attendant la fin du mandat du Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-moon. Leur seul de moyen de parvenir à leur fin est de jouer à l’enfant gâté. Jusqu’à quand? Une question que, apparemment, ils ne se posent pas.