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Alors que le Zimbabwe attend toujours les résultats de l'élection présidentielle, France 24 a interrogé Virginie Roiron, spécialiste du pays. "Les candidats ont pu faire campagne sans être délogés par la force comme ça a pu être le cas lors de précédentes élections. L'armée est très forte et très présente. L'ONU a relevé des tentatives d'intimidation dans les zones rurales. Mais ce n''était pas à l'échelle de ce qu'on a pu connaître avant".

À cinq mois de la présidentielle en République démocratique du Congo, l'ex-chef de guerre et ancien vice-président Jean-Pierre Bemba a déposé, jeudi, sa candidature pour briguer la succession du président Joseph Kabila.

Le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa a appelé jeudi à "résoudre pacifiquement" les différends avec l'opposition. La veille, la répression de l'armée contre des manifestants qui dénonçaient des fraudes électorales a fait trois morts.

Alors que l'ex-chef de guerre Jean-Pierre Bemba est de retour à Kinshasa et souhaite se présenter à la présidentielle en République démocratique du Congo, les victimes de son ex-milice en Centrafrique n'ont rien oublié et ne digèrent pas son acquittement par la Cour pénale internationale.

Une nouvelle épidémie d'Ebola fait rage dans la province du Nord-Kivu, dans le nord-ouest de la RD Congo, a annoncé mercredi le ministre de la Santé, Oly Ilunga Kalenga. Elle aurait causé la mort d'une vingtaine de personnes.

De retour à Kinshasa mercredi après onze ans d'exil, dont dix en prison, l’ancien vice-président congolais Jean-Pierre Bemba, personnalité très populaire dans la capitale, souhaite se présenter à la présidentielle de décembre.

Des heurts ont éclaté mercredi au Zimbabwe, entre forces de l'ordre et sympathisants de l'opposition lors de manifestations. Les opposants dénoncent des fraudes aux élections générales remportées par la Zanu-PF, le parti au pouvoir.

Après le meurtre, en Centrafrique, de trois journalistes russes qui enquêtaient sur la présence d'une société paramilitaire russe dans le pays, Reporters sans frontières réclame à Bangui et Moscou une investigation "sérieuse et approfondie".

Malgré la présence renforcée des forces de sécurité lors de la présidentielle organisée au Mali, dimanche, des jihadistes ont commis des actes de violences dans le nord et le centre. Les électeurs se sont également peu mobilisés.

Le Zimbabwe vote lundi pour élire son nouveau président. L'élection opposera principalement l'actuel président Emmerson Mnangagwa, à la tête de la Zanu-PF, et l'opposant Nelson Chamisa, leader du MDC, à qui Robert Mugabe a apporté son soutien.

Présidentiele au Mali : 8 millions d'électeurs appelés aux urnes dimanche

Quatre mois après sa nomination, le nouveau Premier ministre éthiopien continue d'imprimer sa marque. Après avoir tendu la main au voisin érythréen, Abiy Ahmed a encore marqué des points en réunissant l'Église orthodoxe, divisée depuis 27 ans.

À la veille des élections présidentielle et législatives au Zimbabwe, l'ancien dictateur Robert Mugabe a déclaré dimanche qu'il ne voterait pas pour Emmerson Mnangagwa et son parti, la Zanu-PF, qui l'ont écarté du pouvoir en novembre 2017.

Les Maliens ont voté dimanche pour élire un nouveau président lors d'un scrutin dont l'enjeu numéro un est la sécurité. Le président sortant, Ibrahim Boubacar Keïta, et le chef de l'opposition, Soumaïla Cissé, sont donnés favoris.

À 75 ans, le successeur de Robert Mugabe, Emmerson Mnangagwa, apparaît comme favori de l'élection présidentielle qui se tiendra lundi. Quel est son bilan économique ?

Plus de 8 millions de Maliens sont appelés aux urnes dimanche pour un scrutin présidentiel aux enjeux forts sur le plan sécuritaire. Le président sortant, Ibrahim Boubacar Keïta, et le chef de l'opposition, Soumaïla Cissé, sont donnés favoris.

La justice égyptienne a condamné à mort samedi 75 islamistes, dont des cadres du parti de l'ancien président Mohamed Morsi, accusés d'"appartenance à un groupe terroriste". Le mufti d'Égypte doit à présent donner son avis consultatif.

L'élection présidentielle malienne, qui a lieu dimanche, va être centrée sur la situation sécuritaire au Nord du pays et sur le nécessaire rétablissement du "vivre ensemble" entre les communautés, selon Louis Magloire Keumayou.

Après 30 années de silence, le Zimbabwe fait désormais face à son passé sanglant, celui de la guerre civile qui a suivi l’indépendance. Les morts des années 80 refont surface et les langues se délient : les victimes racontent l'horreur, les plus jeunes découvrent l'histoire de leur parents. La réconciliation des ethnies du pays dépend peut-être de l'exhumation d'un douloureux passé.

Les premières élections générales après la chute de Robert Mugabe (resté trente-sept ans au pouvoir) se tiendront lundi 30 juillet, où 5,4 millions d'électeurs sont appelés aux urnes. Le scrutin marque un tournant de l'histoire de ce pays d'Afrique australe. Pour autant, l'opposition dénonce les conditions de vote et avertit sur les risques de fraude au profit du Zanu-PF, toujours au pouvoir à travers Emmerson Mnangagwa,ancien-vice président de Mugabe.