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EU-Libya

Council lTV - Tue, 03/11/2015 - 22:09
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On 23 and 24 March, EU hosts a meeting of 34 Libyan mayors and local leaders as part of the UN-led Libyan Political Dialogue.

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Categories: European Union

Grèce: réformer l'Etat ou quitter la zone euro

Coulisses de Bruxelles - Tue, 03/11/2015 - 22:07

À la suite de mon documentaire, «Grèce, le jour d’après», qui a fait du bruit en Grèce, le quotidien grec de référence, Kathimerini, m’a interviewé (édition du dimanche 1er novembre). Voici la traduction de cet entretien.

La crise entre la Grèce et la zone euro a-t-elle été différente cette fois-ci ?

Sur le fond, il n’y a pas vraiment eu de différences avec les épisodes précédents: on a toujours un gouvernement grec hésitant à réformer son Etat clientéliste, bureaucratique, incompétent et corrompu et à bousculer des structures économiques obsolètes et qui, au final, préfère faire porter l’effort sur les classes moyennes et les plus pauvres en augmentant les impôts et en diminuant salaires et pensions. C’est une nouvelle fois ce qui s’est passé. En sept mois, la majorité Syriza-ANEL n’a rien fait en matière de réformes, ce qui a accru la méfiance de ses partenaires. La seule différence, par rapport aux crises précédentes, est que Syriza a vraiment cru que les créanciers de la Grèce accepteraient de prêter de l’argent sans réelles contreparties par peur du Grexit. Les majorités précédentes, elles, savaient quel était le rapport de force et préféraient s’en accommoder en faisant semblant de réformer, en taillant dans les dépenses publiques et en accusant les méchants Européens d’être responsables du malheur des Grecs. Au final, le résultat ou plutôt l’absence de résultats sont les mêmes, le psychodrame en moins.

Le Grexit a-t-il vraiment été sur la table ou était-ce une tactique de négociation ?

C’est Syriza qui a joué avec le Grexit, pas la zone euro. Le parti était très divisé sur le sujet et sa communication, à l’image de Yanis Varoufakis, le ministre des Finances, plutôt confuse. Mais après six mois de crise, et surtout au moment du référendum, la lassitude a gagné même les plus fervents soutiens de la Grèce qui ont pensé qu’après tout Alexis Tsipras voulait ce Grexit. Et certains pays se sont dit qu’au fond Tsipras rendrait service à la zone euro en démontrant qu’un retour à la monnaie nationale serait une catastrophe sans précédent, surtout pour un pays comme la Grèce... Je crois donc que le 11 juillet une majorité de gouvernements était prête, non pas à mettre la Grèce dehors, mais à la laisser partir. C’est comme dans un couple: quand l’un des deux veut en terminer faute d’aimer l’autre, rien ne le fera rester. C’est finalement Tsipras qui a renoncé à partir et tout le monde en a été soulagé. La preuve en est que l’Allemagne a accepté de financer un troisième plan d’aide à la Grèce ce dont elle ne voulait plus entendre parler...

Quel a été le moment le plus dramatique des six derniers mois pour Jean-Claude Juncker, Pierre Moscovici et Wolfgang Schäuble ?

L’annonce du référendum, sans aucun doute. Ça a été ressenti comme un coup de poignard dans le dos d’un partenaire décidément totalement imprévisible. Imprévisibilité confirmée par le retournement du 11 juillet lorsque Tsipras a transformé un non à l’austérité en un oui à une austérité encore plus forte!

Vous qui étiez à Athènes durant le référendum et qui avez parlé aux gens, vous attendiez-vous au résultat des élections de septembre? Après tout, beaucoup de gens avaient voté non pour obtenir un meilleur accord...

Franchement, j’étais persuadé que Tsipras serait réélu en toutes circonstances. Le référendum a été en fait un plébiscite sur sa personne. Ce qui est frappant en Grèce, c’est le discrédit total, voire l’opprobre, de toute la vieille classe politique. Pourquoi un parti comme To Potami ne parvient pas à décoller? Parce qu’il ne représente pas une rupture suffisant avec l’ordre ancien. Les Grecs savent bien que c’est son État et son oligarchie qui sont responsables de son malheur et non les Européens ou les Allemands. Tsipras représente une certaine pureté, une rupture avec l’État profond. Les Grecs veulent croire qu’il sera capable de réformer l’État même s’il n’a encore rien fait pour l’instant. Ils lui ont donné quatre ans sans élection pour réussir. Mais attention s’il déçoit!

François Hollande a-t-il joué un rôle important dans la résolution de la crise? Son soutien à la Grèce était-il motivé par des raisons de politique intérieure?

L’opinion publique française a la même sensibilité à l’égard de la Grèce que l’opinion publique allemande. Il ne faut pas se laisser impressionner par le bruit fait par la gauche radicale très présente dans les médias et sur les réseaux sociaux qui donnerait l’impression du contraire. François Hollande le sait et il n’était donc pas question qu’il soutienne purement et simplement Syriza. Mais les Français redoutaient sans doute plus que les Allemands les conséquences d’un Grexit à la fois pour la zone euro et pour eux-mêmes. Le précédent de Lehman Brothers, soi-disant une banque non systémique, est là pour rappeler que l’imprévisibilité est la règle en économie. Ils ont donc tout fait pour l’éviter jouant un rôle important auprès des Allemands, en les convainquant de ne pas pousser la Grèce dehors, et auprès des Grecs en leur démontrant qu’ils n’avaient aucune alternative.

Quel a été le rôle de Yanis Varoufakis au cours des six mois de crise?

Un bateleur, une sorte de clown chargé d’amuser la galerie. Il s’est tout de suite grillé auprès de ses interlocuteurs en affichant avec morgue sa méconnaissance totale des mécanismes européens, des rapports de force politique et même de la situation réelle de son pays. Preuve s’il en est qu’on peut être un excellent professeur en économie aux États-Unis et en Australie, un bon chroniqueur du New York Times et une calamité politique pour son pays. Tsipras a commis une erreur en laissant Varoufakis trop longtemps sur le devant de la scène, ce qui lui est monté à la tête comme le montre son limogeage le 6 juillet, au lendemain d’un référendum qu’il a analysé comme un triomphe de ses thèses en faveur du Grexit alors qu’il s’agissait d’un plébiscite du Premier ministre.

Le spectre du Grexit est-il définitivement écarté?

La crise grecque n’est pas terminée, pour les Grecs eux-mêmes bien sûr, mais aussi pour la zone euro. Car le plus dur reste à faire: réduire la bureaucratie, lutter contre la corruption, créer une administration et une justice impartiales et efficaces, ouvrir l’économie, etc. Il faudra que Tsipras ait le courage de se fâcher avec les lobbies des avantages acquis, les oligarques, l’Église, l’armée, les syndicats de la fonction publique... S’il échoue, je ne vois pas comment éviter à terme une sortie de la Grèce de la zone euro ce qui la laissera aux mains de ceux qui ont fait son malheur. On ne peut donc que souhaiter que Tsipras réussisse.

Categories: Union européenne

Les 30 premiers (actualisé)

Le mamouth (Blog) - Tue, 03/11/2015 - 21:59
Comme ce blog l'expliquait il y a quelques jours, JYLD remettra demain la nouvelle médaille de la
Plus d'infos »
Categories: Défense

Code du travail: les députés PS ne croient pas à un big bang avant les régionales

Le Figaro / Politique - Tue, 03/11/2015 - 20:45
L'aile gauche du parti est persuadée que le gouvernement ne prendra pas le risque de décevoir ses électeurs avec une réforme trop radicale.
Categories: France

Sécurité : Nicolas Sarkozy électrise la gauche

Le Figaro / Politique - Tue, 03/11/2015 - 20:17
Manuel Valls a critiqué les propositions de l'ancien président et pointé les baisses d'effectifs dans la police sous le précédent quinquennat. Christiane Taubira a vivement dénoncé des «contre-vérités».
Categories: France

Tusk újabb EU-csúccsal mentené Schengent

Bruxinfo - Tue, 03/11/2015 - 19:47
A menekültválság súlyosbodására való tekintettel Donald Tusk, az Európai Tanács elnöke a november 12-i máltai EU-Afrika csúcsot követően informális találkozóra hívta össze a tagországok állam- és kormányfőit. „Minden kezdeményezést el kell kerülni, ami Schengenen belül a határok visszaállításához vezethet” – figyelmeztetett az EiT elnöke.

"Vegyük kezünkbe a sorsunkat!"

EU pályázat blog - Tue, 03/11/2015 - 19:36

A „Szociális gazdaság fejlesztése a konvergencia régiókban” című pályázaton a Gyomaendrődi Start Szociális Szövetkezet 20,25 millió forint uniós támogatást nyert el. A projekt során a szövetkezet varrodájának és betonelem-gyártásának beindítása mellett a társadalmi felelősségvállalást és a szövetkezet helyi beágyazottságát is erősítették.

A szövetkezet 2013 júliusában alakult azzal a céllal, hogy tagjai és a hátrányos helyzetű munkavállalók számára munkalehetőséget biztosítson.

A projektben a szociális szövetkezet tevékenységének – a szabás-varrás és a betonelem-gyártás –beindítása valósult meg. 6 fő vett részt kompetenciafejlesztésen, akiket teljes munkaidőben 10 hónapig foglalkoztattak: 3 főt varrodában, 3 főt betonelem-gyártásban. A képzésben résztvevők kompetenciáik fejlesztésével képessé váltak az élethosszig tartó tanulásra, ezáltal munkaerő piaci pozíciójuk javult.

A szövetkezet a szabás-varrás területén elsősorban munkaruhák varrásával foglalkozik, de egyedi igények kiszolgálására is vállalkoznak, valamint bérmunkákat is vállalnak más üzemeknek.

2014 októberétől folyamatos működésre állították a betonelem gyártó gépet, ahol térkő, zsalukő, szegélykő és egyéb betonelemek gyártását végzik.

A projekt során az önfenntartóvá váláshoz részletes piackutatást és marketing tervet készítettek. A kidolgozott marketing stratégia mentén az elkészített termékeket megfelelő reklámozással népszerűsítik, a marketing kommunikációs tevékenységet a meglévő honlap és webáruház, hirdetések, plakátok és direkt marketing eszközökkel végzik az eladás növelésére.

Jelen támogatással beinduló tevékenységek lehetővé tették a szövetkezet haszonelvű működtetését, ezáltal önfenntartóvá válását. A projektben beszerzett gépek rendelkezésre állnak a későbbiekben is, ezek a biztosítékai a projekt fenntarthatóságának, a varroda további működtetésének.

A "Vegyük kezünkbe a sorsunkat!" A Gyomaendrődi Start Szociális Szövetkezet varrodájának és betonelem-gyártásának beindítása elnevezésű, 20 250 000 forint, 100%-os támogatást elnyert fejlesztési projekt 2014. május 1-én indult és 2015. október 31-én zárult.


Categories: Pályázatok

Szemet hunynak a dízelautók többletkibocsátása felett

Bruxinfo - Tue, 03/11/2015 - 19:18
Óriási felhördülés fogadta az európai törvényhozók és környezetvédők körében a tagállami szakértők megállapodását, ami lehetővé tenné a dízeljárművek számára, hogy 2019 szeptemberéig az uniós jogszabályok által előírtnál kétszer több mérgező szennyező anyagot bocsássanak ki a levegőbe.

Pluie d'éloges pour Borloo à l'Assemblée

Le Figaro / Politique - Tue, 03/11/2015 - 19:16
L'ancien président de l'UDI a assisté à un débat consensuel sur son projet d'électrification de l'Afrique.
Categories: France

Nicolas Sarkozy se replace au cœur du débat

Le Figaro / Politique - Tue, 03/11/2015 - 19:03
Devant plusieurs responsables LR, mardi à Paris, l'ex-président a avancé les mesures à mettre en place si la droite gagne en 2017. Avec un message principal: assurer enfin «l'exécution des peines, qui doit être la priorité des pouvoirs publics».
Categories: France

Faut-il revoir le critère de découpage des circonscriptions ?

Le Figaro / Politique - Tue, 03/11/2015 - 18:42
DÉCRYPTAGE - Une proposition de loi du député LR Alain Marleix suggère de prendre en compte non plus la population totale d'une circonscription, mais le nombre de ses électeurs, autrement dit des seuls citoyens français.
Categories: France

RDV sur LCI à 15h

Institut Montaigne - Tue, 03/11/2015 - 18:34
Date: Mercredi 04 Novembre 2015Description: Angèle Malâtre-Lansac sera l’invitée du 14-17 sur LCI pour réagir aux propositions de Myriam El Khomri.

Внимавајте на македонската криза..може да прерасне во нова балканска трагедија

Crisisgroup - Tue, 03/11/2015 - 18:16
На крајот на летото Македонија прогласи вонредна состојба и привремено ги затвори своите граници со Грција и Србија. Малата балканска нација се придружи на поголемиот дел од Европа во паничниот, слабо разгледан и лошо имплементиран одговор на трагедијата со азилантите. Македонија е ситен играч во таа криза, која што достигнува димензии на Voelkerwanderung – масовно движење на лица со размери невидени на континентот после падот на Римската Империја. Но, како што летото преминува во есен, Македонија мора брзо и конструктивно да ѝ пристапи на нејзината домашна криза или да ризикува насилни судири.

Après Sentinelle, bientôt des agrafes pour la Marine

Blog Secret Défense - Tue, 03/11/2015 - 18:13
Elles pourraient être baptisées Vigie, Epaulard et Poséidon.
Categories: Défense

Operation Guilt Trip: Brussels heaps pressure on member states over refugees

FT / Brussels Blog - Tue, 03/11/2015 - 18:04

After a string of bad-tempered, late-night summits, leaders from across the EU agreed an ambitious programme of policies to try to solve the refugee crisis.

There has been one – pretty major – hitch: member states have so far been reluctant or unable to do what they said they would. Now, in a bid to get national capitals to hurry up, Operation Guilt Trip is go.

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Categories: European Union

Moscovici für Reformcheck in Athen

EuroNews (DE) - Tue, 03/11/2015 - 18:02
EU-Wirtschafts-und Währungskommissar Pierre Moscovici hält sich zu einem zweitägigen Besuch in Athen auf. Er trifft dort mit Ministerpräsident…
Categories: Europäische Union

Croissance Bleue : Alain Vidalies rappelle les engagements gouvernementaux

MeretMarine.com - Tue, 03/11/2015 - 17:59

Le secrétaire d’Etat à la Mer et aux Transports a détaillé ce mardi les mesures mises en œuvre par le gouvernement en matière d’économie maritime.

Categories: Défense

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