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Diplomacy & Defense Think Tank News

Trump: ¿el cisne negro?

Real Instituto Elcano - Mon, 09/01/2017 - 11:43
ARI 2/2017 - 9/1/2017
Sebastián Royo

No hay duda que la elección de Donald Trump como presidente de EEUU ha sido una gran sorpresa que pocos esperaban. Sin embargo, ya desde el inicio de la campaña electoral había indicios claros de que su victoria era muy posible.

Quels sont les ressorts du populisme ?

Fondapol / Général - Mon, 09/01/2017 - 11:41

Journée de l’EPhEP Samedi 28 janvier 2017 14h – 18h30 Auditorium du Centre Sèvres – 35 bis, rue de Sèvres 75006 Paris « Le populisme n’est pas une maladie qui affecte le peuple. Il est plutôt le symptôme de ceux dont l’opportunisme, mis en programme pour séduire le peuple, lui promet de devenir le maître […]

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« Un défi de civilisation » – 3 questions à Jean-Pierre Chevènement

IRIS - Mon, 09/01/2017 - 10:25

Ancien ministre, Jean-Pierre Chevènement est Président d’honneur du Mouvement républicain et citoyen, et président de la Fondation Res Publica. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « Un défi de civilisation : la seule stratégie pour la France », aux éditions Fayard. Près de cinq-cents pages où il réfléchit aux motifs qui ont diminué le poids de la France dans le monde et le respect pour la République en France, et livre des pistes à suivre afin d’enrayer ces phénomènes.

Y-a-t-il un problème spécifique de l’islam en France ?

La France comptait en 2008, selon l’Institut national d’études démographiques (INED), 4,1 millions d’habitants se disant « musulmans » dans l’acception soit religieuse soit culturelle du terme. L’immense majorité a ses racines au Maghreb. Cette population est beaucoup mieux intégrée à la communauté nationale que partout ailleurs en Europe. D’abord, parce qu’une très grande majorité a partagé la même Histoire et partage aujourd’hui la citoyenneté française. Ensuite, parce que le modèle républicain fondé sur l’école exerce une fonction unificatrice. La critique faite à la laïcité comme contribuant à accroître les tensions me paraît superficielle. Cette critique méconnaît le sens profond de la laïcité et son rôle émancipateur en cristallisant sur le voile et la burqa. Cette critique, en fait, met en cause la République et son enracinement dans l’héritage des Lumières. Le modèle républicain, par l’ambition inscrite dans sa devise, et notamment par l’invocation de l’égalité, crée peut-être des frustrations – car il y a toujours un écart entre l’idéal et le réel -, mais les valeurs républicaines sont aussi une incitation à l’action publique. La spécificité de la France est que son modèle privilégie le commun et tend plutôt à décourager la communautarisation de la société. Mais l’islam, selon moi, peut fort bien s’en accommoder. On peut être citoyen ET musulman. C’est l’intérêt vital de notre pays que d’en faire la démonstration.

La France peut-elle peser plus que son poids dans les affaires mondiales ? Si oui, comment ?

Même si l’Europe, après deux guerres mondiales, a cessé d’être hégémonique, et même si le poids démographique de la France s’est beaucoup réduit depuis le XVIIIe siècle, elle peut toujours peser plus que son poids dans les affaires mondiales. Entre les États-Unis et la Chine qui domineront le XXIe siècle, elle est le pays européen le plus à même de faire avancer le projet d’une « Europe européenne », de l’Atlantique à la Russie, tel que l’avait déjà anticipé le général de Gaulle dans les années 1960. Le partenariat entre Paris, Berlin et Moscou doit s’organiser de manière à permettre aux pays européens de garder voix au chapitre. La France dispose encore de la gamme complète des moyens de la puissance, au plan diplomatique, militaire, économique et culturel. Elle ne doit pas s’en dessaisir. C’est la volonté politique persévérante des gouvernements successifs de donner vie à ce projet d’ « Europe européenne » qui fait le plus défaut. Mais de Gaulle, à gauche et à droite, redevient à la mode …

Qui a intérêt à ce que la France soit moins active sur la scène internationale ?

C’est de Gaulle qui, justement, rappelait qu’« un véritable État n’a pas d’amis ». Que la France devienne un musée ne gêne évidemment personne, et en particulier pas nos amis américains. Au contraire : c’est grâce à leurs dons généreux que le château de Versailles a pu être restauré. Mais si la France veut rétablir sa relation avec la Russie et y associer l’Allemagne et si elle veut conduire dans le monde arabo-musulman une politique de justice et de progrès, alors quelles levées de boucliers en perspective !

Pour répondre précisément à votre question : personne ne souhaite que la France soit active pour défendre son intérêt national, mais l’Humanité entière devrait souhaiter que la France s’active pour éviter le duopole étouffant de la Chine et des États-Unis sur les affaires mondiales et pour que soit relevé le défi de civilisation qui nous est jeté, afin de justement faire reculer l’idée d’un « choc des civilisations ».

Ohne Entwicklungspolitik keine Bewältigung internationaler Krisen – aber dafür muss sie sich ändern

Wie werden wir in 12 Monaten das Jahr 2017 bezeichnen? 2015 war ein Jahr, in dem es der Staatengemeinschaft gelungen ist, wegweisende Beschlüsse für Klimaschutz und eine global nachhaltige Entwicklung zu fassen. Dadurch war das Vertrauen vieler in die Möglichkeiten entschlossener internationaler Kooperation wieder gewachsen. Jedoch hat sich im Jahr 2016 mit dem Brexit in Großbritannien, dem Wahlergebnis in den USA und den Wahlerfolgen der AfD in Deutschland gezeigt, dass dieses Vertrauen bei vielen Menschen in Europa und den USA nicht vorhanden ist. Schlimmer noch: Internationale Kooperation und Verflechtung werden als unnötig oder sogar schädlich für den Wohlstand im eigenen Land gesehen. Nationale Interessen, nationale Politik sollen wieder im Vordergrund stehen und Lösungen bereitstellen. 2017 wird also das Jahr sein, in dem um die Bedeutung, die Ziele und Inhalte sowie die Formen internationaler Kooperation gerungen werden muss. Wahlkämpfe in Deutschland auf Bundes- und Landesebene bilden dafür den politischen Rahmen. Auf diese Fragen müssen Antworten gegeben werden: Inwiefern ist es nicht nur menschlich geboten, sondern politisch zwingend notwendig, bei Entscheidungen im eigenen Land auch das Recht auf ein menschenwürdiges Leben derjenigen zu berücksichtigen, die nicht bei uns leben bzw. zukünftiger Generationen? Inwiefern sind wir für unser eigenes Wohlergehen darauf angewiesen, dass andere ebenfalls unsere Rechte mitdenken? So banal es klingen mag: Wir leben in einer verflochtenen, globalisierten Welt, deren Probleme nicht durch nationale Alleingänge zu lösen sind. Die Prinzipien der Agenda 2030 für nachhaltige Entwicklung geben Antworten auf diese grundsätzlichen Fragen: Nachhaltigen Wohlstand zu erreichen ist eine universelle Aufgabe, deren Ziele unteilbar sind und von Gesundheit über Bildung, menschenwürdige Arbeit, Infrastruktur, Innovation bis zum Klima-, Umwelt- und Meeresschutz reichen. Sie erfordert internationale Zusammenarbeit, denn es geht um Solidarität und globale Gemeingüter. Die Ziele gelten erst dann als erreicht, wenn es auch den Armen besser geht: Wohlstand, der sie nicht erreicht, ist keiner. Was diese Prinzipien für deutsche und europäische politische Entscheidungen bedeuten, werden wir in den nächsten Jahren ausbuchstabieren müssen, wenn wir innen- und außenpolitische Ziele nachhaltiger Entwicklung definieren und erreichen wollen. Dabei müssen wir unsere politischen, wirtschaftlichen, kulturellen Außenbeziehungen daraufhin prüfen, ob sie sich an diesen Prinzipien orientieren und welche Regeln verändert oder anders ausgelegt werden müssen, damit sie ein faires Miteinander befördern. Die Bundesregierung will die Präsidentschaft der G20 nutzen, um diesen Anspruch voranzubringen und zu verwirklichen. Sie setzt dabei auf die Unterstützung der gesellschaftlichen Kräfte: Wirtschaft, Wissenschaft, Organisationen der Zivilgesellschaft und der Frauen, die Gewerkschaften. Das ist eine richtige Entscheidung, denn gerade wenn die gemeinsame normative Handlungsgrundlage und Orientierung der G20-Staaten politisch fragil erscheint, weil Macht neu verteilt wird (wie etwa in den USA und in Europa), wird meistens auch damit einhergehende Verantwortung neu definiert. Was bedeuten die Prinzipien der 2030 Agenda für die Entwicklungspolitik? Das Prinzip der Universalität fordert von Entwicklungspolitik dazu beizutragen, dass Entwicklungs- und Schwellenländer sich bei nachhaltiger Entwicklung in den Industrieländern einbringen können: Aus dem klassischen Nord-Süd-Gefälle soll eine globale Partnerschaft auf Augenhöhe entstehen. Das bedeutet, sich auf wechselseitiges Lernen und Verändern zwischen ungleichen Partnern aus allen Ländergruppen einzulassen. Die Geberstaaten müssen sich mehr als zuvor an den Prioritäten der Partner orientieren und stärker koordiniert und arbeitsteilig vorgehen, um der thematischen Breite und Unteilbarkeit der Agenda gerecht werden zu können. Die europäische Entwicklungspolitik hat dafür gemeinsame Verfahren vereinbart, die einen guten Rahmen bieten, ebenso Weltbank und Regionalbanken und die UN-Organisationen. Mit neuen Akteuren wie der Asian Infrastructure Investment Bank und der New Development Bank muss die Kooperation ebenfalls gesucht werden. Nur so kann erreicht werden, dass alle Sustainable Development Goals bearbeitet und alle Länder dieser Erde von den gemeinsamen Anstrengungen profitieren. Um die internationale Kooperation zu stärken, reicht die Erhöhung des entwicklungspolitischen Budgets nicht aus. Vielmehr ist notwendig, einen langen Atem mitzubringen, denn solche fundamentalen Veränderungsprozesse sind nicht in kurzen Zeiträumen erfolgreich zu bewerkstelligen. Kooperation braucht daher mittelfristig gültige, gemeinsam verabredete Ziele und Ergebnisse, auf die sich alle Beteiligten verlassen können. Mut zu innovativen Ansätzen gehört ebenso dazu wie Fehlertoleranz. Und schließlich muss die Verteilungsfrage angegangen werden: Entwicklungspolitik muss den Armen und Schutzbedürftigen dienen, direkt und indirekt. Das kann Entwicklungspolitik aber nicht ohne die Unterstützung anderer erreichen: Sie braucht motivierte Regierungen und effektive rechenschaftspflichtige Institutionen in den Partnerländern. Deutliche Anstrengungen in der deutschen und europäischen Handels- und Außenwirtschaftspolitik, in der Finanz- und Steuerpolitik, in der Außen- und Sicherheitspolitik sind dazu ebenso notwendig – dies nicht nur, um Schaden für die Armen und Schutzbedürftigen zu vermeiden, sondern um ihr Recht auf ein menschenwürdiges Leben zu befördern. So kann internationale Kooperation entstehen, die auf Gegenseitigkeit und Vertrauen beruht, die Rechte und Interessen des Anderen anerkennt und sich an fairen Regeln orientiert, die für alle gelten.

Les Européens et les conséquences du Brexit

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Cette enquête Ifop pour la Fondation Robert Schuman[2] a été menée dans cinq pays européens (la France, l'Allemagne, l'Espagne, l'Italie et la Pologne) auprès d'échantillons représentatifs de leur population nationale âgée de 18 ans, au cours du mois de novembre 2016. De cet état de...

A la une !, La nécessaire autonomie stratégique de l'Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Face au nouveau contexte international, le président de la Fondation appelle, dans un éditorial publié sur son site, à l'autonomie stratégique de l'Europe.

Fondation, Bilan de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne 13 ans après

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 27 janvier, la Fondation Schuman co-organise avec le Cercle européen de soutien à la culture polonaise une conférence-débat sur le bilan de l'adhésion de la Pologne à l'Union européenne. Elle aura lieu à Paris au Sénat. L'inscription est obligatoire.

Fondation, Prix franco-allemand du journalisme 2017

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 5 janvier, le Prix franco-allemand du journalisme a lancé son appel à candidatures pour 2017. Il viendra récompenser des sujets, séries ou dossiers dans diverses catégories, de journalistes qui traitent de l'actualité, de son cadre et de ses protagonistes en contribuant à une meilleure compréhension entre la France et l'Allemagne dans le contexte européen. Les inscriptions sont possibles jusqu'au 1er mars.

Fondation, Audition au Sénat sur les frontières européennes et l'avenir de l'espace Schengen

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
La Commission d'enquête du Sénat sur les frontières européennes, le contrôle des flux des personnes et des marchandises en Europe et l'avenir de l'espace Schengen a auditionné le 3 janvier Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation

Migrations, Le nombre de migrants arrivant par mer a baissé en 2016

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Selon un communiqué publié le 6 janvier par Frontex, le nombre de migrants arrivés par mer dans l'espace Schengen est de 364 000 sur un total de 503 700 en 2016, soit une diminution de 2/3 par rapport à 2015. A noter que les arrivées ont fortement augmenté en Italie (+20%) et ont chuté de 79% en Grèce grâce à l'accord conclu avec la Turquie.

Commission, Adoption d'un nouveau plan pour faciliter la circulation transfrontalière des trains en Europe

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 5 janvier, la Commission européenne a adopté un nouveau plan de déploiement du système européen de gestion du trafic ferroviaire (ERTMS). L'objectif est d'offrir davantage de garanties aux entreprises ferroviaires et de faciliter l'investissement afin que 50% du réseau ferroviaire stratégique européen soit équipé en 2023.

Commission, Le programme Erasmus a 30 ans

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
En 2017, le programme de mobilité Erasmus + fête ses 30 ans. Pour l'occasion, la Commission a mis en place un bulletin d'information qui recense les évènements organisés partout en Europe pour célébrer cet anniversaire tout au long de l'année.

Parlement, Priorités pour 2017

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 4 janvier, le Parlement européen a présenté ses priorités pour 2017. Les députés veulent travailler notamment sur une répartition plus juste des demandeurs d'asile, la lutte contre le terrorisme, le marché unique numérique, la lutte contre la fraude fiscale et la réduction des gaz à effet de serre.

Parlement, 7 candidats à la présidence du Parlement européen

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 17 janvier se déroulera l'élection du Président du Parlement européen à Strasbourg. Les 7 candidats à la succession de Martin Schulz sont les Italiens Antonio Tajani (PPE), Gianni Pittella (S&D) et Eleonora Forenza (GUE-NGL), les Belges Guy Verhofstadt (ALDE) et Helga Stevens (ECR/N-VA), la Britannique Jean Lambert (Les Verts) et le Roumain Laurentiu Rebega (ENF).

Conseil, Nouvelles règles de transparence fiscale

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Depuis le 1er janvier, les États membres sont tenus d'échanger automatiquement des informations sur toutes les nouvelles décisions fiscales en matière transfrontière délivrées par leurs soins.

Conseil, Malte présidente du Conseil de l'Union européenne jusqu'au 30 juin 2017

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Depuis le 1er janvier, Malte exerce la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne. Ses priorités sont les migrations, la sécurité, le marché unique, une société européenne plus inclusive et les négociations du Brexit.

Diplomatie, Entrée en vigueur de l'accord entre l'Union européenne et l'Equateur

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 1er janvier est entré en vigueur l'accord de libre-échange commercial signé entre l'Union européenne et l'Équateur. Il vient parachever l'accord établi avec le Pérou et la Colombie.

Agences européennes, Les secrets cachés du nuage d'Orion

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Une pouponnière d'étoiles située à 1350 années-lumière de la Terre, saisie de façon détaillée par un télescope. L'Observatoire européen austral (ESO), a publié le 4 janvier une image spectaculaire de la célèbre nébuleuse d'Orion. Elle a été prise par le télescope VISTA, installé dans le désert de l'Atacama dans le nord du Chili.

Allemagne, Refonte des services de sécurité

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 3 janvier, dans une tribune publiée dans le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung, le ministre allemand de l'Intérieur, Thomas de Maizière, a détaillé les grandes lignes d'une refonte des services de sécurité.

Roumanie, Le Parlement accorde sa confiance au nouveau gouvernement

Fondation Robert Schuman / Actualités - Mon, 09/01/2017 - 01:00
Le 4 janvier, les deux chambres du Parlement roumain ont accordé leur confiance au nouveau gouvernement dirigé par Sorin Grindeanu par 295 voix contre 133. Ce gouvernement est composé de 26 ministres dont 8 femmes. 22 ministres sont membres du parti socialiste et 4 de l'ALDE (Alliance des libéraux et des démocrates).

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