Diplomacy & Defense Think Tank News

Comentario Elcano 17/2017 - 12/4/2017
Ignacio Molina

Si se lo propone, el grupo de siete países del sur de la Unión Europea que acaba de celebrar una cumbre en Madrid podrá moldear decisivamente el debate sobre el futuro de Europa.

On April 11th, IPI together with the Permanent Mission of Côte d’Ivoire to the United Nations cohosted a high-level policy forum and reception entitled Côte d’Ivoire, a Successful Case of Crisis Management: A Look Back at the Experience and Lessons Learned.

After thirteen years, the United Nations Operation in Côte d’Ivoire (UNOCI) is set to end in June 2017, leaving behind a stable country on the path to economic development, (the annual average growth rate stands at 9 percent) reconciliation, and sustainable peace.

UNOCI is the first peacekeeping operation to close since the United Nations Integrated Mission in East Timor ended. Its transition toward closure comes at a time when exit strategies are being considered for UN missions in Liberia and Haiti—providing an opportunity to examine lessons learned from this unique operation.

In efforts to resolve the Ivorian crisis, the Security Council adopted various crisis management instruments including: diplomatic engagement through regional mediation efforts and the deployment of a regional force; the simultaneous deployment of a French force (Opération Licorne); the implementation of an arms and diamonds embargo, targeted sanctions against troublemakers; the establishment of a commission of inquiry for human rights abuses; threats to resort to the International Criminal Court; Security Sector Reform (SSR), Disarmament, Demobilization and Reintegration (DDR); and the establishment of a UN election certification mandate.

All these instruments have, at some point, helped initiate dialogue between various stakeholders. Although contested at its outset, the UN’s election certification role ultimately led the international community to unite in support of full respect for the results of the November 2010 presidential elections. This allowed for crisis recovery and the stabilization of Cote d’Ivoire, and more broadly, of the subregion.

As Côte d’Ivoire launches its campaign for a non-permanent member seat on the UN Security Council, this high-level panel will offer the opportunity to reflect on the management and resolution of this crisis, and the lessons that can be learned from the long-running United Nations Operation in Côte d’Ivoire.

Panelists:
H.E. Mr. Marcel Amon-Tanoh, Minister of Foreign Affairs, Côte d’Ivoire
Mr. Jean-Pierre Lacroix, United Nations Under-Secretary-General for Peacekeeping Operations
Mrs. Elisabeth Lindenmayer, Director, International Organization and UN Studies Specialization, School of International and Public Affairs, Columbia University

Moderator:
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, International Peace Institute

Die Sahel-Beauftragte der Konrad-Adenauer-Stiftung, Julia Klöckner, besucht Mali und Nigeria, um sich ein Bild von der Situation vor Ort zu machen.

The UN is increasingly deploying peacekeepers to conflict theaters where there is no political agreement and little or no peace to keep. Such high-risk environments make it harder for the UN to keep its personnel safe, fit, and healthy. While current UN missions have adopted a number of measures to mitigate these dangers, these do not address the systemic challenges facing medical support to UN peace operations.

This paper asks the question: What are the challenges to providing medical support to UN peace operations in high-risk environments? It analyzes five core challenges facing the UN: (1) medical structures, planning, and coordination in UN headquarters; (2) standards of care; (3) coordination in the field; (4) training and capacity building; and (5) resources and capabilities.

On the basis of these challenges, it offers recommendations for making medical support to peace operations in high-risk environments more efficient and effective:

• The UN Medical Services Division and Medical Support Section should coordinate better and create links with the Office of Military Affairs.
• Medical support planning should be included in every aspect of mission planning and be tailored to the context.
• Missions should shift away from Level II hospitals, which are expensive and underutilized, instead exploring alternatives such as mobile medical units with surgical capabilities.
• Missions should focus on in-mission training, including by improving mentoring of medical personnel.
• MedEvac and CasEvac procedures should be simplified, decentralized, and made more flexible.
• The UN should seek pledges of medical equipment and personnel from member states in a more targeted way.

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Date: Lundi 10 Avril 2017Description:  A l’occasion de la sortie de notre rapport L’Europe dont nous avons besoin, nous recevions :Ramon Fernandez, directeur général délégué, en charge des finances et de la stratégie, groupe Orange, (président de notre groupe de travail sur l’Europe) ;Pierre Moscovici, commissaire européen aux affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l’union douanière ;Emmanuel Moulin, Managing Director, Mediobanca, (membre du groupe de travail) ;Marwan Lahoud, ancien directeur général délégué à la stratégie, Airbus Group, membre du Comité directeur de l’Institut Montaigne ;Jean Lemierre, président du conseil d'administration, BNP Paribas, (membre du groupe de travail).Ainsi que les représentants de François Fillon, Benoît Hamon et Emmanuel Macron :Alain Cadec, député européen, représentant de François Fillon ;Isabelle Thomas, députée européenne, représentante de Benoît Hamon ;Sylvie Goulard, députée européenne, représentante d’Emmanuel Macron. Les échanges étaient animés par Sylvie Kauffmann, directrice éditoriale au Monde, et Nicholas Vinocur, correspondant à Politico.   En cinq points, l’avis des experts et des trois députés européens : 1 – L’Europe à la croisée des cheminsPour Pierre Moscovici, la période que traverse actuellement l’Europe est à la fois angoissante et stimulante. Angoissante, du fait de l’incroyable défi que représente le Brexit et du contexte électoral européen. Stimulante, parce que la période est propice à un sursaut et à une relance du processus d’intégration. L’Europe n’a pas d’autre choix que de prendre la mesure de la situation. L’unité du continent est maintenant contestée en interne, mais également sur la scène internationale par certaines puissances, à commencer par la Russie de Vladimir Poutine, ou les Etats-Unis de Donald Trump. 2 – Un rôle décisif pour la FrancePour Ramon Fernandez, l’issue de la prochaine élection présidentielle sera déterminante pour l’avenir de l’Union européenne (UE). En effet, le rétablissement de la confiance entre les Etats membres, et surtout entre la France et l’Allemagne, est indispensable pour relancer le projet européen. Les premières réformes du prochain président de la République seront ainsi scrutées de près par nos principaux partenaires.Selon Pierre Moscovici, un accord informel pourrait être passé entre l’Allemagne, qui accepterait de mettre ses excédents commerciaux au service de l’investissement en Europe, et la France, qui réduirait ses déficits et mènerait à bien les réformes structurelles dont elle a besoin. L’arrivée prochaine de nouveaux gouvernements dans les deux pays ouvre une fenêtre de tir à cet effet. 3 – Faire converger les économies européennes, surtout au sein de la zone euroPour Jean Lemierre et Ramon Fernandez, malgré de nombreuses critiques, l’euro est un atout indéniable en ce qu’il a permis de maintenir une inflation réduite. Néanmoins, la monnaie unique n’a pas permis la convergence des économies européennes, et les disparités des taux de croissance et de chômage font courir un risque politique important pour la zone. La construction de la zone euro semble ainsi inachevée. Pour Pierre Moscovici, citant Jacques Delors, “l’euro protège, mais il ne dynamise pas”.Pour Isabelle Thomas, soutien de Benoît Hamon, renforcer les institutions de la zone euro équivaut à partager davantage la souveraineté des Etats membres, ce qui requiert de mettre en place des procédures de contrôle démocratique. Sans une appropriation par les enceintes parlementaires nationales des décisions macroéconomiques prises pour la zone euro, les opinions publiques continueront à se détourner du projet européen.Pour Sylvie Goulard, soutien d’Emmanuel Macron, il faut commencer par respecter enfin les règles - notamment budgétaires - de la zone euro, avant de concevoir de nouvelles institutions ou de nouveaux outils. C’est la condition indispensable au retour de la confiance entre les différents gouvernements.Alain Cadec, soutien de François Fillon, place lui au rang de priorité la convergence économique entre la France et l’Allemagne, ainsi que le rétablissement d’une volonté politique commune aux deux gouvernements. 4 – Marché intérieur, politique commerciale, politique de la concurrence :quels leviers actionner ?Pour Emmanuel Moulin, le retour à la prospérité économique en Europe nécessite que l’on achève la construction du marché intérieur. Pour cela, il faut poursuivre la “défragmentation” des marchés nationaux dans de très nombreux secteurs d’activités, comme la banque ou les télécoms. Concernant la politique commerciale, l’UE doit prendre acte du risque actuel de retour du protectionnisme et faire preuve de moins de naïveté.Pour Alain Cadec, l’Europe doit défendre davantage ses intérêts commerciaux en faisant respecter le principe de réciprocité dans ses accords commerciaux.Sylvie Goulard considère qu’il est nécessaire pour l’Europe qu’elle continue à défendre le principe d’ouverture des échanges et à faire de sa politique commerciale un des principaux outils de son action internationale.Isabelle Thomas considère que la politique commerciale européenne devrait protéger davantage certains secteurs, ceci afin de permettre à l’Europe de bénéficier à terme d’une autonomie agroalimentaire et énergétique. 5 – Assurer la sécurité des citoyens européensSelon Marwan Lahoud, pour la première fois depuis plusieurs décennies, les Etats membres partagent une même conception des menaces qui pèsent sur le continent : le terrorisme et le retour des puissances russe ou encore turque. De même, la France comme l’Allemagne partagent le même diagnostic sur la nécessité d’augmenter leur effort de défense. Toutefois, il est nécessaire de s’interroger préalablement sur la stratégie que les Etats membres entendent mener collectivement.Sylvie Goulard a rappelé la réticence historique de la France à la mise en place d’une politique de sécurité et de défense européenne. La France semble avoir évolué sur ce point, mais elle doit encore en convaincre ses principaux partenaires. L’Allemagne a elle aussi évolué politiquement au cours des dernières années. La récente augmentation de son budget de la défense représente une véritable  révolution culturelle pour sa classe politique.En accord avec Sylvie Goulard, Alain Cadec a insisté sur l’importance de maintenir une coopération étroite en matière de défense et de sécurité avec le Royaume-Uni, et ce malgré la sortie de ce pays de l’UE.(Isabelle Thomas n’a pas pu prendre part à cette dernière discussion).  

Comentario Elcano 15/2017 - 11/4/2017
Javier Albaladejo

Cuando algunos cuestionan la UE, debe ser especialmente valorada la adopción de tres iniciativas recientes de gran importancia en la lucha contra el terrorismo dentro de un modelo de seguridad que es el más avanzado del mundo.

 

 

As part of an ongoing effort to unpack the conceptual and practical contours of prevention for sustaining peace, IPI organized the third in a series of monthly high-level conversations among member states and other key stakeholders on April 10, 2017. The closed-door workshop explored what measures or changes the concept of sustaining peace implies in practice, building upon the preceding issue brief. The meeting follows a previous conversation, in March, on a sustaining peace approach to the restoration and extension of state authority in peace operations.

Participants agreed that the sustaining peace lens provides alternative ways to think about conflict and peace, based on the understanding that every society has capacities for peace. By understanding “what still works,” even in situations of conflict or crisis, the international community can support the positive changes already being driven by internal actors.

The conversation examined the current situation in three countries – The Gambia, Burundi, and the Central African Republic – with an eye to identifying the positive resilient capacities existing in those countries. The discussion highlighted the unique role the Peacebuilding Commission can play in such efforts, and touched upon other national and international initiatives that served as practical examples of a sustaining peace approach.

Youssef Mahmoud, IPI Senior Adviser, moderated the discussion.

Read the meeting brief in English

Read the meeting brief in French

 

Τhe development  of Turkey’s nuclear programme generates serious concerns internationally. These concerns are based on certain unusual articles within the nuclear agreements between Turkey and both Russia and Japan, two major nuclear technology suppliers, as well as on the country’s ‘’grey’’ cooperation with Pakistan during the 1980s. The uncertain future of the U.S. tactical nuclear weapons deployed in southeast Turkey further augments international apprehension. Finally, the political and social instability that characterises Turkey and its wider region requires vigilance and sobriety on behalf of all the States which are directly or indirectly affected through the pertinent developments.

Briefing Note 52/2017: The nuclear factor in Turkey’s foreign relations

Author: Pantelis Oikonomou

You can read here here the article written by Dr Dia Anagnostou on the  ‘Manolada case’ This commentary was published in the Sunday edition of To Vima newspaper on 10 April 2017.

Die vom US-Präsidenten Donald Trump angeordneten Luftschläge in Syrien markieren eine Zäsur in der Syrien-Politik. Rote Linien werden durchgesetzt, Glaubwürdigkeit zurückgewonnen und ein Signal ist deutlich: Assad wird als Teil einer Nachkriegsordnung wohl kaum akzeptiert werden.

Die Sustainable Development Goals (SDGs) erfordern wissensbasierte Konzepte, sonst wird ihre Umsetzung scheitern. Entwicklungszusammenarbeit versteht sich schon lange als Know-how-Vermittler, oft im Rahmen technischer Zusammenarbeit. Die notwendige globale Transformation, wie sie sich auch in den SDGs als Vision widerspiegelt, verlangt ein radikal anderes Herangehen. An die Stelle eines Nord-Süd-Wissenstransfers muss das gemeinsame praxisorientierte Lernen von Wissenschaftlern aus vielen Ländern treten. Akteure des globalen Südens müssen frühzeitig einbezogen werden, um Problemlagen und Lösungsansätze zu identifizieren und zu ihrer Überwindung beizutragen. Diese Themen wurden am 20. und 21. März in Berlin auf der Konferenz „Role of Higher Education, Science and New Alliances – 2030 Agenda” diskutiert. Sie wurde organisiert vom Deutschen Akademischen Austauschdienst (DAAD), der Gesellschaft für Internationale Zusammenarbeit (GIZ), der Kreditanstalt für Wiederaufbau (KfW) und der Alexander von Humboldt-Stiftung. Gemeinsam mit Partnern des globalen Südens wurde analysiert, welche Rolle Hochschulbildung und Wissenschaft für das Erreichen der SDGs haben und wie sich die internationale Zusammenarbeit hierauf einstellen kann. Tertiäre Bildung und die SDGs Ein globaler Übergang zur Nachhaltigkeit kann auf Basis einer breiten und hochwertigen Hochschulausbildung auch im globalen Süden gelingen. Diese darf sich nicht auf die Vermittlung von Lehrbuch- und Faktenwissen beschränken, sondern muss Menschen befähigen, komplexe und drängende Herausforderungen zu antizipieren, zu analysieren und Lösungen zu finden. Neugierde am gemeinsamen Lernen mit internationalen Partnern gehört ebenso zu den zu vermittelnden Werten wie die Bereitschaft, überliefertes Wissen zu hinterfragen und eventuell zu revidieren. Diese Anpassungen sind im Norden wie im Süden notwendig. Hochschulbildung im globalen Süden steht vor großen Herausforderungen Der Bevölkerungszuwachs der kommenden Jahrzehnte wird fast ausschließlich im globalen Süden stattfinden. Immer mehr junge Menschen erwerben die Qualifikation, um sich an einer Hochschule einzuschreiben. Das wird die Nachfrage nach Studienplätzen stark erhöhen. Damit setzt sich ein Trend fort, der seit Jahren vor allem in Ländern mit mittlerem Einkommen beobachtet werden kann. Zwischen 2000 und 2014 stieg die Zahl der Studierenden in Middle Income Countries von 60 auf 122 Millionen. In vielen Ländern des globalen Südens sind Hochschulen und ihr Personal schon heute systematisch überlastet. Wenn wenige Professoren immer mehr Studierende unterrichten müssen, dann leidet die Qualität der Lehre und für eigene Forschungen bleibt keine Zeit. Das Humboldtsche Bildungsideal einer Einheit von Forschung und Lehre rückt in weite Ferne. Die internationale Zusammenarbeit Deutschlands muss sich anpassen Die Trennung von internationaler Wissenschafts- und Bildungskooperation auf der einen und Entwicklungszusammenarbeit auf der anderen Seite ist nicht mehr zeitgemäß. Sie verhindert Synergien. Dass es auch anders geht, zeigt beispielhaft das Programm Novas Parcerias (NoPa). Im Rahmen der mit Brasilien vereinbarten entwicklungspolitischen Schwerpunkte Schutz der Tropenwälder und der Artenvielfalt arbeiten die brasilianische Förderagentur für Hochschulbildung CAPES, GIZ und DAAD seit 2010 daran, Kooperationen in der Spitzenforschung zwischen brasilianischen und deutschen Universitäten zu initiieren und zu begleiten. Dies ist ein vielversprechender Ansatz, der ausgebaut werden muss. Sinnvoll wäre auch, wenn nicht nur die Durchführungsorganisationen zusammenarbeiten, sondern auch die federführenden Ministerien, das Bundesministerium für Bildung und Forschung (BMBF) und Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ), vor allem in der Kooperation mit Schwellenländern. Weniger entwickelte Länder müssen beim Aufbau ihrer Hochschulen massiv unterstützt werden, damit die vielen bildungsorientierten jungen Menschen nicht frustriert zurückbleiben. Angesichts der massiven Herausforderungen werden hierfür umfangreiche Mittel benötigt. Ein international koordiniertes Vorgehen ist zwingend. Hochschulen sollten jedoch nicht isoliert gefördert werden. Hochschulabsolventen muss die Möglichkeit gegeben werden, attraktive und zukunftsträchtige Arbeitsplätze zu finden. Sonst steigt der Druck, in die Länder des globalen Nordens abzuwandern, wo qualifizierte Fachkräfte zunehmend gesucht werden. Privatsektor- und Gründungsförderung sind sinnvolle komplementäre Handlungsfelder. Neue Techniken kreativ und innovativ nutzen Die Digitalisierung bietet neue Möglichkeiten, vielen Menschen hochwertige tertiäre Bildungsinhalte zu vermitteln. Research4Life ist eine Plattform, die Lernenden aus Entwicklungsländern Zugang zu freien digitalen Bibliotheken eröffnet. Massive Open Online Courses (MOOC) stellen eine spannende Möglichkeit dar, weitgehend frei von geographischen Beschränkungen aktuelle Bildungsinhalte zu entwickeln und an viele Lernende kostengünstig zu vermitteln. Warum sollten nicht deutsche und brasilianische Universitäten gemeinsam Kurse entwickeln und an brasilianische Lernhungrige genauso vermitteln wie an Studierende in Angola und Mozambique? Die Sprache wäre keine Barriere. Die technischen Möglichkeiten sind da, gefragt sind nun Kreativität und Innovationen, um sie zu nutzen. Diese Kolumne ist am 10.04.2017 auch auf der Website der Deutschen Gesellschaft der Vereinten Nationen (DGVN) erschienen.

As competition for water resources grows, a holistic management approach is required. Integrated Water Resources Management (IWRM) provides a coordinated, participative management framework to maximise economic and social welfare equitably, without compromising the sustainability of vital ecosystems. IWRM requires coordination at the national level for effective decision-making. Often IWRM is based on River Basin Management (RBM), which takes the river basin as the working unit for water management.
Implementing RBM is not an easy task and levels of success differ between countries. This policy brief analyses the challenges that Mongolia faces as it continues down the IWRM/RBM path. Mongolia is an interesting case because of its rapid legal adoption of IWRM, its transition towards political decentralisation in its post-socialist era, and the tensions caused by a push for economic growth through mining activities. In particular, we analyse how to move from de jure to de facto RBM implementation. We structure our analysis and recommendations based on the political, legal, and financial dimensions that characterise water management decentralisation under the principles of IWRM.
First, we find that regarding the legal dimension, Mongolia has made considerable progress in advancing the legal framework for IWRM/RBM and defining institutional responsibilities, both horizontally across sectors, as well as vertically across government levels.
However, vertical coordination between the national and the river basin levels still needs improvement. The Ministry of Environment (MEGDT) and the National Water Committee (NWC) can further harmonise vertical coordination through different levels of government. Regulations for the implementation of water pollution fees need to be developed.
Second, regarding the financial dimension, there is still ambiguity in some respects:

• In practice, River Basin Authorities (RBAs) remain underfunded and their financial resources are barely enough to cover their fixed costs.
• River Basin Councils (RBCs), as important as they appear to be in legal terms – allowing stakeholder participation in watershed management and decision-making – remain “paper tigers”, as they are not financially supported. Thus, stakeholder participation is marginal and in practice often only includes the participation of province (Aimag) and district (Soum) representatives, if any.
• Financing strategies related to the River Basin Management Plans (RBMPs) are needed.

Third, on the political dimension, the development of the legal framework is an expression of the political will to implement RBM. This political will, however, remains half-hearted when it comes to enforcing environmental law, sparking participation, prioritising funding for respective water organisations and providing those organisations with the equipment required to fulfil their tasks.
Aware of the current payment crisis, this paper argues for securing proper environmental conditions that sustain economic and social development in the long run.

Le Président de la Fondation, Jean-Dominique Giuliani, publie "Pour quelques étoiles de plus... Quelle politique européenne pour la France ?". En théorisant le concept "d'intégration par l'exemple", ce nouvel essai réconcilie intérêts nationaux et relance européenne au delà des récurrents débats sur la souveraineté. Commandez-le

L'édition 2017 du "Rapport Schuman sur l'état de l'Union" est parue aux éditions Lignes de Repères en français et en anglais. Retrouvez cet ouvrage indispensable pour tout comprendre sur l'Europe en librairie ou sur le site de la Fondation. Vous y trouverez notamment un article sur la directive sur les travailleurs détachés rédigée par Elisabeth Morin-Chartier. Commandez-le.

Le 7 avril, les 19 ministres des Finances de la zone euro ont approuvé des principes en vue d'une réforme de la politique d'investissement dans chaque État membre. Ils ont pris acte de l'état d'avancement des discussions entre le gouvernement grec, la Commission, la BCE, le FMI et le mécanisme européen de stabilité sur les réformes adoptées.

Le 3 avril, Christine Lagarde, directrice générale du Fonds Monétaire International (FMI), a présenté un rapport sur le ralentissement de la productivité dans les pays avancés et les possibles solutions. Selon le FMI, les pays devraient investir plus dans l'éducation, la recherche et le développement.

Le 6 avril, la présidente suisse Doris Leuthard et le président de la Commission européenne Jean Claude Juncker ont décidé une reprise des négociations concernant l''ensemble des dossiers après l'adoption par le Parlement suisse en décembre dernier d'une loi compatible avec l'accord sur la libre circulation des personnes.