The French shipbuilder was the victim of a massive leak of confidential technical information about the Scorpene submarines. Countries customers affected by this scandal, are Malaysia and Chile, each with two submarines, India and Brazil who chose technology transfer for six and four submarines.
Newspaper The Australian has published on its website excerpts of 22400 pages of various documents collected. The three documents would be sensitive but unclassified and would cover the period 2010-2011. The texts include strategic information such as technical manuals and models of underwater antennae. They describe the probes of the vessels, communication systems, navigation. In addition, 500 pages are devoted exclusively to torpedo system.
Informations were revealed about :
- data on sonar capabilities
- noise generated by submarines
- magnetic, electromagnetic and infra-red datas
- details of the combat system
The data seen by The Australian includes 4457 pages on the submarine’s underwater sensors, 4209 pages on its above-water sensors, 4301 pages on its combat management system, 493 pages on its torpedo launch system and specifications, 6841 pages on the sub’s communications system and 2138 on its navigation systems.
The data could have been blown away outside France in 2011 by a former French naval officer who at the time was a DCNS subcontractor. The documents could have been sold to Southeast Asian companies before being sent to Australia. The fact that leaks occur in Australia is not a coincidence. In fact it can affect the contract 34.3 billion awarded in April by Canberra to the French manufacturer, for the next generation of submarines, while negotiations are underway to distribute manufacturing sites between the two countries. Australia has chosen another model derived from the French oceanic submarine Barracuda, two times bigger than the Scorpene.
The competition was fierce to win the largest defense program in the history opposing the French DCNS to German TKMS and the consortium formed by Japanese Mitsubishi Heavy Industries and Kawasaki Shipbuilding Corporation. The French therefore provide twelve Shortfin Barracuda buildings conventionally powered and non-nuclear. Sign of the strategic importance of this program, the procedure was punctuated by multiple cyberattacks. According to Australian media, Russians and Chinese would have tried to get hold of the plans of the future submarine.
However you must know that the submarine that Australians are building with the French is called Barracuda, and it is totally different from the Scorpene designed for the Indian navy. The submarine is French, but the combat system is provided by the Americans. Recently, in the Indian Ocean, French Navy became the most important naval ally of Washington, before the British Navy.
Document 1
Document 2
Document 3
(Source : Le Monde, 25/08/2016)
Tag: BarracudaScorpèneIndian NavyAustralian NavyLa Représentante spéciale du Secrétaire général sur les enfants et les conflits armés, Leila Zerrougui, a dénoncé le 24 août dernier dans son rapport annuel l’échec collectif à prévenir et à mettre fin aux conflits dans lesquels les enfants paient un lourd tribut.
Dans ce rapport à l’Assemblée générale des Nations Unies, Mme Zerrougui met en évidence l’impact dévastateur sur les enfants de conflits de plus en plus complexes, en dépit des efforts concertés et des progrès importants réalisés au cours de l’année écoulée.
Selon elle, cette situation découle directement de l’érosion du respect du droit international humanitaire et des droits humains par les parties en conflit.
Le rapport, qui couvre la période allant d’août 2015 à juillet 2016, note que la prolifération des acteurs impliqués dans un conflit armé et des opérations aériennes transfrontalières a créé des environnements très complexes pour la protection des garçons et des filles.
En 2015 et pendant la première moitié de 2016, l’Afghanistan a enregistré le plus grand nombre de décès et de blessés parmi les enfants depuis que l’ONU a commencé en 2009 à documenter systématiquement les victimes civiles. En outre, en Syrie et en Iraq, la violence a continué sans relâche.
Et au Soudan du Sud, après une année au cours de laquelle les enfants ont été victimes de violations brutales, les espoirs d’amélioration se sont complètement évaporés avec la reprise du conflit le mois dernier. Au Yémen, l’escalade du conflit a continué avec des niveaux alarmants d’enfants morts, d’enfants mutilés, d’enfants recrutés et d’attaques contre des écoles et des hôpitaux.
Le rapport marque le vingtième anniversaire du mandat « Enfants dans les conflits armés » et fait le point sur les réalisations accomplies depuis la publication par Graça Machel d’un rapport historique, intitulé « Impact des conflits armés sur les enfants », qui a conduit à la création du mandat du Représentant spécial par l’Assemblée générale. Elle dénonçait alors le fait que au cours des dix dernières années 2 millions d’enfants étaient morts dans les conflits. Ce qu’un enfant endure un adulte ne pourrait le supporter. Le prochain passage de ce dernier rapport devant le Conseil des droits de l’homme et devant l’assemblée générale ne devrait pas passer inaperçu et rester sans réaction ;
Pour en savoir plus : principales sources d’informations
-. Conseil des droits de l’homme : Leila Zerrougi présente son rapport annuel 2015 sur les enfants dans la guerre.
-. Bureau du représentant spécial du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés https://childrenandarmedconflict.un.org/fr/
-. Texte du rapport (20 avril 2016) http://www.un.org/ga/search/view_doc.asp?symbol=A/70/836&Lang=F&Area=UNDOC
Déclaration de M. Timmermans, vice-président de la Commission européenne, Mme Jourová et M. Navracsics, commissaires,sur la «Journée européenne du souvenir» pour la commémoration des victimes de tous les régimes totalitaires et autoritaires
Qui s’en est soucié ? N’oubliez jamais !(Eulogos)
« Le 23 août 1939, l’Allemagne nazie et l’Union soviétique signaient le pacte Ribbentrop-Molotov. Celui-ci a marqué le début de l’une des périodes les plus sombres de l’histoire récente de notre continent, conduisant à la déportation, à la torture et à l’assassinat de dizaines de millions de personnes vivant sous des régimes totalitaires. Si la fin de la Seconde Guerre mondiale a signifié la défaite du régime nazi, de nombreux pays d’Europe centrale et orientale ont continué de souffrir sous d’autres régimes totalitaires.
Demain, 77 ans après la signature du pacte Ribbentrop-Molotov, nous nous souviendrons de toutes les victimes des régimes totalitaires et autoritaires qui ont dévasté une partie de l’Europe durant le 20e siècle. La «Journée européenne du souvenir» pour la commémoration des victimes des régimes totalitaires et autoritaires perpétue le souvenir des victimes et rend hommage à celles-ci. Cette commémoration nous aide aussi à nous souvenir des enseignements tirés de ce sombre chapitre de l’histoire européenne.
Heureusement, les jeunes générations d’Européens n’ont pas connu la vie sous un régime totalitaire ou autoritaire. Il ne faut toutefois jamais considérer nos libertés comme un acquis. C’est la raison pour laquelle la préservation de la mémoire historique et notre attachement à la démocratie, aux droits fondamentaux et à l’état de droit restent plus importants que jamais.
Le souvenir de l’histoire de l’Europe doit nourrir notre détermination à défendre nos valeurs et nos principes communs.
Contexte
La «Journée européenne du souvenir» pour la commémoration des victimes de tous les régimes totalitaires et autoritaires est célébrée depuis 2009.
Le 23 août 2016, à l’occasion de cette journée, M. Tibor Navracsics, membre de la Commission chargé de l’éducation, de la jeunesse, de la culture et du sport, participera à un programme commémoratif et à une conférence ministérielle organisés à Bratislava par la présidence slovaque du Conseil de l’Union européenne. »
Texte en anglais http://europa.eu/rapid/press-release_STATEMENT-16-2844_en.htm