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M113A3

Military-Today.com - ven, 16/12/2011 - 04:45

American M113A3 Armored Personnel Carrier
Catégories: Defence`s Feeds

Ford Class

Military-Today.com - ven, 16/12/2011 - 01:20

American Ford Class Nuclear-Powered Aircraft Carrier
Catégories: Defence`s Feeds

The Three Futures for Afghanistan

Foreign Affairs - jeu, 15/12/2011 - 17:35
Success in Afghanistan would not be as difficult or expensive as it was for the United States to win wars in Europe or counter the communist threat. Given the risks and the opportunities ahead, an investment in South Asia is worth making.

Szlovénia a legversenyképesebb

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - jeu, 15/12/2011 - 02:08

Szlovénia, Csehországot és Magyarországot megelőzve, a kelet-közép-európai térség legversenyképesebb gazdasága - állapította meg egy, a The European House-Ambrosetti szervezet megbízásából készített átfogó regionális tanulmányában több nemzetközi nagyvállalat.

Michail Gorbatschow erhält Franz Josef Strauß-Preis 2011

Hanns-Seidel-Stiftung - sam, 10/12/2011 - 13:29
Die Bekanntschaft von Michail Gorbatschow und Franz Josef Strauß reicht zurück auf eine Begegnung im Dezember 1987: Generalsekretär Gorbatschow empfing den CSU-Vorsitzenden Strauß in Moskau. Dieses Treffen beider Politiker in Zeiten des Kalten Krieges war wegbereitend für die spätere Überwindung des Ost-West-Konflikts.

Vád alatt a horvát kormánypárt

A hatalommal való visszaélés címén vád alá helyezte a múlt vasárnapi választásokig Horvátországot vezető pártot, három másik jogi személyt és több politikust pénteken a szervezett bűnözés elleni zágrábi ügyészségi hivatal (USKOK).

Gázmezőt találtak Szlovéniában

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - jeu, 08/12/2011 - 02:08

Európa szárazföldi területének leggazdaságosabban kitermelhető földgázmezőjének nevezi a brit Ascent Resources cég a magyar-szlovén határon talált gázmezőt.

Kukurikú nyerte a választásokat

 

Ivo Josipovic horvát elnök röviddel vasárnap éjfél után gratulált a parlamenti választásokon győztes balközép-liberális koalíciónak, reményét fejezve ki, hogy jobb együttműködést tud majd kialakítani a Horvátországi Szociáldemokrata Párt vezette szövetséggel, mint a Horvát Demokratikus Közösséghez  (HDZ) tartozó Jadranka Kosor távozó kormányfővel.

Meglepetés a Szlovén választásokon

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - lun, 05/12/2011 - 02:08

A két hónapos Pozitív Szlovénia 28,52, az esélyesnek tartott jobbközép Szlovén Demokrata Párt 26,26 kapott a vasárnapi választásokon.

Szlovéniában is terjeszkedik a MOL

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - mer, 23/11/2011 - 12:20

A Mol-csoport megnyitotta legújabb, saját arculatára átalakított benzinkútját a szlovéniai Dramlje-ban csütörtökön, jövőre a csoport közel 10 millió eurót készül további terjeszkedésre költeni Szlovéniában, s célja az, hogy legalább 10 százalékos részesedést érjen el az üzemanyag kiskereskedelemben.

Szlovéniában is válság közelít

EX-YU / Szlovénia (Szlovénia/Muravidék) - mer, 16/11/2011 - 02:08

Azonnali szerkezeti intézkedéseket sürget a szlovén elnök a válságkezelésre: Danilo Türk azt követően tette közzé a politikai pártokhoz, a munkaadókhoz és a szakszervezetekhez intézett felhívását, hogy a tízéves szlovén államkötvények hozama rekordszintre, 7,1 százalékra emelkedett.

How Private Companies are Transforming the Global Public Health Agenda

Foreign Affairs - mar, 08/11/2011 - 18:13
Over the last three decades, public funding for global health organizations has dried up. Private companies are writing checks to fill the gap, and, accordingly, they are bending the agenda toward their interests. Realigning priorities, however, will mean getting more private firms involved, not less.

La Chine prépare des investissments massives en Ethiopie

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - ven, 28/10/2011 - 17:54
Des représentants de 31 compagnies chinoises sont arrivées en Ethiopie pour mener à bien des études d'investissements dans différents secteurs.  Ils s'intéressent particulièrement à la ville de Dire-Dawa . En effet, ces délégués qui sont arrivés le mercredi dernier vont  mener une étude de faisabilité dans cette ville. On parle en effet, de la reprise du rail éthiopio-djiboutien et de sa prolongation dans d'autres villes, voir  à d'autres pays.

Deuxième ville du pays après Addis-Abeba , Dire Dawa a été fondée en 1902 lorsque le train de Djibouti a atteint cette région.  Etant donné que le chemin de fer ne pouvait pas atteindre la ville de Harar à cause de sa plus haute altitude.  Le passage  du traina conduit à ce que Dire Dawa devienne un centre important du commerce entre le port de Djibouti et la capitale Addis-Abeba.

La visite des représentants des entreprises chinoises a été induite par le Premier ministre Meles Zenawi lors de sa visite officielle en  Chine le mois dernier.

Catégories: Afrique

Chronologie de la Somalie de 1887 à 2011

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - jeu, 20/10/2011 - 14:26
1887: création du Somaliland, protectorat britannique, dans cette région disputée depuis le XIXe siècle entre l'Egypte, la Grande-Bretagne et l'Italie. 
1905: naissance de la Somalie italienne. 
1936: avec l'Ethiopie et l'Erythrée, la Somalie est intégrée dans l'Afrique orientale italienne de Mussolini. 
1940: la Grande-Bretagne évacue le Somaliland... 
1941: ... puis le réoccupe, ainsi que la Somalie italienne et l'Ogaden (Ethiopie). Elle administrera cet ensemble pendant 9 ans. 
1948: la Grande-Bretagne cède l'Ogaden à l'Ethiopie. 
1950: l'ONU place le pays sous tutelle italienne. 
1960: proclamation de l'indépendance. 
1969: le général Syad Barre s'empare du pouvoir. 
1975: la Somalie se range dans le camp soviétique en échange d'une aide militaire. 
1977-78: la "guerre de l'Ogaden" contre l'Ethiopie, soutenue par l'URSS, se solde par un échec pour la Somalie. Celle-ci rompt avec Moscou. 
1990: la capitale se soulève contre le dictateur Syad Barre. 
Janvier 1991: le général Syad Barre est renversé par les rebelles du Congrès de la Somalie unifiée. Ali Mahdi Mohamed devient chef de l'Etat. 
Mai 1991: le Mouvement national somalien proclame l'indépendance du Somaliland (ancienne Somalie britannique). 
Novembre 1991: Ali Mahdi Mohamed est renversé par son allié, le général Mohamed Farah Aïdid 
1991-1992: les affrontements entre clans et une sécheresse catastrophique provoquent une sévère famine. 
Décembre 1992: George Bush (père) lance l'opération militaro-humanitaire "Restore Hope", placée sous l'égide de l'ONU. Elle comptera jusqu'à 38 000 hommes dont 28 000 Américains. 
Mai 1993: les Nations unies prennent le relais (Onusom II). 
Juin 1993: Une embuscade fait 24 morts parmi les Casques bleus. L'ONU lance une offensive contre le général Aïdid. 
Octobre 1993: 18 soldats américains sont tués. Le président Bill Clinton annonce le retrait progressif des troupes américaines. 
Mars 1994: départ des derniers soldats américains.  
1995: fin du retrait des 8 000 derniers Casques bleus. Le pays est divisé en plusieurs régions contrôlées par des factions militaires qui se combattent les unes les autres. 
1996: Hussein Mohamed Aïdid succède à son père à la mort de ce dernier. 
1998: le Puntland (nord-est du pays) s'autoproclame région autonome. 
2000: la conférence d'Arta, sous l'égide de l'ONU, est aussi dénuée de résultat que les douze accords de paix précédents.  
2002: ouverture d'une nouvelle conférence de réconciliation nationale à Eldoret, sous l'égide de l'IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement, organisation régionale de la Corne de dl'Afrique). 
Juillet 2003: la Conférence de réconciliation aboutit à un projet de charte nationale prévoyant le fédéralisme. 
2004 
Janvier: un accord entre les chefs de guerre aboutit à la création d'un parlement intérimaire.
Août: le parlement de transition est inauguré à Nairobi (Kenya), lieu des pourparlers, les conditions de sécurité n'étant pas réunies pour qu'il siège en Somalie.
Octobre: Abdullai Yusuf Ahmed, président de l'Etat régional du Puntland, est élu président de la Somalie par les parlementaires réunis à Nairobi.
Novembre: le nouveau président nomme un Premier ministre, Ali Mohamed Gedi.
Le Bureau maritime international s'inquiète de la hausse significative, depuis le début de l'année, des actes de piraterie au large des côtes somaliennes. 
Mai 2005 : en visite à Mogadiscio, le premier ministre Ali Mohammed Gedi échappe à un attentat qui fait 15 victimes. 
2006 
Février : Création à Mogadiscio d'une " Alliance pour la restauration de la paix et contre le terrorisme " (ARPCT) par des ministres et chefs de guerre soutenus par les Etats-Unis.
Le Parlement somalien de transition se réunit à Baidoa, ouvrant sa première session en Somalie depuis son retour d'exil du Kenya.
Mars : début des affrontements violents opposant les seigneurs de la guerre regroupés dans l'ARPCT à des miliciens de l'"Union des tribunaux islamiques" de Mogadiscio.
Juin : après quatre mois de combats, les milices des tribunaux islamiques prennent Mogadiscio. Cheikh Hassan Dahir Aweys est nommé à la tête du Conseil des tribunaux islamiques.
Juillet : Hassan Dahir Aweys appelle à la " guerre sainte " contre l'Ethiopie, qui soutient le gouvernement de transition réfugié à Baidoa.
4 septembre : gouvernement de transition (TFG) et tribunaux islamiques signent un accord de paix provisoire. L'Union africaine adopte un plan de déploiement d'une force de paix de l'Autorité intergouvernementale de développement (IGAD), regroupant sept pays d'Afrique de l'Est.
24 septembre
: Kisimayo, la troisième ville de Somalie, tombe aux mains des combattants islamistes.
1er novembre : échec des pourparlers de paix entre le gouvernement de transition et les tribunaux islamiques, qui contrôlent un tiers de la Somalie.
24 décembre : l'Ethiopie annonce officiellement son entrée en guerre et bombarde les positions tenues par les tribunaux islamiques.
28 décembre : les troupes éthiopiennes entrent dans Mogadiscio; les combattants des Tribunaux islamiques prennent la fuite et se replient sur Kisimayo, fief de l'aile la plus radicale du mouvement, les "Chebab". 
2007 
1er janvier : les islamistes fuient le port de Kisimayo, le dernier bastion qu'ils contrôlaient, devant l'avancée des troupes éthiopiennes.
7 janvier : début d'une série de raids américains dans le sud du pays contre des islamistes liés, selon Washington, à Al-Qaida.
20 février : le Conseil de sécurité de l'ONU approuve le déploiement d'une force de stabilisation africaine (Amisom) qui doit être composée à terme de plus de 8 000 hommes.
Mars : recrudescence de la guérilla à Mogadiscio; déploiement des 370 premiers soldats ougandais de l'Amisom, la force de l'Union africaine.
Installation officielle dans la capitale du du gouvernement, confinés jusque là à Baidoa, ville du centre du pays.
Avril : après une trêve de quelques semaines, reprise de combats à Mogadiscio. Les troupes éthiopiennes et gouvernementales chassent les combattants islamistes des quartiers nord de la ville. Selon le HCR, ces combats ont fait plus de 1000 victimes civiles et 350.000 déplacés.
Juillet-Août : conférence de réconciliation nationale, organisée par le gouvernement de transition (TFG) sans les islamistes.
Septembre : réunis à Asmara sous la houlette des Erythréens, ennemis jurés de l'Ethiopie, les opposants au TFG forment une Alliance pour une nouvelle libération de la Somalie (ARS).
Après quatre mois d'une guerre de harcèlement, les islamistes radicaux (Chebab) lancent une nouvelle offensive sur Mogadiscio.
Octobre : les troupes d'Addis-Abeba dispersent dans le sang une manifestation composée essentiellement de femmes et d'enfants protestant contre l'occupation éthiopienne.
Le nombre de Somaliens dépendant de l'aide humanitaire atteint le chiffre de 1,5 million de personnes, le double de celui de janvier; 3 millions de personnes sont réfugiées à l'extérieur.
Novembre : selon l'envoyé spécial de l'ONU, Ahmedou Ould-Abdallah, la crise humanitaire en Somalie est la pire de toute l'Afrique.  
2008 
Avril : de violents affrontements font des dizaines de morts à Mogadiscio. L'embryon de force de paix de l'Union africaine (2 600 hommes sur les 8 000 prévus) est paralysée.
Prise d'otage, au large de la Somalie, d'un yacht français, le "Ponant".
1er mai
: un raid américain dans le nord du pays fait plusieurs dizaines de morts, dont Aden Hashi Farah " Ayro ", l'un des principaux chefs islamistes.
2 juin : l'ONU autorise l'usage de la force contre les pirates au lage de la Somalie.
9 juin
: un nouvel accord de paix est conclu à Djibouti, sous l'égide de l'ONU, entre le gouvernement intérimaire et une partie de l'opposition. La frange la plus dure (dirigée par Cheikh Hassan Dahir Aweys, ancien leader des Tribunaux islamiques) qui exige le départ préalable des troupes éthiopiennes, rejette cet accord.
22 août : les islamistes reprennent Kisimayo, deuxième ville du pays.
Octobre : trois navires de l'OTAN commencent à patrouiller au large de la Somalie pour une mission d'escorte et de dissuasion face aux pirates sévissant dans la région.
25 octobre : des pirates prennent le contrôle d'un navire ukrainien chargé d'armes.
26 octobre : le gouvernement et l'opposition islamiste modérée s'accordent sur l'entrée en vigueur le 5 novembre du cessez-le-feu et sur le retrait progressif d'ici début 2009 des troupes éthiopiennes présentes depuis 2006.
12 novembre : les islamistes radicaux s'emparent de la ville portuaire de Merka (100 km au sud-ouest de Mogadiscio), un des principaux centres de transit de l'aide humanitaire.
15 novembre : le président somalien, Abdullahi Yousouf Ahmed, reconnaît que le gouvernement contrôle Mogadiscio et Baidoa, mais que "les islamistes ont pris le contrôle de tout le reste".
17 novembre : un supertanker saoudien chargé de 2 millions de barils de brut tombe entre les mains de pirates somaliens dans l'océan Indien.
29 décembre : démission du président de transition, Abdullahi Yusuf Ahmed. Désavoué par la communauté internationale, il avait tenté de démettre le Premier ministre Nour Hassan Hussein qui entendait intégrer les "islamistes modérés" à son gouvernement afin d'isoler les radicaux (Chebabs). 
2009 
25 janvier : l'Éthiopie annonce avoir achevé le retrait de ses troupes.
26 janvier : un nouveau Parlement élargi aux islamistes modérés et à la société civile, prête serment à Djibouti, où il est réuni du fait de l'insécurité à Mogadiscio. Au même moment, les islamistes radicaux (Chebabs) affirment avoir pris la ville de Baïdoa.
30 janvier : Charif Cheikh Ahmed, "islamiste modéré", ancien chef des Tribunaux islamiques est élu président par le Parlement de transition.
18 avril : instauration de la charia (loi islamique).
31 janvier : Cheikh Sharif Cheikh Ahmed, le chef des "islamistes modérés", est élu président.
23 avril : une conférence de donateurs réunie à Bruxelles décide de lever 213 millions de dollars pour aider la Somalie à se reconstruire.
Mai : les islamistes radicaux (Chebab) lancent une nouvelle offensive sur Mogadiscio.
19 juin : le président du Parlement appelle les pays voisins à intervenir militairement pour contrer l'avancée des islamistes radicaux.
Juillet : plus de de 200 000 habitants de Mogadiscio ont fui les combats en deux mois indique le HCR.
Août : le Burundi envoie un bataillon supplémentaire dans l'Amisom, portant les effectifs de la force de l'Union africaine à 5000 hommes.
Septembre : les Chebab prêtent allégeance à Al-Qaida.
Octobre: les Chebab prennent le contrôle du port de Kisimayo.
Décembre : les Chebab démentent être les auteurs d'un attentat qui a couté la vie à 24 personnes dont 3 ministres. Des centaines de personnes manifestent à Mogadiscio pour dénoncer la violence des insurgés islamistes, un rassemblement sans précédent dans la capitale somalienne en guerre. 
2010Juillet : les Chebab revendiquent un attentat qui fait 73 morts à Kampala, en Ouganda.
Août : les insurgés islamistes lancent une vaste offensive contre les forces gouvernementales et les troupes de l'Union africaine (Amisom). Le 25, les insurgés organisent une attaque-suicide dans un hôtel de Mogadiscio, près du palais présidentiel. Au moins 30 personnes, dont six députés, sont tuées, tandis que des combats à l'arme lourde se poursuivent en ville.  
2011Juin : les ONG alertent l'opinion sur la famine qui menace la Somalie en raison d'une sécheresse exceptionnelle dans la Corne de l'Afrique. En juillet, l'ONU demande une aide d'urgence pour affronter la famine. des dizaines de milliers de Somaliens se réfugient en Ethopie et au Kenya.
Août : les Chebab, qui contrôlaient la moitié de la ville, quittent Mogadiscio où sont venus se réfugier 100.000 Somaliens fuyant la sécheresse et la famine.
Septembre-Octobre: 4 ressortissantes étrangères sont enlevées au Kenya. Nairobi incrimine les Chebab.
Octobre: le Kenya lance une offensive dans le sud de la Somalie
Catégories: Afrique

Causes et conséquences de l'intervention des forces kenyanes en Somalie ? 1ère Partie

Géopolitique de la Corne de l'Afrique - dim, 16/10/2011 - 15:06
Aujourd'hui, le dimanche 16 octobre 2011, les troupes kenyanes ont traversé la frontière pour entrer en guerre en Somalie dans l'objectif d'attaquer les rebelles shebab islamistes qu'ils accusent d'être responsables de plusieurs et récents enlèvements d'étrangers.

En effet, jeudi dernier deux femmes, travailleuses humanitaires de nationalité espagnoles ont été capturées dans le camp de réfugiés de Dadaab.  En outre,  le mois dernier, une femme britannique et une femme française ont été enlevés dans des stations balnéaires dans deux incidents distincts, portant un coup majeur à l'industrie du tourisme du Kenya.

Les troupes kenyanes ont envoyé un grand nombre de troupes, ainsi que des avions et hélicoptères militaires .
Alors , que pourrait augurer  intervention  kenyane en Somalie ? Est ce que ce serait le début de l'entrée en matière d'autres troupes , notamment américaine et européenne dans l'objectif de stabiliser et de répondre aux besoins humanitaires de la population somalienne ? Et en l’occurrence, quelles en seront les conséquences ?



Catégories: Afrique

On Peaceful Coexistence

Foreign Affairs - sam, 08/10/2011 - 03:06

The Delicate Balance of Terror

Foreign Affairs - sam, 08/10/2011 - 03:06
Deterrence is not automatic. While feasible, it will be much harder to achieve in the 1960s than is generally believed.

The China Impasse

Foreign Affairs - sam, 08/10/2011 - 03:06
THE present tacit moratorium on the Formosan problem does not give hope that the question will simply resolve itself by the passage of time; it does provide an opportunity to ponder a solution of one of the major foreign policy dilemmas facing the United States. Before pressure to admit Communist China to the United Nations becomes irresistible, the United States should relieve itself of the anomaly of supporting a government which is held to be sovereign where it exerts no authority and which lacks sovereignty where it does. For it must be remembered that the United States holds the legal status of Formosa to be in abeyance. It maintains that neither the Cairo Declaration nor the Peace Treaty with Japan has operated to make Formosa and the Pescadores formally part of China. To endorse the Chinese claim of sovereignty over Formosa was thought unwise, presumably because to do so would automatically link the question with that of representation of the two rival Chinese régimes, and thereby give legitimate title to whichever régime was victorious in the civil strife.

United States Foreign Policy and Formosa

Foreign Affairs - sam, 08/10/2011 - 03:05
FORMOSA—symbol of the struggle between freedom and Communism in the Orient—poses a test of how far United States foreign policy can combine the ideals of freedom with the flexible realism required by the harsh facts of world politics. Our friend and long-time ally, Chiang Kai-shek, presently holds Formosa (Taiwan); the Communists hold the mainland. We are unhappy that a great nation with the cultural traditions of China should be under the control of a totalitarian régime which does not share our belief in freedom. But for the present, at least, unless we wish to risk an all-out war, our desire to see the return of freedom to continental China cannot overcome the stark fact of the possession and control of the mainland by the Communists.

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