Le rapporteur de l’Assemblée nationale, Jacques Djoli, a annoncé ce mardi 4 novembre que l’élection du nouveau président de la Chambre basse du Parlement ainsi que celle du rapporteur adjoint se tiendront le jeudi 13 novembre 2025. Cette décision fait suite à une réunion du bureau et de la conférence des présidents.
UN Photo/ICJ-CIJ/Frank van Beek
The 30th "Conference of the Parties" (COP30) to the UN Framework Convention on Climate Change (UNFCCC) will take place from 6-21 November 2025 in Belém, Brazil. It will bring together world leaders, scientists, non-governmental organizations, and civil society to discuss priority actions to tackle climate change. COP30 will focus on the efforts needed to limit the global temperature increase to 1.5°C, the presentation of new national action plans (NDCs) and the progress on the finance pledges made at COP29.
By Joan Russow
VICTORIA, British Columbia, Canada, Nov 5 2025 (IPS)
At COP15, the developing countries were calling for the temperature to not rise above 1.5 degrees and they ignored the Copenhagen Accord which agreed to 2.0 degrees
Then at COP21, while the developing countries were still calling for the temperature to not arise above 1.5, they were ignored again. And then, the developing countries praised for their resilience for adapting to the climate change, which has been caused by developed states. In 2024, the United Nation General Assembly sought a legal opinion from the International Court of Justice on Climate change
The response was the following:
“Not only what states are required to do under international law to avert further climate change through both now and in the future, but they also have to assess the legal consequences under these obligations both through what they do and fail to do have caused significant harm to climate systems in other parts of the environment and harm to future generations as well as for those countries by virtue of geographical circumstances are vulnerable to adverse effects of climate change.”
However, a legal opinion from the court is not binding. The court can, however, provide interpretations of international law via customs or treaties such as the UN Framework on Climate Change UNFCCC.
All states are parties to UNFCCC. The objective of the Convention in Article 2 is: “stabilization of greenhouse gases at a level that would prevent dangerous anthropogenic interference with the climate system.
‘Such a level should be achieved within a time frame to allow ecosystems to adapt naturally to ensure food production is not threatened and to enable economic development is done in sustainable way.’“
Under Article 4, the principles include the following:
“The parties should take precautionary measures to anticipate, prevent, and minimize any adverse effects on developing countries. Lack of full scientific certainty should not be used as a reason for postponing such measures.”
Given that the developing countries are the most affected, but least responsible for climate change, perhaps developing countries could launch a case to seek an interpretation by the ICJ of both the article 2 and the precautionary principle
Dr Joan Russow is founder of the Global Compliance Research Project, formed in 1995 to document state non-compliance with international law.
IPS UN Bureau
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La faim frappe aux portes de Walikale, menaçant des milliers de familles déplacées dans ce territoire du Nord-Kivu. Face à cette urgence humanitaire, le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’UNICEF unissent leurs efforts pour organiser une réponse rapide à une crise nutritionnelle jugée critique.
Revue de presse du mercredi 5 novembre 2025
Le feuilleton Veliaj rebondit. Emprisonné depuis avril, le maire de Tirana avait été démis par le Conseil municipal. Une décision cassée par la Cour constitutionnelle, ce qui sonne comme un désaveu pour le régime d'Edi Rama.
- Le fil de l'Info / Albanie, PS Albanie, Défense, police et justice, Politique, Courrier des BalkansFace à la Nation Béninoise dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, le chef de l'Etat Patrice Talon a évoqué les deux ‘'phénomènes'' ayant conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), et à la création du parti Les Démocrates (LD).
Le refus d'adhérer aux réformes politiques et le refus de toute collaboration avec le régime de la Rupture et du Nouveau Départ à son avènement en 2016 au Bénin, auraient conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), puis à la création du parti Les Démocrates. Le chef de l'Etat Patrice Talon l'a fait savoir dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, lors d'une émission spéciale sur Bénin TV. Il a déploré au cours de l'entretien, la dynamique électorale actuellement en cours dans le pays ; laquelle ne l'enchante pas du tout et porte préjudice à l'image du pays. Toutefois, il n'y a pas lieu selon lui, d'indexer la réforme du système partisan, encore moins le code électoral. Les malheurs que connait le parti Les Démocrates en cette période électorale d'après lui, sont la conséquence des actions de son prédécesseur, Boni Yayi, engagé « avec beaucoup d'énergie » à faire échec à tout ce qu'il entreprend comme réforme. « Avant 2016, tout le monde priait pour une réforme du système partisan. Nous l'avons engagée, et j'en suis fier. Elle consistait à encourager, voire contraindre les partis politiques au regroupement. Les FCBE qui étaient à l'entame de la réforme le parti le plus grand de la centaine de petits partis que comptait le Bénin avait l'opportunité d'absorber un grand nombre de ces petits partis et de devenir un grand parti d'envergure nationale, pour peu qu'elle en ait la volonté. Mais comme c'est une réforme engagée par Patrice Talon, pas question. Pas question que cette réforme prospère, même si FCBE devait en profiter », a rappelé le chef de l'Etat. Il en a été de même de l'appel à entrer en partenariat avec ce parti, et à accueillir ses cadres dans la gouvernance politique et technique du pays. Cet appel déplore Patrice Talon, a été également refusé à tous ceux qui ont montré leur disponibilité à collaborer.
Nonobstant cette opposition radicale du parti, la volonté de son régime à associer toutes les compétences et bonnes volontés, quel que soit leur bord politique, s'est manifestée « très tôt » dès la formation du premier gouvernement. Il a cité à titre indicatif, l'entrée au sein de l'équipe gouvernementale de Jean-Claude Houssou, membre du staff de campagne de Lionel Zinsou, son challenger au second tour de la présidentielle de 2016. « Beaucoup d'autres, en raison de leurs compétences techniques ou de leur leadership politique, ont été appelés pour servir le pays aux côtés de Patrice Talon élu comme président de tous les Béninois et non comme président d'une partie des Béninois », a laissé entendre le chef de l'Etat. « Mais par contre, certains restés fidèles à la ligne du parti et de son chef, sont manifestement entrés en quasi rébellion contre le nouveau régime et ceux qui ont choisi de servir le pays à mes côtés, ont été […] purement et simplement bannis », a-t-il ajouté. Deux phénomènes qui, à en croire le chef de l'Etat, ont conduit pratiquement à la scission des FCBE, puis à la création du parti les démocrates. Le président de la République a exprimé au cours de l'émission, son ambition de voir tous les enfants du Bénin travailler ensemble pour construire le pays malgré les divergences de points de vue.
F. A. A.
Chaque compagnie aérienne opérant en RDC devra désormais percevoir 30 dollars auprès des passagers des vols internationaux. C’est ce que stipule le contrat de partenariat signé par le Gouvernement congolais et l’entreprise américaine Securiport LLC, spécialisée dans la sécurisation des infrastructures de transport à travers certains pays du continent africain.