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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 week 5 days ago

La contractualisation, solution idoine pour améliorer la qualité des services

Fri, 16/06/2017 - 17:45

ALGER- Le président du Conseil national de l’Ordre des  médecins, Dr Mohamed Bekkat Berkani a indiqué jeudi que l’application du  système de contractualisation entre les Caisses nationales des Assurances Sociales et les établissements hospitaliers était la « solution idoine » pour améliorer la qualité des services et rationaliser les dépenses en matière de soins.

Lors d’une conférence organisée par le Front El Moustakbel sous le thème  « financement du secteur sanitaire », le Dr Bekkat Berkani a affirmé que le  système de financement actuel des établissements hospitaliers était  « dépassé », relevant l’impératif d’appliquer le système de  contractualisation qui contribue à améliorer la qualité des services et  rationaliser les dépenses en matière de soins.

Après avoir salué le travail accompli par les caisses d’assurance sociale  et le bilan positif réalisé cette année, le même responsable a appelé à tirer profit de ce bilan pour appliquer le système de contractualisation  entre ces caisses et les établissements hospitaliers d’une part, et entre  les caisses et les cliniques privées d’autre part.

Pour ce qui est de la contractualisation avec le secteur privé, le Dr  Bekkat Berkani a relevé l’impératif de financer uniquement les services qui  ne sont pas fournis par le secteur public en vue d’asseoir une complémentarité entre les deux secteurs.

Concernant les compétences nationales de la diaspora, le président du  Conseil national de l’Ordre des médecins a appelé à rechercher les moyens  pour profiter des connaissances de ces compétences au service du pays, dans  la mesure où plusieurs d’entre elles sont « prêtes à accomplir cette  mission ».

Il a ajouté que l’on ne peut prétendre à l’amélioration du secteur  sanitaire et à la rationalisation des dépenses en matière de soins sans  « s’interesser aux ressources humaines » et ouvrir le dialogue avec les  différents corps en dehors des activités syndicales, et ce à travers  l’organisation de rencontres régionales qui permettent aux différents corps  d’exprimer leurs préoccupations professionnelles et de désigner des  représentants pour les exposer au ministère.

« L’on ne peut assurer un traitement de qualité sans prendre en charge ces  préoccupations », a-t-il souligné rappelant à ce propos les ruptures de  stock de certains médicaments.

Après avoir mis en avant la nécessité d’encourager les investisseurs dans  ce secteur, le même responsable à appelé à revoir le système du service  civil actuel qui s’est révélé « un échec ».

Abordant la question de surcharge à laquelle font face les grands  établissements hospitaliers du nord et la problématique de déplacement des  citoyens en quête de qualité de services, le président du Conseil national  de l’Ordre des médecins a préconisé d’encourager les médecins à « se fixer au lieu de leur affectation » en mettant en place des mesures incitatives,  notamment des salaires attractifs et des logements.

Le Dr Bekkat Berkani a déploré, par ailleurs, la « saignée » qu’a subie le  secteur de la Santé à travers la fuite des compétences algériennes,  soulignant que « l’Algérie forme pour les pays occidentaux ». Il a appelé à  mettre fin à ce problème et à trouver des « solutions urgentes face à ce  problème ».

Il a également abordé la question de la maintenance des équipements  médicaux et la prise en charge de la santé de proximité qu’il estime être  la « solution idoine » pour garantir l’équité des soins entre les différentes  régions du pays, appelant par la même occasion à la tenue d’un conseil des ministres pour rechercher des solutions aux problèmes du secteur.

Categories: Afrique

Quarante-cinq narcotrafiquants arrêtés et plus de 8 kg de kif traité saisis dans plusieurs wilayas du pays (DGSN)

Fri, 16/06/2017 - 17:44

ALGER- Quarante-cinq (45) narcotrafiquants ont été  arrêtés par les forces de police lors d’interventions menées à Alger,  Skikda, Constantine, Tlemcen et Ouargla, ayant permis la saisie de plus de  8 kg de kif traité, des psychotropes et des armes blanches, indique  vendredi un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale  (DGSN).

« Dans le cadre des efforts de la DGSN visant à resserrer l’étau sur les  réseaux criminels qui menacent la sécurité du citoyen et de ses biens, les  forces de police relavant des sûretés de wilayas d’Alger, Skikda et  Constantine ont effectué des descentes ciblant, notamment, les points noirs et les lieux suspects, qui se sont soldées par l’interpellation de 43  individus impliqués dans des délits punis par la loi (possession trafic de  stupéfiants et de psychotropes et port d’armes blanches prohibées) »,  précise le communiqué.

Lors de ces interventions, les services de police ont récupéré plus de six  kg de cannabis traité, 232 comprimés de psychotropes et neuf armes  blanches.

Dans des opérations distinctes, les éléments de police relevant de la  wilaya de Tlemcen et de Ouargla ont interpelé deux individus et ont saisi  près de deux kg de cannabis traité », ajoute la même source.

Categories: Afrique

Des députés européens exhortent le roi du Maroc à ne pas réprimer les manifestations populaires

Fri, 16/06/2017 - 17:42

BRUXELLES- Les eurodéputés français d’Europe écologie  les verts (EELV) affiliés au groupe Verts/ALE au Parlement européen ont  exhorté vendredi le roi du Maroc, Mohamed VI à « prendre en compte » les  aspirations de son peuple et à « ne pas réprimer » les manifestations populaires exprimant un « profond malaise social ».

« Face aux risques que font peser de telles tensions, les eurodéputés  écologistes demandent au Roi Mohammed VI de prendre en compte les attentes  de son peuple, et de ne pas réprimer les tentatives d’expression politique  d’un profond malaise social », ont-ils déclaré, regrettant que des promesses  que fait le pouvoir marocain, « seule la répression est devenue réalité ».

Ils en veulent pour preuve, l’arrestation le 29 mai dernier du leader de  la contestation, Nasser Zefzafi pour des motifs « fallacieux ».

« Jugé pour atteinte à la sûreté de l’Etat, il risque la peine de mort »,  ont-ils déploré, soulignant que, depuis, des dizaines d’autres activistes  ont été arrêtés et « soumis à des brutalités policières ».

Ils ont appelé, à ce titre, les autorités marocaines à abandonner les  charges contre le leader de la contestation populaire qui secoue, depuis sept mois, Al-Hoceïma, ville de la région du Rif dans le nord du Maroc.

Les eurodéputés français ont réclamé, en outre, la libération des prisonniers politiques, la mise en oeuvre d’un véritable dialogue avec les mouvements sociaux et le respect des libertés de la presse et de rassemblement.

« Le Royaume du Maroc doit prendre en compte les aspirations de son peuple et nous soutiendrons toute initiative visant à l’apaisement », ont-ils affirmé dans leur déclaration, exhortant le président français, Emmanuel Macron et les autorités européennes à  « transmettre le même message à leurs interlocuteurs marocains ».

Le Groupe des Verts/ALE au Parlement européen a, d’ailleurs, demandé à ce que la situation dans le Rif soit l’objet d’une résolution d’ »urgence » du Parlement en ce mois de Juin, afin de « mettre la lumière sur les développements que les principaux groupes politiques feignent d’ignorer » et  « faire pression pour une résolution pacifique des tensions ».

Les eurodéputés français ont dénoncé, par ailleurs, l’interdiction par les autorités marocaines du tournage à Rabat d’une émission de la chaîne française France 24, accusée par le ministère marocain de la Communication de traitement médiatique « déséquilibré, non professionnel et manquant de  neutralité ».

Ils ont dénoncé, en outre, les pressions politiques et économiques exercées sur les médias marocains indépendants pour « les dissuader de traiter de sujets hautement sensibles ».

« La presse étrangère n’est pas non plus en reste. Arguant de l’absence d’autorisation de tournage, les expulsions manu militari de journalistes n’ont cessé d’augmenter en 2016 », ont-ils déploré, soulignant que cette attitude qui témoigne de « la nervosité du régime » a valu au Maroc « la triste 133ème place au classement RSF pour la liberté de la presse ».

Categories: Afrique

Sortie de la première promotion de lieutenants de police promus sur la base du diplôme

Fri, 16/06/2017 - 17:41

ALGER-  Une cérémonie de sortie de la première promotion de « lieutenants de police » comptant 395 étudiants dont 97 femmes  a été organisée jeudi soir à l’école de police Mohamed Oudhah de Ain Benian  (Alger).

La cérémonie de cette première promotion baptisée du nom du martyr du  devoir national, le lieutenant de police Aisou Tami, a été présidée par le Directeur général de la sûreté nationale, le général-major Abdelghani  Hamel, en présence de membres du gouvernement, de cadres de la sûreté nationale et des différents corps constitués.

Après inspection de la promotion par le général-major Abdelghani Hamel, le directeur de l’établissement, le commissaire divisionnaire Abdelkader Cheraitia a prononcé une allocution dans laquelle il a mis en exergue les efforts déployés sans cesse par l’institution sécuritaire en vue d’améliorer le niveau et la qualité de la formation pour davantage de professionnalisme dans l’action de la police.

Le directeur de l’établissement a salué les initiatives du Directeur général de la Sûreté nationale en faveur de la coopération sécuritaire dans le continent africain dans le cadre d’AFRIPOL dont il a été récemment élu président ».

Il s’est par ailleurs félicité du niveau et de la qualité de la formation d’une durée de 24 mois, dont a bénéficié cette première promotion de lieutenants de police suite à une promotion spéciale sur la base du diplôme.

Le commissaire divisionnaire Abdelkader Cheraitia a précisé que cette promotion avait bénéficié d’une formation théorique et appliquée de qualité dans les différentes spécialités de la police afin de leur permettre d’accomplir leur mission avec abnégation et professionnalisme, en particulier dans le domaine de la protection des personnes et des biens.

Il a à cette occasion salué le soutien accordé à l’école par les différents partenaires (experts, professeurs universitaires, spécialistes et médecins) et par le corps de la justice et les différents corps  constitués.

Le directeur de l’école a appelé les diplômés à faire preuve de professionnalisme dans l’accomplissement de leurs missions de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes, tout en assurant la sécurité des citoyens et de leurs biens ».

Une exhibition sportive et de techniques de combat a été présentée à l’assistance par les élèves diplômés, outre des simulations d’intervention des patrouilles de la police contre toutes formes de crimes et la projection d’une vidéo mettant en relief les moyens de lutte contre la cybercriminalité.

Né le 29 septembre 1943 à Hadjout (Tipaza), le défunt Aisou Tami (père de quatre enfants) a rallié les rangs de la sûreté nationale le 20 avril 1965 en qualité d’agent de sécurité avant de suivre des études à l’école de police de Sidi Belabbes et d’être affecté le 20 novembre de la même année au service de la sûreté publique de la wilaya d’Alger.

Le 31 décembre 1968 il rejoint les agents de l’ordre public où il a été bénéficié de plusieurs promotions en reconnaissance de son abnégation dans le travail.

Le 21 novembre 1993, alors qu’il se rendait à son lieu de travail, il a été surpris par des tirs nourris de  deux terroristes qui lui ont tendu une embuscade devant son domicile à Bainem.

Categories: Afrique

Tunisie: Accord pour mettre fin à un sit-in bloquant la production de pétrole

Fri, 16/06/2017 - 17:09

Les autorités tunisiennes sont parvenues vendredi matin à un accord avec les manifestants d’El-Kamour, dans le sud du pays, où un sit-in a dégénéré en heurts le mois dernier et bloqué la production de pétrole.

Avec la médiation de la puissante centrale syndicale UGTT, l’accord a été signé à Tataouine (500 km au sud de Tunis) en présence du ministre de l’Emploi, Imed Hammami, et de représentants des manifestants, selon des images en direct de Radio Tataouine.

« Cet accord satisfait tout le monde (…) et sera très bénéfique pour Tataouine et la Tunisie », a déclaré M. Hammami.

« Les demandes des jeunes de Tataouine vont être remplies » en termes d’emplois dans les sociétés pétrolières et de création d’un fonds d’investissement notamment, et la station de pompage de pétrole d’El-Kamour va reprendre « immédiatement » ses activités, a-t-il ajouté.

Selon les autorités, la production de pétrole est quasiment à l’arrêt à Tataouine en raison des mouvements sociaux. Depuis près de trois mois, des habitants de Tataouine réclament une meilleure répartition des richesses et des recrutements prioritaires dans les
sociétés pétrolières.

Fin mai, le sit-in d’El-Kamour, site pétrolier situé à deux heures de route de Tataouine en plein désert, a dégénéré en affrontements avec les forces de l’ordre. Un manifestant a été tué par un véhicule de la gendarmerie, « accidentellement » selon les autorités, ce qui a provoqué une flambée de violences et des marches de solidarité.

Vendredi matin, sous les applaudissements, c’est le père du manifestant tué qui a signé l’accord au nom des protestataires, « un geste noble de leur part », a dit le ministre de l’Emploi.

M. Hammami a aussi salué le secrétaire général de l’UGTT Noureddine Taboubi, qui se trouvait à ses côtés, en le qualifiant de « meilleur médiateur possible ».

Aux termes de l’accord, la route d’El-Kamour, bloquée par le sit-in, doit rouvrir et les manifestations à travers le gouvernorat de Tataouine doivent cesser.

Toutefois, à El-Kamour même, « les tentes resteront sur place jusqu’à ce qu’on commence à appliquer les mesures » promises, a dit après la signature Tarek Haddad, porte-parole du mouvement de contestation.

Les mouvements sociaux sont fréquents en Tunisie depuis la chute de la dictature en 2011. Les évènements d’El-Kamour sont les plus sérieux depuis janvier 2016, date à laquelle le pays a connu sa plus importante contestation sociale depuis la révolution après la mort d’un jeune lors d’une manifestation pour l’emploi à Kasserine, une autre région défavorisée.

Categories: Afrique

Protection des artistes et des contenus culturels: l’Unesco adopte des directives internationales

Fri, 16/06/2017 - 16:28

PARIS- Les représentants de 144 pays et l’Union européenne (UE) ont adopté jeudi au siège de l’Unesco à Paris un ensemble de directives opérationnelles visant à protéger les artistes et les contenus culturels sur internet.

L’objectif principal de ces directives est d’aider les pays à veiller à ce que les artistes et les producteurs bénéficient pleinement et équitablement  du potentiel des technologies de l’information aux étapes de la création, production et distribution.

Selon un communiqué de l’organisation onusienne, les directives répondent à la nécessité de garantir une offre de contenus culturels sans discrimination quant à la provenance, la langue ou les facteurs sociaux.

Elles réaffirment également la nécessité de respecter les droits de l’homme dans l’environnement numérique, notamment la liberté d’expression, la liberté artistique et l’égalité des genres, a-t-on ajouté, indiquant qu’elles sont le fruit de cinq années de recherche et de débat avec des experts, des gouvernements et la société civile sur les défis et le potentiel créés par l’expansion des réseaux sociaux et des contenus générés par les utilisateurs, la prolifération des appareils multimédias et  l’émergence de puissantes entreprises opérant sur le web.

Le rapport de l’Unesco  « Repenser les politiques culturelles » avait relevé que la révolution numérique a profondément transformé les industries culturelles, au moment où les infrastructures nécessaires (les appareils et la connexion Internet) ne sont pas disponibles pour tout le monde et les artistes n’ont pas toujours les connaissances techniques pertinentes .

Le texte adopté met en relief la nécessité de protéger la liberté sur internet tout en garantissant la  juste rémunération  des producteurs de contenus fait depuis peu l’objet d’une attention accrue, en particulier grâce à la société civile.

Lundi dernier, lors d’une rencontre à l’Unesco de la Confédération internationale des sociétés d’auteurs et compositeurs (CISAC), qui  représente quatre millions d’artistes à travers le monde, plusieurs représentants de la société civile ont demandé à la communauté internationale de renforcer la législation dans le monde entier.

Categories: Afrique

Blida: 4.000 personnes partagent la table de l’iftar au stade de Mustapha Tchaker

Fri, 16/06/2017 - 16:27

Blida- Deux mille personnes dont des responsables, des élus locaux, des personnalités sportives et artistiques ont partagé jeudi au stade de Mustapha Tchaker la table de l’iftar avec deux mille  orphelins et veuves, une image qui reflète la solidarité avec les différentes catégories de la société.

Vers 18H30, les invités ont commencé à se diriger vers le stade de Mustapha Tchaker qui abrite pour la deuxième fois depuis le début de Ramadan un iftar collectif pour plus de 2.000 personnes.

Plusieurs personnalités artistiques et sportives ont affirmé qu’ils n’ont pas hésité à accepter l’invitation notamment lorsque il s’agit des enfants  orphelins qui veulent être entourés et soutenus.

Le président de l’Association Kafil El Yatim (le parrain de l’orphelin) a remercié tous ceux qui ont contribué à l’organisation de cette journée notamment les jeunes bénévoles qui n’ont ménagé aucun effort durant toute la semaine pour le bon déroulement de cet iftar collectif.

Le stade de Mustapha Tchaker, rappelle-t-on, avait accueilli début juin en cours une table de l’iftar au profit de mille enfants atteints de trisomie et des nécessiteux et ce à l’occasion de la journée internationale de l’enfant.

Le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, Abdelkader Bouazghi était présent à cet événement ainsi que des personnalités artistiques et sportives à l’instar de Atika, Zineb Arras, le chanteur Yazid, le journaliste Mourad Boutadjine et le sélectionneur de l’équipe nationale Lucas Alcaraz.

Categories: Afrique

Tennis / Fed Cup 2017 (2e journée / Gr. D): défaite de l’Algérie (3-0) devant la Moldavie

Fri, 16/06/2017 - 16:25

CHISINAU- L’équipe nationale féminine de tennis a  perdu sa deuxième rencontre  (3-0) face au pays hôte, la Moldavie, lors de  la 2e journée du premier tour (poule D) de la Fed Cup 2017 (Groupe 3 / Zone  Europe-Afrique), organisée du 12 au 17 juin .

La jeune Lynda Benkaddour a perdu difficilement le premier match face à  Gabriela Porubin (7-6 6-7 6-3) .Sa compatriote Amira Benaissa a connu le  même sort face à Alexandra Perper (6-3 6-4).

En double, Benaissa associée à Fatima Zohra Boukezzi se sont inclinées  face à la paire moldave composée de Alexandra Perper et Vitalia Stamat (6-0  6-3).

Après à cette défaite, la seconde après celle essuyée contre le Maroc (3-0  lors de la première journée, les Algériennes  sont troisièmes de leur  poule.

Lors de la troisième et dernière journée de phase de poules, prévue  vendredi, l’Algérie sera opposée au Mozambique qui a concédé aussi deux  défaites.

La Fédération algérienne (FAT) a engagé quatre joueuses dans cette  compétition, Amira Benaïssa, Lynda Benkaddour, Fatima Zohra Boukezzi et  Houria Boukholda, La sélection algérienne, conduite par l’entraîneur national Mouloud Abdelkader Bessaâd, s’était rendue lundi en Moldavie, juste à temps pour le  tirage au sort, l’ayant finalement versée dans la Poule « D », avec le Maroc,  le Mozambique et le pays organisateur, la Moldavie.

Au total, dix-sept pays sont engagés dans le Groupe 3 de cette Fed Cup  2017, à savoir : Algérie, Arménie, Cameroun, Chypre, Finlande, Macédoine,  Grèce, Islande, Irlande, Kenya, Kosovo, Madagascar, Malte, Moldavie, Maroc,  Mozambique et Tunisie.

Ces 17 pays ont été répartis en quatre groupes (A, B, C et D). Les  vainqueurs de chaque groupe joueront directement le play-off pour  déterminer les deux nations qui accéderont au Groupe 2 de la Zone Europe –  Afrique, en 2018.

Categories: Afrique

Championnat de wilaya des échecs des moins de 20 ans: Zidi Soheib vainqueur

Fri, 16/06/2017 - 16:24

ORAN – Le jeune échéphile Zidi Soheib a remporté le championnat de wilaya des moins de 20 ans, qui a pris fin, jeudi soir au centre culturel   Benghazi Cheikh   à Sidi Bel Abbès.

Cette phase de wilaya, homologué par la Fédération internationale des échecs, a été remporté par Zidi Soheib , qui a devancé Attaoui Mohamed Riad et Azzouz Ryad

Cette manifestation sportive, organisée par la ligue de wilaya de Sidi Bel Abbès des échecs en collaboration avec la Fédération algérienne des échecs (FAE), a regroupé, trois jours durant, 22 joueurs et joueuses des moins de 20 ans, issus de différents clubs et associations de la wilaya de Sidi Bel Abbes.

Le niveau technique a été appréciable avec des parties passionnantes, selon le directeur du tournoi, Moulay Mehdi.

L’arbitrage de ce tournoi, disputé selon le système suisse en 7 rondes à la cadence d’une heure au finish, a été assuré par l’arbitre international algérien Daho Mohamed assisté de Fellah Amine .

A l’issue de cette phase de wilaya, les cinq premiers sont qualifiés à la phase zonale, prévue début du mois de juillet à Sidi Bel Abbes.

Ce championnat de wilaya a été clôturé par une cérémonie de remise des prix et de cadeaux aux lauréats, en présence des membres de la Fade et de représentants de la direction de la jeunesse et des sports de la wilaya hôte.

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Maroc: intervention musclée de la police contre les manifestants à Al-Hoceïma

Fri, 16/06/2017 - 16:23

RABAT – Des affrontements ont opposé une partie de la nuit manifestants et policiers dans la ville d’Al-Hoceïma, où le mouvement de contestation populaire se durcit après une vague d’arrestations et de lourdes condamnations, des sources médiatiques.

« Une centaine d’habitants étaient descendus (jeudi soir) sur une avenue de la ville pour manifester. Il y a eu une intervention musclée des forces de l’ordre », a indiqué un témoin, cité par l’AFP.

« Des femmes ont été violentées, des manifestants ont été blessés, (…) il y a eu des course-poursuites dans les ruelles », a accusé cet habitant.

La veille, des heurts avaient déjà eu lieu dans la ville, au soir de la condamnation de 25 jeunes manifestants à 18 mois de prison ferme, verdict qui avait suscité la colère des proches des condamnés.

La province d’Al-Hoceïma, région livrée aux aléas du sous-développement, délaissée par le pouvoir, et dont la population a de tout temps dénoncé son exclusion des programmes de développement local, est secouée depuis octobre par un mouvement de contestation populaire après la mort dramatique, en octobre 2016, du jeune poissonnier, Mohcine Fikri, écrasé par le presse hydraulique d’un camion à ordures en tentant de sauver sa marchandise saisie par la police.

86 personnes ont été présentées à la justice, dont une trentaine ont été emprisonnées et sont accusées notamment « d’atteinte à la sécurité intérieure ».

Al-Hoceïma et des localités voisines sont depuis lors le théâtre de rassemblements nocturnes quotidiens pour exiger leur libération, qui se sont déroulés ces derniers jours dans un climat de plus en plus tendu face aux policiers déployés pour empêcher tout attroupement.

Les premières condamnations de mercredi « aggravent les blessures du Rif », titrait vendredi le quotidien arabophone Akbar Alyaoum, tandis que pour Al Massae, autre quotidien, les condamnations ont « provoqué des affrontements ».

Categories: Afrique

Le groupe Tonic s’engage à résoudre (enfin?) le problème de ses déchets industriels

Fri, 16/06/2017 - 16:16

La pollution du littoral de Bousmail parle groupe industriel Tonic connait-elle son épilogue? C’est ce qu’affirme la nouvelle ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables.

En visite d’inspection dans la wilaya de Tipaza le 15 juin, Fatma Zohra Zerouati, a affirmé que le groupe Tonic, spécialisé dans l’industrie du papier, s’était engagé à traiter définitivement, en l’espace de deux mois, tous ses déchets industriels à l’origine de la pollution du littoral de Bousmaïl.

Mme Zerouati a précisé que le groupe industriel qui verse ses déchets industriels dans le littoral de Bousmaïl depuis 2005, a été destinataire récemment d’une deuxième mise en demeure par la commission de wilaya chargée du contrôle et du suivi des organismes classés, le sommant de procéder au traitement du problème de la pollution à la suite de la suspension de son activité pendant trois mois.

Après une visite au site abritant le projet de la station d’épuration des eaux usées relevant du groupe, Mme Zerouati a indiqué que le premier responsable de Tonic s’était engagée à résoudre ce problème définitivement dans les deux mois à venir après l’entrée en service de la deuxième partie du projet.

« Ces déchets sont déversés directement dans les eaux depuis 2005, ce qui est inacceptable (…) aujourd’hui nous ne pouvons pas rattraper certaines situations, mais nous ne tolérons pas la poursuite de ces infractions », a martelé la ministre.

En vue de traiter ses déchets industriels, le groupe Tonic a procédé à la réalisation d’une station d’épuration des eaux usées avant de les déverser dans la mer. Cependant l’activité de l’unité est limitée au traitement organique des déchets durs, liquides et la vase en attendant l’inauguration de la deuxième partie destinée au traitement des déchets biologiques.

Le groupe Tonic est déjà en retard sur le timing fixé par l’ancien ministre des ressources en eau. ce dernier avait sommé en décembre 2016 les responsables du groupe de trouver une solution avant la fin du mois de mars dernier.

Qualifiant la situation de « catastrophe », M. Ouali avait précisé que l’on ne pouvait « passer sous silence la dégradation de l’environnement causée par les eaux industrielles non traitées déversées dans le littoral de Bousmaïl ».

Ce n’est pas trop tôt pour ceux qui bataillent, en solitaires, depuis des années contre le saccage à ciel ouvert de l’environnement maritime de Bou Ismail, l’ancienne Castiglione, une petite ville maritime qui a été pendant longtemps une destination des estivants et des connaisseurs.

L’environnement maritime y subit une agression à longueur d’année. Les habitants de la ville et les défenseurs de l’environnement n’ont pas cessé d’alerter les autorité depuis 2005 les exhortant à assumer leurs responsabilités légales.

Fatma Zohra Zerouati réussira-t-elle là où ont échoué ses prédécesseurs? On le saura dans deux mois.

Categories: Afrique

Solidarité nationale : « Un guide de protection des personnes âgées » publié sur le site web du ministère

Fri, 16/06/2017 - 16:11

La ministre de la Solidarité Nationale, de la Famille et de la Condition de la Femme, Ghania Eddalia a donné jeudi à Alger le signal pour la publication du « Guide de protection des personnes âgées de la négligence et de la maltraitance » sur le site web du ministère.

Le « Guide de protection des personnes âgées de la négligence et de la maltraitance » qui vient d’être publié sur le site web du ministère vise à faire connaître les programmes, références religieuses et juridiques outre les mesures nationales et internationales pour la prévention et la protection de cette catégorie de la négligence, a indiqué Mme. Eddalia lors de sa visite au Centre des personnes âgées de Dely-Brahim.

La ministre a rappelé dans ce sens les efforts déployés par l’état pour protéger cette catégorie, des efforts -a-t-elle dit- qui ont été couronnés par la constitutionnalisation de leurs droits à la faveur du dernier amendement de la Constitution qui stipule dans l’un de ses articles que « la famille et l’Etat protègent les personnes âgées ».

L’Assemblée générale des Nations Unies a désigné en décembre 2011, le 15 juin journée mondiale de sensibilisation à la maltraitance des personnes âgées.

L’Algérie a été parmi les premiers pays dans ce domaine, en promulguant en 2010, la loi relative à la protection des personnes âgées de la négligence et de la maltraitance, a relevé Mme. Eddalia qui a partagé un Iftar avec les résidentes du Centre.

La loi a instauré la médiation familiale et sociale en vue de maintenir la personne âgée dans son milieu familial à travers le recours au règlement des litiges familiaux, outre l’octroie d’un soutien aux descendants qui prennent en charge leurs ascendants.

Après avoir souligné l’impératif de consentir davantage d’efforts pour la réintégration des personnes âgées dans le milieu familial, Mme. Eddalia a appelé les fonctionnaires des centres d’accueil des personnes âgées (29 centres dans 25 wilayas) à redoubler d’efforts au vu de la particularité de leurs tâches.

Categories: Afrique

Les revenants du « jihad »: un casse-tête européen

Fri, 16/06/2017 - 16:09

Ils sont des milliers, aguerris, endoctrinés, parfois traumatisés: les jihadistes européens partis combattre en Syrie et en Irak ont commencé à rentrer, et face à ces retours les pays de l’UE peinent à trouver une parade commune.

Les chiffres officiels, imprécis car certains combattants ont gagné les zones de jihad puis en sont revenus sans attirer l’attention, estiment à cinq à six mille (sur un total d’environ 27.000 combattants étrangers) le nombre de ressortissants ou de résidents de pays de l’UE à avoir pris le chemin de la Syrie ou de l’Irak, le plus souvent via la Turquie.

Selon le coordinateur de l’Union européenne contre le terrorisme, Gilles de Kerchove, « entre 2.000 et 2.500 » Européens ou résidents de pays de l’UE encore sur place, sont susceptibles, alors que le groupe État islamique (EI) perd régulièrement du terrain dans les deux pays où il avait proclamé son « califat », de rentrer.

« Les chiffres les plus récents suggèrent que sur le total de combattants étrangers européens, 15 à 20% sont morts sur place, 30 à 35% sont déjà rentrés et environ 50% sont encore en Syrie et en Irak », écrivait-il dans un rapport récent.

Si le retour dans leurs pays d’origine de certains semble acquis, d’autres resteront « dans des poches de résistance dans des pays voisins ou voyageront vers d’autres zones de conflit », estime M. de Kerchove.

Intervenant en mars devant le groupe de réflexion londonien Chatham House, le commissaire européen chargé de la sécurité, Sir Julian King, estimait que « la menace va rester à un niveau élevé dans les mois et les années à venir (…) avec la probabilité que des combattants terroristes étrangers tentent de rentrer dans l’Union européenne, certains avec l’intention de planifier et d’exécuter de nouvelles attaques ».

« Les plus malins »

Selon un décompte des bureaux européens de l’AFP, à partir d’estimations officielles, environ 1.500 jihadistes sont déjà rentrés dans leurs pays d’origine ou de résidence, dans lesquels ils sont le plus souvent emprisonnés, toujours placés sous une surveillance plus ou moins étroite et parfois inclus dans des programmes de déradicalisation, dont personne à cette heure ne peut avoir la certitude qu’ils atteignent leur but.

Le premier écueil est de parvenir à évaluer la dangerosité de ceux que le journaliste français David Thomson a baptisé dans son livre-enquête « Les revenants », en commençant par déterminer ce qu’ils ont fait en terre de jihad.

« Le problème, c’est que quand ils rentrent et qu’ils sont interrogés, ils disent tous qu’ils étaient infirmiers », dit David Thomson à l’AFP. « La grande difficulté pour la justice, c’est d’avoir des éléments matériels pour prouver ce qu’a fait un individu sur le sol syrien. Les plus malins, souvent les plus dangereux, n’ont jamais posté quoi que ce soit de leurs activités sur les réseaux sociaux ».

« Donc en France, la règle est la prison, pour des peines de plus en plus longues: on décale le problème dans le temps, faute de savoir quoi faire pour l’instant », ajoute-t-il.

Dans les pays de l’UE, les « revenants » sont d’abord arrêtés, interrogés, soumis à enquête.

Tous les pays ont introduit dans leurs législations des chefs d’inculpation spécifiques: « appartenance à une organisation terroriste », « activité terroriste » ou « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».

Selon le décompte de l’AFP, il y a actuellement en Allemagne environ 280 revenants (sur 820 départs), au Royaume-Uni environ 450 (sur 850 départs), en France environ 210 (sur un millier de départs), aux Pays-Bas 45 revenants (sur au moins 280 départ), en Belgique environ 120 (sur environ 280 départs), en Norvège une quarantaine (sur une centaine de départs), en Suède environ 150 revenants (sur environ 300 départs), en Finlande une vingtaine de retours (sur 80 départs) et au Danemark environ 70 revenants (sur au moins 145 départs).

Politique de fermeté

En Autriche, les autorités estiment que sur les 300 apprentis-jihadistes partis (au moins la moitié sont d’origine tchétchène), une quarantaine a été tuée et une cinquantaine arrêtée à leur retour.

« Il y a deux conséquences pour les combattants autrichiens rentrant de Syrie » a indiqué à l’AFP Karl-Heinz Grunboeck, porte-parole du ministère de l’Intérieur. « La première, c’est une inculpation pour appartenance à une organisation terroriste. Un éventuel passé criminel sera également examiné. Puis, ils seront soumis à une surveillance policière, pour évaluer les risques qu’ils pourraient représenter ».

Pour Phil Gurski, chercheur au Centre international pour le contre-terrorisme de La Haye, « en plus des risques d’implication des combattants étrangers dans des actions terroristes, les États ne savent pas vraiment quoi faire de ceux qui vont revenir ».

« Certains vont rentrer traumatisés, certains blessés, d’autres voudront renier l’EI et ses méthodes barbares mais certains pourraient avoir gardé la volonté de radicaliser leur entourage », ajoute-t-il.

Faute d’une politique ou d’une directive commune aux pays de l’UE, les gouvernements appliquent une politique de fermeté, avec emprisonnement dès que des charges suffisantes peuvent être étayées, comparution en justice et surveillance policière.

Quelques expériences tentent de jouer la carte du dialogue. Ainsi la ville danoise d’Aarhus a entamé dès 2007 un programme de réhabilitation, à base de mesures d’accompagnement, afin d’aider les jihadistes de retour ou ceux qui auraient eu la volonté de partir à trouver un emploi, une formation et un logement.

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A propos des dossiers bloqués des moudjahid Bachir Hadj Ali et Sadek Hadjeres

Fri, 16/06/2017 - 16:07

Sadek Hadjeres tout comme Bachir Hadj Ali n’ont jamais réussi à faire valoir leurs droits de moudjahidin. Deux grands militants nationalistes, avant de devenir deux grands combattants pour la libération nationale et enfin combattants pour la démocratie, les deux hommes n’ont jamais eu cette reconnaissance officielle.

Une initiative citoyenne a été lancée par Mohamed Zaoui pour faire reconnaître à Sadek Hadjeres au moins ce droit. Ayant pris connaissance de cette initiative, M. Hadejres parle dans cette lettre de son cas et de celui du défunt Hadj Ali.

Cher Mohammed Zaoui,

Je viens d’apprendre par toi et par plusieurs autres amis ton initiative sur Facebook. Ton information porte sur la non-reconnaissance officielle jusqu’ici de ma qualité de « Moudjahid », c’est-à-dire de participant au combat armé pour l’indépendance. L’information est exacte et tu as pris l’initiative de la rendre publique sans m’avoir d’abord consulté.

Tu craignais sans doute que je te réponde comme je l’ai fait depuis longtemps à d’autres amis et personnalités de toutes opinions patriotiques et progressistes : j’hésitais à mettre en avant mon cas personnel alors qu’il s’agit d’un problème plus global, les mentalités et pratiques absurdes et archaïques d’une autre époque, celle de « la pensée et du parti unique ».

Un nombre incalculable de nos compatriotes et l’Algérie elle-même continuent à souffrir du mal néfaste qui ronge le pays et la société. Il consiste à évaluer et juger les gens non pas sur la base de leurs actes, mais sur leur alignement inconditionnel aux opinions et faits accomplis des détenteurs de pouvoirs.

Les communistes notamment, en raison de leur engagement patriotique et social inséparable, ont été autant ou plus que d’autres courants et organisations nationales, la cible des attaques partisanes. Le dépôt de mon dossier d’attestation en 1989 était un acte politique et non la revendication formelle d’un statut matériel, au moment où après Octobre 1988, il était possible d’espérer le dépassement de plusieurs décennies d’étroitesses.

Cher Mohammed,

En présentant les cas de Bachir Hadj Ali et de moi-même, victimes symboliques de discriminations partisanes, tu as donc écouté ta conscience morale de citoyen et ta conscience professionnelle. Pour toi comme pour tous ceux dont les réactions à partir de ton Facebook m’ont considérablement réconforté, c’est une question de dignité et de refus de perpétuer la « hogra » comme système.

Ils ont compris que la plupart des hommes et femmes de tous âges qui ont donné leur vie ou étaient prêts à la donner, l’ont fait avec leur coeur brûlant de libérer le pays de l’esclavage colonial et non par espoir de gagner des médailles ou des privilèges futurs. Tu me demandes ce qu’il est souhaitable de faire pour prolonger ton initiative, maintenant que la question est entrée dans le domaine public?

Personnellement, je pense que le plus important avant de se concerter avec toutes les bonnes volontés sur une nouvelle initiative, c’est de poursuivre l’information objective auprès des milieux les plus larges. Les échanges permettront de rassembler le maximum d’opinions et de suggestions constructives. Je sors progressivement de difficultés médicales qui m’ont sérieusement handicapé depuis deux ans et je suis en mesure de fournir plus de précisions quant au blocage de mon dossier déposé depuis 1989 auprès des instances officielles, ainsi que celui de Bachir dont la demande s’était heurtée à un mur avant le début de sa maladie.
Je te remercie ainsi que les auteurs des messages fraternels et de compréhension qui te sont parvenus après ton initiative.

Sadek Hadjerès, 15 juin 2017

Categories: Afrique

Arrestation de cinq éléments de soutien aux groupes terroristes à Skikda, Blida et Oran

Fri, 16/06/2017 - 16:03

Cinq éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Skikda , Blida et Oran a annoncé ce vendredi un communiqué du ministère de la défense nationale (MDN).

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements de l’Armée Nationale Populaire, en coordination avec les éléments de la Gendarmerie Nationale et de la Sureté Nationale, ont arrêté le 15 juin 2017, cinq (05) éléments de soutien aux groupes terroristes à Skikda/5°RM, Blida/1°RM et Oran/2°RM », lit-on dans le communiqué susdit.

Des détachements de l’ANP, apprend-on de même source, ont découvert deux (02) pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov et une quantité de munitions à Adrar/3°RM et une cache contenant trois (03) bombes artisanales, des moyens de détonation et divers objets à Tipaza/1°RM.

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L’indice de popularité mondiale des smartphones chinois atteint 40%

Fri, 16/06/2017 - 12:55

Ces cinq dernières années, le vent tourne pour de nouveaux fabricants chinois de smartphones. En Afrique, le marché des terminaux intelligents est en pleine croissance, et ce n’est pas le duo « Samsung-Apple » qui le domine. C’est Transsion Holdings Ltd, un mystérieux fabricant chinois qui a acquis des clients en proposant des smartphones dotés de fonctionnalités directement liées à la réalité des marchés locaux.

Transsion Holdings Ltd produit des terminaux intelligents sous les marques Itel, Infinix et Tecno, a orienté sa stratégie de fabrication vers l’hypothèse qui consiste à étudier le comportement des usagers vis-à-vis des offres tarifaires des opérateurs mobiles, notamment dans les pays émergents.

C’est pourquoi, après que des études de marché ont révélé que la majorité des utilisateurs africains portaient souvent deux cartes SIM dans le but d’éviter de faire des appels téléphoniques hors réseau et d’économiser de l’argent, en évitant les appels surtaxés issus de l’interconnexion entre opérateurs, l’équipementier chinois a décidé de doter l’intégralité de sa gamme de téléphones mobiles de deux slots pour cartes SIM.

Mieux, la compagnie Transsion a optimisé les caméras intégrées dans ses terminaux de manière à obtenir des images de bonne qualité lorsque les conditions de luminosité sont défavorables. La mise en œuvre de la stratégie de mettre à la disposition des clients les fonctionnalités dont ils ont besoin a fini par apporter ses fruits.

Selon le cabinet d’études IDC, au premier trimestre 2017, les fabricants chinois ont réussi à capter plus de 40% du marché mondial des smartphones, soit le double de ce qu’ils avaient il y a cinq ans. Pendant ce temps, la part de marché de Samsung et d’Apple a baissé de 3,5% durant l’année 2016.

Basés à Shenzhen, épicentre des technologies mobiles embarquées, les équipementiers chinois ont transformé cette ville en un véritable hub de fabrication de contrats pour les géants occidentaux des technologies mobiles. Ils ont réussi à greffer le concept de la production à faible coût à celui de l’ingénierie high-tech.

Mais en dépit de ces performances technologiques, en Algérie, les clients utilisent le terme « smartphones chinois » pour désigner des appareils de mauvaise qualité. Aujourd’hui, il n’est plus possible de sous-estimer l’innovation technologique des terminaux mobiles chinois. Le meilleur exemple est celui d’Oppo. Leader du marché chinois des smartphones depuis l’année dernière, cette entreprise poursuit son offensive sur ce marché.

En 2016, Oppo a commercialisé plus de trois smartphones en Chine pour deux iPhone d’Apple. Une année plus tôt, c’était l’inverse. Née il y a huit ans, Oppo a commencé à produire des téléphones mobiles simples dotés de fonctionnalités très limitées en performances technologiques.

Très compétitifs

Aujourd’hui, les points de vente d’Oppo commercialisent, à l’échelle mondiale, des smartphones avec un excellent design, et qui incluent caractéristiques très recherchées, comme les batteries à charge rapide et des selfies individuelles ou de groupe avec auto focus.

Les prévisionnistes d’Oppo ont, en effet, constaté l’engouement des usagers pour les selfies de groupe et ont donc déployé des lentilles de caméra à grand angle destinées aux selfies de groupe. Pour renforcer sa production, le vendeur chinois compte ouvrir de nouvelles usines, après celle de l’Indonésie, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.

Selon plusieurs avis d’experts, les smartphones chinois sont devenus des produits très compétitifs et menacent toujours les ténors du haut de gamme comme Samsung et Apple. Par exemple, dans son dernier né de sa famille des smartphones P, le P10 plus, Huawei a mis l’accent sur la caméra téléphonique et a ajouté un flou en arrière-plan sur les photos pour faire ressortir le visage du sujet à la manière de l’effet bokeh, une fonctionnalité photo bien connu des possesseurs de l’iPhone 7 Plus.

Le fabricant chinois offre ainsi aux adeptes de la photo une fonctionnalité sur un terminal intelligent qui coûte le tiers du prix de l’iPhone. Les bons résultats des firmes chinoises ne concernent pas uniquement les marchés émergents d’Afrique et de l’Inde.

Ils font également des progrès aux Etats-Unis. Selon IDC, au dernier trimestre de l’année 2016, la part de marché des fabricants chinois des smartphones aux Etats Unis a atteint les 19%, soit une progression de 6% par rapport à 2012.

TCL, l’autre constructeur chinois de terminaux mobile, qui a acheté les droits de la marque de téléphone de BlackBerry l’année passée, compte utiliser cette marque pour s’offrir une place dans le segment haut de gamme du marché des smartphones dans le pays de l’iPhone. Ainsi, pour la plupart des usagers, il n’est plus possible d’ignorer les marques chinoises.

Beaucoup de consommateurs préfèrent acheter un « smartphone chinois » plutôt que tout autre téléphone intelligent en raison de son bon rapport qualité/prix et une configuration technique acceptable. D’ailleurs, l’option « double SIM » proposée par plusieurs fournisseurs chinois a été un véritable critère d’achat dans le marché Algérien des téléphones portables.

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L’ambassadeur du Vietnam en Algérie agressé à Oran

Fri, 16/06/2017 - 12:53

L’ambassadeur de la République du Vietnam en Algérie a été victime d’une agression, hier soir, jeudi 15 juin, près d’un hôtel dans la wilaya d’Oran, a-t-on appris.

Un jeune individu a agressé l’ambassadeur et il l’a dépossédé de son téléphone portable. Les services de police sont intervenus immédiatement après avoir été alertés, et ont entamé des opérations de recherches rapides, qui ont été conclues par l’arrestation du coupable, ainsi que la récupération du téléphone en question.

Suite à cela, l’ambassadeur vietnamien a décidé de rencontrer le directeur de la Sûreté de la wilaya d’Oran, pour le remercier et encenser l’efficacité des services de police.

Quant au coupable, il sera présenté samedi devant la justice, pour vol et agression.

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Le laboratoire pharmaceutique Merinal soutient l’escrimeuse Meriem Mebarki

Fri, 16/06/2017 - 12:50

Le laboratoire pharmaceutique MERINAL a signé, mercredi 14 juin, un partenariat avec la jeune escrimeuse Meriem Mebarki, lui permettant de se préparer dans les meilleures conditions aux jeux olympiques et paralympiques d’été de 2020 à Tokyo.

À a peine 13 ans, Meriem Mebarki s’est déjà distinguée à plusieurs compétitions nationale et internationale. En 2016 cette jeune athlète a décroché la première place dans la catégorie des cadettes au tournoi de Tunis. Et elle a terminé au 4e rang chez les minimes à un tournois en Espagne.

Du haut de ses 13 ans et en dépit de sa petite taille, Meriem Mebarki a été la seule Algérienne à arracher une qualification au tableau des 64 de la coupe du Monde de fleuret féminin, qui s’est déroulé du 13 au 15 janvier à Alger.

Elle a perdu face à l’Autrichienne Freya Cenker (5-15), terminant la compétition en 74e position après un excellent parcours.

Elle avait auparavant battu en phase de qualification de redoutables adversaires comme la Russe Leyla Pirieva (23 ans, 68e mondiale) par 1-5 ou encore la Chinoise Fu Yiting (20 ans, 177 mondiale).

Meriem a récemment représenté l’Algérie lors du 17e championnat d’Afrique d’escrime au Caire (Egypte), où elle a décroché une médaille d’Argent.

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Salade composée au riz

Fri, 16/06/2017 - 12:48

300 g de riz à grains longs, 10 c.à.s. de mayonnaise, 100 g de fromage râpé, 1 boîte de maïs en conserve, une boite de thon en conserve, 1 petit bol de petits pois pochés, 1 petit bol de carottes découpées en dés et pochées, 1 petit bol de pommes de terre découpées en dés et pochées, 1 petit bol de haricots verts pochés

Garniture :
1 concombre découpé en fines rondelles, 2 c. à. s. de maïs en conserve,1 carotte râpée, quelques olives noires, la peau d’une tomate, quelques feuilles de persil
Faire cuire le riz dans l’eau salée. Égoutter et réserver quelques minutes avant de disposer le riz dans un récipient. Ajouter 3 c. à. s. de mayonnaise, le fromage râpé, la moitié du maïs et le thon.
Mélanger le tout.
Disposer les légumes pochés dans un autre récipient, ajouter le reste de maïs et 2 c .à. s. de mayonnaise puis mélanger le tout.
Verser le mélange de riz dans un moule rectangulaire et bien le tasser à l’aide du dos d’une cuillère.
Recouvrir avec le mélange de légumes et tasser à nouveau. Garder au réfrigérateur environ 30 minutes.
Renverser la salade dans un plat de présentation. Mettre la mayonnaise dans une poche à douille et en garnir la salade. Disposer la carotte râpée et les grains de maïs sur les 2 extrémités de la salade puis les garnir d’olives noires. Enrouler la peau d’une tomate en forme de fleur et la mettre au centre de la salade avec quelques feuilles de persil. Entourer le riz de rondelles de concombre puis assaisonner le tout d’une sauce vinaigrette. Servir aussitôt.

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Des sujets diffusés sur les réseaux sociaux, un faux site de l’ONEC… Qui veut mettre le feu aux poudres?

Mon, 12/06/2017 - 11:26

Assisterons-nous au même scénario que celui de l’année dernière? En tout cas, l’accès à Internet était restreint durant toute la durée des épreuves, et ce à travers tout le pays…
Et le pire arriva! Hier, dès la première matinée de l’examen du baccalauréat, les sujets de langue arabe et de mathématiques de certaines filières ont été diffusés sur les réseaux sociaux quelques minutes après le début des épreuves! C’est le même scénario auquel on avait assisté la semaine dernière lors des examens de 5e année primaire et du BEM, où des sujets avaient «fuité» sur les réseaux sociaux quelques minutes après leur distribution par les enseignants. Comme pour les deux précédents examens nationaux, cette diffusion n’a pas impacté directement le bon déroulement des épreuves. Tout comme le faux site de l’Office national des examens et concours (Onec), www.onec2017.com, que les services de sécurité ont découvert. Hébergé en France, ce site a été créé par un ressortissant marocain, Mohamed Rekkaci, via une agence de communication dénommée ODH, ont révélé les services de sécurité.

Néanmoins, ces tentatives de déstabilisation sont certes minimes, mais elles risquent de perturber les élèves en plus de toucher directement à la crédibilité de cet examen, pour ne pas dire les institutions de l’Etat. Car, il faut rappeler que le scénario de la semaine dernière avait inquiété au plus haut lieu, du fait des enjeux de ce baccalauréat dont l’organisation est devenue une mission commando.

Plus de 66.000 policiers, 50.000 gendarmes et presque autant de militaires mobilisés pour la sécurisation de cet examen! En effet, après l’énorme scandale qui avait ébranlé le baccalauréat 2016 où les sujets des examens avaient carrément fuité sur les réseaux sociaux nécessitant à ce que la moitié des épreuves soient refaites, les hautes autorités du pays ont pris le taureau par les cornes. Depuis une année, elles ont chargé les services du ministère de l’Education nationale de coordonner la préparation des épreuves de fin d’année avec, tenez-vous bien, tous les corps des services de sécurité, à savoir la police, la gendarmerie et l’armée. Elles ont ainsi préparé un plan de guerre, avec des mesures des plus radicales, en plus d’avoir mobilisé plus de 100.000 hommes, deux fois plus que lors des dernières élections législatives.14.000 policiers assurent de ce fait les 4000 opérations d’escorte de l’acheminement des sujets par les voies terrestre et aérienne.

Les centres de préparation des sujets ont, eux, été transformés en véritables «bookmaker» avec l’installation d’un système de vidéosurveillance infrarouge des plus modernes, et d’appareils de brouillage des téléphones mobiles. Des détecteurs de métaux et des scanners ont également été installés à l’entrée de ces centres, lesquels ont été aménagés en deux zones, une zone verte gérée par leurs propres services de sécurité et une zone rouge gérée par 40 policiers dont huit spécialisés dans la vidéo-surveillance sous l’autorité d’un commissaire principal et dont l’accès est interdit aux non-détenteurs d’un badge. Les sujets sont sous haute surveillance et gardés dans 50 salles équipées d’un système de vidéosurveillance et d’un système de brouillage au niveau des directions de l’éducation sous la supervision d’un policier et d’un gendarme.

Ils ne passeront pas la nuit dans les salles d’examens, mais sont acheminés le jour même sous une forte escorte! On se croirait dans un film hollywoodien…Encore plus incroyables, des«snipers» du Web surveilleront la Toile 24 h sur 24 pour détecter toute information suspecte qui pourrait chambouler le bon déroulement de ces épreuves. Ce sont des équipes spécialisées dans la lutte de la cybercriminalité, dépendant des services de sécurité qui seront à pied d’oeuvre, sous l’autorité de l’Organe national de prévention et de la lutte contre les infractions liées aux technologies de l’information et de la communication, pour suivre les activités des utilisateurs des réseaux sociaux et contrer toute tentative de fuite des sujets, en un temps record et de poursuivre les contrevenants.

Ce plan antifraude qui est digne des films hollywoodiens aura donc été remis en cause en quelques minutes, d’un petit clic! Ce qui démontre que ceux qui ont diffusé ces sujets sont soit, des élèves bénéficiant de complicité, ou carrément les membres du personnel concernés par l’encadrement de cet examen. Dans les deux cas, cela ressemble véritablement à un complot! La situation est des plus graves. Assisterons-nous au même scénario que celui de l’année dernière? En tout cas, l’accès à Internet était restreint durant toute la durée des épreuves, et ce à travers tout le pays…

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