Des principaux bastions du colonel auto-proclamé Rukunda Makanika sont désormais repris par les Forces armées de la RDC (FARDC).
« Nous voulons confirmer que l’armée vient de reconquérir l’état-major général de Makanika et consorts, Twigwaneho, Android, Ngumino et FNL », informe le capitaine Dieudonné Kasereka, le porte-parole du secteur opérationnel Sokola 2 au Sud, de la province Sud-Kivu.
Un réseau criminel international spécialisé dans le trafic de véhicules a été démantelé par les services de police d’Oran. Plus de 100 individus ont été arrêtés par les élements du service de sécurité, ils sont impliqués dans ce trafic assuré par le réseau qui a fait l’objet d’une enquête minutieuse de la brigade de recherches […]
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La ligue algérienne des droits de l’Homme (LADH) vient de se constituer partie civile pour ester en justice, l’auteur d’une vidéo appelant à la violence et à la haine et à exterminer la Kabylie. En effet, suite à la diffusion sur les différentes plateformes des réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Tiktok…) d’une vidéo appelant à la […]
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Au cours de cette cérémonie, les stagiaires, ont reçu leurs attestations en présence du commandant de Théâtre Centre colonel Makan Alassane Diarra et du commandant du secteur 4 de l’Opération Maliko, le colonel Oumar Traoré. Plusieurs autres responsables militaires étaient également présents à la cérémonie. Cette formation de la 232ème compagnie d’infanterie motorisée s’est déroulée sous l’assistance de la Mission d’Entraînement Mobile de l’Union Européenne au Mali (EUTM-Mali). Elle s’inscrit dans le cadre de deux grands objectifs de l’Etat-major Général des Armées dont l’Armée de Terre s’est totalement appropriée. Il s’agit de restructurer, générer et entraîner les unités en renforçant la confiance dans la chaîne de commandement et de porter l’effort des opérations au Centre du Mali conformément au plan Maliko. « Pendant deux mois, vous vous êtes confrontés aux dures réalités de la vie en campagne, vos instructeurs vous ont appris à dépasser vos limites et vous ont inculqué des savoirs et savoir-faire qui vous seront utiles dès la sortie de cette formation » a déclaré, le Commandant du secteur 4 de l’Opération Maliko, le colonel Oumar Traoré. Il invite toutefois les stagiaires à plus de cohésion et à s’appuyer sur les acquis pour surmonter les obstacles qui se dresseront sur leur chemin ». Source : L’Observatoire avec FAMa
C’était à la faveur d’un meeting qu’il a organisé le 13 août dernier, à la Bourse du travail. Les manifestants étaient majoritairement des femmes venues de la ville garnison de Kati et des jeunes recalés de la Police nationale. « Il faut prolonger la transition pour permettre au colonel Assimi Goïta de continuer son combat pour un Mali nouveau, stable et développé ». « Pour la stabilité et quiétude du Mali, nous demandons la prolongation de la transition » ; « pour éviter des élections bâclées, prolongeons la transition ». Tels sont des slogans qu’on pouvait sur des banderoles au cours de la manifestation. « Nous avons pris un engagement et ce n’est autre que la prolongation de la durée de la transition afin d’assurer aux Maliens des élections crédibles », précise le président du mouvement. Pour lui, la transition est sur le bon chemin pour sortir le Mali du gouffre. Il pense que l’idée de la prorogation de la durée de la transition est partagée par nombreux Maliens. Raison pour laquelle son mouvement a tenu ce meeting. Pour eux, tout le peuple doit soutenir cette transition. « La transition est en train de mettre le Mali sur les rails. Raison pour laquelle les Maliens doivent soutenir l’idée de proroger la transition », a déclaré l’un des organisateurs de ce meeting. Il ajoute qu’elle doit être maintenue jusqu’à trois (3) ans pour le bonheur du Mali et des Maliens. Adama DAO Source : Tjikan
C’est l’apothéose pour le Mali qui prenait part à la 7ème édition de l’Afrobasket U-16 Filles et Garçons Egypte 2021. Le Mali est de nouveau sur le toit de l’Afrique. Dans un match palpitant, les Aiglonnes du Mali ont réussi à conserver leur titre pour la septième fois consécutive contre le pays organisateur, l’Egypte 68-65. Rokiatou Berthé et ses camarades remportent non seulement un septième titre continental d’affilée, mais aussi et surtout se qualifient pour la prochaine coupe du monde de basketball. Le public égyptien retiendra longtemps l’équipe U-16 Filles du Mali, menée par une certaine Rokiatou Berthé, la valeur clé des championnes d’Afrique féminin des moins de 16 ans et MVP. Elle a réalisé une performance incroyable et bénéfique pour l’équipe (28 points, 4 rebonds pour 23 évaluer). Elle figure parmi les 5 majeurs du tournoi et la meilleure joueuse adroite aux tirs des 3 points. Avec elle et ses camarades, le Mali pourrait surprendre ses adversaires à la prochaine coupe du monde de leur catégorie. Chez les U-16 Garçons, le Mali a failli remporter son deuxième titre continental face au pays hôte. Dans ce match âprement disputé, le pays hôte, l’Egypte, ne se fera pas battre, comme précédemment elle l’a été face aux Maliennes. Elle l’emporte sur le fil, 63-62. Privés de leur deuxième titre continental, les U-16 Garçons du Mali se qualifient également pour la prochaine coupe du monde de leur catégorie. Cette performance des catégories inférieures du Mali, s’appuyant sur les entraîneurs nationaux, prouve à suffisance qu’un travail de titan est en train d’être mené par la Fédération malienne de basketball qui traverse des moments difficiles. Almihidi Touré Source : Tjikan
Selon une source locale, la présence des groupes terroristes s’est accrue le week-end dernier dans des localités du cercle Yorosso, à travers des hommes armés, répartis en petits groupes. Un premier groupe a été aperçu dans les secteurs de Koury et Bourra, non loin de la frontière avec le Burkina Faso, dans la région de Koutiala. « Bien qu’aucune attaque n’a été encore lancée dans aucune de ces contrées, cette présence d’hommes armés et la facilité avec laquelle ces derniers parviennent à se déplacer requiert une extrême vigilance et de l’anticipation de la part des forces de sécurité pour déjouer d’éventuelles attaques », pense notre source. Selon des renseignements parcellaires, des combattants terroristes, opérant dans la région de Koutiala et plus précisément dans le cercle de Yorosso, sont présentement en cours d’installation sur les collines situées entre les villages de Karangana, Tandio, Ourkela et Gniwala frontière Burkina Faso). Lesdites collines constituent des sites stratégiques de refuge pour les terroristes pour préparer et effectuer des attaques d’envergure, courant les jours à venir dans des villages et villes du cercle de Yorosso, dont Koury, Kiffosso et Mahou où des écoles sont fermées à cause de l’insécurité. « Des bandits sont régulièrement visibles sur les axes reliant lesdites localités depuis l’attaque du véhicule de la Bnda. Des dispositions urgentes méritent d’être prises par les services compétents ; et populations doivent faire preuve de vigilance, car cette zone fait frontière avec le Burkina voisin », souhaite notre source. Adama DAO Source : Tjikan
Le Paeffk est là pour une durée de 5 ans et géré par le ministre de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille à travers une cellule d’exécution. Selon Chiaka Magassa, secrétaire général du ministère de la promotion de la Femme, représentant de Madame la ministre Wadidié Founé Coulibaly, cette session entre dans le cadre de l’opérationnalisation du Programme d’appui à l’autonomisation des femmes dans la chaine de valeur karité au Mali. Avant de poursuivre qu’elle consacre le démarrage effectif du Paeffk. A l’en croire, le Paeffk a porté son choix sur la filière karité, parce que celle-ci peut contribuer à asseoir l’autonomie financière de la femme. A l’en croire, à travers les motivations, le Mali occupe la deuxième place mondiale après le Nigeria. « Le Mali doit sa position à son potentiel de 74 000 000 arbres, à sa zone géographique couvrant 26 cercles et près de 7500 localités villageoises pour 500000 concessions familiales dans l’activité de transformation du karité », a-t-il expliqué. Avant d’ajouter : « Couvrant les régions de Kayes, Sikasso, Koulikoro, Ségou et Mopti, la filière karité constitue aujourd’hui une source de revenus très significative pour les populations, notamment les femmes rurales. Celles-ci peuvent gagner 250 000FCFA à 300 000FCFA par an », a-t-il confirmé. Il dira que les femmes constituent le maillon essentiel de la production des amendes et de la transformation du beurre de karité et sont les premières actrices de la chaîne de valeur karité. Parlant des contraintes, il dira que la promotion de la filière karité est soumise à un certain nombre de contraintes qui sont, entre autres, la problématique de la labélisation et de la mise en marché et l’inter professionnalisation de la filière, la proportion très limitée de production de beurre de karité amélioré ; qui tarde à voir le jour malgré que les efforts d’accompagnement sont portés par l’Association des professionnels du karité du Mali. Fatoumata Fofana Source : Tjikan
Selon les organisateurs, il s’agit d’une course symbolique en relais en 15 arrêts sur plus de 1500 km pendant 15 jours. A raison de 100km par jour. Chaque groupe de jeunes coureurs sera composé d’au moins 17 coureurs, dont au moins 5 femmes, et parcourra une distance moyenne de 20km, avant de passer le relais au groupe suivant. Chaque arrêt sera l’occasion de mettre à profit des discussions sur des thématiques majeures entre les jeunes et les populations. À l’issue de ces discussions, des recommandations seront partagées et documentées pour une restitution lors de la clôture du projet et une soumission auprès des autorités nationales et locales.
Pour Habib Dakou, président du CNJ, la prévention et la résolution des conflits passent par la sensibilisation et la mobilisation des jeunes leaders en faveur de la paix et la cohésion sociale.
«À travers cette activité citoyenne et sportive, nous allons renforcer l’appropriation et la vulgarisation de l’Accord pour la paix et la réconciliation», a-t-il souligné. Selon lui, son organisation est disponible pour soutenir l’initiative.
Pour le ministre Mossa Ag Attaher, cette cérémonie du lancement participe de la mise en œuvre du Plan d’action du gouvernement de la transition 2021. Il a salué l’initiative qui sera mise en œuvre par son département, avec l’accompagnement du PNUD et l’OIM.
«Le Grand trail de la jeunesse vise à accroître de façon significative la participation des jeunes, à travers le sport, au processus lié à la mise en œuvre et au suivi de l’Accord pour la paix aux niveaux régional, local et communal. Il sera mené par les organisations des jeunesses dans les localités ciblées et identifiées. Il sera un moment important de mobilisation de la jeunesse malienne. Un moment pour procéder à l’enrôlement des jeunes sur la liste électorale», a-t-il expliqué.
«Nous avons la conviction que le sport en général et la course à pieds en particulier permettent non seulement d’engager les jeunes dans des activités fédératrices, mais contribuent également au développement personnel, et sont porteurs de valeurs positives telles que la résilience et la persévérance», a indiqué Pascal Etienne’s, au nom du PNUD et de l’OIM.
Il a lancé un appel à l’ensemble des jeunes, particulièrement les filles, à se mobiliser pour la réussite de cette initiative qui est la leur.
Moussa Sékou Diaby
Source
Comme c’était le cas 11 ans en Irak et 46 ans au Vietnam, où la puissante armée américaine a dû abdiquer devant l’engagement des vietnamiens et les Chiites irakiens. On se rappelle que le 30 avril 1975, l’armée américaine, défaite et humiliée par les guérilleros du Viêt Minh sous le commandement du communiste Ho Chi Minh, n’eut d’autre choix que d’évacuer le personnel de son Ambassade par le toit, à bord des Hélicoptères affrétés à cet effet après la chute de Saïgon. 45 ans après, le même scénario est perceptible aujourd’hui à Kaboul, où depuis le dimanche dernier, après la prise de Kaboul par les Taliban, les forces alliées de l’OTAN, avec US Army en tête, de nouveau battues et humiliées par les Barbus, se précipitent à l’aéroport militaire que les Talibans ont laissé ouvert pour permettre à ces forces d’occupation d’évacuer le pays. Comme on dit, l’Histoire se répète à Kaboul. En 1975, les Américains et leurs alliés ont fui Saïgon par l’air, en 2021, ils ont également fui Kaboul par l’air. Une bonne leçon d’humilité que l’Eternel leur administre. C’est dire que les Maliens, notamment les rebelles de Kidal et certains masques blancs peaux noires à Bamako, doivent se convaincre d’abord de la responsabilité de la France dans les merdes que nous vivons dans notre pays, ensuite que l’intervention des mêmes forces françaises au Mali n’est pas la solution aux épreuves que nous vivons. Nous devons croire à notre capacité d’organisation et de défense. Il faut rappeler que le Mali était en paix jusqu’à l’intervention des forces de l’OTAN en Libye entre le 15 février et le 23 octobre 2011. Aidée et armée par les forces de l’OTAN, les rebelles partis de Benghazi en février à la suite d’un mouvement de contestation populaire, assorti de revendications sociales et politiques, cochés par les Français et les Anglais et finalement une forte coalition des forces de l’OTAN, avec la puissante Amérique de Barak Obama en tête, vont vaincre les troupes du guide libyen, Mouammar Ghadafi, le 19 novembre 2011, dans les faubourgs de Syrte. Les forces touarègues qui composaient l’armée libyenne, qui avaient porté main-forte aux forces de l’OTAN à désorganiser les forces de Ghadafi, conduisant la chute une après une les villes libyennes jusqu’à la prise de Tripoli et de Syrte et livrer Ghadafi à ses ennemis occidentaux, vont être convoyés au nord du Mali avec promesse ferme de l’Indépendance du septentrion malien à leur profit avec Kidal comme capitale du nouvel Etat. Malgré les tractations du président Amadou Toumani Touré à dissuader les rebelles à renoncer à leur projet, la rébellion éclate le 12 janvier 2012 à Ménaka. Depuis, le Mali est en proie à une crise politico-sécuritaire avec ses corolaires de misère et de précarité des populations, y compris les parents des rebelles eux-mêmes à Kidal, Tessalit, Aghel Hock, Abbeibara et Tinen Esako, ville natale d’Iyad Ag Ghali, Ibrahim Ag Bahanga et colonel Hassane Fagaga, etc. dans la région de Kidal et de Ber dans la région de Tombouctou, d’où est originaire le regretté Sidi Ibrahim Ould Sidati, le président du MAA proche du Mnla. Lui Sidati qui a signé l’Accord de paix au nom de la CMA. Est-il besoin de rappeler que c’est la rébellion du MNLA qui a amené dans ses valises Iyad Ag Ghali et ses fidèles. A l’époque, la France de Nicolas Sarkozy a fermé les yeux et les oreilles aux crimes odieux dont Iyad et ses combattants sanguinaires se sont rendus coupables contre les forces armées maliennes à Aguelhok en mars 2012. Jusqu’ici, la France et les Nations Unies qui font mine de ne rien savoir et faisant bouches cousues sur ces crimes abominables contre l’humanité se permettent de vilipender les FAMa qui ne font que se défendre des hordes criminels sans foi ni loi, qu’ils contribuent à armer contre le Mali en favorisant des trafics d’armes illicites dans les frontières qu’elles laissent ouvertes entre le Mali et l’Algérie, le Mali et le Niger, le Mali et le Burkina Faso de Blaise Compaoré. Le président Roc Marc Christian Kaboré, qui refuse le deal, a été associé à la liste des pays hostiles aux intérêts de la France en Afrique. Depuis lors, il n’a plus la paix dans la partie septentrionale comme le Mali. Au même moment, ces puissances occidentales, notamment les Etats-Unis et la France, s’activent à visage découvert pour empêcher par tous les moyens le Mali d’accéder aux armes pour se défendre. Il faut rappeler que depuis plusieurs décennies, notre pays croupit sous le poids de l’embargo sur les armes. Le motif invoqué officiellement, c’est qu’ « en laissant le Mali se réarmer, il y a le risque de vengeance contre les alliés de Kidal». Mais, ce qu’ils se trament entre eux, les Occidentaux soupçonnent le Mali de vouloir chasser le MNLA de Kidal et l’ONU par la suite et laisser les Russes et les Chinois exploiter la manne pétrolière et gazière dont dispose dans notre sous-sol. Pour cela, pas question de laisser l’armée malienne s’affranchir de la tutelle française et de l’ONU. Pour parvenir à cette fin, toutes les stratégies de communication sont mises en place pour convaincre les Maliens de la faiblesse de leur armée, justifiant la présence de ces forces d’occupation pour lutter contre les forces terroristes. Or, ce qui vient de se passer en Afghanistan prouve à suffisance que la présence de ces forces est la clé toute faite pour vaincre des ennemis invisibles. C’est dire que ces événements doivent servir de boussole pour les Maliens dans leur diversité, y compris les rebelles de Kidal, pour comprendre que personne ne fera nos pays à notre place. Car, nul ne peut maitriser l’agenda de ces puissances. Qui ne sont mues que par leurs seuls intérêts. Un expert français en sécurité a dit sur RFI qu’en Afghanistan, l’intérêt des Américains étaient d’éliminer Oussama Ben Laden. Dès que cette mission a été remplie, ils n’avaient plus de motivation à donner un Boy à la mort pour les Afghans. Depuis, ils ont poussé devant les forces talibanes, des combattants aguerris, la faible armée afghane épuisée par des années de guerre à ne pas finir et de surcroit démoralisée. Dès lors, les dés étaient pipés pour le président afghan et ses hommes. Ashraf Ghani a préféré prendre ses pieds au cou. Et depuis son exil au Tadjikistan, où il s’est réfugié, il a reconnu dimanche soir la victoire des Talibans. « Les Talibans ont gagné », avait-il déclaré. Pendant qu’au même moment les insurgés pénétraient dans le palais présidentiel et reprenaient le pouvoir à Kaboul, au grand dam des forces de l’OTAN. Pour que le Mali ne soit pas le prochain sur la liste de ces genres de surprises en Afrique, il urge que les autorités mettent en place et très rapidement une cellule de réflexion stratégique pour anticiper sur les événements. M A. Diakité Source : Tjikan
Le ministre des Droits humains Fabrice Puela a annoncé ce mardi 17 août la mise sur pied dans quelques jours d'un fonds de réparation des victimes graves en RDC.
Les chefs d’Etat et de gouvernement qui participent aux travaux du 41ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de la Communauté de développement des Etats de l'Afrique australe (SADC) ont fait ce mardi 17 août ont fait le plaidoyer en faveur d'un accès équitable des pays africains aux vaccins. C’est ce qu’indique une dépêche de la cellule de communication présidentielle.