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Afrique

Mali : Tentative de coup d’état : Six personnalités incarcérées

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:37
L’un des accusés le Col-major Kassoum Goïta, ex-DG de la SE. Six personnalités maliennes ont été placées sous mandat de dépôt cette semaine. L’information a été confirmée le vendredi 5 novembre par la justice malienne. Tous sont accusés notamment de tentative de coup d’État et de complot contre le gouvernement. Parmi eux, l’ancien Secrétaire général de la présidence et l’ancien Directeur de la Sécurité d’État, les services maliens de renseignements maliens, qui avaient disparu depuis plusieurs semaines.

C’est un communiqué du Procureur de la République près le tribunal de Grande instance de la commune VI qui l’a annoncé le vendredi 05 novembre dernier. En effet dans un communiqué signé par le Procureur de la République, M. Samba Sissoko, a informé l’opinion publique nationale et internationale de l’ouverture d’une information judiciaire contre le Colonel-major Kassoum Goïta, ancien Directeur général de la Sécurité d’Etat sous le Président Bah N’Daw, Sandi Ahmed Saloum, Issa Samaké dit Diossalias Simbo, l’Adjudant-chef Abdoulaye Ballo, le Commissaire principal de Police Moustapha Diakité et le Pr Kalilou Doumbia, ancien Secrétaire général de la Présidence de la République sous Bah N’Daw. ” Les accusations portent sur ”tentative de coup d’Etat, association de malfaiteur et complot contre le gouvernement”. 

​On se rappelle il y a quelques mois, les proches de Kalilou Doumbia étaient sans nouvelles de lui et son interpellation, le 6 septembre, par la Sécurité d’État, en dehors de toute procédure légale. Ce professeur de droit, qui fut secrétaire général de la présidence lorsque Bah N’Daw occupait le palais de Koulouba, au début de la Transition, est détenu depuis mercredi dernier au camp 1 de la gendarmerie à Bamako. 

​C’est également le cas du colonel-major KassoumGoïta, qui dirigeait à la même période les services de renseignements maliens, et qui avait été interpellé par la Sécurité d’État, il y a un mois, le 4 octobre, ainsi que de quatre autres personnes, dont un commissaire de police et un marabout. 

​Selon certaines sources, 25 personnes au total, civiles et militaires, auraient été entendues par le juge d’instruction en charge du dossier. Le procureur précise qu’elles n’ont pas été placées sous mandat de dépôt.  

​Aujourd’hui, beaucoup de Maliens doutent forts sur le bien-fondé de cette tentative de coup d’Etat. Car, on se rappelle, après leur second coup d’État du 24 mai dernier, contre l’ex-président de la Transition Bah N’Daw et l’ex-Premier ministre Moctar Ouane, ceux-ci avaient été placés en résidence surveillée pendant quatre mois, puis libérés sous la pression internationale, sans que la raison de ce traitement n’ait jamais été précisée par les autorités. 

​Ensuite, en décembre dernier, sept autres personnes, dont l’ancien Premier ministre Boubou Cissé, le chroniqueur Ras Bath, l’ancien Directeur général du PMU-Mali, Robert Vital Diop, Sékou Traoré, ancien Secrétaire général de la présidence de la République, et autres, avaient déjà été accusées de complot, avant d’être blanchies par la Cour suprême quatre mois plus tard. Pour le moment, les Maliens ne croient pas à la véracité de cette thèse de coup d’Etat. Pour eux, les autorités de la Transition veulent distraire le peuple malien afin qu’il oublie l’essentiel. Aujourd’hui, seul un procès pourra éclairer la lanterne des Maliens. Et les prochains jours nous édifieront !

Youssouf SANGARÉ

Source : Le Malien

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Mali : Centrale hydroélectrique de Sélingué : 11 MW de plus pour soulager les consommateurs

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:35
Le ministre Lamine Seydou Traoré À la tête d’une forte délégation, le ministre des Mines de l’Energie et de l’Eau, Lamine Seydou Traoré, a effectué une visite de terrain, le jeudi 4 novembre 2021, à la Centrale hydroélectrique de Sélingué. Il s’agissait pour lui de constater de visu la prouesse réalisée par les équipes d’EDM-SA pour la réparation et la mise en service de la turbine 4 du barrage de Sélingué, en panne depuis 2020. Les travaux, qui ont mobilisé une équipe de quinze (15) agents dirigée par M. Bourama Kanté, ont duré quatre (4) mois, selon les explications du DG Oumar Diarra. Et la remise en service de la turbine, ajoute-t-il, va permettre d’augmenter la capacité de production de la centrale de 21 à 32 MW, soit 11 MW de plus, améliorant ainsi la qualité du service au profit des consommateurs et diminuant considérablement le cout de production grâce des économies sur l’achat du contribuable.

Très satisfait du succès des travaux, le ministre Lamine Seydou Traoré a estimé pour sa part que le recours à l’expertise malienne aura permis d’économiser plus d’un demi de milliards. En effet, explique-t-il, cette réparation, presque à zéro franc, par les compétences de l’EDM-SA marque la fin du recours systématique à l’expertise étrangère pour la réparation et l’entretien de nos centrales. « Cette opération très pointue a toujours été confiée à des entreprises étrangères, sans la participation des techniciens de l’EDM et payées à des centaines de millions de FCFA», a-t-il relevé en rappelant que la décision de confier ces travaux à une équipe exclusivement constituée d’agents d’EDM-SA au lieu de commettre des techniciens étrangers, comme le voulait la pratique, est une première et procède de la volonté de la nouvelle équipe dirigeante de l’EDM-SA de valoriser le capital humain en donnant l’occasion aux agents de s’affirmer et de faire valoir leurs compétences. Toutes choses qui témoignent de la mise en œuvre des instructions reçues par la nouvelle équipe de management, a expliqué le ministre en insistant sur ses objectifs à sa prise de fonction. Il s’agit entre autres du plan massif d’investissement et de la maitrise des couts de revenus assurance que matérialisé le lancement de la campagne anti-fraude en plein marche.

Amidou Keita

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Réhabilitation du poste de transformation électrique de Kati :

Finies les coupures d’électricité à Kati dues à la forte chaleur

En panne depuis janvier 2018, le poste de transformation électrique de Kati, créé pour améliorer la qualité de la desserte dans les villes de Kati et Bamako à travers une ligne 30 kV qui relie le poste de Kati au poste de Lafia et la centrale Aggreko-Kati avec une puissance contractuelle de 20 MW, sera à nouveau opérationnel en janvier. L’information a été donnée par le ministre de l’Energie des Mines et de l’Eau, Lamine Seydou Traoré, en visite sur ledit site en chantier de réhabilitation, le 4 novembre 2021. Cette réhabilitation en cours, effectuée par le personnel de la Direction Transport Mouvement Achats d’Energie, s’inscrit en droite ligne de la vision de la Direction Générale d’EDM-SA de valorisation de la technicité du personnel, de transfert des compétences à un personnel plus jeune et de réduction des charges occasionnées par les prestations extérieures. Elle permettra entre autres de normaliser les ouvrages du poste de Kati, de renforcer la capacité d’alimentation du poste de Kati et d’assurer l’évacuation des productions de 50 MW annoncées à Kati sur le réseau de Bamako. Elle va permettre également d’améliorer la qualité de la desserte dans la ville de Kati et environs et de procéder à l’extension du réseau d’EDM-SA dans lesdites localités.

L’occasion était tout indiquée, pour le ministre Lamine Seydou Traoré, de rappeler son engagement à faire du service public dans le domaine électrique l’électricité un outil privilégié de croissance économique et de développement social. Et d’insister par ailleurs sur son objectif, à sa prise de fonction, de faire en sorte que les populations puissent ressentir à minima les effets et l’impact des coupures d’électricité. Il a en également profité pour partager son plan de riposte face aux coupures d’électricité. Selon le ministre, «si on ne peut pas éviter les pannes, eu égard à la vétusté des équipements, il faut faire en sorte, en cas de panne, qu’on puisse trouver des solutions provisoires pour que la population puisse continuer à bénéficier du service d’électricité». Et c’est ce qui semble motiver la réhabilitation du poste dont la vocation est de diminuer les risques d’incendie et de panne. Aussi, à l’instar des installations du barrage de Selingue, le poste de transformation sera réhabilité avec une expertise locale. C’est du moins ce qu’a expliqué le ministre en laissant entendre qu’à part les équipements venus de l’extérieur, l’expertise, notamment l’entreprise et le personnel, est malienne.

Le ministre a par ailleurs rassuré la population de Kati et environs d’une desserte en électricité pendant la période de forte chaleur, grâce notamment à l’opérationnalité du poste de Kati d’une capacité de transformation de 40 MVA, sera opérationnel d’ici fin janvier.

Amidou Keita

Source : Le Témoin 

Categories: Afrique

Mali : Arcane politique : le cas Issa Kaou Djim est-il le parfait révélateur des réalités du moment ?

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:34
Spécialiste en retournement de veste, le très sulfureux quatrième vice-président du CNT (Conseil national de transition), issa Kaou Djim, s’est embourbé dans une affaire judiciaire qui ne finit plus de tenir en haleine au Mali. Il a été en effet jugé, le 31 octobre dernier, pour troubles à l’ordre public et atteinte au crédit de l’Etat suite à des propos véhéments à l’égard du Premier ministre Choguel Kokalla Maiga et reste en détention à la Maison centrale d’arrêt de Bamako au moins jusqu’au délibéré prévu pour le 3 décembre prochain.

Cependant, cette affaire judiciaire inspire des réactions diverses aux Maliens et chacun y va de son appréciation. Au-delà de la grande satisfaction affichée par la myriade de concitoyens qui désapprouvent un personnage clivant au penchant polémique, certains trouvent par contre que le cas Kaou Djim est l’illustration parfaite de la dictature qui prévaut au Mali sur fond d’entraves à toute liberté d’expression et d’opinion. Toutefois, au regard de la résolution votée par le CNT le 4 novembre 2021 demandant la suspension de la détention de son quatrième vice-président suivi ipso facto par la réaction du syndicat des magistrats du SAM -SYLIMA rappelant en substance la nécessité incontournable de respecter le principe sacro-saint de la séparation des pouvoirs, on est en droit de croire que l’affaire s’éloigne de la grande cabale contre Issa Kaou Djim tant ressassée par d’aucuns.

Par ailleurs, si on peut préjuger d’une issue favorable à Kaou Djim, on en aura tout de même tiré comme enseignement que la sphère politique a ses raisons qui échappent à la raison elle-même. En moins de deux ans, en effet, Issa Kaou Djim aura changé de couleurs tel un caméléon nerveux qui flâne dans un vaste atelier de peinture. Et que dire de son choix plus qu’insolite de recourir aux services de Me Kassoum Tapo qui, il n’y a pas plus d’un an, était encore du rang des personnes qu’il se délectait de blacklister comme pilleur notoire de l’Etat.

En tout cas, si le cas Issa Kaou Djim est révélateur de quelque chose, c’est certainement la lumière qu’il aura apporté sur la posture versatile et mercantile de certains de nos hommes politiques aux niveaux carentiels qui n’atteignent des postes de responsabilités au plus haut sommet de l’Etat que par affinité et complaisance. Et quoi qu’on puisse penser de la pertinence de la procédure judiciaire engagée à l’encontre du quatrième vice-président du CNT, il faudra cependant s’abstenir d’opiner sur des questions judiciaires dont on ignore l’ensemble des contours.

Ousmane Tiemoko Diakité

 

Source : Le Témoin 

Categories: Afrique

Mali : Entre nous : cette impossibilité d’aller à une solution consensuelle pour juguler la crise malienne

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:33
A l’autre bout de l’utopie le réalisme doit logiquement paraitre. Au Mali se serait plus qu’une chimère d’espérer un minimum de symbiose pour sortir le pays de l’ornière et du péril qui pourrait perdurer davantage.

En effet, par la faute des innombrables clivages qui affaiblissent gravement les fondations de la nation Mali, il y’a de quoi redouter un avenir peut rassurant. Ce constat se vérifie une énième fois avec les contestations qui mettent à mal toutes les démarches (salutaires ou pas) qu’engagé la transition pour tirer le pays de l’infernal cocon d’insécurité. Si traiter avec la puissante société paramilitaire russe Wagner parait aux yeux de certains Maliens comme une résolution incongrue, on a cependant du mal à comprendre que vouloir négocier avec des Maliens religieusement excentriques qui se sont rebellés contre l’Etat soit sujet à polémique. L’interrogation fondamentale à ce niveau est certainement de savoir ce qui n’est pas entaché de dissensions au Mali ? La réponse est qu’il est de notoriété publique qu’au même moment où on va vers un boycott conséquent des futures assises nationales, la sphère politique s’oppose sur l’outil électoral et le peuple est divisé à la fois sur la prolongation du délai de la transition et le choix des autorités de la transition d’envisager une autre forme de partenariat militaire plus bénéfique. Et pour couronner le tout, une autre opposition s’invite pour balayer d’un revers de main toute tentative de dialogue avec des groupes djihadistes qui terrorisent la quasi-totalité du territoire national.

Dans tout conflit armé, quand l’option militaire perd en efficacité, les négociations deviennent un passage obligé ne serait-ce le temps d’une trêve pour arrêter l’effusion de sang et cela la France qui astreint l’Etat malien à ne pas aller dans ce sens en sait grandement quelque chose.

Par ailleurs, au regard de tout ce qui se passe au Mali depuis plus d’une décennie, on a l’impression que parallèlement au fait que chaque fils d’un pays à l’obligation morale de participer à l’édification de sa patrie, chacun veut visiblement avoir son mot à dire dans la gestion étatique qui est du ressort régalien du pouvoir public.

De toute façon, malgré les clivages à n’en point finir, on finira par comprendre un jour que la crise multidimensionnelle que traverse notre pays ne doit et ne peut avoir qu’une solution endogène.

 

Ousmane Tiemoko Diakité

Source : Le Témoin 

Categories: Afrique

Mali : Le Secrétaire général du SNESup dans l’œil du cyclone

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:30
Dr. Abdou Mallé Le Secrétaire général Abdou Mallé va-t-il échapper à la vague dégagiste qui le guette depuis quelques temps ? Rien n’est moins sûr, à en juger par la dynamique discrètement déclenchée par les nombreux adeptes d’une alternance au sommet du Syndicat de  l’Enseignement Supérieur. Ils en veulent à leur Segal avant tout de s’éterniser au poste depuis huit ans et plusieurs années après le mandat dont il est investi.

Il nous revient également, de bonne source, que la frange dissidente du SNESup n’apprécie surtout pas ce qu’elle assimile à des manœuvres revendicatives plus populistes que réalistes. C’est le cas, confie-t-on, des réclamations en rapport avec le relèvement de l’âge de la retraite jusqu’à 70 ans pour certaines catégories de professeurs. Toutes choses que les détracteurs de l’inamovible secrétaire général imputent à une manipulation de Monsieur Mallé par certains milieux d’enseignants peu soucieux hostiles à tout rajeunissement de la fonction publique malienne et à la libération des emplois aux fins d’en créer. Quoi qu’il en soit, il semble que les mécontentements prennent corps si bien que le mot d’ordre de grève récemment levé suscite plus de grincements de dents que de satisfaction dans les rangs du SNESup.

La Rédaction

Source : Le Malien

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Mali : Wagner et les peuls du Centre

Maliactu - Tue, 09/11/2021 - 05:29
Viendra ou ne viendra pas. Le suspense continue de rythmer et d’alimenter de jour en jour la grande polémique suscitée par le recours des autorités de Transition aux services de Wagner, une structure sécuritaire comparée par beaucoup d’observateurs à une agence de mercenaires. Les détracteurs de cette société russe en jugent notamment par les agissements qu’on impute à son passage en Centre Afrique : abus et violences en tous genres sur fond d’amalgames, atteinte aux libertés et violations des droits humains sous diverses formes, etc.

Il y a visiblement de quoi redouter une expérience similaire au Mali où la guerre de stigmatisation inter-communautaire a déjà précédé  l’avènement de la société Wagner. En tout cas, de source bien introduite, les craintes de la communauté internationale, quant à l’implication de «mercenaires russes», deviennent contagieuses à mesure que l’incertitude continue de régner sur la question. En clair, le recours aux forces privées pour lutter contre le terrorisme ne laisse pas indifférent la communauté peule du Centre-Mali, qui paie déjà un lourd tribut à ses affinités avec Amadou Kouffa. C’est ainsi que des voix s’élèvent de plus en plus pour prévenir contre une accentuation plausible des dérives liées à l’amalgame avec l’arrivée de Wagner.

Seulement 11 femmes sur 89 dans le CE – Adéma 

Près de 90 membres à l’instance décisionnelle du Parti de l’Abeille. C’est l’équipe dont a accouché le dernier congrès ayant propulsé le Pr Marimantia Diarra au plus haut sommet de la Ruche. Le hic c’est que le prédécesseur de ce dernier à la tête du PASJ n’est peut-être pas le seul grand perdant du sixième congrès ordinaire des Abeilles. Précédées par celles des jeunes et des femmes, lesdites assises auront été ravageuses pour la représentation de gent Ademiste dans les instances dirigeantes de ce parti. On en dénombre seulement une bonne dizaine sur les 89 membres du CE, soit environ 13% de femmes seulement. La portion, comme il est loisible de le constater, est loin des proportions de femmes légalement exigibles des formations politiques pour les postes électifs et administratifs. Il semble par ailleurs, de source bien introduite, que la présence des femmes n’est pas plus reluisante dans les différentes commissions issues du même congrès. Interrogés sur ces anomalie, les responsables de la Ruche l’expliquent par la difficulté de susciter un engouement de la gent féminine pour la chose politique dans les structures de base.

Quand les autorités s’emparent du CMC au détour des contentieux

Alors que les observateurs attendaient impatiemment un renouvellement du conseil consulaire des chargeurs du Mali, l’opinion est prise de cours par la décision spectaculaire des autorités de suppléer aux membres du bureau sortant par une administration provisoire. Depuis la semaine dernière, en effet, la gestion de cette structure est dévolue à un collège d’une demi-dizaine de personnes nommées par mesure ministérielle. Celle-ci se justifie, selon le département de tutelle, par les nombreux litiges ayant émaillé le processus de remembrement du CMC, mais elle pourrait tout aussi bien être motivée par une velléité d’accaparement qui ne dit pas son nom. C’est l’impression qu’il se dégage, en tout cas, de la précipitation avec laquelle le ministère de Transports a déclenché une mesure transitoire qui devrait perdurer aussi longtemps que les contentieux n’auront pas été tranchés. C’est dire que les manœuvres pour différer le règlement des litiges pourraient aussi le disputer à toutes les démarches de retour à une gestion régulière du Conseil Malien des Chargeurs.

Source : Le Témoin 

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Au Soudan, une mathématicienne invente un diagnostic pour une maladie tropicale négligée

LeMonde / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 18:30
Les sciences changent la vie des Africaines (1). Hyam Ali, scientifique de 28 ans qui travaille à Khartoum, a obtenu le prix Jeunes Talents 2021 du programme For Women in Science Africa.
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Les sciences changent la vie des Africaines

LeMonde / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 18:00
Présentation de notre série à la rencontre de ces femmes scientifiques et entrepreneures, espoir de développement du continent.
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Un défilé de mode 100 % "made in Côte d’Ivoire" pour promouvoir les matériaux locaux

France24 / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 17:59
A l’occasion de la 15e édition d'Afrik Fashion, un rendez-vous de mode à Abidjan, 15 stylistes ivoiriens ont présenté leurs créations dans un défilé "Made in Côte d’Ivoire", qui a pour objectif la promotion des matériaux ivoiriens dans la confection de tenues vestimentaires.
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Mali : avec ses sanctions, la Cédéao veut pousser à la tenue d'élections "sans punir le peuple"

France24 / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 17:54
La Cédéao a imposé dimanche des sanctions à l'ensemble des autorités de transition malienne déplorant "l'absence de progrès dans la préparation des élections". Une stratégie qui vise à accentuer la pression sur la junte tout en préservant la population avant une nouvelle réunion d'évaluation en décembre. Explications.
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Le débat africain : quels espoirs pour la jeunesse nigérienne ?

France24 / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 16:12
Faible scolarisation, chômage endémique, absence de perspectives : autant de maux qui rendent une partie la jeunesse nigérienne perméable aux discours obscurantistes des islamistes, semeurs de mort au Sahel depuis plus d'une décennie. De quoi préoccuper les autorités d’un pays dont 70 % de la population à moins de 25 ans. Et si parmi ces jeunes, trop souvent considérés comme "le problème", se trouvait une des clefs de la solution ? Comment insuffler un nouvel élan à cette génération ? "Alain Foka en débat avec quatre invités réunis à Niamey.
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Mercenaires : cinq choses à savoir sur le mercenariat en Afrique

BBC Afrique - Mon, 08/11/2021 - 14:45
L'utilisation des mercenaires est un sujet controversé en Afrique. Pour en savoir plus sur cette activité tant décriée, nous avons posé quelques questions à deux spécialistes.
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Au Maroc, deuxième semaine de mobilisation contre le passe vaccinal

LeMonde / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 10:05
La décision d’entrée en fonction du document a été annoncée seulement trois jours avant son obligation pour tous les lieux clos.
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Au Maghreb, l’agriculture bio et organique en plein essor

LeMonde / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 09:53
Maroc et Tunisie développent leur secteur depuis plusieurs années : huile d’olive, dattes, fruits et légumes, plantes aromatiques et médicinales en tête.
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Mali : la Cédéao durcit les sanctions contre la junte

France24 / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 07:39
La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a imposé, dimanche, à Accra des sanctions individuelles aux membres de la junte au pouvoir au Mali, en raison du retard dans l'organisation des élections.  
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Mali : la Cedeao impose des sanctions individuelles aux membres de la junte au pouvoir

LeMonde / Afrique - Mon, 08/11/2021 - 02:08
La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest a décidé de sanctionner les personnalités maliennes impliquées dans le retard de l’organisation des élections programmées pour février 2022.
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En Libye, le compte à rebours lancé avant des élections cruciales

France24 / Afrique - Sun, 07/11/2021 - 22:05
Le dépôt des candidatures pour l'élection présidentielle de décembre et les législatives de janvier, censées pacifier le pays après une décennie de chaos a ouvert, lundi.
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Au Soudan, l'armée réprime la journée de mobilisation des militants pro-démocratie

France24 / Afrique - Sun, 07/11/2021 - 16:50
Des grenades lacrymogènes ont été tirées sur plusieurs cortèges par les forces de sécurité soudanaises et des dizaines de manifestants ont été arrêtés, au premier jour de la campagne de désobéissance civile annoncée par les militants pro-démocraties pour protester contre la mainmise de l'armée sur le pays.
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Éthiopie : des manifestants promettent de défendre la capitale contre les rebelles

France24 / Afrique - Sun, 07/11/2021 - 13:39
Alors que les rebelles du Tigré, en conflit depuis un an avec le gouvernement fédéral, menacent de marcher sur Addis Abeba, un rassemblement de partisans du Premier ministre, Abiy Ahmed, a eu lieu dimanche dans la capitale.
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Au Soudan, des manifestants contre le coup d’Etat dispersés à coups de grenades lacrymogènes

LeMonde / Afrique - Sun, 07/11/2021 - 13:17
Le syndicat des enseignants a dénoncé, dimanche, les violences commises par les forces de sécurité à Khartoum et fait état de plusieurs arrestations de manifestants dans ses rangs, mais n’a pas déploré de blessés.
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