Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

Sicherheitspolitik Westafrika: Dialog mit Europa ist entscheidend

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 10/06/2016 - 00:00
Die Herausforderungen Afrikas sind längst zu einer europäischen Angelegenheit geworden. Lage.Bericht, unterwegs in Mali, Niger und der Elfenbeinküste.

Remise du prix Albert Thibaudet 2016

Centre Thucydide - jeu, 09/06/2016 - 19:02

Le prix Albert Thibaudet a été attribué cette année à l'ouvrage de Olivier Zajec, "Nicholas John Spykman, l'invention de la géopolitique américaine : Un itinéraire intellectuel aux origines paradoxales de la théorie réaliste des relations internationales " PU Paris-Sorbonne, mars 2016.

Ont également obtenu des voix : Christophe Bellon, "Aristide Briand ", Editions du CNRS, mars 2016 ; Guillemette Crouzet, "Genèses du Moyen Orient : Le Golfe persique à l'âge des impérialismes (1800-1914)", Champ Vallon, Paris, octobre 2015.

Le Jury souligne la qualité d'ensemble des ouvrages en compétition cette année. Leur liste figure sur le site "afri-ct.org". Les notes de lecture établies au sujet des quatorze ouvrages initialement retenus seront publiées dans l'AFRI 2017.

Le prix Thibaudet sera remis le 21 juin 2016 à 18 h, à l'appartement décanal du Centre Panthéon, par Antoine Compagnon, président du Jury, dans le cadre de la réception de sortie de l'AFRI 2016.

dd

Euro 2016 : les enjeux pour la France

IRIS - jeu, 09/06/2016 - 17:10

Pascal Boniface, directeur de l’IRIS, revient sur les enjeux de l’Euro 2016 pour la France et sur ce que révèle la polémique autour de la sélection de l’équipe de France soulevée par Karim Benzema.

L’Abkhazie tente d’attirer l’attention de la Communauté internationale

IRIS - jeu, 09/06/2016 - 14:01

La Coupe du Monde de Football des Etats non-reconnus s’est tenue la semaine dernière à Soukhoumi, capitale de la région sécessionniste géorgienne d’Abkhazie. A cette occasion, les équipes de douze pays non-reconnus par la Communauté internationale se sont affrontées pendant une semaine dans cette capitale de facto aux confins de la mer Noire et aux allures de riviera soviétique déchue. L’équipe de chercheurs Caucasus Without Borders*, de retour d’une enquête de terrain, propose un état des lieux de la situation dans cette région indépendantiste de Géorgie largement russifiée et stratégique pour l’avenir des relations entre la Russie, le Sud Caucase et l’Union européenne.

Territoire caucasien de la taille d’un département français, l’Abkhazie abrite aujourd’hui une population d’environ 240 000 habitants [1]. Depuis la guerre de sécession avec la Géorgie de 1992-1993 qui a fait 10 000 morts et plus de 300 000 réfugiés dans laquelle les Abkhazes ont défendu leur “foyer national”, cette république autonome de Géorgie sous l’ère soviétique a fonctionné comme un Etat de facto indépendant. Officiellement reconnue par la Russie à l’issue de la guerre des 5 jours de 2008, elle est aujourd’hui considérée comme partie intégrante de la Géorgie par la communauté internationale, exception faite de la Russie. L’implication russe est loin de se limiter à la reconnaissance officielle d’un statut indépendant. En 2014, en raison des difficultés économiques croissantes dans la région, l’Abkhazie a signé un « partenariat d’alliance stratégique » avec le Kremlin destiné à favoriser une coordination croissante à tous les niveaux. Ce dernier a été dénoncé par Tbilissi comme une tentative d’annexion de la part de Moscou, et les experts y ont vu une réponse à l’accord d’association conclu entre la Géorgie et l’Union européenne. Ainsi, ce petit territoire au bord de la mer Noire serait-il devenu le théâtre d’un affrontement entre grandes puissances, souvent au détriment de la question de l’identité abkhaze elle-même, et dont la Géorgie se ferait les coulisses ?

Un territoire russifié

A peine passée la frontière abkhaze qui ne figure qu’en pointillés sur les cartes occidentales et géorgiennes, l’omniprésence russe dans ce territoire disputé est palpable. Les peacekeepers russes veillent conjointement avec les forces abkhazes au contrôle des postes frontières et peuplent les nombreuses bases militaires qui jalonnent le territoire. Ils occupent également l’aéroport de Soukhoumi, malgré les demandes constantes du gouvernement abkhaze pour le transformer en aéroport civil. En 2013, l’International Crisis Group [2] rapportait qu’officiellement, le personnel militaire russe stationné en Abkhazie était de plus de 3500 militaires, auxquels il fallait ajouter 1500 agents du Service fédéral de sécurité (FSB) et les gardes frontières. Entre 2009 et 2013, Moscou a ainsi consacré 465 millions de dollars pour le développement d’infrastructures essentiellement militaires en Abkhazie, notamment pour la rénovation de l’aéroport, et la mise à niveau des bases navales et des axes routiers. Cet investissement a été perçu par la Géorgie comme illustrant l’intention russe de s’installer de manière durable dans la région plutôt que de renforcer l’autonomie de l’armée abkhaze, et des évolutions plus récentes vont effectivement dans ce sens. Dans le cadre du Partenariat stratégique signé en 2014, Russes et Abkhazes se sont accordés pour la mise en place d’un groupe militaire conjoint, cet accord devant permettre aux Abkhazes d’optimiser leurs investissements, de maintenir à niveau les troupes et de moderniser les équipements qui remontent essentiellement à l’époque soviétique. En mai 2015, geste hautement symbolique, le président abkhaze de facto a nommé un général russe retraité à la tête de l’armée. Pour le conseiller des affaires militaires du président géorgien [3], rencontré fin avril à Tbilissi, la politique russe en Abkhazie a consisté en un « chaos organisé » destiné à garder ce territoire dans sa zone d’influence. La politique russe a effectivement eu pour vertu de contenir les ambitions de la Géorgie vis-à-vis de l’OTAN. A l’heure actuelle, il est peu probable que l’OTAN ou l’UE ne s’accordent sur l’intégration de la Géorgie, notamment en raison de l’attitude va-t-en-guerre des Géorgiens qui ne sont prêts à aucune concession et dont on ignore quelles seront les conséquences pour le peuple abkhaze en cas de reprise du territoire.

En Abkhazie, on parle russe dans les lieux publics, on paie en roubles, et on se divertit dans des bâtiments culturels flambant neufs nés d’investissements russes. Le russe joue encore le rôle de langue de communication inter-ethnique comme à l’époque soviétique, et le ministère de l’Économie abkhaze n’envisage toujours pas d’avoir sa propre devise comme en Transnistrie, ce malgré la chute du rouble russe. Cette russification grandissante s’est progressivement transformée en dépendance pour les Abkhazes, l’accès facilité à la nationalité russe et la délivrance subséquente d’un passeport faisant notamment de la Russie leur seule fenêtre vers l’international. Sous embargo économique de la communauté internationale depuis 1999 (date à laquelle l’Abkhazie s’est formellement autoproclamée indépendante), elle dépend aujourd’hui financièrement de son voisin russe qui a largement investi localement. Les perspectives d’exportation vers l’international demeurent un problème majeur, la Géorgie bloquant l’accès des produits abkhazes au reste du Caucase et vers la Turquie. Au centre de cette dépendance économique se trouve le tourisme avec plus de 6 millions de Russes qui visitent la région chaque année, chiffre en forte croissance pour 2016, notamment en raison de la chute du rouble mais aussi de la promotion touristique de l’Abkhazie lors des JO de Sotchi. Alors que les financements russes ont baissé consécutivement à la crise du rouble, en Abkhazie, on se félicite d’avoir tenu bon. Dans ce contexte, les Abkhazes affichent un soutien pragmatique à la Russie, qu’ils perçoivent comme un moindre mal sur le chemin de la paix et comme leur seule option pour endiguer une nouvelle guerre avec la Géorgie.

L’identité abkhaze revendiquée

Cette omniprésence russe sur le plan militaire et touristique n’empêche pas les Abkhazes de se revendiquer d’une identité propre, invoquée à l’appui de leur quête de reconnaissance internationale. Cette ambiguïté n’a pas manqué d’être saisie par les représentants géorgiens, qui nient l’existence d’une culture abkhaze spécifique et y voient le fruit d’un lavage de cerveau opéré par la Russie pour faire naître un sentiment pro-indépendantiste en Abkhazie. Et pourtant, les Abkhazes, qui se surnommaient pendant la période soviétique « Les Français du Caucase » n’aspirent qu’à une chose : qu’on les laisse exister. La langue est au cœur même de l’affirmation identitaire, la majorité de la culture abkhaze ayant été détruite pendant la période de russification intensive à l’époque soviétique. Bien que l’on parle russe dans la vie quotidienne et les lieux publics, les 62 sons qui composent l’alphabet abkhaze sont enseignés à l’école, où le géorgien est également instruit, mais comme langue étrangère… Pour illustrer ce caractère unique et spécial de l’identité abkhaze, le directeur du Centre d’études stratégiques rattaché à la présidence abkhaze, qui nous reçoit entre les portraits de Marx et Einstein, est affirmatif : les Abkhazes sont « différents et séparés de la Russie et de la Géorgie ». Leur rapport spécifique à la terre et à l’environnement est notamment invoqué pour illustrer leur attachement à ce territoire, le seul qui n’ait jamais été le leur.

Les Abkhazes qui pratiquent la religion de leurs ancêtres non-orthodoxes se font rares, pour ne pas dire inexistants. On retrouve cependant une architecture singulière qui se détache du style géorgien, et ce notamment en raison du climat plus humide de la région. La nourriture y est également différente, avec plus de fruits comme les oranges ou encore l’usage du thé, conséquence une nouvelle fois du climat. L’héritage abkhaze persiste ainsi à travers des détails singuliers, comme la pratique culturelle qui consiste à tuer un coq dans une forge à l’arrière de sa maison le 31 janvier, tradition qui a résisté à l’influence de l’église orthodoxe. Sur un plan identitaire, les Abkhazes se jugent eux-mêmes “paresseux”, un élément qui les distingue et ne semble pas les gêner. Ils entretiennent également un rapport à l’argent plus discret que les Géorgiens ou les Russes. Si celui-ci est une nécessité, ces derniers n’en font pas une priorité, ce qui a des conséquences sur le tourisme avec l’absence de casino alors même que ces derniers abondent dans toutes les stations balnéaires de l’espace post-soviétique, notamment en Géorgie. Ce fort sentiment identitaire s’accompagne d’un profond ressentiment vis-à-vis des voisins géorgiens qui le leur rendent bien en véhiculant des préjugés sur la population qui compose cette région.

Une politique de repeuplement hautement stratégique

Dans ce contexte, l’équilibre ethnique et la composition démographique du territoire sont essentiels. Alors que l’Abkhazie était majoritairement peuplée de Géorgiens au moment de l’éclatement de l’URSS (la population d’origine abkhaze ne représentant alors qu’un cinquième de la population totale), conséquence de la politique stalinienne pour mélanger les minorités ethniques antagonistes, les Abkhazes constituent aujourd’hui plus de la moitié de la population locale. Si la classe politique est presque intégralement abkhaze, la seconde moitié de la population réunit Arméniens, Géorgiens et Russes. Pour repeupler l’Abkhazie, vidée de la moitié de sa population pendant la guerre de 1992-1993 à la suite de ce que les Géorgiens ont appelé un nettoyage ethnique, le gouvernement de facto incite la diaspora à venir s’y installer.

Les autorités locales se félicitaient ainsi en mars 2014 d’avoir accueilli plus de 490 Syriens d’origine abkhaze depuis 2012 [4]. Alors qu’un « fond pour le rapatriement” avait été mis en place, les programmes pour l’intégration des Syriens sont toujours d’actualité et se multiplient sur place. En parallèle, le gouvernement de facto encourage le retour des Abkhazes résidant en Turquie et qui représentent aujourd’hui entre 750 000 et 1 million de personnes. Ces derniers sont toutefois perçus comme un obstacle pour l’ingérence russe en Abkhazie au vu de l’opposition courante des Turcs à la politique du Kremlin dans le Caucase Sud. En conséquence, le Kremlin exerce un ensemble de pressions sur Soukhoumi pour endiguer le retour des Abkhazes de Turquie, et souhaite à l’inverse stimuler le retour des Abkhazes de Syrie, autrement plus pro-russes. Le Kremlin a ainsi développé un ensemble de stratégies médiatiques en ce sens, en jouant notamment sur les noms de famille. Moscou souhaite également éviter un retour trop rapide de la diaspora abkhaze, ce qui illustre l’attitude ambiguë du Kremlin vis-à-vis de la culture abkhaze. Ce n’est pas sans rappeler les mesures de Staline pour acculturer et russifier, tout en mettant en avant la singularité des ethnies pour déstabiliser les gouvernements régionaux.

[1] Bureau des Statistiques du Gouvernement de facto, 2014
[2] International Crisis Group, “Abkhazia: The Long Road to Reconciliation”, Europe Report n°224, 10 Avril 2013
[3 ]Entretien avec M. Akia Barbaqadze à Tbilissi le 26 avril 2016
[4] Paul Rimple, “Syrian Refugees Grapple with Adapting to Life in Abkhazia”, Eurasianet.org, 26 mars 2014

*Lancé en avril 2016, le projet “Caucasus Without Borders” regroupe plusieurs experts en management des conflits, guerre hybride, droit international des conflits armés et crises migratoires qui reviennent d’un séjour de recherche en Géorgie, Arménie, Abkhazie et Haut-Karabagh. L’équipe propose un ensemble d’analyses qui portent sur les mutations dans le Caucase Sud, région singulière où s’affrontent les grandes puissances mondiales et où se concentrent un ensemble de problématiques souvent méconnues en Europe de l’Ouest et Amérique du Nord.
Michael E. Lambert est doctorant en Relations internationales à Sorbonne Université (France) et à l’Université de Tampere (Finlande), ses recherches pour l’IRSEM – Ministère de la Défense française portent sur les stratégies de mise en place du soft power et le processus de Guerre hybride dans l’espace post-soviétique.
Sophie Deyon est analyste en Relations internationales et Affaires européennes, spécialisée sur les questions migratoires et d’asile. Ancienne stagiaire à l’IRIS, elle est diplômée de la LSE, Columbia University et Paris IV Sorbonne. Après avoir travaillé à la Commission Européenne, elle a récemment exercé comme Rapporteure à la Cour Nationale du Droit d’Asile.
Sophie Clamadieu est chercheuse en Droit International Public, spécialisée sur les conflits armés. Après un double Master/LLM à l’Université d’Aix-Marseille et l’Université d’Ottawa, elle a travaillé comme stagiaire en recherche juridique pour le Tribunal spécial pour le Liban à La Haye

Las elecciones pendientes de la cooperación española

Real Instituto Elcano - jeu, 09/06/2016 - 13:33
DT 2/2016 (en papel) - 9/6/2016
Iliana Olivié y Aitor Pérez (coords.)
Recopilación de los diversos análisis presentados y debatidos en un grupo de trabajo promovido por el Real Instituto Elcano y la Fundación Bill y Melinda Gates. Todos ellos vinculan desde una perspectiva política los retos de la cooperación española —esto es, las elecciones y decisiones pendientes de adoptar— con el papel de España en el mundo.

L’Otan a besoin de faire valoir une menace

IRIS - jeu, 09/06/2016 - 12:00

Le sommet de l’Organisation du traité l’Atlantique Nord (Otan) se tiendra à Varsovie les 8 et 9 juillet, sur fond de débats sur la résurgence de la menace russe. II sera décidé de mettre en place quatre bataillons de combat de1000 soldats, aux frontières de la Russie Le secrétaire général de l’organisation, Jens Stoltenberg, se félicite que la politique russe, jugée agressive, ait poussé les Etats européens membres de l’Otan à cesser de réduire leurs budgets militaires, conformément à une demande ancienne de Washington. Les alliés européens vont au global augmenter cette année leurs dépenses militaires, même si Washington regrette de ne pas arriver aux 2% du PIB comme le demandent les directives de l’Otan.

On peut à la fois s’interroger sur la rationalité de telles décisions et pointer les contradictions de l’Otan. L’annexion de la Crimée par la Russie est certes illégale sur le plan international, mais la guerre du Kosovo de 1999 menée par l’Otan l’était également. S’il y a en effet une crispation de Moscou ne faut-il pas réfléchir à ses causes et non se contenter de se focaliser sur ses effets ? L’extension de l’Otan aux frontières de la Russie, contrairement aux engagements pris après la réunification allemande, n’y a-t-elle pas contribué ?

L’Otan est le seul exemple historique d’une alliance militaire qui a survécu à la disparition de la menace qui avait suscité sa création. La mise en place d’un système de défense antimissiles, inutile et coûteux, perçu par les Russes comme remettant en cause l’équilibre nucléaire avec les Etats Unis et longtemps justifié par une menace balistique et nucléaire iranienne peut-elle se poursuivre après la signature d’un accord nucléaire avec l’Iran ? II y a en réalité une dérive fonctionnelle de l’Otan : pour justifier son existence, elle a besoin de faire valoir une menace. Croit-on sérieusement que la Russie pourrait se lancer dans une guerre contre la Pologne ou tenter de reconquérir les Etats baltes ? Est-il vraiment nécessaire d’élargir l’Otan à un nouvel Etat membre, le Monténégro, au moment où on affirme qu’on a besoin du soutien de la Russie contre Daech ? Déployer 4000 hommes supplémentaires, présentés comme indispensables pour la défense des pays de l’Otan, ne voudrait-il pas dire que la dissuasion nucléaire ne fonctionne plus ?

Après la fin du clivage Est-Ouest, l’Otan s’est retrouvée dans la situation d’un industriel dont le produit ne trouvait plus preneur sur le marché. Elle pouvait fermer son usine, diversifier sa production ou tenter de regagner des parts de marché sur ses concurrents. L’Otan n’a pas choisi de disparaitre parallèlement à la disparition du pacte de Varsovie, elle a plutôt cherché à prendre des parts de marché à ses concurrents : l’Union de l’Europe occidentale (seul organe purement européen de défense) n’existe plus et l’OSCE n’a pas eu le développement que l’on pouvait en attendre. L’Otan a multiplié ses missions et joue les pompiers pyromanes.

La obesidad de las finanzas

Real Instituto Elcano - jeu, 09/06/2016 - 08:26
Opinión - 9/6/2016
Miguel Otero Iglesias
La actividad financiera es demasiado importante para dejarla exclusivamente en manos de agentes económicos privados.

Implicaciones del Brexit para España

Real Instituto Elcano - jeu, 09/06/2016 - 07:24
Opinión - 9/6/2016
Salvador Llaudes
El referéndum del 23 de junio puede suponer un antes y un después en la política británica y europea. Pero las implicaciones para España del resultado del plebiscito serán, asimismo, muy importantes.

US-Präsidentschaftswahlen: Unbeliebte Spitzenkandidaten kurz vor der Nominierung

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 09/06/2016 - 00:00
Der Vorwahlkampf ist fast abgeschlossen, der Blick richtet sich nun auf den Hauptwahlkampf: Noch nie hatten die Kandidaten so schlechte Umfragewerte wie 2016.

40 Jahre Archiv für Christlich-Demokratische Politik

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 09/06/2016 - 00:00
Vor 40 Jahren nahm das Archiv für Christlich-Demokratische Politik (ACDP) als Abteilung der Konrad-Adenauer-Stiftung seine Arbeit auf, um die Geschichte der christlich-demokratischen Bewegung zu erforschen und zu dokumentieren. Heute ist die Hauptabteilung Wissenschaftliche Dienste/Archiv für Christlich-Demokratische Politik ein fester Bestandteil der Arbeit unserer Stiftung. Das Archiv ist das Gedächtnis der Christdemokratie auf nationaler und internationaler Ebene. Hier werden die schriftlichen und multimedialen Zeugnisse von den Anfängen bis in die unmittelbare Gegenwart gesichert.

ICM Public Consultation: Weapons of Mass Destruction, Non-proliferation, and Disarmament

European Peace Institute / News - mer, 08/06/2016 - 21:00

On Wednesday, June 8th, The Independent Commission on Multilateralism (ICM) webcasted a Public Consultation on its Discussion Paper: “Weapons of Mass Destruction, Non-proliferation, and Disarmament.”

The threat of weapons of mass destruction (WMD) may seem antiquated and unlikely to materialize, but the mere existence of WMD remains one of the paramount risks to global peace and stability. Nuclear weapons are the biggest gap in the multilateral disarmament and non-proliferation architecture. While important baseline tools to counter WMD threats and prevent proliferation exist, few of these tools address nuclear weapons, and even fewer deal with future threats.

This ICM Discussion Paper makes a series of recommendations addressing, among other issues, the disarmament machinery, the role and responsibilities of the United Nations Office for Disarmament Affairs (UNODA) and the International Atomic Energy Agency (IAEA), UN Security Council Resolution 1540, new technologies, and the role of civil society at the UN.

Discussants:
H.E. Mr. Vladimir Drobnjak, Permanent Representative, Permanent Mission of the Republic of Croatia to the UN
Ms. Ray Acheson, Director, Reaching Critical Will
Mr. Thomas Markram, Director and Deputy to the High Representative, Office for Disarmament Affairs, UN
Prof. Zia Mian, Director, Program on Science and Global Security, Princeton University

Moderator:
Ms. Véronique Pepin-Hallé, Senior Adviser, Independent Commission on Multilateralism

 

09/06/2016 : Dominique Reynié invité de France 24

Fondapol / Général - mer, 08/06/2016 - 19:25

Le 9 juin 2016, de 17h10 à 18h, Dominique Reynié participera à l’émission POLITIQUE de France 24, présentée par Roselyne Febvre et Jean-Marie Colombani, sur le thème : « La primaire à droite et les programmes des différents candidats pour 2017».

Cet article 09/06/2016 : Dominique Reynié invité de France 24 est apparu en premier sur Fondapol.

Die Kosten eines EU-Austritts

SWP - mer, 08/06/2016 - 17:44
Ein systematischer Vergleich von Studien zu den wirtschaftlichen Konsequenzen eines Brexits

Pages