L’Opinion européenne Innovation politique Les autres livres
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Cet article AFBV – 6eme colloque des biotechnologies végétales « Innovation – Société – Sélection Végétale » Mardi 27 septembre 2016 est apparu en premier sur Fondapol.
Olivier BABEAU présente sa note « Refonder l’audiovisuel public »
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Dédié à l’étude de la société civile européenne, l’ouvrage « L’Opinion européenne » est publié chaque année depuis 2000, sous la direction de Dominique Reynié, professeur à Sciences Po Paris et directeur général de la Fondation pour l’innovation politique. Au sommaire de l’édition 2016 : Brexit Blues. Le rejet de l’Europe ne fait pas une […]
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David Bakradze, Georgia’s State Minister for European and Euro-Atlantic Integration, described his country as “an island of stability in a turbulent region,” to an audience at IPI Vienna, September 13th.
Dennis Sammut, Director of LINKS, provided some historical context to Georgia’s rise. Georgia was the fourth Soviet republic to organize a referendum on independence in the early 1990’s, following Baltic states Lithuania, Latvia, and Estonia. Since then, “Georgia has risen from the ashes,” he said.
Mr. Bakradze described his country’s relations with neighbors like Armenia and Azerbaijan, as well as the policy of pragmatic cooperation with Russia. He noted Georgia’s good relations with the European Union, as well as efforts to open up to new markets like China.
He said that Georgia has moved from a process of democratic transformation to one of democratic consolidation. He highlighted reforms like universal health care and improvements in education that have been introduced, as well as freedom of the media and the independence of the judiciary.
There was considerable discussion about Georgia’s aspirations to join the North Atlantic Treaty Organization (NATO,) as well as its interest in stability in the Black Sea.
The Minister also spoke about the government’s efforts to promote confidence-building measures in relations with the break-away regions of Abkhazia and South Ossetia.
Parliamentary elections will be held in Georgia on October 8th. It was noted in the discussion that the elections are expected to be the least polarized in recent Georgian history.
Several participants underlined the potential example that Georgia’s democratization, economic development, and constructive engagement could provide to other countries in the region.
The event was co-organized with LINKS.
De même que le XXe siècle s’ouvre avec le déclenchement de la Première guerre mondiale, les attaques terroristes du 11 septembre 2001 ont marqué l’entrée historique dans le XXIe siècle. La portée symbolique de l’évènement est exceptionnelle : l’hyperpuissance américaine est frappée sur son propre territoire, en plein cœur de New York et de Washington, sur des « sites-cibles » phares de sa puissance financière (les tours jumelles du World Trade Center) et militaire (le Pentagone). Toutefois, l’attaque perpétrée par Al-Qaida et ses conséquences marquent moins un basculement de l’ordre mondial que l’accélération de mouvements qui étaient déjà perceptibles : déclin américain, globalisation du terrorisme islamiste, valorisation du discours du « choc des civilisations ».
Depuis cette date, la figure de l’Arabo-musulman incarne plus que jamais l’ennemi symbolique et stratégique de l’Occident. Une perception étayée par la thèse du « choc des civilisations », développée par le politologue américain Samuel Huntington, selon laquelle l’ordre du monde tient à un conflit de systèmes de valeurs dans lequel la civilisation islamique menace l’Occident. Tenants de cette théorie, les néoconservateurs américains ont exploité l’évènement avec cynisme pour justifier une invasion militaire de l’Irak. Dans un contexte post-11 Septembre propice au réflexe vengeur et à la rhétorique manichéenne du « bien contre le mal », le président Bush et le Premier ministre britannique Tony Blair ont engagé leurs armées, imposé leur vision du monde reposant sur la Machtpolitik et la violence. L’opération « Liberté pour l’Irak » est une tragédie politique et humaine : si le tyran Saddam Hussein a chuté, c’est l’Etat et le peuple irakiens qui ont sombré dans le chaos. Le désordre mondial post-septembre c’est aussi le caractère impensable d’un quelconque procès pénal international à l’encontre du duo Bush-Blair, ce même si l’Histoire les a déjà condamnés…
Ironie de l’histoire, cette intervention militaire qui prétendait vouloir exporter la démocratie est à l’origine de la naissance d’une créature djihadiste plus destructrice encore qu’Al-Qaida : Daech. L’ « Etat islamique », organisation terroriste aux prétentions califales, frappe indistinctement les mondes arabe, musulman et occidental. Une violence qui se déchaîne sur fond de montée d’idéologies identitaro-nationalistes dans le monde. La montée des diverses variantes de l’islamisme en est une manifestation spectaculaire, mais ce n’est pas la seule, loin s’en faut. Un national-populisme teinté de xénophobie agite les démocraties occidentales américaines, européennes, indienne ou encore israélienne.
Les réactions identitaires suscitées par la globalisation trahissent aussi un profond désenchantement. La globalisation heureuse et la consécration universelle de la « démocratie de marché » (F. Fukuyama) s’avèrent illusoires. (…..) Le sentiment de vide s’explique notamment par l’absence de perspective, de transcendance face à une offre politique qui se résume aux lois du marché. (…). Convaincu de sa propre existence, l’Occident doute de l’universalité des valeurs humaines, craint aussi sa propre fin, du moins son déclin. Le sentiment d’être « en danger » ou d’être menacé par la civilisation islamique alimente la montée en puissance d’une idéologie « occidentaliste ». Outre une remise en cause de sa centralité géopolitique, l’Occident a perdu sa capacité à produire un récit universel. Pis, il se retrouve lui-même en quête de sens, de spiritualité, de sacré, de valeurs structurantes, autant de substrat que ne créé pas encore notre monde globalisé.
Marie-Cécile Naves est chercheuse associée à l’IRIS. Elle répond à nos questions à propos de son dernier ouvrage « Trump, l’onde de choc populiste » paru aux éditions FYP :
– De quelle Amérique Trump est-il le nom ?
– L’ascension de Trump symbolise-t-elle la faillite du parti républicain ?
– L’ascension de Trump peut-elle avoir un impact sur celle des partis populistes européens ?
On Monday, September 19th at 1:15pm EST, IPI together with the United Nations Population Fund (UNFPA) are cohosting a policy forum to launch and discuss the “Compact for Young People in Humanitarian Action.”
IPI Live Event Feed
More than thirty humanitarian partners, including governments, NGOs, UN offices, youth led initiatives, and the private sector, signed the historic “Compact for Young People in Humanitarian Action” during the World Humanitarian Summit in 2016. The compact represents an unprecedented commitment of key actors to ensuring that the priorities, needs, and rights of young women, young men, girls, and boys affected by disaster, conflict, forced displacement, and other humanitarian crises, are addressed; and that they are informed, consulted, and meaningfully engaged throughout all stages of humanitarian action.
The event will provide a platform to welcome new partners to the Compact. Speakers will focus on the implementation of the Compact, as well as discuss the need to work for and with young people during all stages of humanitarian crises, in order to sufficiently respond to their needs. The following key questions will be addressed:
Opening remarks:
Terje Rod-Larsen, President of the International Peace Institute (IPI)
Babatunde Osotimehin, Executive Director, United Nations Population Fund (UNFPA)
Speakers:
Elhadj As Sy, Secretary-General, the International Federation of Red Cross (IFRC)
Ahmad Alhendawi, UN Secretary-General’s Envoy on Youth
Fatoumata Ndiaye, Deputy Executive Director, United Nations International Children’s Emergency Fund (UNICEF)
Foni Joyce, Refugee from Sudan
Marián Sedlak, Liaison Officer for Human Rights and Peace, International Federation of Medical Students’ Associations
Moderator:
Els Debuf, Senior Adviser on Humanitarian Affairs at the International Peace Institute (IPI)
France awarded a prestigious distinction to the President of the Hellenic Foundation for European & Foreign Policy (ELIAMEP), Professor Loukas Tsoukalis. The President of the French Republic has named Loukas Tsoukalis Chevalier dans l’Ordre national de la Légion d’honneur for his contribution to the reflection on the future of the Union and his exceptional engagement in European integration.
This distinction and the explicit recognition of a life’s work reflects positively on Loukas Tsoukalis, but also on ELIAMEP and Greece itself, at a time where the country’s European image has been tarnished.
Pascal Boniface, directeur de recherche à l’IRIS, revient sur les derniers essais nucléaires nord-coréens.