Philippe Knoche, directeur général d'Orano, était présent afin de présenter l'état actuel et futur du nucléaire en France et dans le monde. Il a eu l'occasion d'aborder la question de la place d'Orano dans cette filière, de l'importance du nucléaire dans la transition écologique et des avancées technologiques.
Les Etats-Unis sont frappés par une dégénérescence des moeurs politiques démultipliée par une révolution de l'information qui fournit une aide précieuse au parti de l'émotion. Trump n'en est pas à l'origine, mais il accentue cette pente dangereuse.
"Washington s'enfonce lentement dans les eaux boueuses du Potomac" La formule est excessive, sans doute, mais son ton shakespearien traduit le désarroi, sinon le…
Antoine Glaser est journaliste et spécialiste de l’Afrique. Thomas Hofnung est journaliste à The Conversation-France et spécialiste de l’Afrique et des questions de défense. Ils répondent à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « Nos chers espions en Afrique », aux éditions Fayard.
Les services français, autrefois inégalés en Afrique, ont-ils désormais affaire à une rude concurrence ?
L’époque où ils détenaient une sorte de monopole, sinon une forme de suprématie, dans ce que l’on a appelé le « pré carré » francophone, autrement dit les anciennes colonies françaises, est bien révolue. L’Afrique s’est mondialisée depuis la fin de la fin de la guerre froide, et dans leurs anciennes chasses gardées, les services hexagonaux doivent compter avec des concurrents de plus en plus actifs sur le continent. Les Britanniques, Histoire oblige, ont toujours été dans le paysage. Les Américains, qui sont de plus en plus présents militairement, quoi que de manière discrète, ont également besoin de renforcer leurs services de renseignement.
Jusqu’à récemment, les Chinois s’occupaient avant tout de conquérir des parts de marché, en jouant sur la carte de la neutralité politique. Mais lors de la chute de Robert Mugabe au Zimbabwe, on a bien vu qu’ils faisaient de la politique, donc du renseignement. D’ailleurs, comme nous le racontons dans le livre, la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) veille à ce que ses alliés sur le continent n’achètent pas du matériel d’écoute chinois, qui – outre l’aspect business – permettrait à Pékin d’être directement renseignée à la source…
On assiste aussi, notamment en Centrafrique, au grand retour des Russes qui, comme chacun sait, disposent de services de renseignement très performants, et très entreprenants. Et puis n’oublions pas les Israéliens, qui détiennent quelques places fortes en Afrique, en particulier au Cameroun, où certains de leurs ex-officiers encadrent la garde présidentielle. La coopération est si forte que les officiers supérieurs locaux ont appris l’hébreu pour mieux communiquer !
Existe-t-il toujours une rivalité néfaste entre les services, notamment en ce qui concerne le partage d’informations ?
Cette rivalité est inscrite dans la nature même des services de renseignement. Leur raison d’être, c’est d’obtenir et de garder pour soi des informations que les autres n’ont pas, y compris leurs collègues sur le territoire national. En France, les missions de renseignement sont principalement réparties entre la DGSE (service extérieur), la DGSI (ex-DST, renseignement intérieur) et la DRM (la Direction du renseignement militaire). Ces trois services sont censés coopérer, notamment dans la lutte contre la menace djihadiste. Les attentats perpétrés sur le sol national, depuis début 2015, ont ainsi conduit les autorités à accélérer dans ce domaine, en obligeant les uns et les autres à se parler davantage. Mais, dans les faits, chacun reste très jaloux de ses prérogatives et partage au compte-gouttes ses renseignements. Ainsi dans le Sahel, la DRM a demandé à prendre le lead du recueil de renseignements dans la lutte contre les groupes armés djihadistes. La DGSE devait, en quelque sorte, se mettre à son service. Tout en coopérant, celle-ci a néanmoins veillé à préserver ses sources sur le terrain, comme nous le racontons dans notre ouvrage. Résultat, les militaires se plaignent, à mots couverts, d’un manque de coopération des espions dans les sables du Sahel. Même si l’impact de cette rivalité larvée est difficile à mesurer, elle a sans doute freiné la lutte contre les djihadistes, notamment les efforts menés pour « neutraliser » les têtes.
Entre les espions, qui opèrent en civil et qui peuvent recourir à tous les moyens (ou presque) pour obtenir l’information recherchée, et les soldats en uniforme, qui fondent leur action sur un code d’honneur et des valeurs traditionnelles, ce sont deux mondes fondamentalement étrangers qui sont censés s’entendre. Et cela crée des frictions. Sans même évoquer les interférences de tous les anciens agents des services qui ont créé leurs propres sociétés dans le secteur privé. Officiellement ou officieusement, ils sont toujours en relation avec leurs camarades des services d’État.
Devrait-il être interdit aux anciens patrons des services d’écrire leurs mémoires ?
Il est vrai que, depuis quelques années, ce type de mémoires se multiplient, sans doute du fait de l’appétence de nos concitoyens pour ce monde secret qui fascine, surtout au moment où – à travers les réseaux sociaux, notamment –, tout s’étale sur la place publique. Fondamentalement, tout dépend de l’étendue de leurs révélations ! Et, dans ce domaine, on peut penser qu’il existe des mécanismes de régulation, ou d’autorégulation. Il est difficile d’imaginer, en effet, que, dans les bureaux du boulevard Mortier (siège de la DGSE à Paris), personne ne lit avant publication ces mémoires. On peut aussi penser que ces anciens pontes du renseignement savent jusqu’où ils peuvent aller. Mais notez que, même si ce type de témoignage était banni, resterait le travail d’enquête mené par les journalistes. Notre livre est, en quelque sorte, l’illustration de cette réalité. Dans une société ouverte comme la nôtre, même le monde secret des espions ne peut échapper totalement à la curiosité du monde extérieur. Et, quelque part, c’est rassurant.
Jeudi 27 septembre, la coalition au pouvoir en Italie – composée du Mouvement 5 étoiles et de la Ligue – a présenté un projet de budget 2019 assorti d’un déficit de 2,4 % du produit intérieur brut (PIB). Cet objectif acte un changement de politique budgétaire par rapport au précédent gouvernement, soulevant de nombreuses craintes parmi les Etats membres, au sein des institutions européennes et dans les marchés financiers. Eric Chaney, conseiller économique de l…
Pierre Jacquemot, ancien ambassadeur de France en RD-Congo, chercheur associé à l’IRIS, avait remis en 2009 la Légion d’honneur à Denis Mukwege, nouveau prix Nobel de la Paix.
Dans l’équipe de l’hôpital de Panzi, près de Bukavu dans le Sud-Kivu, province de la République démocratique du Congo, les psychologues, pourtant cuirassés par tant d’atrocités entendues, craquent parfois quand ils apprennent que plusieurs femmes venaient d’avoir les entrailles ouvertes avec des tessons de bouteille, des matraques, la gueule des fusils. Le Dr Denis Mukwege connaît trop bien ces histoires, toujours les mêmes : après le viol, ces femmes s’enfuient à travers la forêt après avoir été rejetées par leur famille, marquées à jamais par le sang et par la honte. Avec des gestes doux, il les examine et tente, suivant ses propres termes, de les « réparer ». Quand il interroge une femme, il sait quel groupe l’a violée selon le procédé utilisé. Une signature barbare : les rebelles du FDLR, les groupes Maï Maï, les soldats de l’armée FARDC… Il observe que le mot « viol » n’existe pas en langue mashi. Et pourtant, les Bashi, dont c’est l’idiome, constituent la communauté la plus « victimisée » par des actes abjects. Il constate aussi que 80 % des femmes qu’il reçoit déclarent avoir été violées par des hommes armés qui parlent une langue étrangère. Le but est bien d’installer la terreur de la guerre et de provoquer un traumatisme irrémédiable. Les causes de ces drames résident aussi dans la persistance de certaines croyances : les viols de mineures sont censés procurer la richesse. Les creuseurs d’or ou de coltan sont convaincus qu’ainsi ils trouveront un gros lingot ou le bon filon. D’autres prétendent ainsi s’immuniser du Sida, d’autres encore acquérir une invincibilité au combat.
Son nom avait été cité plusieurs fois pour le Prix Nobel. Fils d’un pasteur pentecôtiste de Bukavu, Denis Mukwege a souvent accompagné son père dans ses visites pastorales. Après ses études de médecine au Burundi, il fut affecté à Lemera dans un hôpital protestant. Bien avant la guerre, il fut frappé par les souffrances que rencontraient les femmes durant l’accouchement : mariées trop jeunes, atteintes de malnutrition, le bassin trop étroit, les naissances doivent souvent se faire par césarienne. Nombreuses étaient celles qui mouraient en couches. Il se détourna alors de sa première spécialité, la pédiatrie, et choisit de s’orienter vers la gynécologie obstétrique en étudiant au CHU d’Angers. Il revint à Lemera pour former des équipes de soutien aux femmes. Mais, premier acte de la guerre rwando-congolaise d’octobre 1996, les médecins, le personnel soignant et tous les malades de l’hôpital furent massacrés. Le Dr Mukwege qui était à Bukavu ce jour-là fut le seul médecin rescapé. Il fut alors accusé d’espionnage et dut quitter la ville dans le coffre d’une voiture alors que toute la région était à feu et à sang. Un nouvel hôpital fut reconstruit dans la banlieue de Bukavu, à Panzi. C’est là qu’il travaille depuis 1999. Une urgence s’imposa alors à lui : par centaines, des femmes victimes de violences sexuelles se traînaient jusqu’à l’hôpital. Dans la ville, elles erraient comme des parias. Il se forma alors à une technique très particulière, la « reconstruction vaginale », qui n’était jusque-là pratiquée qu’au Fistula Hospital d’Addis-Abeba. La guerre fit de nouveau rage avec sa sauvagerie quotidienne. Avec l’aide d’une ONG suédoise, il installa un service d’accueil pour les femmes. Il se battit pour obtenir du personnel, former des médecins, des accoucheuses, des infirmières et des travailleurs psychosociaux à l’écoute de ces victimes, le plus souvent des femmes, car elles sont mieux acceptées par les malades, mais des hommes aussi, tous spécialisés dans ce type de thérapie.
L’hôpital de Panzi reçoit 3 500 femmes par an. Les victimes de viol souffrent de diverses lésions du système reproductif, entre autres de prolapsus utérin et de fistules vésico-vaginales qui s’accompagnent d’hémorragie interne. Rares sont celles qui ont bénéficié de la prophylaxie post-exposition qui protège contre le VIH-Sida, le traitement devant être administré dans les 72 heures suivant le crime. Certaines tardent à recevoir les soins craignant d’être rejetées par leur famille. Les conséquences psychologiques sont également graves : dépression, état de choc, sentiment profond de terreur, perte de mémoire, cauchemars… Le Dr Mukwege explique clairement la démarche de Panzi : « Au début de la prise en charge, toutes les femmes violées sont animées par le même sentiment : elles se sentent abandonnées, d’abord par leur mari qui est le premier à les quitter, puis par leur mère, quand celle-ci a survécu. Leur communauté les considère comme des pestiférées. La première chose que nous faisons ici est de les déculpabiliser. Lorsqu’elles ressentent notre affection, elles reprennent confiance en elles et retrouvent l’envie de vivre. C’est seulement à ce moment, lorsque leur état mental s’améliore, que le traitement des lésions anatomiques peut être engagé. »
Denis Mukwege explique encore : « Nous recevons également des jeunes filles de 12, 13 ou 14 ans qui sont enceintes. Elles se retrouvent en pleine brousse sans assistance, elles sont incapables d’accoucher seules. Quand elles survivent, elles se retrouvent avec des lésions graves dues à la dystocie. Ces lésions sont souvent des fistules. Si on opère trop tôt, la réussite de l’opération est presque nulle. En fait, il faut attendre environ 3 mois que les lésions cicatrisent pour débuter la chirurgie de reconstruction. Nous désinfectons, nous les déparasitons, nous les nourrissons comme il faut et nous leur apportons bien sûr un appui psychologique. Pendant cette période, les femmes peuvent mener des activités à l’hôpital, telles que le tricotage, la coupe-couture et l’alphabétisation, qui leur seront utiles une fois retournées dans leur village. Elles peuvent apprendre aussi à faire du pain ou des bonbons. Pendant cette période de latence, elles sont occupées à faire ces petites activités manuelles qui les aident et qui leur permettent d’attendre l’intervention chirurgicale. »
Des enfants courent dans le jardin de l’hôpital. Ils sont nés du viol. Leurs mères ne parviennent pas toujours à les accepter. Les enfants leur rappellent le drame vécu. Que faire de ces enfants ?
Denis Mukwege s’exprime depuis des années devant les chefs d’Etat, à l’ONU ou à la Maison-Blanche, au Parlement européen et devant toutes les instances où il s’est déjà vu décerner de nombreuses récompenses (prix Olof Palme, prix des droits de l’homme des Nations unies, prix de la Fondation Clinton, de la Fondation Chirac, prix Sakharov…). Il accuse et il dérange, quand il dénonce les compromissions, trahisons et atteintes à la démocratie en RD-Congo. Il a échappé à un attentat en 2012 et il fut contraint de fuir son pays.
Thierry Michel et Colette Braeckman lui ont consacré un film : « L’homme qui répare les femmes ». Mais il n’est pas le seul. D’autres médecins, peu connus, plus discrets, se dévouent tout autant et prennent comme lui des risques. Dans l’hôpital de Chiriri, une inébranlable chirurgienne française, Marie-Joseph Bonnet, plus de 70 ans native de Grenoble, arrivée au Congo en 1979, et le Dr Kasereka Luisi, dans l’hôpital Heal Africa de Goma, vivent quotidiennement les mêmes drames et se posent la même question sur l’avenir des enfants du viol.
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Up to four in five fragile and conflict-affected states are unable to meet the United Nations Sustainable Development Goals (SDGs), according to a new report by the Overseas Development Institute (ODI) and International Rescue Committee (IRC). David Miliband, President and CEO of the IRC, said that the SDG drive to end poverty is “off-track” because the solutions to tackle it have been designed for stable states, whereas these programs are not equally suited to fragile and conflict-affected states.
The organizations responsible for the report, together with British Filmmaker Richard Curtis, an SDG Advocate, co-sponsored a September 27th reception at IPI. The event brought together members of civil society, international government actors, and representatives of the the private sector for a screening of Mr. Curtis’ short film, created with the IRC to raise awareness for and promote action towards achievement of the SDGs.
In opening remarks, IPI President Terje Rød-Larsen said that no single actor alone can provide the necessary support to people in countries experiencing crises and highlighted the benefits of partnership that draws on the insight of multilateral actors, the capacity of national governments, along with the innovation of the private sector.
Mr. Miliband argued that it is possible to combine “serious issues and serious speakers” with “dynamism,” through platforms such as film. Over the next year, world leaders will gather to audit processes over SDGs, and he said, “We need to make sure they prioritize people in conflict situations,” and “make sure we drive the innovation to reach these people.”
One way forward, Edna Adan Ismail, former Foreign Minister of Somaliland, recommended, is through youth empowerment projects. “If children don’t have something to live for, if young people don’t have a means to develop their energies, ambitions, skills, and contribute to the development of a nation, we could also be facing problems,” she said. Citing Somaliland’s experience with its diaspora, she said, “Somaliland mastered the process of self-help in Africa.” Somaliland’s resilience, she suggested, could provide lessons for achieving the SDGs.
Mr. Curtis’ film, Our Future Under Fire, followed. The film, which he planned to show “wherever possible,” conveyed the message that the SDGs contain the answers to the “biggest crises we are dealing with,” he said.
The SDGs are also a “massive opportunity” for the private sector, said Rebecca Marmot, Global Vice President, Partnerships and Advocacy, at Unilever, next to take the stage. She argued that representation in media helps to make the goals relatable to “everyday problems” on the ground. We need to integrate these messages like we do consumer campaigns, she said, and to ask, “What kind of products and services do the private sector have that can help refugees?” One way, she said, is to “change the perception of refugees, try to provide them with opportunities, and try to give them free movement.”
Ed Skyler, Executive Vice President of Citigroup, said that Citi stands behind the SDGs as “worthy projects,” and that through his company’s business operations he strives to achieve gender equality, and to work on further ways that the private sector can help.
Elizabeth Stuart, Head of Growth, Poverty, and Inequality at ODI, elaborated on the findings of the joint ODI-IRC report. This, she said, would be the start of continuing partnership. But she made note of the fact that “at a time when largely things are getting better, things are getting much worse in fragile and conflict-affected states.” One striking example from the report was of a primary school in South Sudan, where 5,000 children were enrolled in a school with only 38 teachers, a 1:138 ratio. To address what needs to be done, she called for a high-level panel; flexible, long-term aid; and thorough understanding of and support to the SDGs.
Echoing the collective call to action, Sarah McGrath, Director of UN and International Financial Institutions in the Development Cooperation and Africa Division of the Department of Foreign Affairs and Trade of Ireland, shared Ireland’s vision for the SDGs. In her country, she said, “commitment to leave no one behind must reach the furthest behind first.”
At a time when multilateralism has been called into question by authoritarian actors on the global stage, “we must not dismiss our belief in collective action,” she asserted. In the Irish mission, “hope underpinned our determination to change things for the better,” she said, and the SDGs are the “best way” to enact that hope and to “show that we can succeed.”
Alors que l'élection, le 18 août dernier, du nouveau Premier ministre du Pakistan Imran Khan pouvait – d’après ses déclarations – laisser augurer un rapprochement entre les deux voisins, l’Inde a annulé une rare rencontre prévue entre les ministres des Affaires étrangères des deux pays en marge de…
Jean de Gliniasty est directeur de recherche à l’IRIS, ancien ambassadeur de France en Russie. Il répond à nos questions à l’occasion de la parution de son ouvrage « Géopolitique de la Russie » paru aux éditions Eyrolles :
– Comment définir la société et le régime politique de la Russie d’aujourd’hui ?
– Comment la Russie se positionne-t-elle sur la scène géopolitique ? Quelle stratégie poursuit-elle sur la scène internationale ?
– Quels sont les principaux défis que la Russie doit relever sur la scène nationale et internationale ?
Quand on regarde la structure d’un trampoline, on se dit qu’on n’arrivera jamais à le monter et que seuls des professionnels qui maîtrisent l’équipement le peuvent.
Tout de même, détrompez-vous, si vous suivez bien la notice de montage, plus de soucis à vous faire. Voici comment faire.
Préparez le montage du trampolineLa première des choses à faire est de préparer le montage. Relisez à plusieurs reprises la notice de montage. De sorte à avoir une idée du montage. Ne vous jetez pas directement sur les pieds et autres. Ça ne mènera certainement à rien. A moins que vous soyez un doué des casse-tête chinois. Il faut de même s’assurer que vous disposez d’un espace bien aménagé pour le trampoline. Il ne doit pas y avoir d’obstacles comme un arbre ou un plafond trop bas.
Assurez-vous de même que la surface sur laquelle vous voulez la poser est bien plane. Car le trampoline pourrait se renverser lors de l’utilisation. Et surtout, penser au système de drainage. Le sol en dessous du trampoline, doit pouvoir drainer facilement l’eau. Si ce n’est pas le cas, veuillez le remblayer de sorte à ce que l’eau puisse y couler. Tout ceci pour éviter que l’eau stagne et dégage une mauvaise odeur.
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Assemblage de la structure du trampolineIl faut à présent procéder à l’agencement des différents tubes. Chaque pièce contient deux ouvertures pour accueillir d’autres tubes. Le tube de jonction, soumis à beaucoup de pression permet de joindre le plateau principal aux pieds verticaux de votre trampoline. Le tube avec les trous doit être déposé vers le sol pour ensuite y insérer les autres pièces de jonction. Vous disposez certainement parmi les pièces livrées, d’une pince permettant de resserrer les pattes pour l’installation de la rallonge verticale.
Il faudra donc conformément à la notice, procéder à l’assemblage de toutes les pièces de la structure et s’assurer de mettre la bonne pièce au bon endroit. La structure est par la suite mise sous tension par les ressorts.
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Installation toile de saut, bâche et filet du trampolineL’installation de la toile de saut prend plus de temps, car il faut installer jusqu’à au moins 120 ressorts. Tout dépend du diamètre de la toile. Les ressorts sont, en effet, attachés à la toile de saut. Il faudra procéder pas à pas pour pouvoir installer tous les ressorts et ne pas avoir à forcer certains ressorts qui traînent.
Pour la bâche et le filet, l’installation est plus facile. L’installation est surtout facilitée lorsque le filet est abaissé. Étalez donc la bâche de sorte qu’il soit bien tendu. Pour le filet, vous pouvez l’installer de l’intérieur et c’est l’idéal. Veuillez à bien le fixer aux poteaux.
Faire un montage quel que soit l’objet, n’a jamais été facile. En parlant de trampoline, il faut se focaliser sur les instructions de la notice. Et bien assemblez les tubes de la structure. Car un tube mal placé, peut causer beaucoup de dégâts lors de l’utilisation voire l’effondrement de toute la structure. A la limite, sollicitez une connaissance ou un professionnel des montages.
Pour plus d’infos sur le trampoline venez ici.
L’article Montage d’un trampoline : guide explicatif est apparu en premier sur RMES.