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Diplomacy & Crisis News

Chad: Two million people face hunger in Sahelian belt, UN agency warns

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 23:55
About two million people, or half the population, in the Sahelian belt of Chad face hunger and more than a quarter of them are in severe need of external assistance to meet their minimum daily food needs, the United Nations food relief agency said today.

No need to cancel or postpone Olympics due to Zika, says UN health agency

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 23:38
The World Health Organization (WHO) has determined that based on the current assessment of the Zika virus circulating in almost 60 countries globally and 39 countries in the Americas, there is no public health justification for postponing or cancelling the 2016 Olympic Games.

Côte d'Ivoire: UN envoy welcomes progress made in addressing sexual violence crimes

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 22:59
Concluding a three-day visit to Côte d&#39Ivoire, the United Nations Special Representative on Sexual Violence in Conflict has welcomed progress made thus far by the Government, and in particular by the national armed forces, in addressing sexual violence crimes in the country.

Ban says guilty verdict against former Chadian President marks ‘historic’ day for country’s people

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 22:41
The verdict announced by a special court in Senegal on the conviction of the former President of Chad, Hissène Habré, of crimes against humanity sent “a strong signal” to those who perpetrate serious crimes of international concern, United Nations Secretary-General Ban Ki-moon has said.

Two million more people living with HIV on life-saving treatment in 2015 – new UN report

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 22:25
The number of HIV-positive people taking antiretroviral medicines more than doubled to an estimated 17 million people from 2010 to 2015, with two million people gaining access to the life-saving drug last year alone, the United Nations agency leading the world’s HIV/AIDS response announced today.

Senior UN relief officials express concern over Syrians trapped by fighting in northern Aleppo

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 20:59
Two United Nations humanitarian officials expressed deep concerned over the fate of an estimated 8,000 Syrians trapped by fighting around the towns of Mare’a and Sheikh Issa in northern Aleppo Governorate following advances in the past three days by the Islamic State in Iraq and the Levant (ISIL/Da’esh) into areas controlled by non-State armed groups.

UN envoy welcomes Israeli officials’ comments on Arab Peace Initiative

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 20:42
The United Nations Special Coordinator for the Middle East Peace Process today welcomed statements by the Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu and Defense Minister Avigdor Liberman on the Arab Peace Initiative.

On World No Tobacco Day, UN urges plain packaging of tobacco products to save lives

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 20:20
As the global community marks World No Tobacco Day, the United Nations is advocating for the use of plain packaging of tobacco products in an effort to save lives by reducing demand for such products, which kill nearly 6 million people every year.

Thousands of desperate civilians on the run as battle for Fallujah continues – UN

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 19:50
Nearly 3,700 people, or 624 families, have fled Fallujah over the past week amid a new offensive by Iraqi forces to retake the besieged city from the Islamic State in Iraq and the Levant (ISIL/Da’esh), the United Nations said today, with humanitarian officials also reporting that those civilians left behind risk being used as ‘human shields’ by the terrorists.

As Mediterranean death toll soars, Ban urges collective response to large refugee and migrant movements

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 19:05
At least 880 people appear to have died over the past week as their vessels capsized in the Mediterranean, bringing the total fatalities along the dangerous crossing route to 2,510 so far this year, the United Nations refugee agency said today, as Secretary-General Ban Ki-moon called for a comprehensive and collective response to large movements of refugees and migrants.

Des voies juridiques contre l'austérité en Europe

Le Monde Diplomatique - mar, 31/05/2016 - 15:20
Les politiques d'austérité se révèlent nuisibles socialement et ineptes économiquement ; elles s'avèrent également contraires aux valeurs mêmes des sociétés démocratiques. Plusieurs institutions internationales viennent de le rappeler. / Europe, Démocratie, Droit, Économie, Justice, Protection sociale, (...) / , , , , , , , - 2014/11

La directive européenne sur le travail détaché, trop cruciale pour être débattue publiquement

Le Monde Diplomatique - mar, 31/05/2016 - 15:20
En théorie, une directive européenne comme celle sur le travail détaché se discute longuement au Parlement de Strasbourg. En pratique, elle se forge au cours de singuliers conciliabules... / Europe, Droit, Immigrés, Migrations, Protection sociale, Travail, Groupe de pression - (...) / , , , , , , - 2014/04

DPI/NGO: UN conference reflects on quality divide in education

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 07:00
The third Sustainable Development Goal &#8211 to ensure inclusive and equitable quality education and promote lifelong learning opportunities for all &#8211 was front and centre at a United Nations conference in Gyeongju, Republic of Korea, providing face-to-face opportunities for tackling a range of issues, including the education gap.

UN rights office concerned over denial of participation for journalist's group, LGBT organizations

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 07:00
The United Nations human rights office today added its voice to the concerns raised over a decision this past week by the Committee on Non-Governmental Organizations (NGOs) of the UN Economic and Social Council (ECOSOC) to deny the Committee to Protect Journalists (CPJ) consultative status.

DPI/NGO: Environmental challenges – a forceful argument for global citizenship

UN News Centre - mar, 31/05/2016 - 07:00
While global citizenship means many things to many people, discussions at the sixty-sixth United Nations/Non-Governmental Organizations Conference maintained that cultivating empathy, a scientific appreciation for the natural world and responsibility towards future generations must be at the core of education for global citizenship.

Politique étrangère au Proche-Orient après les printemps arabes : l'introuvable ligne diplomatique






Tiré d’une intervention au colloque « Repenser les relations internationales après les révolutions arabes », beyrouth, USJ, 15-16 avril 2016.

La séquence des soulèvements arabes (depuis 2011) s'inscrit dans un enchaînement historique qui aura laissé les acteurs extérieurs aussi bien que les principales puissances régionales démunis devant un certain nombre de ruptures non prévues.
La fin de la bipolarité fut la première d’entre elles, qui priva les récits politiques de cadre explicatif sur les enjeux régionaux (même si ces récits étaient peu convaincants). Il y eut ensuite l'échec du processus de paix après 1995, qui révéla la revanche des enjeux sur les volontés politiques : les Etats-Unis, notamment, ont tenté d’imposer un agenda pour la paix. Mais les thèmes écartés (comme la question du retour des réfugiés) sont revenus au galop, les méfiances des acteurs et les réticences des sociétés ont fait le reste. En parallèle, l'échec de Barceloneen 1995 à accompagner un processus… sans plus de processus, consacra l'impuissance de l'Europe à peser encore dans les tragédies méditerranéennes. La tentative de l’Union pour la Méditerranée après 2008 aura le même destin. Après les attentats de septembre 2001, suivis par deux guerres américaines dans le "grand Moyen Orient", c’est la première puissance militaire mondiale qui se montre impuissante à réguler la zone, où elle s’enlise même. Lorsque surviennent les "printemps arabes", les diplomaties n’ont plus de boussole. Accompagnés de nombreux faux débats mais aussi de vraies pertes de repères, les soulèvements et leurs conséquences imposent de repenser la région, comme la pratique de la politique internationale.
Les faux débats
Plutôt que de s’interroger sur le bilan de relations bilatérales trop étroites avec des régimes qui prétendaient au monopole de la représentation de sociétés en réalité en pleine diversification, plutôt que de questionner cette absence de dialogue avec les sociétés civiles (dialogue auquel des diplomaties démocratiques renonçaient souvent à la demande des régimes autoritaires eux-mêmes), plutôt que de remettre en cause la croyance en la capacité des régimes régionaux à s’ériger en remparts contre "la terreur", plutôt que de descendre en profondeur dans l’analyse pourtant fondamentale des sociologie des forces de coercition, de l'Etat profond", ou des déséquilibres sociétaux (cela viendra plus tard, sous les plumes de (Hazem Kandil, jean-Pierre Filiu ou d’autres), beaucoup de travaux donnèrent une importance excessive à des questions plus trendy que fondamentales.
Le débat sur les équilibres pro et anti occidentaux au Proche-Orient, par exemple, fut un premier réflexe. Les soulèvements allaient-ils rendre la région plus libérale, et lui faire enfin rattraper la globalisation occidentale ? Ou au contraire, renversaient-ils des régimes qui avaient toujours servi les intérêts américains et européens ? La question n’était pas illégitime. Mais elle était occidentalo-centrée, et datée. Tout comme les analogies historiques nombreuses, qui nous faisaient comparer les interventions américaines de 2001-2003 aux State buildings allemand et japonais de 1945, ou les soulèvements arabes de 2011 à l'Europe de 1848 ou de 1989. De la même manière, on crut voir dans les demandes de dignité de 2011 l’effet mécanique des réseaux sociaux, sous-entendant que sans eux, la société arabe n’aurait su s’exprimer. Un troisième faux débat, toujours aussi peu enclin à saisir la dynamique régionale, s’attacha à la performance de l’anticipation ou de la prospective, des oracles et des prévisions : pourquoi, au nord de la Méditerranée, n'avait-on rien vu venir dans les chancelleries ou les planning units ? On aurait pu s’interroger également sur le fait de savoir pourquoi des appareils d'Etat puissants, qui pensaient contrôler des sociétés quadrillées de Moukhabarats, n’avaient rien vu venir non plus.

Pertes de repères
En réalité, les événements de 2011 sonnaient la fin définitive d'une configuration familière. Des interlocuteurs de longue date disparaissaient. Des États pivots basculaient. Et des dilemmes resurgissaient, qui revoyaient à des impasses analytiques antérieures : quelle position adopter face à des élections libres donnant la victoire à des partis religieux ? face à l’Egypte de 2012 comme à Gaza en 2006, la gêne était perceptible. Et la difficulté à sortir d’une lecture par le clivage "partis religieux contre partis laïcs", était forte. Entre stabilité régionale et promotion de la démocratie, entre intérêts géopolitiques (soutenir des alliés de longue date) et sens de l'histoire (soutenir des peuples), les Etats-Unis comme plusieurs de leurs alliés, hésitaient, ou se réfugiaient dans le soutien à des segments d'opinion commodes mais minoritaires ("Tahrir").
La nouvelle grammaire politique régionale est encore largement impensée par les diplomaties extérieures, mais peut-être aussi locales. La multiplication des multivocal ou failedstates (Syrie, Irak, Libye...), le morcellement des acteurs avec retour de clivages anciens (Cyrénaïque, Tripolitaine...), le brouillage des frontières entre régimes, partis, mouvements, et l'obligation de prendre en compte des sociétés aux modes d’expression renouvelés, ne peuvent plus guère être appréhendés par la seule focalisation sur des clivages macro-politiques (sunnites / chi’ites), ni sur l’entretien de relations bilatérales privilégiées fondées sur quelques « hommes forts ».

Quelle ligne diplomatique?
L'Europe en tant qu’Union, hélas, semble avoir renoncé à la question elle-même.  Elle ne constitue plus pour l'instant un acteur stratégique dans son environnement stratégique méridional. Les Etats-Unis d'Obama, en dépit de quelques audaces importantes (le discours du Caire de 2009, le dealiranien) paient encore le prix de la décennie néo-conservatrice. Leurs hésitations par ailleurs compréhensibles en Egypte, à Bahreïn ou en Libye, leur recul sur le dossier syrien en 2013, ont fait vaciller leurs grands partenariats traditionnels, avec l’Arabie saoudite, Israël, et dans une certaine mesure la Turquie. Leur renoncement de fait sur le dossier israélo-palestinien accentue le sentiment d'un retrait américain dans la région, accompagné par un retrait britannique (certes moins structurant).
Moscou a décidé de tirer profit de ces hésitations américaines pour se faire "game changer" régional, mais dans une région où l’on ne change pas le jeu si facilement. La France fait à la fois le pari d'un retour aux sources de la Realpolitik (avec son alliance saoudienne et son partenariat égyptien), et celui d’un retour aux enjeux traditionnels, avec la relance, en juin 2016, d’une conférence sur la situation israélo-palestinienne. Ce double front est-il tenable ? Ce réalisme est-il réaliste ? Il est trop tôt pour le dire. beaucoup dans la région attendent ce qui serait la véritable évolution, à savoir une implication des puissances émergentes, sur le modèle de l’initiative turco-brésilienne de 2010 (sur le nucléaire iranien), mais avec plus de force, et avec d’autres acteurs (la Chine ?). L’implication des émergents dans cette poudrière reste néanmoins, pour l’heure, fort hypothétique.
Les acteurs traditionnels, extérieurs comme régionaux, sont usés. Les Etats-Unis ont échoué, les européens ont disparu, les politiques étrangères arabes jadis clefs (« pas de paix sans la Syrie, pas de guerre sans l’Egypte », disait Kissinger) sont en retrait, et les puissances régionales non arabes (Israël, Turquie, Iran), tout en étant devenues les plus structurantes, connaissent bien des difficultés. Le nouveau concert d'interaction, qui pourrait faire pièce à l’actuel concert d'impuissance, se fait encore attendre.

En Hongrie, une extrême droite qui n'exècre pas l'islam

Le Monde Diplomatique - lun, 30/05/2016 - 15:26
Antisémite et anti-Roms, le Jobbik, un parti hongrois classé à l'extrême droite, exprime régulièrement de la sympathie pour le monde musulman. / Europe, Hongrie, Iran, Extrême droite, Idéologie, Islam, Nationalisme, Parti politique, Politique, Diplomatie - (...) / , , , , , , , , , - 2014/04

L'affreux doute des libéraux américains

Le Monde Diplomatique - lun, 30/05/2016 - 15:26
L'enrichissement d'une minorité stimulerait la croissance, favorisant ainsi la réduction du chômage et l'amélioration de la condition des pauvres : ce postulat a longtemps présidé aux destinées des Etats-Unis. Il est aujourd'hui remis en cause. / États-Unis, États-Unis (affaires intérieures), (...) / , , , , , , , , , , , , - 2014/03

Politique étrangère n°2/2016 : votez pour (é)lire votre article préféré !

Politique étrangère (IFRI) - lun, 30/05/2016 - 10:29

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The Price of Deregulation

German Foreign Policy (DE/FR/EN) - lun, 30/05/2016 - 00:00
(Own report) - French protests against the adoption of the German "Agenda 2010" deregulation models continue. Unions have announced extensive strike activities for this week in protest of the "job market reform" with which the French government seeks to implement further adjustments to meet Berlin's neoliberal standards. Through its "Agenda 2010," which had been implemented by the SPD/Green coalition government, the German economy has gained considerable advantages also in relationship to their French competitor - and was systematically able to enhance its predominating position within the EU. After failing to get Berlin to renounce its deregulation and austerity policy, Paris is now trying to avoid further economic decline by copying Germany's measures. Also in view of the social consequences of the German "Agenda 2010," a clear majority of the French population rejects this model. To implement its "job market reform," the French government is subverting democratic procedures to impose the reform by decree - another step toward abolishing democracy within the German-predominated EU.

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