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Diplomacy & Crisis News

Mexico’s New President Needs a Better Solution to Criminal Violence

Foreign Affairs - jeu, 27/09/2018 - 06:00
When Andrés Manuel López Obrador takes office as Mexico’s president in December, his biggest challenge will be to stanch the escalating problem of criminal violence. 

Chagos, le porte-avions de corail

Le Monde Diplomatique - mer, 26/09/2018 - 19:48
Loin de toute autre terre émergée, les îles coralliennes des Chagos n'ont pas échappé aux conflits du XXe siècle. La création de la base militaire américaine de Diego Garcia entraîna la déportation des habitants de ce confetti de l'Empire britannique. Ceux-ci espèrent désormais que la Cour internationale (...) / , , , , , , , , - 2018/10

Au Brésil, la fabrique des démagogues

Le Monde Diplomatique - mer, 26/09/2018 - 17:48
Au cours de la campagne présidentielle qui doit aboutir à l'élection du nouveau président du Brésil, les stars des plateaux de télévision et les familles oligarchiques qui possèdent les grands médias se sont dépouillées des derniers vestiges de crédibilité dont elles tentaient de se parer. L'opération que (...) / , , , , , , , , - 2018/10

Chine - États-Unis : des importations déjà surtaxées

Le Monde Diplomatique - mer, 26/09/2018 - 15:47
/ États-Unis, Chine, Commerce, Commerce international, Protectionnisme, Économie, État, Mondialisation, Capitalisme - Economie et finance / , , , , , , , , - Economie et finance

Europe’s Eastern Crisis: The Geopolitics of Asymmetry

Politique étrangère (IFRI) - mer, 26/09/2018 - 10:00

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°3/2018). David Cadier propose une analyse de l’ouvrage de Richard Youngs, Europe’s Eastern Crisis: The Geopolitics of Asymmetry (Cambridge University Press, 2017, 256 pages).

Centrées autour de la promotion des normes et standards européens et incarnées notamment par le programme du Partenariat oriental, les politiques de l’Union européenne (UE) relevaient jusqu’ici avant tout de logiques institutionnelles internes. Richard Youngs montre comment la crise ukrainienne a amené l’UE à amorcer un virage géopolitique caractérisé par une plus grande prise en compte, dans la définition de ses objectifs, des dynamiques de pouvoir externes et par une utilisation plus instrumentale de ses programmes de coopération.

Si le deuxième chapitre jette les bases d’un travail de conceptualisation, l’apport de l’ouvrage est avant tout empirique : il présente une image complète et détaillée des débats et mesures mis en œuvre par l’UE et ses États membres depuis le début de la crise en 2013, ainsi que des dynamiques qui ont amené à ces choix, et des limites de leur mise en œuvre. Le livre a le mérite de considérer la politique étrangère européenne dans sa multiplicité et sa diversité, c’est-à-dire tant les initiatives prises par les institutions de Bruxelles que les actions des États membres dans leurs diplomaties nationales ou dans d’autres organisations internationales (Organisation du Traité de l’Atlantique nord, Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe…). Il documente, de fait, une influence accrue de ces dernières dans la formulation des politiques européennes à l’égard du voisinage oriental, tout en mettant en lumière (de façon pas toujours équilibrée) les lignes de fracture entre les différentes positions nationales.

Quant au contenu et à la mise en œuvre de ces politiques, Richard Youngs montre que la crise ukrainienne a conduit l’Europe à « atteler ses valeurs à ses intérêts stratégiques », plus que par le passé. L’UE a accru son engagement et son soutien aux pays de l’espace post-soviétique, mais en le distillant de manière plus sélective, calibrée et utilitariste, cherchant par là à en faire un instrument de puissance. Le soutien à certaines valeurs ou réformes politiques est, en effet, de plus en plus perçu par Bruxelles comme un « avantage comparatif géopolitique » sur la Russie. Pour l’auteur, la politique européenne dans la région a changé d’objectif, passant de celui d’établir un partenariat avec la Russie à celui de renforcer la résilience des structures étatiques des pays de la région – contre l’influence russe.

Cette évolution reste néanmoins partielle et incomplète. L’auteur souligne que le « virage géopolitique » de l’UE n’est « pas suffisamment résolu pour lui permettre d’atteindre ses objectifs stratégiques ». L’UE est au milieu du gué : après la crise ukrainienne, elle ne s’est ni retirée de la région, ni véritablement dotée de moyens pour y faire valoir ses intérêts. Elle a renforcé sa présence dans l’espace post-soviétique, sans acquérir de véritables leviers d’influence sur ces pays ou être en mesure de leur offrir des garanties de sécurité. En cela, la nouvelle tendance de la politique européenne s’inscrit dans la continuité de l’ancienne.

Par ailleurs, s’ils sont plus souvent évoqués dans les communiqués officiels de l’UE, les
« intérêts européens » dans la région ne font toujours pas l’objet de définitions claires et consensuelles ; aussi est-il difficile d’évaluer dans quelle mesure le changement d’approche permet de mieux les servir. Si elle est plus géopolitique, la politique européenne à l’égard de la périphérie orientale apparaît toujours insuffisamment stratégique.

David Cadier

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De la démocratie en Amérique

Le Monde Diplomatique - mar, 25/09/2018 - 19:44
Jusqu'ici, les élections de la mi-mandat étaient rarement décisives, même quand elles provoquaient un renversement de majorité. Le scrutin législatif du 6 novembre prochain marquera en revanche une nouvelle étape de la polarisation politique des États-Unis, ce tourbillon qui a accru depuis deux ans la (...) / , , , , , - 2018/10

Le Brésil, ce géant entravé

Le Monde Diplomatique - mar, 25/09/2018 - 17:44
En Equateur, grâce à une politique qu'il qualifie de « sociale et solidaire », et qui renforce le rôle de l'Etat, M. Rafael Correa a été réélu dès le premier tour de l'élection présidentielle du 26 avril. Au Panamá, le 3 mai, après le mandat décevant en matière de réduction de la pauvreté du social-démocrate (...) / , , , , , - 2009/06

Que l'économie serve la biosphère

Le Monde Diplomatique - mar, 25/09/2018 - 15:44
Voici donc franchi le seuil à partir duquel le développement économique menace de porter une atteinte irrémédiable à la nature. Aussi longtemps qu'il ne lui infligeait que de légères égratignures, susceptibles de se réparer par elles-mêmes, on s'estimait autorisé à penser le développement économique dans (...) / , , - 1989/08

Foreign Policy Weekly Quiz!

Foreign Policy Blogs - mar, 25/09/2018 - 14:53

http://www.quiz-maker.com/QINY3IR

 

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« La guerre, un fait social total

Politique étrangère (IFRI) - mar, 25/09/2018 - 10:00

A l’occasion de la journée internationale de la paix, Jacques Munier, chroniqueur chez France Culture, examine dans sa chronique « Le Journal des idées » du 21 septembre dernier, le thème de la paix : il cite à ce titre le dossier « Sorties de guerres » publié dans le numéro d’automne de Politique étrangère (n° 3/2018) et notamment l’article de Georges-Henri Soutou, « La négociation du traité de Versailles : exactement ce qu’il ne faut pas faire ».

« … La victoire est-elle forcément synonyme de fin de la guerre ? La question est posée dans la dernière livraison de la revue Politique étrangère. Georges-Henri Soutou revient sur la négociation du Traité de Versailles, à la fin de la Première Guerre mondiale. Conformément à la pratique, on a commencé par fixer entre Alliés les grandes orientations pour inviter ensuite les puissances vaincues à négocier les détails. Comme les discussions préliminaires ont duré, il n’y eut pas de négociations avec les Allemands, qui se sont vu imposer un texte perçu comme un Diktat, « ce qui d’emblée le délégitima aux yeux de l’opinion allemande ». On connaît la suite… Si vis pacem para bellum, disaient les Anciens. Mieux vaudrait aujourd’hui renverser la formule : si tu veux la guerre, prépare la paix. ».

Lire la chronique de Jacques Munier en entier sur France Culture.

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Rustines sur le «<small class="fine"> </small>Titanic<small class="fine"> </small>» de la finance globale

Le Monde Diplomatique - lun, 24/09/2018 - 17:40
Les effets dévastateurs de la crise semblent avoir désormais atteint la charge critique suffisante pour susciter quelques remises en ordre dans les régulations économiques et financières du capitalisme mondialisé. C'est là le principal enjeu du G20 réuni à Londres début avril. / France, Capitalisme, (...) / , , , , - 2009/04

«<small class="fine"> </small>Nous avons eu le pouvoir, maintenant il nous faut l'argent<small class="fine"> </small>»

Le Monde Diplomatique - lun, 24/09/2018 - 15:40
Des socialistes qui ancrent la Bourse au cœur du moteur économique ? Nul ou presque n'imagine un tel scénario au soir du 10 mai 1981. Après les nationalisations de 1982, l'Etat tient seul la barre. Il contrôle le crédit, les prix, les salaires, les changes. Les marchés financiers sont réglementés, (...) / , , , , , - 2009/04

« Robots tueurs ». Que seront les soldats de demain ?

Politique étrangère (IFRI) - lun, 24/09/2018 - 10:00

Cette recension a été publiée dans le numéro de printemps de Politique étrangère (n°3/2018). Rémy Hémez propose une analyse de l’ouvrage de Brice Erbland, « Robots tueurs ». Que seront les soldats de demain ? (Armand Colin, 2018, 176 pages).

La question de l’emploi des systèmes d’armes létaux autonomes (SALA) fait débat, et beaucoup d’écrits existent déjà sur le sujet. Brice Erbland – officier de l’armée de Terre, auteur d’un témoignage sur ses engagements comme pilote d’hélicoptère d’attaque (Dans les griffes du Tigre, 2013) – constate cependant que les discussions sont, quasi exclusivement, d’ordre juridique et intègrent peu la dimension morale. Or, en partant du présupposé réaliste que les SALA seront développés et utilisés en opération, il est fondamental d’étudier le cadre éthique de l’emploi de ces systèmes. C’est à cette réflexion que s’attache l’auteur dans ce court essai, en s’appuyant sur son expérience opérationnelle.

Brice Erbland s’interroge d’abord sur les conséquences de l’emploi du « robot soldat », terme préféré à celui de « robot tueur », jugé impropre. Il plaide pour une utilisation des SALA en accompagnement des soldats, car il estime que leur emploi seul n’est pas souhaitable. En effet, l’acceptabilité morale du combat se fonde sur la réciprocité du danger : « Le droit de tuer doit s’accompagner du risque de mourir. » L’auteur insiste aussi sur la nécessité de maintenir une présence humaine pour la planification et la conduite des opérations des SALA. Par ailleurs, ces derniers ne pourront se satisfaire d’ordres vagues (« faites au mieux… »). Les consignes qui leur seront transmises devront donc envisager tous les cas non conformes.

La deuxième partie de l’ouvrage est consacrée à l’étude comparative des forces et faiblesses du soldat et du SALA. Huit faiblesses humaines spécifiques au combat sont détaillées. Certaines ne seront pas présentes chez les robots soldats, comme la vengeance ou les effets négatifs de la distanciation. « L’effet Lucifer », qui veut qu’un soldat peut parfois effectuer des actes allant bien au-delà de ses limites morales par soumission à l’autorité, implique qu’un SALA doit avoir une capacité de jugement autonome pour pouvoir « refuser » un ordre illégal ou immoral. Sont ensuite passées en revue cinq vertus humaines au combat. Certaines sont – au moins partiellement – reproductibles pour un SALA. C’est le cas de l’instinct, via un algorithme de remontée rapide des solutions possibles. D’autres ne peuvent être programmées, comme le discernement émotionnel. Or, pour l’auteur, ce dernier « est à la base du comportement vertueux du soldat au combat. Il s’agit en quelque sorte de faire le choix de la clémence au vu d’une situation particulière ».

Brice Erbland étudie ensuite l’éthique artificielle qu’il conviendrait de mettre en place. Il revient dans un premier temps sur le processus décisionnel humain, pour décrire par la suite un module d’éthique artificielle. Cette partie de l’ouvrage, passionnante, est cependant exigeante pour le lecteur du fait de l’emploi fréquent du langage de la programmation. Il faut souligner le grand intérêt de la dernière partie du livre : « Ce que nous apprend la littérature. » Elle s’attache à tirer des conclusions opérationnelles d’œuvres de science-fiction : méthode trop peu utilisée en prospective, et pourtant fructueuse.

L’auteur nous offre ici une réflexion très structurée, pertinente et raisonnée sur un sujet qui fait trop souvent l’objet d’argumentaires péremptoires. Cet ouvrage mérite la lecture de tous ceux qui s’intéressent à la robotique militaire et aux questions de défense en général.

Rémy Hémez

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Les disqualifiés

Le Monde Diplomatique - dim, 23/09/2018 - 17:37
Après le krach boursier, la faillite intellectuelle : au nombre des victimes collatérales du naufrage financier figurent la poignée d'économistes qui dispensent la bonne parole dans les médias. / Banque, Capitalisme, Finance, Libéralisme, Médias, Personnalités, Spéculation - (...) / , , , , , , - 2008/11

Le jour où Wall Street est devenu socialiste

Le Monde Diplomatique - sam, 22/09/2018 - 19:33
Pour éviter l'effondrement de la Bourse et le gel du marché du crédit, qui risquaient de contaminer toutes les activités économiques, les autorités américaines ont abandonné les sauvetages au coup par coup. Au profit d'un plan d'ensemble. MM. Henry Paulson et Ben Bernanke, respectivement ministre des (...) / , , , , , , , , , - 2008/10

Etats-Unis, une trajectoire financière insoutenable

Le Monde Diplomatique - sam, 22/09/2018 - 17:33
Alors même que le pouvoir d'achat des Américains stagne, que leur taux d'épargne est quasiment nul (0,4%) et que la valeur de leurs biens immobiliers et de leurs titres en Bourse a sensiblement baissé depuis le début de l'année, l'endettement des ménages atteint un niveau record. Autant dire que la (...) / , , , , , , , - 2008/08

The Bombings the World Forgot 

Foreign Policy - sam, 22/09/2018 - 00:04
On the podcast: Ambassador Prudence Bushnell survived the 1998 bombing of the U.S. Embassy in Kenya. Now she tells her story.

Trump Has a New Weapon to Cause ‘the Cyber’ Mayhem

Foreign Policy - ven, 21/09/2018 - 22:58
The U.S. president and his advisor John Bolton want to take the gloves off in cyberspace—but experts worry offensive attacks could backfire.

Quand la finance prend le monde en otage

Le Monde Diplomatique - ven, 21/09/2018 - 19:29
« La tourmente que traversent actuellement les marchés financiers va peser sur la croissance mondiale », estime le directeur général adjoint du Fonds monétaire international (FMI), M. John Lipsky. Plus soucieux que lui de rassurer l'opinion (et les investisseurs), les gouvernants des Etats-Unis, (...) / , , , , - 2007/09

Military Worship Hurts U.S. Democracy

Foreign Policy - ven, 21/09/2018 - 18:20
Battlefield experience shouldn’t trump the outsider benefits of civilian leadership.

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