LeMonde / Afrique

La révocation du maire du quartier des affaires d’Abidjan déclenche un regain de tension entre les deux partis de la coalition au pouvoir.

Le président sortant sera opposé, le 12 août, à Soumaïla Cissé. Une redite de l’élection de 2013.

La victoire du dirigeant sortant, ancien bras droit de Robert Mugabe, a été annoncée dans un climat tendu. Il a obtenu 50,8 % des suffrages.

Au premier tour qui s’est tenu le 29 juillet, M. Keïta est arrivé en tête avec 41,42 % des voix, contre 17,80 % pour Soumaïla Cissé, selon les résultats communiqués jeudi.

L’ancien président a déclaré qu’il « ne [voterait] pas pour ceux qui [l’]ont mal traité ».

Rejet des cosmétiques dangereux et volonté de créer leurs propres canons de beauté : de nombreuses Burkinabées disent adieu au défrisage.

Au pouvoir depuis le départ forcé de son prédécesseur, Emmerson Mnangagwa compte sur ce scrutin pour acquérir une légitimité.

Le 29 juillet, 8 millions d’électeurs ont été appelés aux urnes pour le premier tour d’une élection calme dans la capitale, mais entachée d’incidents dans le centre et le nord du pays.

L’ancien chef de l’Etat, renversé en novembre par ses camarades de parti, a déclaré dimanche, à la veille de l’élection présidentielle, soutenir l’opposition.

Mohammed VI souhaite que le gouvernement accélère les programmes liés à la scolarisation et à la santé, dans une interview télévisée dimanche.

Onze soldats nigérians et trois civils ont été tués au cours d’une attaque menée par le groupe djihadiste vendredi contre un poste militaire dans le nord-est du Nigeria.

Le réseau social, qui compte plus de 60 000 membres, est devenu en deux ans une plateforme d’entraide et de soutien incontournable.

Dimanche, 8 millions de Maliens étaient appelés aux urnes pour le premier tour d’une élection présidentielle à haut risque.

L’amour au front (1/6). Ahmed Kathrada et Sylvia Neame, militants antiapartheid, ont tout bravé pour vivre leur relation, à commencer par les lois raciales.

Dimanche, 8 millions d’électeurs sont appelés aux urnes pour élire le prochain président de la République malienne. Six points pour comprendre ce scrutin attendu.

L’opposition craint fraudes et violences lors du vote par lequel Mnangagwa veut légitimer son pouvoir.

L’historien Omar Mirali dénonce, dans une tribune au « Monde », la nature inconstitutionnelle d’un vote qui appelle aux urnes les Comoriens le 30 juillet pour se déterminer en faveur ou non de la limitation des mandats présidentiels.

Depuis six ans et l’occupation du nord par des groupes djihadistes, plusieurs forces militaires sont déployées dans le pays. Tour d’horizon.

Les Comoriens sont appelés lundi à se prononcer sur la modification du système de présidence tournante. Le texte prévoit aussi la suppression de la Cour constitutionnelle et des postes de vice-présidents.

Face à la nouvelle donne protectionniste américaine, les dirigeants chinois, russe, brésilien, indien et sud-africain tentent de faire bloc.