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Diplomacy & Defense Think Tank News

Az Afrika Tanulmányok magasabb minőségi kategórába került

Nagy boldogsággal adjuk hírül, hogy az Afrika Tanulmányok/ Hungarian Journal of African Studies folyóiratunk az MTA két bizottságának folyóiratlistáin is egy magasabb minőségi kategóriába került:

A Humanitarian Perspective on the Independent Assessment in Afghanistan

European Peace Institute / News - Tue, 06/06/2023 - 23:40

In March 2023, the UN Security Council extended the mandate of the UN Assistance Mission in Afghanistan (UNAMA) for a twelve-month period. In parallel, the council adopted Resolution 2679 (2023), which requested that the UN secretary-general provide the Security Council with an integrated, independent assessment of the international community’s approach to Afghanistan by November 17, 2023. Two years after the Taliban’s takeover of Kabul, the council identified the need for an independent assessment to make recommendations for the international community’s united reengagement with Afghanistan.

In this context, the International Peace Institute (IPI) hosted a roundtable on May 16, 2023, to discuss the independent assessment process and provide input from humanitarian experts during the preparatory phase of the assessment. This roundtable provided a platform for exchanges between humanitarian organizations, the UN Secretariat, member states, civil society groups, and independent experts, including those based in Geneva and Afghanistan. The discussion offered a chance to depoliticize discussions and unite behind a single strategy at a time when the Taliban are playing on divisions within the Security Council.

The participants’ recommendations for the independent assessment team included:

  • Ensure the team includes humanitarian and gender experts;
  • Facilitate an inclusive, meaningful, and safe process;
  • Avoid duplicating other efforts and leverage existing platforms;
  • Account for the diversity and complexity of the humanitarian sector;
  • Consider the broader challenges facing the humanitarian sector;
  • Make recommendations for a sustainable response that goes beyond humanitarian action; and
  • Produce a strategic report rather than a detailed operational roadmap.

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La destruction du barrage de Nova Kakhovka : prélude à un retrait russe ou à une offensive ukrainienne ?

IRIS - Tue, 06/06/2023 - 19:27

La destruction partielle du barrage de Nova Kakhovka dans la nuit du 5 au 6 juin 2023 par une explosion est un événement significatif de la guerre en Ukraine. Les deux belligérants s’accusent mutuellement sans que des éléments matériels (explosif ou munition utilisés) n’apportent une signature claire. D’autant plus que dans ce cas, comme dans d’autres attaques hors du champ militaire, les signatures peuvent, voire doivent, être contrefaites. C’est la règle des actions de sabotage qui sont d’ailleurs consubstantielles à toute guerre. Cependant toutes les condamnations convergent sur la Russie. Mais comme pour les bombardements de la centrale nucléaire de Zaporijia durant plusieurs mois en 2022, comme pour le sabotage des gazoducs North Stream 1 et 2 pour lesquels des interrogations subsistent toujours, il en est et sera de même pour cet acte de sabotage.

Il est donc utile de se livrer à une appréciation de situation stratégique sur cet événement pour en mesurer les conséquences sur la poursuite de la guerre et ouvrir la réflexion sur les causes.

Le barrage de Nova Kakhovka construit en 1956 permet l’irrigation par le canal de Crimée de toutes les terres situées en aval entre le Dniepr et la Crimée, celle-ci comprise, et l’alimentation électrique (en parallèle de la centrale de Zaporijia) des populations et usines situées sur les mêmes espaces qui sont à ce jour occupés par les Russes. Entre 2014 et 2022, la Crimée annexée par la Russie a été coupée de ses approvisionnements en eau et électricité, créant une situation difficile pour les Criméens, leur industrie et leur agriculture.

À partir de 1985, la vaste réserve d’eau de ce barrage a permis de contribuer au refroidissement de la centrale nucléaire de Zaporijia. L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), tout comme le directeur russe de la centrale, assure que les destructions sur le barrage situé 150 km en aval n’ont pas de répercussions sur les capacités de refroidissement de la centrale. Energoatom, opérateur ukrainien, alerte lui sur la « baisse rapide » des eaux du réservoir du barrage y voyant un risque pour la réserve d’eau de la centrale nucléaire.

Dans l’immédiat, les conséquences dramatiques sont l’inondation des villages et villes, dont Kherson. Seize mille personnes seraient en zone critique sur la rive droite selon la présidence ukrainienne et vingt-deux mille sur la rive gauche selon les autorités russes. Ces destructions peuvent entraîner aussi des conséquences sur les alimentations en eau et électricité de l’ensemble des territoires, incluant la Crimée aujourd’hui sous le contrôle russe. Cela pourrait constituer les conséquences les plus importantes et durables de ce sabotage. Dès lors se pose la question des intérêts de chacun des belligérants dans cette opération.

Pour les Russes, conserver en bon état des installations qu’ils avaient mises sur la liste de leurs priorités (conquête dès le 24 février 2022) pour faire vivre les oblasts annexés est vital. L’explication de la tentative de faire monter les eaux du Dniepr pour se protéger d’une attaque à partir de Kherson ne correspond pas à l’analyse de terrain. Les rives du Dniepr en aval de Nova Kakhovka jusqu’à la mer (environ 130 km), marécageuses, ne sont pas du tout propices à un franchissement offensif, sans avoir besoin de les inonder. Voire, s’il était tenté, il offrirait des cibles « comme à l’entrainement » à l’artillerie russe. Quant au pont de Nova Kakhovka, tout comme le pont Antonivsky à Kherson et le pont de Darivka, il a été rendu impraticable par l’armée russe lorsqu’elle s’est retirée de la rive droite en novembre 2022. Il a suffi de miner son tablier qui se trouve à plusieurs mètres au-dessus du barrage lui-même sans porter préjudice aux approvisionnements en eau et électricité.

Il en découle une hypothèse pouvant expliquer une attaque russe.
Incertains de leur capacité de résistance à la contre-offensive ukrainienne, les Russes veulent saboter le potentiel énergétique ukrainien avant d’évacuer les territoires. Politique de « terre brûlée » appliquée en 2014, lorsque, après avoir aidé les milices du Donbass à résister à l’armée ukrainienne, ils avaient déménagé le matériel des usines avant de se retirer.

L’hypothèse pouvant expliquer une attaque ukrainienne s’inscrit en miroir inversé des intérêts russes.

Les territoires annexés par la Russie pourraient être privés d’eau et d’électricité et ainsi fixer l’attention de la Russie sur la résolution de ces problèmes, lui aliéner le soutien des populations et la mettre en difficulté pendant l’offensive en préparation. La coupure des approvisionnements en eau et électricité de la Crimée avait déjà été utilisée entre 2014 et 2022. Enfin, dans les champs politique et médiatique, cette action détériore encore plus l’image de la Russie auprès de la communauté internationale notamment de l’OTAN, et de l’Union européenne, etc., qui dénoncent cet acte qui « démontre une fois de plus la brutalité de la guerre menée par la Russie[1] ». Cette hypothèse s’inscrirait dans la ligne d’action psychologique préparatoire à l’offensive. Ligne d’action qui semble se dérouler depuis quelques semaines, notamment par les actions commandos sur le territoire russe lui-même.

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[1] Jens Stoltenberg sur Twitter : ‘The destruction of the Kakhovka dam today puts thousands of civilians at risk and causes severe environmental damage. This is an outrageous act, which demonstrates once again the brutality of #Russia’s war in #Ukraine”. (@jensstoltenberg)

Consolidating Germany’s Russia Policy

SWP - Tue, 06/06/2023 - 16:00

The “Zeitenwende” in international politics implies a need to improve strategic think­ing and better prepare for future challenges. Germany is already doing so by drafting strategic documents on national security and relations with China. With respect to Russia, a similar approach suggests itself. First, because Russia’s aggression against Ukraine has significantly worsened the situation in Europe and beyond for the fore­seeable future. Second, because the conception of a Russia policy based on the prin­ciples declared since 2022 offers an opportunity to correct previous mistakes and transform measures that have emerged from a crisis situation into long-term policy.

Toward a hydrogen import strategy for Germany and the EU

SWP - Tue, 06/06/2023 - 14:10
Priorities, countries, and multilateral frameworks

The Paris Agreement and the Sustainable Development Goals: evolving connections

There is growing evidence that climate action necessitates a transition that addresses all dimensions of sustainability. Similarly, the 17 Sustainable Development Goals (SDGs) of the 2030 Agenda cannot be successfully implemented without strong action on climate change. The NDC-SDG Connections tool, developed jointly by SEI and the German Institute of Development and Sustainability (IDOS), shows how activities in countries’ Nationally Determined Contributions (NDCs) connect to all 17 SDGs. NDC-SDG Connections allows users to explore how NDC activities (i.e. statements identifying a strand of future activity, conditional or unconditional on financial support) connect to the ambitions of the 17 SDGs and their 169 targets, both globally and for individual countries and country groupings. It reveals how NDCs directly contribute to the SDGs and that they are essentially both climate action plans and sustainable development strategies at the same time. This policy brief, which builds on updated data from NDC-SDG Connections, presents a comparative analysis of how NDCs have developed over time with regards to the 2030 Agenda. It concludes with policy recommendations.

The Paris Agreement and the Sustainable Development Goals: evolving connections

There is growing evidence that climate action necessitates a transition that addresses all dimensions of sustainability. Similarly, the 17 Sustainable Development Goals (SDGs) of the 2030 Agenda cannot be successfully implemented without strong action on climate change. The NDC-SDG Connections tool, developed jointly by SEI and the German Institute of Development and Sustainability (IDOS), shows how activities in countries’ Nationally Determined Contributions (NDCs) connect to all 17 SDGs. NDC-SDG Connections allows users to explore how NDC activities (i.e. statements identifying a strand of future activity, conditional or unconditional on financial support) connect to the ambitions of the 17 SDGs and their 169 targets, both globally and for individual countries and country groupings. It reveals how NDCs directly contribute to the SDGs and that they are essentially both climate action plans and sustainable development strategies at the same time. This policy brief, which builds on updated data from NDC-SDG Connections, presents a comparative analysis of how NDCs have developed over time with regards to the 2030 Agenda. It concludes with policy recommendations.

The Paris Agreement and the Sustainable Development Goals: evolving connections

There is growing evidence that climate action necessitates a transition that addresses all dimensions of sustainability. Similarly, the 17 Sustainable Development Goals (SDGs) of the 2030 Agenda cannot be successfully implemented without strong action on climate change. The NDC-SDG Connections tool, developed jointly by SEI and the German Institute of Development and Sustainability (IDOS), shows how activities in countries’ Nationally Determined Contributions (NDCs) connect to all 17 SDGs. NDC-SDG Connections allows users to explore how NDC activities (i.e. statements identifying a strand of future activity, conditional or unconditional on financial support) connect to the ambitions of the 17 SDGs and their 169 targets, both globally and for individual countries and country groupings. It reveals how NDCs directly contribute to the SDGs and that they are essentially both climate action plans and sustainable development strategies at the same time. This policy brief, which builds on updated data from NDC-SDG Connections, presents a comparative analysis of how NDCs have developed over time with regards to the 2030 Agenda. It concludes with policy recommendations.

Lokal verankerte Zivile Konfliktbearbeitung zwischen Partnerschaft und Machtungleichgewicht

In diesem Open-Access-Buch werden Prozesse und Dynamiken der Zusammenarbeit zwischen verschiedenen Akteur*innen in Projekten des zivilen Friedensdienstes in Kenia, Sierra Leone und Liberia betrachtet. Das durch lokale und internationale Akteur*innen gemeinsame Bearbeiten von Konflikten und Herausforderungen der Friedenskonsolidierung hat in der deutschen Friedensarbeit eine lange Tradition und wird in einer globalisierten Welt immer wichtiger. Deswegen geht das Buch der sowohl für die Wissenschaft als auch für die Friedenspraxis relevanten Frage nach, inwiefern im Kontext der Zivilen Konfliktbearbeitung eine gleichberechtige Partnerschaft vorliegen kann. Indem sich die Arbeit auf die Chancen und Herausforderungen der Zusammenarbeit konzentriert, gelingt es, den Blick auf die alltäglichen Aktivitäten zu legen, die eigentlichen Prozesse und Reibungspunkte der Friedensarbeit zu analysieren und einen wertvollen Beitrag zur kritischen Friedensforschung und der Diskussion um Hybridität und Friction zu leisten.

Lokal verankerte Zivile Konfliktbearbeitung zwischen Partnerschaft und Machtungleichgewicht

In diesem Open-Access-Buch werden Prozesse und Dynamiken der Zusammenarbeit zwischen verschiedenen Akteur*innen in Projekten des zivilen Friedensdienstes in Kenia, Sierra Leone und Liberia betrachtet. Das durch lokale und internationale Akteur*innen gemeinsame Bearbeiten von Konflikten und Herausforderungen der Friedenskonsolidierung hat in der deutschen Friedensarbeit eine lange Tradition und wird in einer globalisierten Welt immer wichtiger. Deswegen geht das Buch der sowohl für die Wissenschaft als auch für die Friedenspraxis relevanten Frage nach, inwiefern im Kontext der Zivilen Konfliktbearbeitung eine gleichberechtige Partnerschaft vorliegen kann. Indem sich die Arbeit auf die Chancen und Herausforderungen der Zusammenarbeit konzentriert, gelingt es, den Blick auf die alltäglichen Aktivitäten zu legen, die eigentlichen Prozesse und Reibungspunkte der Friedensarbeit zu analysieren und einen wertvollen Beitrag zur kritischen Friedensforschung und der Diskussion um Hybridität und Friction zu leisten.

Lokal verankerte Zivile Konfliktbearbeitung zwischen Partnerschaft und Machtungleichgewicht

In diesem Open-Access-Buch werden Prozesse und Dynamiken der Zusammenarbeit zwischen verschiedenen Akteur*innen in Projekten des zivilen Friedensdienstes in Kenia, Sierra Leone und Liberia betrachtet. Das durch lokale und internationale Akteur*innen gemeinsame Bearbeiten von Konflikten und Herausforderungen der Friedenskonsolidierung hat in der deutschen Friedensarbeit eine lange Tradition und wird in einer globalisierten Welt immer wichtiger. Deswegen geht das Buch der sowohl für die Wissenschaft als auch für die Friedenspraxis relevanten Frage nach, inwiefern im Kontext der Zivilen Konfliktbearbeitung eine gleichberechtige Partnerschaft vorliegen kann. Indem sich die Arbeit auf die Chancen und Herausforderungen der Zusammenarbeit konzentriert, gelingt es, den Blick auf die alltäglichen Aktivitäten zu legen, die eigentlichen Prozesse und Reibungspunkte der Friedensarbeit zu analysieren und einen wertvollen Beitrag zur kritischen Friedensforschung und der Diskussion um Hybridität und Friction zu leisten.

Beides gemeinsam anpacken!

Bonn, 5. Juni 2023. Seit 50 Jahren wird am 5. Juni unter der Federführung des Umweltprogramms der Vereinten Nationen (UNEP) der Weltumwelttag begangen, um die existenzielle und unersetzliche Rolle der Umwelt für die menschliche Entwicklung zu feiern. Schon der erste Weltumwelttag fand 1973 unter dem Motto „Nur eine Erde“ statt. Dessen ungeachtet hat sich ihr Schutz seither als eine der größten Herausforderungen für die Vereinten Nationen und ihre Mitgliedsstaaten erwiesen.

Während sich das Umweltvölkerrecht dynamisch entwickelt hat und es mittlerweile eine Vielzahl multilateraler Umweltabkommen gibt, um die internationalen Zusammenarbeit zu verschiedensten Umweltproblemen zu regeln, ist der ökologische Fußabdruck der Menschheit weiter gewachsen. Er übersteigt die Tragfähigkeit der „einen Erde“ bei weitem und ist heute fast doppelt so groß wie ihre Biokapazität. Entsprechend hat sich der Zustand der globalen Umwelt weiter verschlechtert. Unzählige Pflanzen- und Tierarten sind bereits ausgestorben und viele weitere sind vom Aussterben bedroht. Parallel dazu ist die globale Durchschnittstemperatur um 1,2 °C gestiegen, was weltweit verheerende Folgen hat. Die sozioökonomische Entwicklung konterkariert vielerorts Fortschritte in der Umweltpolitik und deren Umsetzung. Aus allen einschlägigen wissenschaftlichen Bestandsaufnehmen lässt sich unterdessen eindeutig ablesen, dass sich sozioökonomische Entwicklungsziele nur dann innerhalb der planetaren Grenzen erreichen lassen, wenn dies im Rahmen rascher und transformativer Veränderungsprozesse geschieht.

Globale Umweltabkommen haben in vielen Fällen tatsächlich positive Veränderungen bewirkt, insgesamt bleiben sie jedoch weit hinter dem zurück, was erforderlich wäre. Um ihre jeweilige komparative Stärke sowie ihre kohärente und wirksame Umsetzung zu fördern, müssen sie besser miteinander verzahnt werden. Drei Punkte gilt es dabei besonders zu beachten: Erstens gehen viele Umweltprobleme auf die gleichen sozioökonomischen Treiber zurück. Zweitens unterläuft nicht nur die sozioökonomische Entwicklung die Umweltpolitik, sondern können auch widerläufige Umweltschutzmaßnahmen zu Umweltschäden führen. So können beispielsweise großflächige Monokulturen zur Herstellung von Biokraftstoffen oder die Aufforstung mit nicht-einheimischen Arten zur Bindung von Treibhausgasemissionen zu einem Verlust an biologischer Vielfalt führen. Umgekehrt können langfristige Maßnahmen zur Wiederherstellung von Ökosystemen das Potenzial für eine schnellere Kohlenstoffbindung einschränken. Drittens kann die Vernachlässigung einzelner Umweltveränderungen Dominoeffekte in anderen Bereichen auslösen. In dieser Hinsicht ist die globale Aufheizung der Atmosphäre die größte vom Menschen verursachte Umweltbedrohung: Ihre überall spürbaren Auswirkungen haben weitreichende Folgen für alles Leben an Land und im Wasser.

Die Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (United Nations Framework Convention on Climate Change, UNFCCC) wurde 1992 auf dem “Erdgipfel“ von Rio verabschiedet, um diesem „gefährlichen Klimawandel“ Rechnung zu tragen. Seither haben zahlreiche halbjährliche Verhandlungsrunden stattgefunden; seit 2015 dienen sie insbesondere der Umsetzung des Pariser Abkommens. Aktuell tagen die sogenannten Nebenorgane (Subsidiary Bodies oder kurz „SBs“) für zwei Wochen auf der Bonner Klimakonferenz. Sie bereiten Entscheidungen vor, die auf der jährlichen UN-Klimakonferenz (besser bekannt als COP) politisch beschlossen werden sollen.

Im Mittelpunkt der diesjährigen SBs steht eine umfassende Bestandsaufnahme, der „Global Stocktake“, wodurch die Fortschritte bei der Umsetzung des Pariser Abkommens ermittelt werden sollen. Darüber hinaus werden die weitergefassten Auswirkungen der Klimaschutzmaßnahmen sowie die bereits durch den Klimawandel entstandenen Verluste und Schäden untersucht. Die Ergebnisse werden kaum überraschen: Die Klimaschutzmaßnahmen sind nach wie vor höchst unzureichend, sowohl was die Minderung der Treibhausgasemissionen als auch die Anpassung an die Auswirkungen des Klimawandels betrifft. Dies gefährdet alle nachhaltigen Entwicklungsziele (die SDGs) und unsere Umwelt, so wie wir sie kennen. Vermehrte Waldbrände, der Verlust der Artenvielfalt an Land, in Gewässern und Meeren infolge des Temperaturanstiegs, Wasserknappheit und Landdegradation infolge von Dürren, versauerte Ozeane, versalzte Küstengebiete, schmelzende Gletscher und auftauende Permafrostböden und sogar veränderte Meeresströmungen prägen die neue Realität.

Immerhin wird den Auswirkungen von Schutzmaßnahmen jetzt im Rahmen der globalen Bestandsaufnahme mehr Aufmerksamkeit geschenkt. Dennoch konzentrieren sich die Debatten bisher weitgehend auf die soziale Dimension mit dem Ziel, einen gerechten Übergang („just transition“) zu ermöglichen, während die Auswirkungen auf die Umwelt nur begrenzt Berücksichtigung finden. Dies wäre jedoch von großer Bedeutung, um die enge Verbindung zwischen klimapolitischen Maßnahmen und anderen Umweltbelangen zu verdeutlichen und sicherzustellen, dass Synergien maximiert und Zielkonflikte vermieden oder zumindest begrenzt werden können. Hierfür wäre eine stärkere und systematischere Verzahnung mit der Vielzahl einschlägiger multilateraler Umweltabkommen (MEAs) entscheidend. Eine bessere Verknüpfung der Vorgaben der UNFCCC und des Übereinkommens über die biologische Vielfalt ist angesichts der Bedeutung „naturbasierter Lösungen“ in beiden Politikfeldern ein naheliegender Ansatzpunkt. Doch dabei darf es nicht bleiben. Es müssen auch Synergien und Zielkonflikte zwischen weiteren Konventionen und multilateralen Umweltabkommen identifiziert und angegangen werden, angefangen bei der UN-Konvention zur Bekämpfung der Wüstenbildung bis hin zu den Vertragswerken, die sich mit einem breiten Spektrum an gefährlichen Abfällen, Schadstoffen und Chemikalien befassen, wie zum Beispiel das Montrealer Protokoll über Stoffe, die zum Abbau der Ozonschicht führen, oder den spezialisierten Abkommen zum Schutz bestimmter Arten- und Ökosysteme, wie etwa die Ramsar-Konvention über Feuchtgebiete.

Dem UNEP und seinem zentralen Gremium, der UN-Umweltversammlung, könnte bei der Koordinierung solcher Bemühungen eine wichtige Rolle zukommen. Nicht nur ist es die organisatorische Heimat der meisten in Frage kommenden MEAs. Ein solches Vorgehen würde auch das ursprüngliche Mandat bekräftigen, das dem UNEP vor fünf Jahrzehnten von der UN-Generalversammlung erteilt wurde und das nicht zuletzt der Idee des Weltumwelttages zugrunde liegt. Die Tatsache, dass die aktuellen Klimaverhandlungen mit dem 50. Weltumwelttag zusammenfallen, sollte daher eine deutliche Erinnerung daran sein, dass Klima- und Umweltschutzmaßnahmen tatsächlich zwei Seiten derselben Medaille sind. Die fundamentalen Zusammenhänge zwischen Klimawandel und Umwelt im weiteren Sinne müssen besser gewürdigt und angegangen werden. Letztlich ist der Übergang zu kohlenstoffarmen und klimaresilienten Gesellschaften ohne den Schutz der ökologischen Grundlagen, auf denen diese Gesellschaften gedeihen und sich weiter entwickeln können, nicht machbar. Wirtschaftliche Interessen und Entwicklungsbestrebungen dürfen deshalb nicht länger als Vorwand für halbgare Klimamaßnahmen dienen. Im Gegenteil sind ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen das Gebot der Stunde für eine gerechte und nachhaltige Entwicklung. Klimapolitik und Umweltpolitik müssen gemeinsam angepackt werden.

Beides gemeinsam anpacken!

Bonn, 5. Juni 2023. Seit 50 Jahren wird am 5. Juni unter der Federführung des Umweltprogramms der Vereinten Nationen (UNEP) der Weltumwelttag begangen, um die existenzielle und unersetzliche Rolle der Umwelt für die menschliche Entwicklung zu feiern. Schon der erste Weltumwelttag fand 1973 unter dem Motto „Nur eine Erde“ statt. Dessen ungeachtet hat sich ihr Schutz seither als eine der größten Herausforderungen für die Vereinten Nationen und ihre Mitgliedsstaaten erwiesen.

Während sich das Umweltvölkerrecht dynamisch entwickelt hat und es mittlerweile eine Vielzahl multilateraler Umweltabkommen gibt, um die internationalen Zusammenarbeit zu verschiedensten Umweltproblemen zu regeln, ist der ökologische Fußabdruck der Menschheit weiter gewachsen. Er übersteigt die Tragfähigkeit der „einen Erde“ bei weitem und ist heute fast doppelt so groß wie ihre Biokapazität. Entsprechend hat sich der Zustand der globalen Umwelt weiter verschlechtert. Unzählige Pflanzen- und Tierarten sind bereits ausgestorben und viele weitere sind vom Aussterben bedroht. Parallel dazu ist die globale Durchschnittstemperatur um 1,2 °C gestiegen, was weltweit verheerende Folgen hat. Die sozioökonomische Entwicklung konterkariert vielerorts Fortschritte in der Umweltpolitik und deren Umsetzung. Aus allen einschlägigen wissenschaftlichen Bestandsaufnehmen lässt sich unterdessen eindeutig ablesen, dass sich sozioökonomische Entwicklungsziele nur dann innerhalb der planetaren Grenzen erreichen lassen, wenn dies im Rahmen rascher und transformativer Veränderungsprozesse geschieht.

Globale Umweltabkommen haben in vielen Fällen tatsächlich positive Veränderungen bewirkt, insgesamt bleiben sie jedoch weit hinter dem zurück, was erforderlich wäre. Um ihre jeweilige komparative Stärke sowie ihre kohärente und wirksame Umsetzung zu fördern, müssen sie besser miteinander verzahnt werden. Drei Punkte gilt es dabei besonders zu beachten: Erstens gehen viele Umweltprobleme auf die gleichen sozioökonomischen Treiber zurück. Zweitens unterläuft nicht nur die sozioökonomische Entwicklung die Umweltpolitik, sondern können auch widerläufige Umweltschutzmaßnahmen zu Umweltschäden führen. So können beispielsweise großflächige Monokulturen zur Herstellung von Biokraftstoffen oder die Aufforstung mit nicht-einheimischen Arten zur Bindung von Treibhausgasemissionen zu einem Verlust an biologischer Vielfalt führen. Umgekehrt können langfristige Maßnahmen zur Wiederherstellung von Ökosystemen das Potenzial für eine schnellere Kohlenstoffbindung einschränken. Drittens kann die Vernachlässigung einzelner Umweltveränderungen Dominoeffekte in anderen Bereichen auslösen. In dieser Hinsicht ist die globale Aufheizung der Atmosphäre die größte vom Menschen verursachte Umweltbedrohung: Ihre überall spürbaren Auswirkungen haben weitreichende Folgen für alles Leben an Land und im Wasser.

Die Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (United Nations Framework Convention on Climate Change, UNFCCC) wurde 1992 auf dem “Erdgipfel“ von Rio verabschiedet, um diesem „gefährlichen Klimawandel“ Rechnung zu tragen. Seither haben zahlreiche halbjährliche Verhandlungsrunden stattgefunden; seit 2015 dienen sie insbesondere der Umsetzung des Pariser Abkommens. Aktuell tagen die sogenannten Nebenorgane (Subsidiary Bodies oder kurz „SBs“) für zwei Wochen auf der Bonner Klimakonferenz. Sie bereiten Entscheidungen vor, die auf der jährlichen UN-Klimakonferenz (besser bekannt als COP) politisch beschlossen werden sollen.

Im Mittelpunkt der diesjährigen SBs steht eine umfassende Bestandsaufnahme, der „Global Stocktake“, wodurch die Fortschritte bei der Umsetzung des Pariser Abkommens ermittelt werden sollen. Darüber hinaus werden die weitergefassten Auswirkungen der Klimaschutzmaßnahmen sowie die bereits durch den Klimawandel entstandenen Verluste und Schäden untersucht. Die Ergebnisse werden kaum überraschen: Die Klimaschutzmaßnahmen sind nach wie vor höchst unzureichend, sowohl was die Minderung der Treibhausgasemissionen als auch die Anpassung an die Auswirkungen des Klimawandels betrifft. Dies gefährdet alle nachhaltigen Entwicklungsziele (die SDGs) und unsere Umwelt, so wie wir sie kennen. Vermehrte Waldbrände, der Verlust der Artenvielfalt an Land, in Gewässern und Meeren infolge des Temperaturanstiegs, Wasserknappheit und Landdegradation infolge von Dürren, versauerte Ozeane, versalzte Küstengebiete, schmelzende Gletscher und auftauende Permafrostböden und sogar veränderte Meeresströmungen prägen die neue Realität.

Immerhin wird den Auswirkungen von Schutzmaßnahmen jetzt im Rahmen der globalen Bestandsaufnahme mehr Aufmerksamkeit geschenkt. Dennoch konzentrieren sich die Debatten bisher weitgehend auf die soziale Dimension mit dem Ziel, einen gerechten Übergang („just transition“) zu ermöglichen, während die Auswirkungen auf die Umwelt nur begrenzt Berücksichtigung finden. Dies wäre jedoch von großer Bedeutung, um die enge Verbindung zwischen klimapolitischen Maßnahmen und anderen Umweltbelangen zu verdeutlichen und sicherzustellen, dass Synergien maximiert und Zielkonflikte vermieden oder zumindest begrenzt werden können. Hierfür wäre eine stärkere und systematischere Verzahnung mit der Vielzahl einschlägiger multilateraler Umweltabkommen (MEAs) entscheidend. Eine bessere Verknüpfung der Vorgaben der UNFCCC und des Übereinkommens über die biologische Vielfalt ist angesichts der Bedeutung „naturbasierter Lösungen“ in beiden Politikfeldern ein naheliegender Ansatzpunkt. Doch dabei darf es nicht bleiben. Es müssen auch Synergien und Zielkonflikte zwischen weiteren Konventionen und multilateralen Umweltabkommen identifiziert und angegangen werden, angefangen bei der UN-Konvention zur Bekämpfung der Wüstenbildung bis hin zu den Vertragswerken, die sich mit einem breiten Spektrum an gefährlichen Abfällen, Schadstoffen und Chemikalien befassen, wie zum Beispiel das Montrealer Protokoll über Stoffe, die zum Abbau der Ozonschicht führen, oder den spezialisierten Abkommen zum Schutz bestimmter Arten- und Ökosysteme, wie etwa die Ramsar-Konvention über Feuchtgebiete.

Dem UNEP und seinem zentralen Gremium, der UN-Umweltversammlung, könnte bei der Koordinierung solcher Bemühungen eine wichtige Rolle zukommen. Nicht nur ist es die organisatorische Heimat der meisten in Frage kommenden MEAs. Ein solches Vorgehen würde auch das ursprüngliche Mandat bekräftigen, das dem UNEP vor fünf Jahrzehnten von der UN-Generalversammlung erteilt wurde und das nicht zuletzt der Idee des Weltumwelttages zugrunde liegt. Die Tatsache, dass die aktuellen Klimaverhandlungen mit dem 50. Weltumwelttag zusammenfallen, sollte daher eine deutliche Erinnerung daran sein, dass Klima- und Umweltschutzmaßnahmen tatsächlich zwei Seiten derselben Medaille sind. Die fundamentalen Zusammenhänge zwischen Klimawandel und Umwelt im weiteren Sinne müssen besser gewürdigt und angegangen werden. Letztlich ist der Übergang zu kohlenstoffarmen und klimaresilienten Gesellschaften ohne den Schutz der ökologischen Grundlagen, auf denen diese Gesellschaften gedeihen und sich weiter entwickeln können, nicht machbar. Wirtschaftliche Interessen und Entwicklungsbestrebungen dürfen deshalb nicht länger als Vorwand für halbgare Klimamaßnahmen dienen. Im Gegenteil sind ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen das Gebot der Stunde für eine gerechte und nachhaltige Entwicklung. Klimapolitik und Umweltpolitik müssen gemeinsam angepackt werden.

Beides gemeinsam anpacken!

Bonn, 5. Juni 2023. Seit 50 Jahren wird am 5. Juni unter der Federführung des Umweltprogramms der Vereinten Nationen (UNEP) der Weltumwelttag begangen, um die existenzielle und unersetzliche Rolle der Umwelt für die menschliche Entwicklung zu feiern. Schon der erste Weltumwelttag fand 1973 unter dem Motto „Nur eine Erde“ statt. Dessen ungeachtet hat sich ihr Schutz seither als eine der größten Herausforderungen für die Vereinten Nationen und ihre Mitgliedsstaaten erwiesen.

Während sich das Umweltvölkerrecht dynamisch entwickelt hat und es mittlerweile eine Vielzahl multilateraler Umweltabkommen gibt, um die internationalen Zusammenarbeit zu verschiedensten Umweltproblemen zu regeln, ist der ökologische Fußabdruck der Menschheit weiter gewachsen. Er übersteigt die Tragfähigkeit der „einen Erde“ bei weitem und ist heute fast doppelt so groß wie ihre Biokapazität. Entsprechend hat sich der Zustand der globalen Umwelt weiter verschlechtert. Unzählige Pflanzen- und Tierarten sind bereits ausgestorben und viele weitere sind vom Aussterben bedroht. Parallel dazu ist die globale Durchschnittstemperatur um 1,2 °C gestiegen, was weltweit verheerende Folgen hat. Die sozioökonomische Entwicklung konterkariert vielerorts Fortschritte in der Umweltpolitik und deren Umsetzung. Aus allen einschlägigen wissenschaftlichen Bestandsaufnehmen lässt sich unterdessen eindeutig ablesen, dass sich sozioökonomische Entwicklungsziele nur dann innerhalb der planetaren Grenzen erreichen lassen, wenn dies im Rahmen rascher und transformativer Veränderungsprozesse geschieht.

Globale Umweltabkommen haben in vielen Fällen tatsächlich positive Veränderungen bewirkt, insgesamt bleiben sie jedoch weit hinter dem zurück, was erforderlich wäre. Um ihre jeweilige komparative Stärke sowie ihre kohärente und wirksame Umsetzung zu fördern, müssen sie besser miteinander verzahnt werden. Drei Punkte gilt es dabei besonders zu beachten: Erstens gehen viele Umweltprobleme auf die gleichen sozioökonomischen Treiber zurück. Zweitens unterläuft nicht nur die sozioökonomische Entwicklung die Umweltpolitik, sondern können auch widerläufige Umweltschutzmaßnahmen zu Umweltschäden führen. So können beispielsweise großflächige Monokulturen zur Herstellung von Biokraftstoffen oder die Aufforstung mit nicht-einheimischen Arten zur Bindung von Treibhausgasemissionen zu einem Verlust an biologischer Vielfalt führen. Umgekehrt können langfristige Maßnahmen zur Wiederherstellung von Ökosystemen das Potenzial für eine schnellere Kohlenstoffbindung einschränken. Drittens kann die Vernachlässigung einzelner Umweltveränderungen Dominoeffekte in anderen Bereichen auslösen. In dieser Hinsicht ist die globale Aufheizung der Atmosphäre die größte vom Menschen verursachte Umweltbedrohung: Ihre überall spürbaren Auswirkungen haben weitreichende Folgen für alles Leben an Land und im Wasser.

Die Klimarahmenkonvention der Vereinten Nationen (United Nations Framework Convention on Climate Change, UNFCCC) wurde 1992 auf dem “Erdgipfel“ von Rio verabschiedet, um diesem „gefährlichen Klimawandel“ Rechnung zu tragen. Seither haben zahlreiche halbjährliche Verhandlungsrunden stattgefunden; seit 2015 dienen sie insbesondere der Umsetzung des Pariser Abkommens. Aktuell tagen die sogenannten Nebenorgane (Subsidiary Bodies oder kurz „SBs“) für zwei Wochen auf der Bonner Klimakonferenz. Sie bereiten Entscheidungen vor, die auf der jährlichen UN-Klimakonferenz (besser bekannt als COP) politisch beschlossen werden sollen.

Im Mittelpunkt der diesjährigen SBs steht eine umfassende Bestandsaufnahme, der „Global Stocktake“, wodurch die Fortschritte bei der Umsetzung des Pariser Abkommens ermittelt werden sollen. Darüber hinaus werden die weitergefassten Auswirkungen der Klimaschutzmaßnahmen sowie die bereits durch den Klimawandel entstandenen Verluste und Schäden untersucht. Die Ergebnisse werden kaum überraschen: Die Klimaschutzmaßnahmen sind nach wie vor höchst unzureichend, sowohl was die Minderung der Treibhausgasemissionen als auch die Anpassung an die Auswirkungen des Klimawandels betrifft. Dies gefährdet alle nachhaltigen Entwicklungsziele (die SDGs) und unsere Umwelt, so wie wir sie kennen. Vermehrte Waldbrände, der Verlust der Artenvielfalt an Land, in Gewässern und Meeren infolge des Temperaturanstiegs, Wasserknappheit und Landdegradation infolge von Dürren, versauerte Ozeane, versalzte Küstengebiete, schmelzende Gletscher und auftauende Permafrostböden und sogar veränderte Meeresströmungen prägen die neue Realität.

Immerhin wird den Auswirkungen von Schutzmaßnahmen jetzt im Rahmen der globalen Bestandsaufnahme mehr Aufmerksamkeit geschenkt. Dennoch konzentrieren sich die Debatten bisher weitgehend auf die soziale Dimension mit dem Ziel, einen gerechten Übergang („just transition“) zu ermöglichen, während die Auswirkungen auf die Umwelt nur begrenzt Berücksichtigung finden. Dies wäre jedoch von großer Bedeutung, um die enge Verbindung zwischen klimapolitischen Maßnahmen und anderen Umweltbelangen zu verdeutlichen und sicherzustellen, dass Synergien maximiert und Zielkonflikte vermieden oder zumindest begrenzt werden können. Hierfür wäre eine stärkere und systematischere Verzahnung mit der Vielzahl einschlägiger multilateraler Umweltabkommen (MEAs) entscheidend. Eine bessere Verknüpfung der Vorgaben der UNFCCC und des Übereinkommens über die biologische Vielfalt ist angesichts der Bedeutung „naturbasierter Lösungen“ in beiden Politikfeldern ein naheliegender Ansatzpunkt. Doch dabei darf es nicht bleiben. Es müssen auch Synergien und Zielkonflikte zwischen weiteren Konventionen und multilateralen Umweltabkommen identifiziert und angegangen werden, angefangen bei der UN-Konvention zur Bekämpfung der Wüstenbildung bis hin zu den Vertragswerken, die sich mit einem breiten Spektrum an gefährlichen Abfällen, Schadstoffen und Chemikalien befassen, wie zum Beispiel das Montrealer Protokoll über Stoffe, die zum Abbau der Ozonschicht führen, oder den spezialisierten Abkommen zum Schutz bestimmter Arten- und Ökosysteme, wie etwa die Ramsar-Konvention über Feuchtgebiete.

Dem UNEP und seinem zentralen Gremium, der UN-Umweltversammlung, könnte bei der Koordinierung solcher Bemühungen eine wichtige Rolle zukommen. Nicht nur ist es die organisatorische Heimat der meisten in Frage kommenden MEAs. Ein solches Vorgehen würde auch das ursprüngliche Mandat bekräftigen, das dem UNEP vor fünf Jahrzehnten von der UN-Generalversammlung erteilt wurde und das nicht zuletzt der Idee des Weltumwelttages zugrunde liegt. Die Tatsache, dass die aktuellen Klimaverhandlungen mit dem 50. Weltumwelttag zusammenfallen, sollte daher eine deutliche Erinnerung daran sein, dass Klima- und Umweltschutzmaßnahmen tatsächlich zwei Seiten derselben Medaille sind. Die fundamentalen Zusammenhänge zwischen Klimawandel und Umwelt im weiteren Sinne müssen besser gewürdigt und angegangen werden. Letztlich ist der Übergang zu kohlenstoffarmen und klimaresilienten Gesellschaften ohne den Schutz der ökologischen Grundlagen, auf denen diese Gesellschaften gedeihen und sich weiter entwickeln können, nicht machbar. Wirtschaftliche Interessen und Entwicklungsbestrebungen dürfen deshalb nicht länger als Vorwand für halbgare Klimamaßnahmen dienen. Im Gegenteil sind ehrgeizige Klimaschutzmaßnahmen das Gebot der Stunde für eine gerechte und nachhaltige Entwicklung. Klimapolitik und Umweltpolitik müssen gemeinsam angepackt werden.

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