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Diplomacy & Crisis News

Will the End of the Iran Deal Mark the Beginning of an Iran Strategy?

Foreign Policy - Fri, 11/05/2018 - 17:34
The time is ripe for a U.S. approach based on pushing Iranian domestic politics into crisis.

For Rohingya refugees, imminent surge in births is traumatic legacy of sexual violence - special report

UN News Centre - Fri, 11/05/2018 - 16:55
Late last year, as violent repression in Myanmar sent Rohingyas fleeing to safety in Bangladesh, women from the mainly Muslim minority were subjected to what a United Nations official called “a frenzy of sexual violence”.

Mille idées pour militer

Le Monde Diplomatique - Fri, 11/05/2018 - 16:24
Les fièvres électorales, ce printemps en France, ont estompé la célébration du vingtième anniversaire des événements de mai 1968. Les commentaires autour du livre d'Hamon et Rotman, Génération , et de la série télévisée qui en a été tirée, ont tenu lieu, semble-t-il, d'hommage officiel. Et unique. Mais ces (...) / , , - 1988/07

As Iraq Goes to the Polls, the U.S. and Iran Hang Back

Foreign Policy - Fri, 11/05/2018 - 15:00
For the first time since the military defeat of the Islamic State, Iraqis are voting for a new parliament. And Tehran and Washington aren’t getting in the way.

The Israelis Who Prevented a War With Iran

Foreign Policy - Fri, 11/05/2018 - 14:45
Netanyahu came close to ordering airstrikes in 2010 — but was thwarted by his own security chiefs.

Trump Is Leading From Behind, If He’s Leading at All

Foreign Policy - Fri, 11/05/2018 - 14:10
The United States has outsourced its foreign policy to regional allies. In South Korea, it might lead to peace — in Israel, it’s more likely leading to war.

An Arms Deal Won’t Heal What Ails Muhammadu Buhari

Foreign Policy - Fri, 11/05/2018 - 13:04
Nigeria’s president is trying to prove he can get from Washington what his predecessor couldn’t, but it might not be enough to get him re-elected.

Les problèmes agraires de la R.A.U.

Politique étrangère (IFRI) - Fri, 11/05/2018 - 09:00

Créée en 1936, Politique étrangère est la plus ancienne revue française dans le domaine des relations internationales. Chaque vendredi, découvrez « l’archive de la semaine ».

* * *

L’article « Les problèmes agraires de la R.A.U. » a été écrit par René Dumont, professeur à l’Institut national agronomique – et invité par le ministre égyptien de l’agriculture à fournir un rapport sur les problèmes agraires de la R.A.U. –, et publié dans le numéro 2-3/1968 de Politique étrangère.

I. – PROBLÈMES GÉNÉRAUX : NÉCESSITÉ D’UN CONTRÔLE DES NAISSANCES EFFICACE

Les problèmes agraires de la République Arabe Unie présentent une situation unique au monde, d’abord pour leurs conditions naturelles de vallée et delta irrigués, sous climat désertique ou quasi désertique. Il en est découlé un héritage historique, (donc économique, social et politique) également tout à fait original. L’Égypte ancienne a réalisé, très tôt dans l’histoire, juste après l’Asie mineure, une agriculture déjà intensive.

Elle y a ajouté un État centralisé de grande ampleur, qui était absolument nécessaire pour obtenir une meilleure utilisation de l’eau. Elle a établi, la première dans l’histoire, une administration respectée, la plus efficace à l’époque.

Si la période coloniale de la fin du XIXe siècle réalise une certaine expansion économique, qui se poursuit en gros jusqu’à la Première Guerre mondiale, celle-ci fut trop exclusivement orientée vers le coton longue fibre, surtout destiné à l’industrie britannique. Certes le coton apportait une certaine richesse, mais celle-ci fut fort mal répartie socialement et trop peu utilisée pour les investissements industriels et l’équipement général du pays.

De 1914 à 1952, on enregistre une phase de stagnation ; alors que les deux guerres, malgré les difficultés qu’elles entraînaient et en partie à cause de celles-ci, eussent pu devenir un facteur stimulant, incitant à l’industrialisation. Certaines études estiment que le produit national brut du pays, dans cette période, a tout juste suivi le mouvement de la population. Pour l’agriculture seule, il paraît certain que la production per capita a, dans cette période, sensiblement reculé. Pour le paysan pauvre, le petit fermier ou le métayer, et pour l’ouvrier agricole, la situation avait largement empiré dans cette période, du fait du prélèvement excessif de l’ensemble des propriétaires fonciers, et pas seulement des féodaux.

Depuis 1952, et plus nettement depuis 1956, le redressement économique a été fort important, malgré des contingences extérieures souvent difficiles. Mais tous les problèmes n’ont — évidemment — pas encore été résolus. Le développement industriel réalisé sous sa forme moderne, n’a pas pu créer un nombre d’emplois suffisant pour résorber le chômage urbain, et surtout pas le chômage déguisé des campagnes.

La production agricole, d’après le Bulletin économique de la Banque Nationale d’Égypte, aurait crû de 28 % entre 1950 et 1962, ce qui constitue une très jolie prouesse, étant donné le niveau des rendements de 1950 par feddan, déjà élevé, et du fait que l’extension des surfaces restait alors très réduite. Mais pendant le même temps, la population augmentait de presque un tiers : ce qui ne permettait pas, si ces données sont exactes, un accroissement des ressources alimentaires d’origine locale per capita. Cependant, l’arrivée à des conditions spéciales de blé américain, comme le trop bas prix du pain, ont favorisé, ces dernières années, l’augmentation de sa consommation. Aussi les importations de blé ont-elles environ quadruplé depuis 1955, constituant pour ce pays une très lourde charge, qui freine les achats d’équipement, et qui menace de s’aggraver dans l’avenir, année après année.

Au cours du premier Plan, on a estimé à 16,8 % en cinq ans, ou 3,3 % l’an, l’accroissement de la production agricole de la R.A.U. Il est possible que cette estimation soit un peu optimiste, compte tenu des difficultés que l’on rencontre en évaluant les productions d’autoconsommation, non commercialisées. Pendant cette période, les surfaces cultivées ont commencé à augmenter sensiblement, mais avec. les rendements modestes que donnent toujours les premières cultures. Compte tenu de ce facteur, il me paraît possible que l’accroissement des récoltes locales et de l’élevage n’ait pas très sensiblement dépassé celui de la population, s’il est vrai que ce dernier approche 3 % l’an. Spécialement grave nous apparaît l’accroissement insuffisant des principales ressources en protéines, telles que le lait, les fèves et les lentilles, la viande et le poisson. Un récent redressement de la production de viande n’intéresse pas les plus pauvres, du fait de son prix relativement élevé.

La République Arabe Unie se trouve engagée dans deux guerres. L’une, à moyen terme, en Palestine. L’autre, à long et très long terme, pour faire face à son explosion démographique. Si la R.A.U. gagnait la première guerre, mais au prix de sacrifices qui risqueraient de lui faire perdre la seconde, elle serait finalement battue. Un livre officieux des États-Unis (Al Mussawar, 11 janvier 1968) annonce déjà cette défaite. Pour l’éviter, il serait bon de ne pas aiguiller, par les privilèges qui leur sont accordés, tous les meilleurs cerveaux vers l’armée. Il est également indispensable de réserver les moyens de production agricole, en accordant la priorité aux usines d’engrais et au ciment destiné aux canaux d’irrigation, au réseau de drainage, aux bâtiments agricoles et d’usines, etc..

Dans dix ou douze années, quand l’extension des terres cultivées grâce au haut barrage d’Assouan se ralentira, l’augmentation annuelle des rendements par feddan deviendra plus difficile, du seul fait qu’ils seront plus élevés. Si l’on veut améliorer vite la nutrition, l’équipement, donc la balance des comptes, il serait prudent de réduire, dès avant 1980 au plus tard, l’accroissement annuel de population largement en dessous de 2 % par an. Dépasser ce chiffre serait tout à fait déraisonnable. […]

VI. ESSAI DE CONCLUSION

Le surpeuplement domine depuis longtemps l’économie agraire égyptienne, et oblige à l’obtention de rendements très élevés par feddan, à la répétition incessante des cultures, de préférence de court cycle. La R.A.U. doit désormais rechercher d’abord la production maxima par feddan. Ce qui l’empêchera d’obtenir la productivité la plus élevée du travail, lequel ne correspond nullement à la même combinaison des facteurs de production. Il est donc sage de limiter ce surpeuplement, car la course engagée avec la population sera de plus en plus difficile à suivre.

Objectif proposé n° 1 : moins et 2 % l’an de croît de la population avant 1980, moins de 1 % avant 1990, et une certaine stabilisation bien avant la fin du siècle.

Ces mesures ne dispensent nullement de l’objectif n° 2, qui est l’intensité maximale de production et qui sera recherchée :

— par une succession plus rapide de cultures, un meilleur respect du calendrier cultural, des binages plus fréquents, et surtout un arrosage mieux contrôlé (paiement de l’eau au volume utilisé) ;

— par une croissance rapide du secteur horticole (fruits en meilleure condition, légumes) et des fourrages très intensifs, de culture sarclée ; avec des vaches et chèvres hautement laitières ;

— par une utilisation toujours plus intense de fumure organique (aujourd’hui souvent gaspillée) et minérale, en mettant l’accent sur l’azote et le phosphate ;

— par des variétés de plantes cultivées plus productives, résistantes à la verse, aux insectes et aux maladies, de préférence à court cycle.

L’organisation coopérative et de crédit a permis les récents accroissements de production, mais risque vite de stagner, si elle figeait les rotations au schéma actuel. Il lui faut constamment innover, développer l’épargne individuelle et collective, et aussi pousser aux plantations et améliorations foncières permettant une meilleure maîtrise de l’eau. Le paiement des produits à la qualité encouragera cette dernière. A côté du coton et du riz, les fruits, les légumes et le tabac peuvent devenir des postes essentiels à l’exportation. La réduction des importations de produits animaux, et même de céréales, doit être aussi envisagée. Une éducation coopérative permettra de donner plus de pouvoir aux paysans, en luttant contre la bureaucratisation, excessive à ce jour, de l’agriculture de R.A.U.

La mise en valeur de nouvelles terres peut être réalisée avec comme objectif prioritaire l’accroissement de production. L’expérience d’Al Tahrir Sud souligne les difficultés de mise en valeur des sables, et incite à mobiliser d’abord toutes les autres terres. Elle met en garde contre la généralisation dogmatique des fermes d’État, qui ont déjà coûté assez cher à l’économie de la R. A. U. Un paysannat plus dynamiquement encadré de coopératives et de techniciens cultivateurs semble être, au stade actuel, une des meilleures formules de mise en valeur. Mais c’est là un problème d’abord politique.

La R.A.U. a obtenu jusqu’ici de fort beaux résultats en matière de développement agricole, mais ils ont été à peu près entièrement absorbés par la « marée démographique ». Il lui faut donc freiner cette dernière et accélérer la croissance agricole. Ceci ne s’obtiendra pas par l’autosatisfaction et la complaisance, mais par des critiques et autocritiques constructives, associées à des recherches constantes d’innovations. Dans ce but, il serait bon de constituer du moins deux commissions d’évaluation (au sens anglais du terme). L’une étudierait les réalisations et la situation économique d’Al Tahrir, pour examiner si l’attribution plus rapide, aux colons, des terres déjà mises en valeur ne pourrait réduire l’ampleur — actuellement excessive — du déficit. L’autre étudierait l’ensemble des coopératives de village — générales, ou issues de la réforme agraire — pour proposer toutes les améliorations possibles dans leurs activités, leur fonctionnement, leurs résultats.

La R.A.U. a tous les éléments en main pour gagner la course, à long terme, production alimentaire-population. Mais elle la perdrait vite, si elle considérait que celle-ci est facile à gagner, et continuait à s’auto-complimenter, là où il vaudrait mieux s’auto-critiquer. C’est l’ambition de cette modeste étude que d’avoir proposé un certain nombre de critiques constructives, mais discutables, car elles se basent sur une connaissance très insuffisante d’un problème fort complexe.

Lisez l’article en entier ici.

Découvrez en libre accès tous les numéros de Politique étrangère depuis 1936 jusqu’à 2005 sur Persée.

 

The Never-Ending War on Terror

Foreign Affairs - Fri, 11/05/2018 - 06:00
The United States is failing to win its war on terrorism because al Qaeda and the Islamic State represent only a fraction of the real enemy: a global movement, unified by an ideology—Salafi jihadism—that exists outside of al Qaeda or the Islamic State.

Families of Americans Held in Iran Urge Trump: Keep Your Promise

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 23:50
U.S. exit from nuclear deal could jeopardize prospects for imprisoned Americans.

Trump’s Iran Policy Is Blowing Up His Energy Agenda

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 21:49
The U.S. president wanted to be energy independent, but he’s forcing his country to get more deeply involved in the global oil market.

The ‘Silver Lining’ to Trump Pulling Out of the Iran Deal

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 19:26
The White House has the legal authority to compel countries to reinstate U.N. sanctions on Iran. So why has it chosen not to exercise it?

China Has Already Won the Drone Wars

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 19:10
Chinese companies are proving that America is not first in the UAV export market. Can Trump roll that back?

Hindu human rights activist: “Give us back our property”

Foreign Policy Blogs - Thu, 10/05/2018 - 19:02

According to Shipan Kumer Basu, the President of the World Hindu Struggle Committee, in recent times, the Bangladeshi government has been utilizing the Vested Property Law in order to seize Hindu property and to claim it as their own, thus turning Bangladeshi Hindus into homeless underprivileged paupers. He noted that while on paper under the Vested Properties Law, some Hindu properties that were lost supposedly can be reclaimed, in reality, the law works in order to push Hindus off of their ancestral lands.

For example, in Khalkula village of Islampur, a Hindu family’s land has been forcefully seized by the local Awami League and a building has been constructed in the area. According to local reports, the victim Khalakula Mouza, a Hindu, was able to reclaim his land under the Vested Property law. However, after he reclaimed his land, the Awami League turned around and had a building constructed on his land. A police complaint was issued but it remains to be seen if justice will be done.

Ed Abu Hanif, a learned lawyer on the Vested Properties Law in Bangladesh, was asked if Hindus are getting any of their property back and he answered that those who left Bangladesh (then Pakistan) in 1965 and now want their properties back have to present a proper certificate showing that they are the heir or else the Bangladeshi government will remain the owner of the land. According to Basu, the issue is that most of those Hindus lack proper certificates.

Abu Hanif noted that there are some properties that the Hindus sold at nominal price before leaving for India as refugees and in those cases, the buyers become the owners of those properties by showing the purchase deeds to the courts: “Recently, the government published in national dailies that the cases will be resolved quickly and the properties would be allotted to government officials. The Hindus are abused and are not getting the required certificate as heir. Is this not a ploy by the government to make the country Hindu free? Only if the Vested Properties Act is repealed will the Hindus reclaim their property.”

For Basu, allowing the Awami League to hold onto these properties merely because the Hindu refugees were compelled to sell their land in haste would be like denying compensation to a Jewish person who sold their home in haste at a nominal price because they had to flee Europe due to the rise of Nazism. In both cases, political circumstances forced both the Hindu in Bangladesh and the Jewish person to sell their home at a nominal price because the place where they were living no longer guaranteed their right to live in safety, dignity and freedom.

According to Abu Hanif, “Where once the number of Hindus in Bengal was 30% of the total population, it is less than 7% today and in the future, it will be less as the government is giving that property to its gangsters and announcing the allotment of the remaining properties. The Vested Property Law is illegal under international law and the property should be returned to its rightful owners.”

Khalifat Movement leader Kazi Azizul Huq added: “We expressed our disapproval of the Vested Property Act and openly declared that we are seeking advice to formulate a strategy to solve the problem avoiding as much as possible new conflict and chaos in the country. Most of these properties are in the possession of rich and powerful people who were or are public representatives belonging to Awami League or BNP or JP. We want to create an environment in Bangladesh which will effectively: End silent migration of Hindus from Bangladesh to India; Ensure opportunity and scope for those who return to Bangladesh who were obliged to illegally migrate to India. We are against any direct or indirect oppression of minorities in Bangladesh and are determined to stand beside affected persons or families. We are trying to motivate others in this regard.”

“We are all Bengali brothers, Hindus, Muslims, Buddhists and Christians,” he noted. “The majority of the population of Bangladesh irrespective of religious identity is poor, oppressed and discriminated against by the mainstream rulers and the elite irrespective of their political affiliation. Since Bangladeshi Independence, national secularists have been ruling this territory. Many of these secularists, who are generally irreligious, did not miss any opportunity to misuse religion for political or other gains. Irreligious secular rulers are largely responsible for whatever deprivation, discrimination and oppression religious minorities have suffered in Bangladesh from the beginning till today.”

The post Hindu human rights activist: “Give us back our property” appeared first on Foreign Policy Blogs.

What Iran Really Wants in Syria

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 18:53
Misperceptions of Tehran’s true intentions could lead to disaster.

China Enlists U.N. to Promote Its Belt and Road Project

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 18:53
Top United Nations officials are helping sell Xi Jinping’s signature foreign-policy initiative.

Comment la diplomatie iranienne entend endiguer l'influence soviétique

Le Monde Diplomatique - Thu, 10/05/2018 - 18:14
La dangereuse concentration de bâtiments de guerre dans le Golfe ajoute à la confusion diplomatique qui entoure le conflit entre l'Iran et l'Irak. On oublie trop souvent que, au-delà du régime baasiste irakien, le principal ennemi du régime islamique est le communisme. Ce qui, en soi, n'a rien pour (...) / , - 1987/09

The Stars of North Korea Talks Revolve Around Moon

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 18:01
For all Trump’s talk of fire and fury, the North Koreans wouldn’t have come to the negotiating table without South Korea’s pragmatic president.

The Making of a Kurdish Mandela

Foreign Policy - Thu, 10/05/2018 - 16:43
By keeping a key challenger in jail, Turkey’s government risks making Selahattin Demirtas an even more popular and formidable opponent.

La bataille mondiale de la pêche

Le Monde Diplomatique - Thu, 10/05/2018 - 16:14
Tandis que piétine la conférence sur le droit de la mer, la contestation de l'ordre ancien a donné naissance à un nouveau droit coutumier. Mais grâce à d'énormes moyens technologiques, le pillage se poursuit dans les eaux poissonneuses du tiers-monde. L'extension des souverainetés nationales sur des « (...) / , , , - 1981/08

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