La Turquie votait ce dimanche pour les législatives. Les résultats sont attendus dans la soirée. Un scrutin à un tour, qui favorise les grands partis dans un pays dont la vie politique est dominée depuis plus d'une décennie par les islamo-conservateurs du Parti de la justice et du développement (AKP) du président Recep Tayyip Erdogan. Entretien avec Dorothée Schmid, responsable du programme Turquie contemporaine à l’Institut français des relations internationales (Ifri).
La marine britannique a porté secours, ce dimanche 7 juin, à quelque 500 personnes à bord de quatre embarcations en détresse au large des côtes italiennes. La veille, l’Italie, appuyée par plusieurs navires européens, a secouru des milliers de candidats à l’exil. Mais dans la péninsule, les élus s’écharpent pour savoir qui les accueillera.
Près de 53 millions d'électeurs se rendent aux urnes ce dimanche pour renouveler le Parlement de 550 sièges. L'enjeu pour le Parti pour la justice et le développement (AKP) est de renforcer sa majorité pour réformer la Constitution dans le but d'adopter le régime présidentiel, mais cet objectif est compromis par l'apparition d'un petit parti pro-kurde, le HDP, qui devrait faire son entrée au Parlement. La campagne s'est achevée dans un contexte tendu avec un attentat à la bombe visant un meeting du HDP vendredi à Diyarbakir et ses soupçons de fraude.
Plus de 2 000 personnes se sont rassemblées, samedi 6 juin, à Moscou en soutien à l'un des principaux fonds privés finançant la recherche scientifique en Russie, menacé de fermeture après avoir été classé comme « agent de l'étranger » par les autorités.
Les électeurs luxembourgeois sont appelés aux urnes aujourd’hui. Lors de ce référendum ils devront répondre à trois questions. Faut-il abaisser l’âge du droit de vote ? Faut-il limiter les mandats ministériels à 10 ans ? Mais surtout le Luxembourg propose d’ouvrir le droit de vote aux étrangers, un droit encadré de conditions.
Le sommet du G7 s'ouvre ce dimanche 7 juin en Allemagne. Pendant deux jours, les puissants de la planète se donnent rendez-vous au château d'Elmau, un hôtel de luxe situé dans les Alpes bavaroises. Un cadre idyllique pour évoquer les grands sujets internationaux comme la Grèce, la crise en Ukraine, la lutte contre le terrorisme ou encore la préparation de la conférence sur le climat à Paris.
Le pape était samedi en Bosnie pour une brève visite d’une journée. A Sarajevo, François a demandé aux habitants de rechercher la paix et l'harmonie dans ce pays toujours en proie aux divisions ethniques et religieuses, vingt ans après la fin de la guerre civile.
Les Turcs se rendent aux urnes ce dimanche 7 juin pour élire un nouveau Parlement dont dépendra la composition du nouveau gouvernement. L’équipe islamo-conservatrice du parti AKP du président Recep Tayyip Erdogan est au pouvoir depuis 13 ans. Elle se présente aux élections législatives en favori, mais affaiblie.
Près de 4 000 personnes ont manifesté dans le calme contre le G7 ce samedi en Bavière. Le sommet s'ouvre demain dans cette région du sud de l'Allemagne. Il réunira les chefs d'Etat et de gouvernement des grandes puissances au château d'Elmau.
Fin de la campagne électorale en Turquie et toujours aucune revendication après l'explosion qui avait fait deux morts et plus de 200 blessés vendredi soir à Diyarbakir, dans le sud-est du pays. C'était lors d'un meeting du principal parti kurde, le HDP, le Parti démocratique du peuple. Les Kurdes de Turquie se sont rassemblés ce samedi sur le lieu des deux explosions.
Le pape François est arrivé ce samedi 6 juin au matin à Sarajevo, où il ne reste qu'une douzaine d'heures. Il y a rencontré les autorités de Bosnie-Herzégovine puis célébré la messe dans le stade de Sarajevo, encourageant au dialogue et au pardon, mettant en garde aussi contre ceux qui créent ou attisent volontairement les guerres.
Une manifestation pour la science et l'éducation doit avoir lieu ce samedi dans la capitale russe. A l'origine de ce mouvement de colère, la décision du ministère de la Justice de classer comme « agent de l'étranger », une fondation qui finance les sciences.
Le Conseil de sécurité de l'ONU s'est réuni en urgence ce vendredi et a appelé Ukrainiens et Russes à respecter totalement le cessez-le feu qu'ils s'accusent réciproquement de violer. Cette semaine a été la plus violente, avec 28 morts rien que pour la journée de mercredi, depuis la signature des accords de paix signé à Minsk en février dernier. L'ONU craint une reprise de la « guerre totale » en Ukraine.
Le pape François est ce samedi en Bosnie-Herzégovine, où il va passer à Sarajevo une dizaine d'heures seulement. Une visite au cours de laquelle il devrait appeler à la paix dans un pays déchiré par la guerre il y a plus de vingt ans et toujours divisé.
La Roumanie au bord de la crise politique. Victor Ponta, le Premier ministre roumain social-démocrate est inquiété pour des affaires de corruption, mais refuse de démissionner comme le lui a demandé le chef de l'Etat, le conservateur Klaus Iohannis.
L'opposition burundaise avait demandé jeudi la récusation du médiateur de l’ONU Saïd Djinnit. Le ministre des Affaires étrangères du Burundi, Alain Aimé Nyamitwe, dit regretter cette décision car il craint que cela retarde le dialogue entre les acteurs de la crise burundaise.
« Nous sommes plus proches que jamais d'un accord ». Le Premier ministre grec a été particulièrement optimiste ce vendredi soir devant les députés d'Athènes réunis en session extraordinaire. Alexis Tsipras a présenté la position de son gouvernement sur les négociations en cours avec les créanciers du pays. Toutefois, il l'a répété, la Grèce n'acceptera pas les dernières propositions de réformes en l'état.
Diyarbakir, dans le sud-est de la Turquie, a été secoué vendredi 5 juin en fin de journée par un double attentat à deux jours des élections législatives. L'attaque a visé un meeting du HDP, le principal parti kurde, qui, pour la première fois, pourrait faire son entrée au Parlement. Des dizaines de milliers de personnes étaient rassemblées. Le dernier bilan fait état d'au moins 2 morts et de très nombreux blessés.
Alors que le président ukrainien Porochenko dit craindre une « invasion russe » et que le Conseil de sécurité s'est réuni en urgence pour examiner la détérioration de la situation sur la ligne de front en Ukraine, la Russie continue d'accuser l'Ukraine.
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