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Défense

Les CTLO de Bamako

Le mamouth (Blog) - Mon, 23/11/2015 - 21:10
Au moins deux des filières historiques de contre-terrorisme et libération d'otages étaient présentes la
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Les pontées du Charles

Le mamouth (Blog) - Mon, 23/11/2015 - 20:18
Voici quelques images choisies diffusées ce soir par l'EMA pour illustrer les missions du jour. Trois
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"Si je devais partir au combat, c'est avec eux que j'irais"

Présentateur de 7 jours BFM, Thomas Misrachi s’invite sur RMC Découverte pour l’émission Embarqué qui sera diffusé ce soir à 20H45. Une heure durant laquelle le journaliste se plonge au cœur d’une unité d’élite de l’armée de Terre. Pour ce nouveau numéro, Thomas Misrachi a vécu une semaine au rythme des commandos montagne du 13e bataillon de chasseurs alpins (13e BCA). De nuit, malgré des températures extrêmes, il lui a fallu affronter la réalité de l’entraînement intensif des militaires. Il nous explique comment s’est déroulé le tournage.
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Coalition contre Daech : les trois niveaux géographiques de la stratégie

Blog Secret Défense - Mon, 23/11/2015 - 14:32
Une analyse en vidéo pour l’Opinion
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Quand la 4G revêt le treillis

Imaginez que nos combattants communiquent ensemble par smartphone via un réseau 4G militaire crypté. Imaginez qu’ils puissent y connecter leurs armes, véhicules et drones. Imaginez que tout ceci n’est pas un rêve… Auxylium vous propulse dans une nouvelle ère, celle du combattant 100% connecté.
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Bilan d'un an et demi de gestion "nationale-libérale" de la Crimée.

C'est pas secret... Blog - Sun, 22/11/2015 - 23:46
Le 14 mars 2014, Vitaliy Khramov, le leader du Groupe Cosaque "Sobol'", revenait en Crimée après que, le mois précédent, la Russie eut procédé à son annexion. Il se réjouissait de pouvoir retrouver ses frères cosaques et célébrait le rattachement à la mère patrie. En effet, 3 ans auparavant, Khramov avait été expulsé d'Ukraine et déchu de sa nationalité par Kiev à cause ses activités subversives.
Le leader de la communauté Sobol revient d'exil
Le groupe Sobol fait parti de ces nombreux mouvements pan-russes favorables à la sécession et au rattachement à la Russie qui sont créés et financés par Moscou depuis le début des années 90. Ces mouvements, actifs principalement en Crimée et dans l'Est de l'Ukraine, organisaient régulièrement divers manifestations d'agit-prop : ci-dessous une vidéo de la "Marche Russe" qui rassemblait en 2009 à Simféropol plusieurs de ces mouvements cosaques et des militants du parti pan-russe "Russkiy Blok".

Ici Sobol organise un concert en l'honneur des marins russes la Flotte de la Mer Noire stationnée à Sébastopol


Le 12 novembre dernier, Khramov donnait une conférence de presse où il dressait le bilan de 20 mois d'occupation russe :
Khramov y parle sans détours :
"Les autorités régionales mène la Crimée vers un désastre économique et social".
Selon lui la population est passée de 2.3 millions d'habitants à 1 million aujourd'hui. Il parle de migration interne, beaucoup d'habitants sont allés s'installer à Krasnodar où la vie est moins chère : "après 1 an et demi sous le gouvernement du Serguei Aksionov le nombre de petites et moyennes entreprises a été divisé par deux".
Khramov révèle que certaines parties de la Crimée ont été vidées de leurs habitants à cause de l'incapacité du gouvernement à y acheminer l'eau. Depuis que l'Ukraine a coupé l'approvisionnement en eau, la Crimée doit trouver les deux tiers de son eau dans des puits artésiens, qui se vident peu à peu et se remplissent d'eau de mer, remplaçant des terres fertiles par des marais salants. "L'hiver sera sec", conclut Khramov," on se dirige vers un véritable désastre humanitaire".
Ce n'est pas le seul grief de Khramov. Il reproche aussi à Aksionov, qu'il compare au "terroriste Marx", la privatisation des bâtiments publics par une décision du conseil national de Crimée de juin 2015. La privatisation du palais de la famille Romanov construit par le Grand Duc Piotr Nilolayevitch, oncle de Nicolas II, désole particulièrement l'ami Khramov : 
"Pourquoi le donner à présent ? C'est un acte criminel. Même les Ukrainiens n'avaient jamais osé faire cela."
Le cosaque Khramov ne semble pas être le seul à déplorer la tournure que prennent les événements. Certains ont manifesté leur mécontentement en profanant les portraits de qui-vous-savez. Le FSB est sur les dents et recherche les sacrilèges...
В Крыму портят Путина. ФСБ ищет заказчиков https://t.co/9Dtzp1YhHp pic.twitter.com/1nW9r9RxRu— Грани.Ру (@GraniTweet) 19 Novembre 2015
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Afrique du Nord Moyen-Orient 2016 : Logiques de chaos, dynamiques d’éclatement



Extrait de F. Charillon, A. Dieckhoff (dirs.) Afrique du Nord Moyen-Orient 2016 : Logiques de chaos, dynamiques d’éclatement - La Documentation Française, 2015Le Golfe, nouveau pôle de stabilité apparente
C’est au final à une profonde redistribution des cartes que l’on assiste dans la région. Les régimes que l’on croyait sclérosés au point d’être éternels ont été soit destitués, soit violemment contestés, soit dans l’obligation d’entamer un processus de réformes au moins apparentes. D’une logique d’immobilisme (qui avait singularisé la région à l’heure où d’autres connaissaient le changement en plusieurs vagues - Amérique du Sud, puis Asie du Sud Est, Europe orientale, même Afrique subsaharienne…), la zone afrique du Nord Moyen-Orient (ANMO) est passée à une dynamique de turbulence, qui la transforme en inconnue majeure du système international. De cela découlent bien entendu plusieurs conséquences. En premier lieu, les interlocuteurs arabes traditionnels ont disparu, tandis que leurs remplaçants sont soit introuvables dans le cas des Etats effondrés (Libye, Yémen), soit dans une situation de stabilité fragile qui n’exclue pas de nouveaux soubresauts (Tunisie, Egypte). Plusieurs autres régimes ont tenu, mais ressortent déstabilisés par les événements récents, à la fois du fait de vulnérabilités internes et de du choc exogène régional récent. Ce dernier se fait sentir soit par des dangers directs (pour les Etats contigus à l’épicentre syro-irakien comme la Jordanie ou le Liban, dont les territoires sont menacés), soit par des retombées indirectes (pour ceux dont une partie de la jeunesse rejoint les rangs de l’Etat islamique, comme au Maroc ou en Tunisie, ou qui sont en première ligne de la violence sahélienne, comme l’Algérie). Ensuite, dans ce contexte, les monarchies du Golfe qui n’ont pas connu les « printemps arabes » font figure, selon l’angle d’analyse, de pôles de stabilité ou de systèmes réfractaires au changement. Ce qui n’exclut pas que leurs sociétés restent travaillées par des évolutions qui tôt ou tard devront être prises en compte.[1] Ce qui n’exclut pas non plus que des nuances subtiles apparaissent entre elles, sur fond de rivalités politico-religieuses, qui se manifestent particulièrement sur le terrain de la politique étrangère. Ainsi, si le Qatar a soutenu fortement l’accession de Mohamed Morsi à la tête d’une Egypte provisoirement dirigée par les Frères Musulmans (juin 2012 – juillet 2013), l’Arabie Saoudite a mis tout son poids derrière le Maréchal Abdel Fattah al-Sissi, qui a destitué ce dernier avant de se faire élire un an plus tard. Mais le Golfe, à la suite de cette séquence 2011-2015, apparaît néanmoins comme un espace aux fondements politiques plus solides, dont le « risque-pays » est moins élevé qu’ailleurs, ce qui n’échappe ni aux acteurs ou investisseurs économiques, ni aux politiques étrangères extérieures. D’un jeu moyen-oriental jadis dominé par les grands Etats du nationalisme arabe (Egypte, Syrie, Irak) dont les armées nombreuses étaient des acteurs clefs d’une reprise toujours possible d’un conflit avec Israël (1948, 1956, 1967, 1973, 1982…), on est passé à un pôle golfique attractif économiquement, aussi bien acheteur qu’investisseur imposant, devenu de surcroît entrepreneur politique et religieux régional (Syrie, Libye…) et transnational.Entre retour de l’homme fort et déliquescence de l'Etat
Le constat de chaos qui a émané des printemps arabes[2] a également remis en selle l’autoritarisme politique. Comme si l’on retenait davantage les leçons venues d’Egypte (où le pouvoir autoritaire de Sissi apparaît comme une tentative de restauration de l’ordre) que les enseignements de Syrie (où la dictature baasiste a précipité l’embrasement de la guerre civile) ou d’Irak (où la pratique politique de Maliki a préparé le succès de Daech chez les sunnites), le culte de l’homme fort réapparaît. On a déjà évoqué le cas égyptien, et en Libye, la nomination du général Khalifa Haftar à la tête de l'armée en mars 2015 obéit aussi à cette quête de charisme autoritaire comme rempart au chaos. Mais ce schéma a ses variantes non arabes, en système démocratique cette fois. La Turquie de Recep Tayyip Erdoğan, devenu président en août 2014, en donne un exemple intéressant, dans le bras de fer qui se joue entre d’une part la crispation autoritaire d’un régime en voie de personnalisation croissante, et  d’autre part la résistance du corps électoral, qui a abouti à la perte de la majorité absolue par l’AKP (parti islamiste modéré du président Erdoğan) lors des élections de juin 2015. La victoire de Benjamin Netanyahu aux élections législatives israéliennes (mars 2015), a vu la victoire (surprenante au regard des derniers sondages) de cette stratégie de l’homme fort, au discours intransigeant, au prix même de quelques dérapages. Ce retour des hommes forts ne saurait remédier à la crise profonde que connaît l'Etat au sud et à l’est de la Méditerranée en général. On l’a dit plus haut, le révisionnisme territorial de Daech, la fin désormais plus qu’envisageable d’entités façonnées par l’histoire récente (et souvent coloniale),[3] tournent d’abord indéniablement une page arabe. Comme l’a résumé le politiste (et polémiste conservateur) américain Charles Krauthammer (pour une fois avec plus de justesse que dans d’autres de ses hypothèses passées), des Etats comme l'Irak et la Syrie doivent être entièrement repensés : les frontières anciennes ont disparu, l’unité étatique ne pourra être reconstituée, les lignes de la carte Sykes-Picot sont caduques, et pour les Etats-Unis ou leurs alliés, de nouveaux ennemis pour l’instant non étatiques apparaissent, ainsi d’ailleurs que de nouveaux alliés possibles (comme les Kurdes).[4]Si l’Etat arabe est aujourd’hui dans un moment crucial et difficile de son histoire, c’est notamment en raison du fait que les printemps ont mis à bas quelques-uns de ses piliers, sans résoudre pour autant ses impasses principales. L’incroyable pérennité des régimes, on l’a dit, démocratiquement condamnable et socialement dommageable en interne mais politiquement et économiquement rassurante pour l’extérieur, a disparu dans plusieurs pays. Avec elle s’est effondrée, au moins provisoirement, la sécurité intérieure ou encore la manne touristique (les deux phénomènes étant liés). Les combats récurrents entre l’armée égyptienne et les groupes islamistes (en particulier dans le Sinaï), les attentats qui ont touché la Tunisie en 2015,[5] en sont l’illustration dans les deux pays qui ont initié les « printemps » en 2011. Le semblant d’unité arabe, certes en partie factice mais qui demeurait au moins un garde-fou rhétorique autour de quelques thèmes comme la cause palestinienne, a laissé place à des clivages assumés, et, de plus en plus au Levant, à une confrontation destructrice entre sunnisme et chi’isme. Parallèlement, l’intégration des mouvements ou partis religieux dans un jeu politique normalisé, n’a pas eu lieu. La chasse aux Frères Musulmans ouverte par le président égyptien Morsi depuis son accession au pouvoir, l’attraction exercée par Daech sur les mouvements radicaux arabes, les jeux obscurs (et à haut risque) de clientélisme ou de manipulation de certains de ces mouvements par des Etats sur des théâtres extérieurs, ont largement fait échouer toute amorce de débat serein sur une place négociée de l’acteur religieux dans la vie politique régionale. A terme, ce jeu déstabilisera l’ensemble des Etats qui s’y seront prêtés. De la même manière, la longue liste des maux connus du monde arabe depuis plusieurs décennies, reste quasi intacte : difficulté des processus de succession ici, sortie de l’économie de rente ailleurs, place de l’armée dans la conduite du pays et efficacité réelle de celle-ci face à la menace extérieure, centralité de la question israélo-palestinienne aux yeux d’une opinion en proie par ailleurs à des frustrations nombreuses…Si l’extrême diversité des situations nationales fait que l’on ne peut plus parler globalement de « régimes politiques arabe », comme le faisaient en leur temps M. Flory, B. Korany, R. Mantran, M. Camau et P. Agate,[6]l’équation arabe certainement, le malaise arabe probablement, peut-être même « le malheur arabe » hélas,[7]demeurent. A l’heure d’un néo-ottomanisme turc, d’une réintégration de l’Iran dans le jeu régional et international, et d’une crispation droitière encore exacerbée en Israël, les ingrédients semblent rassemblés pour de nouveaux épisodes orageux.


[1] Voir L. Bonnefoy, M. Catusse (dirs.), Jeunesses arabes, La Découverte, paris, 2013.A. Le renard, Femmes et espaces publics en Arabie Saoudite, Dalloz, Paris, 2011. [2]Parmi les dernières livraisons sur ce sujet, voir H. Bozarslan, Révolution et état de violence : Moyen-Orient 2011-2015, CNRS Editions, Paris, 2015. [3]Voir P-J. Luizard, Le piège Daech. l'Etat islamique ou le retour de l’histoire, La Découverte, Paris, 2015. M. Benraad, Irak, la revanche de l'histoire : De l'occupation étrangère à l'Etat islamique, Vendémiaire, Paris, 2015. [4] Ch. Krauthammer, « A new strategy for Iraq and Syria”, the Washington post, 18 juin 2015. [5] A Sousse en juin 2015, près de Tunis en mars au musée du Bardo. [6] Les régimes politiques arabes, PUF, Thémis, Paris, 1990. [7] S. Kassir, Considérations sur le malheur arabe, Actes Sud, Paris, 2004.

Maréchal de Saxe : «Faute de savoir faire ce qu’il faut, ils font ce qu’ils savent»

Blog Secret Défense - Sat, 21/11/2015 - 11:46
De l’urgence de relire les classiques militaires
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Sentinelle : 100% des militaires déployés, l’ensemble de l’armée de Terre en renfort

Lundi, dans son discours devant le Parlement réuni en Congrès, le président de la République a déclaré : « la France est en guerre (...) contre le terrorisme djihadiste ».  Dans ce contexte, 34 000 militaires sont engagés en permanence – en France et dans le monde, pour protéger les Français. Ainsi, depuis vendredi 13 novembre, immédiatement après les attentats, les militaires ont renforcé les dispositifs sécuritaires des forces de sécurité intérieures (FSI) sur le territoire national. Pour l’armée de Terre, ce sont 50 unités qui ont été mises à contribution pour participer à cet effort. Aujourd’hui, la force est donc constituée de 10 000 militaires - dont 6 500 en Ile-de-France. 100% des effectifs mobilisés sont désormais engagés.
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Dans l'Opinion : François Hollande se dispense désormais de marqueurs de gauche

Blog Secret Défense - Fri, 20/11/2015 - 15:03
La mise en scène de la réplique militaire contribue à créer de la « symétrie ». En termes d’image, c’est une victoire importante pour Daech. 
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Le GIGN dépêché en urgence au Mali (Actualisé)

Blog Secret Défense - Fri, 20/11/2015 - 14:11
 Au sein des forces spéciales, des débats avaient eu lieu pour savoir qui serait leader dans le cas d’une action terroriste, comme celle en cours au Mali.
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Un objectif commun : devenir commando montagne !

Héritier des sections d’éclaireurs skieurs auxquelles appartenait le lieutenant Tom Morel, héros du maquis des Glières de 1943 à 1944, le groupement commando montagne (GCM) est l’unité d’élite opérationnelle de la 27e brigade d’infanterie de montagne (27e BIM). Du 10 au 12 novembre, des tests de recrutement étaient organisés par le 93e régiment d’artillerie de montagne (93e RAM) pour devenir commando montagne. Trois jours et deux nuits intenses où les limites de chacun ont été mises à rudes épreuves…
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Déploiement du Charles de Gaulle : l’armée de Terre en soutien

Le 18 novembre 2015, le Groupe aéronaval (GAN) a appareillé pour la Méditerranée orientale. Il prendra part rapidement aux opérations de la Coalition contre Daech et complètera ainsi le dispositif déjà engagé au Levant. En amont de ce déploiement, courant octobre, le porte-avions a fait appel aux moyens et savoir-faire du 519e groupe de transit maritime.
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Point de situation au 19 novembre 2015

Depuis vendredi 13 novembre 2015, l’armée est mobilisée pour protéger les Français. Immédiatement après les attentats, les militaires ont renforcé les dispositifs sécuritaires des forces de sécurité intérieures (FSI). Dans la nuit du 13 novembre, 1500 militaires ont ainsi été engagés - en appui des FSI, pour sécuriser les sites frappés par les terroristes.
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Dans l'Opinion : Autant d'effectifs dans la sécurité privée que dans la Police

Blog Secret Défense - Wed, 18/11/2015 - 18:50
Milipol, le salon international de la sécurité intérieure, se tient du 17 au 20 novembre à Paris Nord Villepinte. 
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“COP 21, ENMOD : La paix et la guerre pour enjeux” - GRIP

 A la veille de la 21e Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), il est intéressant de lire cet éclairage du GRIP  sur ce que la COP 21 n’évoquera pas : l’impact des forces armées sur le changement climatique, en temps de paix comme en temps de guerre.

(lire la suite…)

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