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Défense

Ne l'appelez plus BFS

Le mamouth (Blog) - Mon, 30/11/2015 - 17:39
Le bureau des forces spéciales (BFS) du commandement des forces aériennes (CFA) de Bordeaux
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Visite du major général des armées à Lyon Mont-Verdun

Mardi 24 novembre 2015, le général Gratien Maire, major général des armées (MGA), était en visite officielle sur la base aérienne 942 de Lyon Mont-Verdun. Il a été accueilli par le général Jean-Jacques Borel, commandant la défense aérienne et les opérations aériennes (CDAOA), et par le colonel Hervé Guillerault, commandant la base aérienne.
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Barkhane : Transfert d’autorité du poste de commandement interarmées de théâtre

Le 28 novembre 2015, le Poste de commandement interarmées de théâtre (PCIAT) a été relevé après six mois de mission à N’Djaména. Le mandat 4 de la force Barkhane vient succéder au mandat 3 et prend la main sur l’opération  pour les six prochains mois.
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Soutenance de thèse du commandant Laurent

Le lundi 16 novembre 2015, le commandant Laurent, enseignant chercheur au centre de recherche de l’armée de l’air (CReA) de la base aérienne 701 de Salon-de-Provence, a soutenu sa thèse, en présence du général Francis Pollet, commandant l’École de l’air et la base aérienne 701, de hautes autorités militaires et de cadres de l’École de l’air.
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Adieu aux armes du général Patrick de Rousiers

Le 27 novembre 2015, le général Patrick de Rousiers a fait ses adieux aux armes dans la cour d’honneur de l’École militaire, mettant fin à une carrière prestigieuse de plus de quarante  années consacrées au service de la France. La cérémonie d’adieu était présidée par le chef d’état-major des armées (CEMA), le général Pierre de Villiers.
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Daman : La détection aérienne, cœur de mission des artilleurs

Observer, détecter, dissuader et protéger, telles sont les missions quotidiennes des artilleurs de l’opération Daman. Ils assurent une surveillance constante, 24 h sur 24 et 7 jours sur 7, de l’espace aérien de la zone d’opération de la Force intérimaire des Nations Unies au Liban (FINUL).
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Le RAID se met au Titus pour la COP21

Le mamouth (Blog) - Mon, 30/11/2015 - 11:45
L'unité d'élite de la police s'est fait prêter un Titus de Nexter, avec deux drones, pour la COP21. Plus
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Trois compagnies en Sentinelle

Le mamouth (Blog) - Mon, 30/11/2015 - 09:49
Comme la plupart des régiments de l'armée de terre qui ne sont pas en opex, le 2e REP fournit
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Noël couleur désert pour le 2e REP

Le mamouth (Blog) - Mon, 30/11/2015 - 09:18
Le 2e régiment étranger de parachutistes va connaître une petite révolution d'ici Noël, avec la
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Penser la guerre

Collectif - Paru dans le Le Monde.fr | 27.11.2015 à 16h06 En réaction aux attaques terroristes de Daech, le président du CNRS a récemment appelé à « comprendre dans le détail et avec toute la profondeur nécessaire les phénomènes qui sont à l’œuvre aujourd’hui ». C’est une ambition forte et nécessaire. Il faut désormais s’en donner les moyens.
Une nouvelle génération de chercheurs
Au cours des dernières années, la France s’est dotée d’une nouvelle génération d’universitaires spécialistes des questions stratégiques et de défense : ils étudient les conflits armés comme les pensées et doctrines, les politiques et les phénomènes internationaux qui s’y rattachent. Des soutiens financiers leur ont été accordés par les pouvoirs publics, notamment par le ministère de la défense et l’Institut des hautes études de défense nationale qui dépend du Premier Ministre. Des organismes ont été créés, à l’image de l’Institut de Recherches Stratégiques de l’Ecole militaire (IRSEM) et une association pour les études sur la guerre et la stratégie (AEGES) a vu le jour pour tenter de structurer ce champ d’études encore peu implanté en France.
De telles évolutions étaient urgentes : le paysage stratégique international est de plus en plus complexe et la sécurité du territoire national est soumise à des pressions internes et externes, comme le rappelle tragiquement la série d’attentats qu’a connu notre pays en 2015. Le voisinage européen est le théâtre de guerres, nouvelles ou anciennes (Sahel, Proche-Orient, Ukraine), davantage d’acteurs non-étatiques émergent dans le paysage stratégique, les pratiques diplomatiques changent et les politiques étrangères et de défense sont redéfinies.

Une reconnaissance insuffisante

Malgré la centralité de ces enjeux, la reconnaissance institutionnelle et scientifique de l’analyse universitaire sur la guerre, en France, reste insuffisante si l’on compare avec d’autres pays. Au Royaume-Uni, en Allemagne ou aux Etats-Unis, les études sur la guerre et la stratégie, et plus largement l’étude des relations internationales, disposent d’un véritable écho et bénéficient de la présence d’importants départements pluridisciplinaires au sein des universités. Rien de tel en France, où la recherche internationale et stratégique est encore marginalisée et fragmentée.
Elle est d’abord marginalisée au sein de l’institution universitaire où ces sujets ne disposent pas de la légitimité et de la crédibilité scientifiques dont elles bénéficient à l’étranger. Dans le débat public, la recherche universitaire est aussi marginalisée par des experts auto-proclamés qui offrent aux médias des réactions à chaud. Dans le monde de la décision, enfin, elle se heurte au manque de temps des acteurs pour toute lecture supérieure à trois pages, et à leur réticence à accepter une vision extérieure à la machine d’Etat. Conséquence de cette situation, les meilleurs éléments de la recherche stratégique française sont sollicités et recrutés à l’étranger plutôt qu’en France, ce qui constitue une perte sèche pour notre pays.

L’étude de la guerre, en France, est également fragmentée en plusieurs disciplines (histoire, droit, science politique, géographie, sociologie, etc.) alors que, par définition, le phénomène guerrier est un « fait social total » qui relie tous les domaines de l’action humaine : l’objet « guerre » suppose une approche globale et transversale. Par conséquent, une collaboration des différentes disciplines du savoir au sein d’un même département universitaire pourrait grandement faire progresser notre connaissance des conflits contemporains.

La nécessité des approches universitaires de la guerre

Qu’apporte une analyse scientifique, universitaire, des questions stratégiques ? Une combinaison rigoureuse d’innovation conceptuelle et de connaissance empirique, régulièrement évaluée comme telle par des pairs. La mise par écrit d’un travail de terrain approfondi, au contact d’acteurs ou de populations de statuts extrêmement variés. Une complémentarité avec les expertises étatiques, qui ne traitent pas les mêmes sources et sont contraintes par des logiques bureaucratiques ou politiques. Cet apport-là ne saurait être compensé par quelques tweets d’« experts », par les synthèses prudentes de quelques institutions privées, par des notes internes de quelques bureaux d’études, ni, à l’Université, par des approches qui rejettent la spécificité des phénomènes internationaux et stratégiques.
Peut-on se passer aujourd’hui en France d’une telle analyse, simplement par manque de temps de lecture, pour préserver des rapports de force au sein de disciplines académiques consacrées, ou pour ménager le statut et la susceptibilité de tel habitué des médias ou des couloirs ministériels ? Est-il raisonnable de se priver d’interlocuteurs nationaux compétents pour échanger avec les chercheurs étrangers ? De penser que des non spécialistes des questions internationales pourront être pris au sérieux par des spécialistes, bien réels eux, de ces questions, dans d’autres Etats ? De balayer d’un revers de main les auteurs d’ouvrages rigoureux sur des situations internationales qui menacent notre sécurité ?

Écouter ce que les chercheurs spécialistes des questions internationales et stratégiques ont à dire n’est plus un luxe mais une nécessité. Leur donner les moyens d’exister institutionnellement (à travers des recrutements, des départements universitaires, des associations scientifiques, des chaires, des centres de recherche ou des observatoires) et cesser d’affaiblir les relais déjà existants est devenu prioritaire.

Thierry Balzacq, professeur de science politique à l’université de Namur en Belgique ; Frédéric Charillon, professeur de science politique à l’université d’Auvergne ; Jean-Vincent Holeindre, professeur de science politique à l’université de Poitiers et président de l’AEGES ; Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, titulaire de la chaire d’études sur la guerre du Collège d’études mondiales (FMSH) ; Hugo Meijer, Lecturer en études de défense au King’s College London ; Alice Pannier, doctorante en relations internationales à Sciences Po ; Frédéric Ramel, professeur de science politique à Sciences Po ; Jean-Jacques Roche, professeur de science politique à l’université Paris-2 ; Olivier Schmitt, Associate Professor au Center for War Studies de l’université du Danemark du Sud.

In mémoriam : SGC Alexis Guarato (CPA10)

Le mamouth (Blog) - Sat, 28/11/2015 - 21:39
Il avait commencé dans l'armée de l'air comme agent de télécommunications, il y a quatorze ans.
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C-130 : le SIAe va assurer le MCO

Le mamouth (Blog) - Sat, 28/11/2015 - 21:11
C'est le compte-rendu du conseil de surveillance du SIAe qui nous l'apprend : le service va récupérer
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Le CPA10 perd un de ses chuteurs

Le mamouth (Blog) - Sat, 28/11/2015 - 20:46
C'était dans la nuit de mercredi à jeudi : le sergent-chef Alexis Guarato a livré son dernier combat.
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Daman : Coopération mécanique entre soldats libanais et Casques bleus français

Du 9 au 20 novembre 2015, sur le camp de 9.10 à Dayr Kifa, les équipes de la Force Commander Reserve(FCR) ont conduit un stage de maintenance du Véhicule de l’avant blindé (VAB), au profit des Forces Armées Libanaises (FAL).
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Barkhane : Le défi permanent de la logistique aérienne

Malgré une zone d’action étendue sur cinq pays, la force Barkhaneest en mesure de faire basculer ses efforts sur les différentes bases avancées en fonction des objectifs opérationnels. En effet, le Détachement de transit interarmées (DéTIA) basé à N’Djaména assure de façon permanente le soutien logistique aérien de l’opération Barkhane.
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Le MSC Divina touché par une vague géante

MeretMarine.com - Fri, 27/11/2015 - 15:04

Alors qu’il naviguait entre Porto Rico et les Bahamas, le paquebot MSC Divina a été frappé à 23h40 (heure locale), le 26 novembre, par une très puissante vague. Cette cette masse d’eau a endommagé le hublot d’une cabine. « L'un des deux clients mexicains séjournant dans la cabine a subi des contusions mineures, tandis qu’un passager argentin dans une autre cabine a été légèrement blessé à un doigt lors de la fermeture d'une porte de balcon », précise MSC Croisières.

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Site en cours de migration

MARTOLOD (Blog d'information marine) - Fri, 27/11/2015 - 14:34

Le site est suspendu pour cause de migration. Merci de repasser plus tard pour connaître sa nouvelle adresse.

Le webmaster

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SENTINELLE : Paris oui, mais également Lyon…

SENTINELLE, ce n’est pas qu’à Paris. On évoque en effet souvent les 6 500 militaires déployés en Île-de-France mais la défense du territoire national se mène également en province où l’armée de Terre est engagée. Pour preuve à Lyon où trois militaires du 3e régiment d’artillerie de marine (3e RAMa) se sont illustrés le 23 novembre dernier.
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Remettez les casoars, adoubez

Le Saviez-vous ? La cérémonie de remise des sabres et des casoars marque l'entrée des élèves des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan dans la communauté des officiers.
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