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Défense

La mort de Fred Moore, compagnon de la Libération

Blog Secret Défense - Sun, 17/09/2017 - 17:28
Ancien des spahis marocains, opticien, député gaulliste, il a été le dernier chancelier de l’Ordre de la Libération.
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La mort de Fred Moore, compagnon de la Libération

Blog Secret Défense - Sun, 17/09/2017 - 17:28
Ancien des spahis marocains, opticien, député gaulliste, il a été le dernier chancelier de l’Ordre de la Libération.
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TechnipFMC remporte un contrat pour le projet Hurricane Lancaster EPS au large des Shetland

MeretMarine.com - Thu, 14/09/2017 - 19:01

TechnipFMC (NYSE et Euronext: FTI) a remporté auprès de Hurricane Energy PLC un contrat d’ingénierie, de fourniture des équipements, de construction et d’installation (EPCI).

Le contrat porte sur la fourniture d’équipements sous-marins dont des ombilicaux, des risers, des flowlines ainsi que le système de production sous-marin destinés au projet Lancaster Early Production System (EPS). TechnipFMC assurera également l’installation des équipements sous-marins, de la bouée de tourelle d’ancrage et du système d’amarrage. Le projet sera réalisé de manière intégrée (iEPCI*).

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«A Saint-Martin, les actions de pillage sont conformes au niveau de la délinquance»

Blog Secret Défense - Tue, 12/09/2017 - 14:45
Un entretien avec le général (2S) Bertrand Soubelet, ancien commandant de la gendarmerie outre-mer
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«A Saint-Martin, les actions de pillage sont conformes au niveau de la délinquance»

Blog Secret Défense - Tue, 12/09/2017 - 14:45
Un entretien avec le général (2S) Bertrand Soubelet, ancien commandant de la gendarmerie outre-mer
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Pour financer l’aide humanitaire, le CICR lance un fonds de placement

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 21:00
(B2) Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a annoncé, ce vendredi (8 septembre) avoir lancé sa première « obligation à impact humanitaire ». La multiplication des conflits oblige à innover Pour Peter Maurer, le président du CICR, c'est une nécessité. « Nous sommes aujourd’hui confrontés à des défis humanitaires immenses alors que des millions d’hommes, de […]
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Une vingtaine de pays prêts à monter dans la PESCO. Le calendrier resserré

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 20:16
(B2 à Tallinn) Plus d'une vingtaine de pays ont, à un titre ou un autre (1), fait savoir leur intérêt pour la coopération structurée permanente (PESCO), à ce jour, a confirmé la ministre française des Armées, Florence Parly, lors d'une conférence de presse tenue avec sa collègue allemande, Ursula Von der Leyen, tenue dès le […]
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La conférence interparlementaire de l’UE interdite aux journalistes

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 16:55

(B2) La présidence estonienne de l’UE a décidé d’interdire la présence des journalistes à la conférence interparlementaire sur la PESC et la PSDC. Un dispositif exceptionnel qui crée un précédent et constitue une violation des règles démocratiques en usage au niveau européen pour la couverture presse.

Une mesure contraire aux usages… et aux valeurs

D’ordinaire, les journalistes ont accès à la conférence, la salle, le lobby, les couloirs annexes, comme c’est le cas pour toutes les séances (commission, plénière) du Parlement européen. L’intérêt est triple. Cela permet de voir tout ce qui se passe dans la salle, et pas uniquement ce qui est retransmis sur l’écran principal, avec les interjections, les débats, l’ambiance dans la salle, le nombre de parlementaires, etc. (tout aspect qui ne peut être couvert par une caméra). Cela permet aussi de pouvoir rencontrer les parlementaires, les intervenants, de façon libre et facile, avec toutes les règles journalistiques en usage. Cela permet d’accéder aux documents de séance (du moins ceux qui sont publics). Enfin, c’est un principe même démocratique : la tenue publique des débats.

 

La présidence estonienne a décidé de s’affranchir de ces usages et de ces règles démocratiques, en toute impunité, prétextant que c’est « l’Estonie qui organise la conférence » et que « c’est le Parlement estonien » qui fixe les règles d’organisation. Une erreur organique : la conférence interparlementaire PESC – PSDC qui regroupe délégués des parlements nationaux et délégués du Parlement européen est issue de la dissolution de l’ancienne assemblée parlementaire de l’UEO et représente un compromis entre ceux qui désiraient un rôle exclusif du Parlement européen et ceux qui voulaient préserver l’espace de discussion pour les Parlements nationaux. Le principe de l’accès libre à la presse.

Un faux prétexte

Aucune explication officielle n’a vraiment été donnée. L’organisateur de la conférence a avancé d’abord le prétexte qu’il n’y a « pas de place » dans la salle de conférence (ce qui est faux!, j’ai pu vérifier par moi-même) et que la retransmission vidéo (streaming) dans un petit espace dévolu aux journalistes à l’autre bout de l’hôtel Hilton était suffisante (1).

Commentaire : cette attitude est pour le moins étonnante. Au moment où l’Estonie ne cesse de parler de menaces hybrides, de possibles tentatives de désinformation de la part de la Russie, jeter ainsi un voile d’opacité sur une conférence parlementaire consacrée à la défense européenne est plus que maladroit, il est dangereux. En fait, cela tient plutôt d’un vieux réflexe, digne de l’époque soviétique : le « journaliste » est considéré comme un « être suspect » dont il importe qu’il soit le plus éloigné possible des lieux de discussion politique et qu’il ne puisse, en aucun cas approché, les élus et représentants européens.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) En fait, deux canapés (et trois cacahuètes), dans un coin du corridor de l’hôtel ( (au rez-de-chaussée), le plus éloigné possible de la salle de réunion (qui se situe au 1er) et même du circuit de déplacement des parlementaires (qui du 1er sortent directement sans passer par l’espace presse).

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Zapad : un exercice russe qui ne fait pas peur aux Estoniens

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 12:15

(B2 à Tallinn) L’exercice Zapad organisé, par les Russes et Biélorusses, en Biélorussie, du 14 au 20 septembre, ne devrait rassembler que 13.000 hommes (selon les Russes), 100.000 selon les Lituaniens … et les Estoniens. Une démonstration de force qui n’est pas nouvelle en soi.

Un exercice pas nouveau et souvent conçu sur un mode agressif

L’exercice Zapad est un vieil exercice de l’armée soviétique. Dans le passé, durant la guerre froide, il rassemblait déjà au-delà de 100.000 hommes jusqu’à 150.000 hommes. Après un temps d’interruption, il a été repris en 1999 (Poutine est devenu Premier ministre). Et son objectif est déjà tout autant politique (vis-à-vis des pays de l’Alliance atlantique) que militaire (pour qualifier ou, à l’inverse, déclencher de nouveaux concepts). L’exercice organisé en 1999, par exemple, avait conduit la Russie à adopter un nouveau concept de sécurité (en 2000). La thématique avait souvent trait à l’OTAN…

Un exercice tourné vers / contre l’Ouest

L’exercice Zapad 2009, dix ans plus tard, s’il ne rassemblait officiellement que 12.000 hommes (avec 900 tanks et 100 avions et hélicoptères) avait un scénario pour le moins offensif. Face à une attaque des troupes de l’OTAN, il réagissait avec une attaque simulée nucléaire contre la Pologne et la répression d’un soulèvement fomenté par la minorité polonaise en Biélorussie (lire dans le Telegraph). Rien de très pacifique ! A côté de cela, l’exercice d’aujourd’hui pourrait presque paraître champêtre.

Pas de menace directe

L’émoi face à cet exercice des autorités politiques – surtout en Pologne (1) et en Lituanie – ne semble pas partagé dans les rangs militaires ni alliés ni même des pays baltes. Le chef d’état-major estonien l’a confirmé à ses homologues alliés qui l’interrogeaient pour savoir s’ils étaient menacés. En substance, la réponse a été « Nous n’avons pas peur. Nous ne nous sentons pas menacés. Nous avons des moyens de réagir, avec des alliés prêts à nous épauler, si on était menacés. » En revanche, ce que craignent et redoutent davantage les autorités estoniennes (militaires et politiques), ce sont des attaques de basse intensité militaire, mais tout autant déstabilisante pour la vie ordinaire. Face à ces attaques hybrides, par nature, mêlant cyber attaque, désinformation, manifestations civiles sont ressenties dans des pays qui comportent une forte minorité russophone comme la « vraie » menace (lire : A Tallinn, les ministres jouent à la guerre cyber hybride).

 

(Nicolas Gros-Verheyde, à Tallinn)

(1) Pour des raisons essentiellement de politique interne qui n’échappent à aucun allié et dans la hiérarchie de l’OTAN.

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Avec les militaires français en Estonie

Blog Secret Défense - Fri, 08/09/2017 - 12:05
La ministre des armées Florence Parly s’est rendu jeudi à Tapa où 300 soldats français participent aux mesures de dissuasion face à la Russie.
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Avec les militaires français en Estonie

Blog Secret Défense - Fri, 08/09/2017 - 12:05
La ministre des armées Florence Parly s’est rendu jeudi à Tapa où 300 soldats français participent aux mesures de dissuasion face à la Russie.
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Tapa : réassurer l’Estonie… et un excellent lieu d’entraînement

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 10:11

© NGV / B2

(B2 à Tapa) Plusieurs centaines de soldats britanniques, français et danois sont présents en Estonie. Pour quoi faire ? Quel est l’intérêt de ce déploiement non seulement au niveau politique mais aussi militaire ?

Une mesure de réassurance face à la Russie

La raison du déploiement des « battlegroups » venus de tous les pays de l’Alliance atlantique dans les trois pays baltes et en Pologne est connue. Il s’agit de « réassurer » les pays concernés de la détermination de l’Alliance à assurer la défense de leur territoire face à la Russie. Une mesure prise après l’intervention russe en Ukraine en 2014. « Toute attaque contre l’un d’entre nous est une attaque contre nous tous » a rappelé à Tapa le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg.

Un avertissement politique…

Un déploiement défensif « pour prévenir un conflit » et en aucun cas pour « provoquer » a-t-il ajouté, soulignant que tout se passe « en transparence » avec les Russes. De fait, avec quelques 4000 hommes et femmes répartis dans les quatre pays de la bordure nord-est de la frontière de l’OTAN, ce déploiement a davantage une valeur d’avertissement politique que de rassemblement de forces. De l’autre côté de la frontière, en Russie, les forces se comptent avec un « 0 » de plus. « Ce qui compte c’est le signal qu’on envoie de solidarité, de dissuasion, si vraiment les Russes avaient une envie de franchir la frontière » nous confirme le colonel Olivier Waché qui vient de l’état-major de l’Eurocorps de Strasbourg et commande le détachement français. Cette éventualité russe reste d’ailleurs (pour l’instant) de l’ordre de la théorie de l’avis de tous les responsables, militaires ou diplomates sur place. « On n’imagine vraiment pas les Russes s’amuser à ce genre d’aventure sur un pays membre de l’Alliance » nous a confié l’un d’eux. « Notre posture est non agressive et dissuasive » indique le colonel Waché s’inscrivant dans les pas du sec.gén de l’OTAN (A suivre : Zapad : un exercice russe qui ne fait pas peur aux Estoniens).

Un moment inespéré de formation

Cette présence est aussi un formidable moment pour la troupe de se former, de s’entraîner. « Quatre mois en formation, c’est inespéré. Au rythme des opérations, intérieure (= Sentinelle) ou extérieure, on ne peut pas avoir une telle longueur et une telle capacité d’entraînement si on était en France » complète son adjoint, le lieutenant-colonel Frédéric *. Ainsi pour la 5e compagnie du 2e REI de la Légion (basée à Nîmes), composée essentiellement de nouvelles recrues, c’est un terrain de choix à la fois pour la formation technique, mais aussi pour l’osmose de groupe, le tout dans un « environnement nouveau et en multinational ». Au programme : d’abord l’acclimatation au terrain, l’entraînement au tir, l’apprentissage de la topo, du combat en milieu urbain (dans quelques maisons reconstituées)… et du sport (le Quinze britannique qui s’entraîne tous les jours ne semble pas mauvais, à voir les gars s’entraîner).

Des exercices multinationaux

Le tout accompagné de différents exercices, plus importants, au niveau interarmées et multinational. Plusieurs exercices majeurs sont ainsi organisés durant la période. Cette semaine se déroule ainsi l’exercice Northern Frog (d’un monstre dévorant les forces armées adverses, dans la mythologie estonienne). Puis ce sera l’exercice Onion (1) organisé par les Estoniens, auxquels participeront les troupes de l’OTAN. Et, fin octobre, ce sera au tour de l’exercice Steel Shield, en Lettonie. « Nous cherchons à tirer un maximum de notre présence ici pour nous entraîner avec nos alliés » résume le colonel Waché.

Un formidable champ de tir

Ancienne base soviétique (abritant des unités de la 6e armée), la base de Tapa, assez étendue, offre en effet des possibilités que ne permettent pas toutes les installations françaises. Elle permet aux unités des tirs sur une longue portée, de gros calibre, au 120 mm ou 155 mm. En France, seuls certains camps (Canjuers dans le Var, Suippes dans la Marne) offrent des possibilités équivalentes. Et encore sous réserve de certaines conditions.

Un terrain original

L’Estonie offre aussi aux militaires un terrain spécifique, aux conditions peu habituelles. Ce qui est intéressant en soi. De vastes étendues, très boisées, gorgées d’eau, marécageuses. Ce terrain est pour les soldats, comme les matériels, une vraie gageure. Les forêts sont si denses et étendues « qu’il y a vraiment moyen de s’y perdre » jure notre interlocuteur. La reconnaissance topo prend donc, ici, tout son sens. Et les terrains spongieux sont pour les véhicules un vrai test. Réussi apparemment pour les VBCI qui, avec leurs huit roues motrices, s’en sortent presque mieux que les engins chenillés. Le char Leclerc s’en sort surtout grâce à sa forte motorisation qui lui permet de s’arracher de la boue. « Il est mobile même dans un mètre ou un mètre 50 de boue » précise le ltt col Frédéric.

Un pays plat… mais fongieux

Le pays semble ne pas recéler de grandes difficultés de parcours. Mais il ne faut pas s’y fier. « Le caractère plat du pays est trompeur » confirme le colonel Waché (qui commande le détachement). Le pays ne serait peut-être pas si facile à prendre si les Russes s’avisaient de foncer sur l’Estonie… sauf en hiver où la terre est gelée. L’histoire récente le confirme. L’état-major s’est d’ailleurs livré à un staff ride (NB : un exercice qui permet à travers les champs de bataille du passé d’étudier le terrain et de comprendre la stratégie militaire). Et ce qu’il apprend est intéressant : « durant la Seconde guerre mondiale, les Allemands ont réussi à arrêter les Russes durant six mois ».

Éviter toute incompréhension

Pour éviter toute méprise, toute incompréhension par le grand voisin, les Français (comme les Britanniques, semble-t-il) se sont imposés une règle, très claire à leurs hommes, y compris lors des périodes de détente : pas d’uniforme dans un rayon de 5 km de la frontière russe. Que ce soit en mission officielle ou lors des permissions.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Français et Britanniques ensemble

En Estonie, ce sont les Britanniques qui assurent le rôle de nation-cadre. Fort logiquement ce sont eux qui fournissent le plus grand nombre d’hommes (environ 800), assurent le commandement et structurent ce bataillon avec une compagnie de génie, une compagnie de blindés, une compagnie d’infanterie, et une unité de commandement et soutien. Les Français forment la deuxième composante, avec 300 hommes : 200 hommes formant un sous GTIA avec une compagnie du 2e REI + 100 personnes en soutien logistiques. A cela il faut ajouter 113 véhicules, dont 4 chars Leclerc imposants (du 501e régiment de chars de combat de Mourmelon), et les nouveaux VBCI. La relève française présente depuis août, restera en Estonie, jusqu’à la mi-décembre, et les premiers frimas de l’hiver (qui devrait arriver rapidement, dès octobre). Les Français basculeront ensuite, en 2018, sous commandement allemand en Lituanie, « selon un dispositif semblable, en hommes, en matériels, comme en mission, pour une période de deux fois quatre mois » a précisé le colonel Waché.

* Pour préserver une certaine sécurité, sans tomber dans l’anonymat, les soldats et officiers en opération, même à des postes élevés sont désormais désignés uniquement par leur grade et un prénom.

(1) Un code ironique, c’est le surnom donné aux Russes par les Estoniens.

Reportage effectué le 6 septembre dans le cadre de la visite organisée par la présidence estonienne de l’UE à l’occasion de la réunion informelle des ministres de la défense

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Le drone MALE européen. Un projet ambitieux, industriel et stratégique (fiche)

Bruxelles2 - Fri, 08/09/2017 - 07:32
(B2) Le programme de drone européen, moyenne altitude, longue distance (MALE) est porté sur les fonts baptismaux à la fin 2013. Il répond à une des principales lacunes constatées au niveau européen (comme les ravitailleurs aériens ou l'imagerie satellite) et fait partie des grands projets capacitaires approuvés par les Chefs d'État et de gouvernement lors du […]
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