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CERPESC REVIEW

Flash analyses focus on current issues. Studies written in cooperation with the EUISS, the Defence Committee of the AUEO, the Hungarian Institute of Foreign Affairs (MKI / HIIA), The Hungarian Institute for Strategic Research of Defence (SVKI)

GUERRE EN UKRAINE - Les objectifs géopolitiques russes
par Kinga Torbicka
Revue du CERPESC, 23/05/2017

Le 18 mars 2014 l’accord sur l’accession de la Crimée à la Fédération de Russie est signé. C’est la conséquence de la crise politique qui a eu lieu en Ukraine. L’annexion de la Crimée devient un fait, qui en Europe du XXIe siècle semble un événement inattendu. Ainsi, la Russie multiplie ses aspirations impériales et viole les règles fondamentales du droit international. De surcroit, elle continue les actions militaires sur le territoire d’un autre État. Cet événement spectaculaire éveille des Européens d’un „rêve pacifique” et impose la fin de l’ordre existant. La révision du système de la sécurité européenne, son multidimensionalité et complexité nous dirigent vers une réflexion sur les objectifs russes dans ce conflit.


EASTERN PARTNERSHIP : AZERBAIJAN - The development of the EU-Azerbaijani relations
by Adrienn Herczeg
CERPESC Review, 21 December 2013

The aim of the study is to give an overview on the relations between the European Union and the Republic of Azerbaijan. The first part of the study draws up the origin and purpose of the Eastern Partnership program of the EU then the significance of the South-Caucasian country. In the second part the study examines the rapid economic growth of Azerbaijan and its effect to the country’s economic indicators. This research was supported by the European Union and the State of Hungary, co-financed by the European Social Fund in the framework of TÁMOP 4.2.4. A/2-11-1-2012-0001 ‘National Excellence Program’.


EUSSR Guinea-Bissau : relative success or preordained failure?
by András István Türke
CERPESC Review, 10 January 2011

The mission "EU SSR / EUSSR Guinea-Bissau" (16.06.2008 - 30.09.2010) is a new experience significant because it was the first ESDP mission in an integrated manner covering the entire security sector combining defense, justice and police. It was also the first mission fully planned and controlled as part of the Civilian Planning and Conduct Capability (CPCC, established in August 2007) for civilian operations of crisis management by the EU. In which context this mission has been deployed and what is its value in the SSR process?


La sécurité collective et la conception "groupe de combat" en Afrique
par András István Türke
Revue du CERPESC, 10/03/2009

L’Union africaine a abandonné le principe de non-intervention de l’OUA et a mis en place le Conseil de paix et de sécurité de l’UA, en vigueur depuis 2004. Elle a décidé (avec peu de succès) la mise en place d’une force permanente de 5 brigades régionales pour pouvoir déployer 25.000 (5x5000) hommes (FAA – Force africaine d’alerte, 75 milles personnes selon les estimations plus optimistes). La première phase pour la création d’une capacité de niveau stratégique de gestion pour la gestion des scénarios 1-2 missions (voir plus bas) s’est terminée le 30 juin 2005. Les brigades seront pleinement interopérables dans la deuxième phase (2010) et les membres continuent à développer la capacité de déployer un QG de mission pour le scénario 4, impliquant des forces de maintiens de la paix d'UA/Regional.


La suspension de la participation russe au traité sur les Forces Conventionnelles en Europe
par András István Türke
Revue du CERPESC 23/02/2008
Rapport rédigé au sein de la Commission de Défense de l'AUEO et financé par l'Assemblée.

Le Traité FCE a été signé à Paris le 19 novembre 1990 entre 22 représentant de l’OTAN et de la Pacte de Varsovie. Il peut être considéré comme un élément majeur de la politique de désarmement après la chute du mur de Berlin, en fixant des limites identiques aux deux organisations (20.000 chars, 30.000 véhicules blindés, 20.000 pièces d’artillerie lourde, 6800 avions de combat et 2000 hélicoptères d’attaque). Le 5 juin 1992, à l’occasion de la réunion extraordinaire d’Oslo les 8 républiques successeurs de l’URSS ayant des territoires dans la zone d’application de l’instrument ont y adhéré c’est-à-dire le nombre des signataires a augmenté à 30 pays1. Après 35 mois de négociation (décembre 1996 – 19 novembre 1999) lors du sommet de l'OSCE à Istanbul, en Turquie les Parties ont signée une version adaptée du traité qui ne met plus les objectifs par blocs militaires, mais par pays et remplacé les limitations par de nouveaux plafonds d’armement à la fois territoriaux et nationaux. Il n’est pas entré en vigueur parce que seuls la Russie, l’Ukraine, la Biélorussie et le Kazakhstan l’ont ratifié.


L'Opération EUFOR RD Congo
par Benoit Duffort
Revue du CERPESC, 05/12/2007

Si l’EUFOR RD CONGO n’est que la deuxième opération menée par l’Union européenne sur le continent africain, plus exactement en République démocratique du Congo, pour autant cet Etat, l’ex Zaïre, successeur du Congo Belge, n’est pas un théâtre d’opération inconnu pour les armées occidentales, puisque ce pays, riche en matières premières et d’une superficie quatre fois supérieure à celle de la France, fut longtemps présenté comme un rempart face à l’expansion du communisme en Afrique au cours de la Guerre froide ; rempart qui justifia la conduite de plusieurs opérations militaires dirigées le plus souvent par la France.

La Hongrie et la PESC/PESD (POLITIQUE ÉTRANGÈRE ET DE SÉCURITÉ COMMUNE / POLITIQUE EUROPÉENNE DE SÉCURITÉ ET DE DÉFENSE)
par András István Türke et András Rácz
Revue du CERPESC, 30/03/2007
Cette analyse a été rédigée pour la revue scientifique de l`École doctorale ED-385, Dialogues Européens, à l`Université de la Sorbonne Nouvelle Paris 3

Pour la Défense Nationale Hongroise la participation aux contingents SFOR, IFOR et KFOR n’était pas sans difficultés mais le pays a parfaitement accompli sa mission qui a mérité la reconnaissance. Les forces déployées se montaient à la hauteur de leur tâche, mais de l’autre côté c’est une autre question des efforces énormes a assembler, aménager et a garantir la reconstruction et l’assurance technique de ces forces. Le gouvernement hongrois a pris la décision au 23 novembre 2004 que la Hongrie va mettre en place un groupe léger de 250 membres. Donc la contribution hongroise à un groupe commune sera 250 personnes au maximum (un escadron d’artillerie léger de 156 personnes, un groupe de soutien de 30 personnes et une section de purification d’eau de 30 personnes) mais des conciliations ne sont pas encore finies. Des groupes de combat ne forment pas une armée permanente, ils ne sont convoqués qu’en cas de besoin. La mobilisation pour un but du maintien ou du rétablissement de paix ou d’une intervention humanitaire dans les zones de crise doit être obligatoirement la suite d’un mandat de l’ONU...