(B2) Le commandant de l’opération européenne de contrôle de l’embargo au large de la Libye sera ce matin devant le Comité politique et de sécurité pour donner son dernier bilan. Juste au moment où celle-ci vient de boucler sa 13e inspection de navire suspect
Une inspection d’un navire suspect
Le navire amiral de la force européenne de contrôle de l’embargo en mer Méditerranée (EUNAVFOR Med), le San Giorgio, a abordé et inspecté mercredi (19 mai), au large de la Libye, le Cileen M, un navire porte-conteneurs battant pavillon togolais, qui se dirigeait vers Benghazi (Est de la Libye).
Le porte-conteneurs Cileen M (crédit : EUNAVFOR Med Irini)« Rien de suspect n’a été trouvé ». Et le « navire a été autorisé à poursuivre son voyage » précise le QG de l’opération à Rome. Cette inspection s’est déroulée sans problème. « L’équipage et le capitaine se sont montrés coopératifs. » Le navire venait du port grec de Kalymnos, selon les sources maritimes.
C’est la 13e inspection effectuée par un navire européen dans le cadre du contrôle de l’embargo sur les armes ou le pétrole imposé par le Conseil de sécurité des Nations unies.
4 vols suspects reperé chaque semaine
Au dernier bilan, depuis près de 14 mois d’activité, l’opération Irini a enquêté sur « plus de 3200 navires et a surveillé 235 vols suspects ». Cela signifie près de 50 navires interrogé chaque semaine, mais surtout 4 vols « suspects » repérés chaque semaine. Ce n’est pas négligeable ! Un bilan que le contre-amiral Fabio Agostini, commandant de l’opération Irini, vient présenter ce jeudi (20 mai) devant les ambassadeurs des Etats membres réunis à Bruxelles au sein du COPS (Comité politique et de sécurité.
122 approches amicales
L’opération européenne a effectué 13 inspections et 122 visites amicales (ou ‘Friendly Approaches‘) à bord des navires marchands en Méditerranée venant ou allant vers la Libye. Elle a surveillé 16 ports et installations pétrolières libyens, 25 aéroports et pistes d’atterrissage.
23 rapports adressés à l’ONU
Toutes les informations récoltés lors de ces visites, inspections, entretiens, ainsi que par les observations satellitaires du SatCen ont été consignées soigneusement. L’opération IRINI a ainsi rédigé « 23 rapports classifiés » adressés au groupe d’experts des Nations Unies sur la Libye sur « des violations ou d’éventuelles violations de l’embargo sur les armes ». Ce des « deux côtés du conflit en Libye », prend-on bien soin de préciser du côté des militaires européens.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Cet article Inspection d’un porte-conteneurs en route vers Benghazi. Et dernier bilan de l’opération Irini est apparu en premier sur B2 Le média de l'Europe géopolitique.
Dans le cadre de la reconstruction du marché de Ganhi, le gouvernement béninois a prévu l'aménagement d'un Parking dans la zone commerciale. Le Jardin OPT à Ganhi a été identifié pour le projet. Les locataires qui y sont depuis des années doivent libérer les lieux. Ne sachant pas à quel saint se vouer, ces derniers espèrent être relogés à la fin de l'opération.
Mi-mars 2021, les locataires du ‘'Jardin OPT'' à Ganhi ont reçu une lettre portant objet ‘'Préavis rupture contrat de location'' de l'administrateur provisoire de la Société Nationale de Commercialisation des Produits Pétroliers (SONACOP), Comlanvi Alain Honou. Les locataires sont sommés de libérer les lieux dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'aménagement d'un parking. L'espace concerné, situé devant l'Office des Postes et Télécommunications est un domaine de la SONACOP.
Selon l'administrateur provisoire, ce projet d'aménagement de Parking répond au besoin de stationnement dans la zone commerciale. Depuis deux mois, aucune information complémentaire n'est parvenue aux locataires. « Nous sommes tous dans ce souci. Je crois que tout le monde a reçu la lettre dont il est question. Aucun délai n'a été notifié aux locataires. Notre souhait est que l'Etat puisse nous trouver un autre endroit pour qu'on puisse continuer nos activités de vente », a déclaré un revendeur.
Pour un gérant de pressing, tous ceux qui sont installés sur l'espace doivent libérer les lieux. « Nous payons chaque fois le loyer et l'impôt. Je ne connais pas encore mon sort. La plupart des gens qui ont loué cet espace ont des boutiques. A l'heure actuelle, nous ne savons pas si nous serons relogés », a-t-il ajouté.
Les locataires rencontrés sur les lieux souhaitent vivement que ce projet tienne compte du volet relogement pour le bonheur de tous. Une première demande de certains locataires pour rencontrer l'administrateur provisoire n'aurait pas abouti. Ils envisagent de mener d'autres démarches pour avoir la satisfaction de leurs doléances.
Akpédjé Ayosso
Mon histoire n'est pas particulière. Elle n'est pas non plus la pire. Mais je n'ai jamais compris pourquoi nous devrions enfermer les victimes dans un silence aussi strident.
Il suffit de questionner honnêtement l'arbre généalogique de quelques familles béninoises et africaines. Vous vous rendrez compte des drames, les uns plus perfides que les autres, qui s'y jouent. De nombreuses femmes et filles vivent ces horreurs dans le secret de leur chambre, dans le mystère de la nuit.
Ces victimes sont sous l'emprise de la peur (...).
Il y a aussi ces cris que certaines parmi elles auraient voulu pousser mais qui s'étranglent dans leur gorge. Tout ceci parce que ces victimes sont sous l'emprise de la peur. Soit de la réaction des parents. Soit des railleries des proches ou de vos commentaires dégoûtants.
Imaginez un tonton qui tapote les fesses ou touche la poitrine d'une fillette qui va lui ouvrir le portail ! Doit-on la blâmer parce qu'elle rompt le silence ? Et cette femme qui subit jour et nuit le diktat sexuel de son beau-père ? Faut-il qu'elle ait peur de vos commentaires les plus perfides pour se laisser consumer ?
Interrogez-vous maintenant sur la qualité de vie des victimes réduites au silence par votre faute. Faites juste l'exercice de vous détacher de ma personne en imaginant votre sœur, votre femme ou votre fille aux prises de ces violences sexuelles.
Généralement, les victimes deviennent consciemment ou intentionnellement des femmes introverties, soumises, superficielles qui se meurent. Elles ne vivent que pour cacher la honte de ce qui leur arrive par la faute d'un tiers.
Terrée dans cette sorte de réclusion sociale, leur santé de reproduction prend parfois le large. Quand elles arrivent à donner naissance à des enfants, le modèle se réplique dans le silence glacial de tous. Même l'époux en souffre sans jamais oser lever le tabou au nom de la pudeur, au nom de la honte.
Pourquoi ne pas briser un tabou qui écrase et broie ?
Quant à nos filles, elles sont nombreuses à multiplier les échecs scolaires, universitaires sans explication apparente. Enfermées dans le silence, certaines se braquent contre le sexe opposé sans issue de vous donner le bonheur d'être grand-père, grand-mère. A moins d'une hypothétique adoption. Et la liste des dommages n'est pas exhaustive.
Alors, pourquoi ne pas briser un tabou qui écrase et broie ? Pourtant il y a un adage béninois qui reconnaît qu'on ne porte pas la main sur un individu pour lui interdire ensuite de pleurer.
Hostiles que vous êtes aux changements, osez faire moins de bruit. Vous vous entendrez alors mieux. Et les vies, rêves et carrières brisés autour de vous seront plus audibles.
Personnellement je suis plus que consciente de ce maquillage répugnant que vous arborez.
#naiepaspeur #Angelakpeidja
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