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Börsen-Zeitung: Butter bei die Fische, Kommentar zu Siemens von Michael Flämig

Presseportal.de - Thu, 10/11/2016 - 20:55
Börsen-Zeitung: Frankfurt (ots) - Die Börse feiert Siemens. Mit dem Anstieg des Aktienkurses auf den höchsten Stand seit 15 Jahren honorieren die Anleger die beeindruckende Performance des Managements. Der Vorstand hat es beispielsweise geschafft, die ...

La marine nationale va remplacer ses deux remorqueurs

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:54
Bientôt l’heure de la retraite pour les vaillantes Abeille Flandre et Abeille Languedoc ? Les deux remorqueurs d’intervention, d’assistance et de sauvetage, propriété des Abeilles (groupe Bourbon), sont affrétés à l’année par la Marine Nationale pour assurer une permanence d’assistance des navires en détresse. D’abord basée à Brest pour l’Abeille Flandre et Cherbourg pour la Languedoc, ...
Categories: Défense

Rheinische Post: Kommentar: Deutsch-amerikanische Freundschaft auf Probe

Presseportal.de - Thu, 10/11/2016 - 20:54
Rheinische Post: Düsseldorf (ots) - Sind die Amerikaner noch unsere Freunde? Die Selbstverständlichkeit der transatlantischen Freundschaft ist mit den US-Wahlen ins Wanken geraten. Amerika hat uns nach dem Zweiten Weltkrieg Demokratie, Freiheit, Frieden und ...

Rheinische Post: Kommentar: Die Fehleinschätzung der Medien

Presseportal.de - Thu, 10/11/2016 - 20:53
Rheinische Post: Düsseldorf (ots) - Der Wahlsieg des Außenseiters Donald Trump in den USA hat die politische Klasse in der westlichen Welt überrascht. Zu dieser Gruppe zählen nicht nur Politiker, Top-Beamte, Verbandsfunktionäre und Gewerkschafter, sondern auch die ...

Azerbaijani diaspora head receives Moldova`s highest state award

News.Az - Thu, 10/11/2016 - 20:49
Chairman of Moldovan Azerbaijanis Congress, businessman and philanthropist Vugar Novruzov has been decorated with the highest state award of Moldova – The Order of the Republic.
Categories: Russia & CIS

Paris s’inquiète de la vente de Renault Trucks Défense

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:48
L’entreprise qui fabrique 90% des véhicules de l’armée de Terre française, va être vendue par son propriétaire suédois. Le ministère français de la Défense s’en inquiète. Le gouvernement ne peut laisser vendre le grand fabricant de véhicules militaires sans réagir. Le ministre de la Défense français a semblé pris au dépourvu après l’annonce, le 4 ...
Categories: Défense

FEATURE: UN Police heavyweights steer strategies for safer world

UN News Centre - Thu, 10/11/2016 - 20:45
Crisp uniforms and the jingle-jangle of brass filled the corridors. With them, came an extra sense of security that permeated United Nations Headquarters in New York this week. For the eleventh year running, erect posture and striding confidence was the daily modus operandi, as the Heads of United Nations Police Components amassed for UN Police (UNPOL) Week 2016, which runs from 7-11 November.

La coopération militaire africaine remise en cause suite à l’élection de Trump

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:42
Une transition en douceur, c’est ce que Barak Obama, le président américain, veut désormais après l’élection de Donald Trump. L’actuel locataire de la Maison Blanche doit recevoir son successeur ce jeudi pour organiser le passage de relais. Plusieurs dossiers concernent spécifiquement l’Afrique comme l’immigration, l’économie, l’environnement, ou encore la coopération militaire.Officiellement, les Etats-Unis ne reconnaissent ...
Categories: Défense

Singapour passe une commande d’hélicoptères H225M Super Puma

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:38
Singapour a commandé plusieurs hélicoptères militaires de type H225M Super Puma, a confirmé mardi Airbus Helicopters. Airbus Helicopters a confirmé mardi 8 novembre une commande d’hélicoptères militaires de type H225M Super Puma de la part de Singapour. Lire la suite sur challenges.fr
Categories: Défense

Baku hosts working meeting of military medical professionals

News.Az - Thu, 10/11/2016 - 20:34
According to the plan of bilateral cooperation for the current year between the Ministry of Defence of the Republic of Azerbaijan and the Ministry of Defence of Georgia, Baku is hosting a working meeting of military medical professionals.
Categories: Russia & CIS

Weser-Kurier: Über Fraktionsgelder schreibt Katharina Frohne:

Presseportal.de - Thu, 10/11/2016 - 20:32
Weser-Kurier: Bremen (ots) - Kommunale Fraktionen bekommen zu viel Geld, findet der Steuerzahlerbund. In vielen Orten Niedersachsens sei die Bezuschussung von Personal und Geschäftsstellen übertrieben. Schließlich handele es sich um freiwillige Zuwendungen, nicht ...

La deuxième génération des « mingong »

Le Monde Diplomatique - Thu, 10/11/2016 - 20:28

Leurs parents se sont tués à la tâche pour faire marcher « l'atelier du monde ». Comme eux, ils ont quitté la campagne par millions, partant à l'assaut des mégapoles chinoises dans l'espoir d'une vie meilleure. Mais leurs rêves se heurtent aux difficultés de la vie en ville, où ils ne disposent pas des mêmes droits que ceux qui y sont nés. Rencontre avec des « mingong », dans les quartiers ouvriers de Canton.

Un père, venu récupérer sa fille à la sortie de l'école Loup Espargilière

Les traits tirés par une semaine harassante passée à confectionner des chaussures, le regard dans le vague, Zhang, 27 ans, raconte : « Cela fait un an que je suis à Baiyun. Ma femme et mon fils sont toujours dans la province du Guangxi. J'étais fermier, je suis venu ici pour l'argent. » Comme près de 280 millions de Chinois (1), il a quitté son village natal pour rejoindre les rangs des mingong (ou migrants, littéralement « paysans-ouvriers »), ces ruraux chinois venus chercher une vie meilleure dans les mégapoles du pays. Un exode entamé en 1979, lors de l'ouverture de la Chine à l'économie mondialisée sous l'impulsion de Deng Xiaoping. Bâtisseurs, ouvriers, balayeurs : ils sont depuis quarante ans les petites mains de la croissance chinoise.

À Baiyun, district ouvrier du nord de Canton où l'on trouve des immeubles-dortoirs, de petites usines de textile et des échoppes qui vendent de tout, les générations de mingong se succèdent. Attablé à la terrasse d'une épicerie de quartier, à l'ombre d'immeubles vétustes, Zhang fait le calcul. Il travaille douze heures par jour, six jours sur sept, dans un atelier de confection où la chaleur est insupportable durant les longues journées d'été. Malgré ses soixante-douze heures de labeur hebdomadaire, soit vingt-huit de plus que la durée légale — fixée à quarante-quatre heures et dépassée par 85 % des travailleurs migrants (2) —, il répète une idée communément admise en Chine : « Ma génération est plus flemmarde que la précédente. Eux travaillaient bien plus dur, ils étaient capables de produire beaucoup plus que nous dans le même temps. » Souvent enfants uniques, élevés par leurs grands-parents, les jeunes mingong ont la réputation d'être plus capricieux et moins travailleurs que leurs parents, qui ont connu les heures les plus dures du communisme chinois.

Recréer une cellule familiale

À deux pas de là, sur une placette où des enfants s'ébattent après l'école, Dai, la trentaine, s'inquiète. Cette jeune mère au visage émacié, ouvrière dans une usine de chaussures, aimerait travailler plus : « Lorsque je suis arrivée ici, en 2006, je faisais des journées de douze heures. Mais maintenant, les commandes diminuent et je ne travaille plus que huit heures par jour. » En 2015, la croissance chinoise s'est établie à 6,9 %, son plus bas niveau depuis vingt-cinq ans (3). Les manufactures du Guangdong (la province de Canton), qui constituent l'« atelier du monde », en paient le prix fort. Avec leurs emplois précaires dans ces industries, les mingong de Baiyun figurent parmi les premières victimes du ralentissement économique. Une perte que ne compense pas la hausse officielle des salaires (10,7 % par an en moyenne entre 2008 et 2014 (4)).

« Les conditions de travail sont très difficiles, alors autant mourir ! », ironise Li, 30 ans, dont dix passés dans les usines textiles de Canton. Il redoute l'« effet domino » que crée la baisse des commandes chez ces travailleurs payés au rendement. Il constate que « beaucoup de petites usines ferment et ne paient pas leurs ouvriers ». Zhang en a été témoin : « Un jour, dans l'usine à côté de la mienne, le patron n'a pas versé les salaires, car il n'avait pas été payé par ses clients. Il a vendu les produits et il est parti avec la caisse. » Le gouvernement local a alors saisi le bâtiment, assure-t-il, pour le revendre afin d'honorer les dettes de l'entreprise et payer les salariés.

Depuis quelques années, la tension monte dans les usines du Guangdong (5). Au cœur des revendications : le respect des lois en vigueur. De très nombreux patrons refusent par exemple de payer leur part obligatoire de l'« assurance sociale » pour les travailleurs. Grèves et occupations d'usine sont les principaux moyens de pression des ouvriers. Le China Labour Bulletin (CLB), une organisation non gouvernementale de défense des travailleurs basée à Hongkong, a recensé 2 774 grèves en 2015, soit deux fois plus qu'en 2014. Selon ses décomptes, dans le seul Guangdong, il y en aurait eu 281 entre août 2015 et janvier 2016. L'écrasante majorité des ouvriers de ces usines sont des migrants.

Porte-parole du CLB, M. Geoffrey Crothall dénonce l'inefficacité de la Fédération des syndicats de toute la Chine (All-China Federation of Trade Unions, ACFTU), la principale organisation du pays, qui représente près de 300 millions de salariés (6). Directement liée au gouvernement, l'ACFTU « ne fait rien pour aider les travailleurs lorsqu'une usine ferme, affirme-t-il. Si les ouvriers font grève, son rôle sera de les remettre à l'ouvrage. » « C'est très difficile d'être contre le gouvernement », renchérit Li. Il y a quelques années, il travaillait dans les grosses usines du district de Panyu, dans le sud de Canton. Bien plus nombreux, les ouvriers pouvaient se faire entendre des pouvoirs publics. « Mais quand nous ne sommes que vingt par entreprise, nous ne recevons aucun soutien. »

En 2010, la jeunesse des usines s'est soulevée, « même si les médias occidentaux ont exagéré le phénomène », commente la chercheuse Luo Siqi. Parti de l'usine Honda de Foshan, à quelques kilomètres de Canton, le mouvement de grève a rassemblé soixante mille ouvriers et stagiaires de l'industrie automobile autour du slogan : « Nous voulons 800 yuans de plus ! », alors qu'ils gagnaient en moyenne 1 500 yuans (200 euros) par mois, selon la chercheuse (7). Les protestataires avaient fini par obtenir gain de cause, mais l'insatisfaction des mingong perdure. « L'ancienne génération ne se plaignait pas, confirme Zhang. La nouvelle, mieux formée, a plus de moyens de lutter. Elle est également plus courageuse. Si les jeunes savent qu'ils sont dans leur bon droit, ils osent s'opposer à leurs patrons. » M. Crothall se montre moins enthousiaste : « Il y a quatre ou cinq ans, nous avons atteint un effet de seuil. Aujourd'hui, les patrons réalisent que la situation économique est très différente de l'époque où le pays connaissait une croissance à deux chiffres. »

Son smartphone en main, Zhang raconte qu'il passe ses soirées sur les réseaux sociaux et dans le groupe de conversation qui rassemble sa famille et ses proches. Il dort et mange à l'usine. De son salaire, il ne dépense presque rien. « Ma femme et mon fils vont bientôt me rendre visite pour quelques mois. En attendant, je dois mettre assez d'argent de côté pour louer un appartement plus grand. » Malgré les difficultés, les jeunes parents sont de plus en plus nombreux à vouloir recréer la cellule familiale en ville.

Alors que son garçon de 10 ans se renverse une briquette de lait de soja entre les orteils, Dai se rappelle pourquoi elle a décidé de le faire venir à Canton. « Mes parents s'en occupaient mal. Ils lui donnaient à manger et faisaient ses lessives, mais ce n'était pas assez. L'an dernier, dans notre village, j'ai surpris mon fils en train d'essayer la cigarette. J'étais folle de rage. Même si je savais que ça me coûterait très cher, il fallait que je le reprenne en main ! », s'amuse-t-elle. Constat similaire pour M. Dan Yuong, ouvrier lustreur originaire du Guangxi voisin : « Avant de venir ici, mon fils de 8 ans ne savait ni lire ni compter jusqu'à cent. Je l'avais confié à mes parents, mais ils étaient trop âgés pour bien s'occuper de lui. » Arrivé il y a trois mois, le garçon n'est toujours pas scolarisé. En journée, M. Dan le confie à la garderie. Chaque soir, après le travail, il est obligé de lui apprendre à lire et à écrire sur la table basse de son studio. Il espère pouvoir bientôt l'inscrire à l'école à Canton.

Des jeunes jouent au basket dans une école du quartier de Baiyun Loup Espargilière

Dans les grandes villes, la situation progresse, mais la scolarisation des enfants de mingong relève encore du parcours du combattant. L'obstacle vient du hukou. Ce passeport intérieur, mis en place sous Mao en 1958 pour contrôler les mouvements de population, instaure une différence de statut entre les natifs des villes et ceux des campagnes. Il restreint l'accès aux services publics pour ces derniers et rend difficile l'accès à l'école pour leurs enfants. Des tentatives d'assouplissement ont eu lieu ces dernières années, comme dans le district de Baiyun, à Canton, en 2012 : une certaine ancienneté de résidence, des contributions financières au système éducatif, du bénévolat ou un don de sang permettent d'accumuler des points qui favoriseront l'accès aux écoles publiques. Des conditions impossibles à remplir pour une grande partie des mingong, contraints de se tourner vers les établissements privés.

Problème : ceux-ci sont débordés face à l'explosion de la demande. « La capacité d'accueil n'est pas à la hauteur », reconnaît M. Ling Yuming, directeur de l'école de Huijiang à Canton, dont les 2 600 places sont occupées à 98 % par des enfants de migrants. « Dans le privé, la qualité de l'enseignement ne vaut pas celle des écoles publiques, déplore quant à elle une institutrice de l'établissement. Ici, la majorité des enseignants sortent d'écoles techniques. Dans le public, en ville, ils ont un niveau universitaire. »

Depuis 1985, l'école est obligatoire et gratuite pendant neuf ans pour tous les enfants chinois scolarisés dans la zone de leur hukou. Pour ceux qui vivent en ville, cette gratuité n'est pas garantie de fait. Dans le privé, les frais de scolarité oscillent entre 3 000 et 4 000 yuans (400 et 540 euros) par semestre. L'équivalent d'un mois de salaire moyen pour les migrants (3 072 yuans, soit 420 euros (8)). Seulement une partie est parfois prise en charge par l'État : « Chaque semestre, les élèves reçoivent entre 675 yuans [92 euros] et 1 200 yuans [164 euros] d'aide gouvernementale », indique M. Ling. L'établissement perçoit aussi chaque année 1 million de yuans (137 000 euros) pour améliorer ses moyens d'enseignement. Des mesures insuffisantes, selon le directeur : « Le système de points [introduit lors de l'assouplissement des règles du hukou] est une bonne chose, mais le gouvernement doit davantage aider les mingong. Ils apportent énormément à la Chine, mais ils ne peuvent pas mener une vie décente. C'est injuste. »

La tête pleine de projets

« Ce n'est ni juste ni injuste, ce n'est pas la question », considère Zhang. Lui-même ne veut pas du hukou de Canton, ni que son fils vienne y faire ses études. Il a accepté la vie urbaine avec résignation, mais il compte les jours. Il attend d'avoir mis suffisamment d'argent de côté pour payer la dot dont son fils devra s'acquitter quand il sera en âge de se marier. « Quand mon fils sera plus grand, je travaillerai plus dur », promet-il. Puis il rentrera dans le Guangxi. Pour l'heure, il tue le temps en lisant des romans de kung-fu sur son smartphone.

« Couci-couça » : voilà comment Dai résume ce qu'elle pense de sa vie cantonaise. « Je n'ai pas à me plaindre. Je ne compte pas changer de travail tout de suite. Avec le déclin de l'économie, j'aimerais ouvrir mon propre commerce, vendre de la nourriture, par exemple, mais je ne sais pas comment faire », répond-elle avec légèreté.

Depuis son studio de vingt mètres carrés, si proche de l'immeuble d'en face qu'il peut le toucher par la fenêtre, M. Wu Erwei attend patiemment son heure. En dix ans à Canton, il a multiplié les contrats dans l'industrie textile, et sa vie gravite autour de celle de l'usine. Il habite seul et ne se sent pas intégré à la ville. Il lâche, désabusé : « Les mœurs locales sont trop différentes des miennes. » Lorsqu'il rentre chez lui, il se connecte à Internet. Il y a découvert que les filles russes sont « très belles », « plus ouvertes » et « moins matérialistes » que les Chinoises, énumère-t-il en comptant sur ses doigts. Il espère en rencontrer une. Un jour, s'il en a les moyens, il rentrera au Hunan fonder son usine. Pour réaliser son rêve, il ne compte pas sur le Parti : « Le “ rêve chinois” [slogan politique de l'actuel président Xi Jinping] n'a pas beaucoup de sens. Surtout pour les gens ordinaires comme moi. »

De l'espoir, Tang, elle, en a à revendre. À 18 ans, elle a été successivement manucure, caissière et coiffeuse. En ce moment, elle passe entre treize et quatorze heures, chaque jour de la semaine, à servir les clients d'un restaurant de grillades pour un salaire de 3 000 yuans (400 euros) par mois. « Je ne travaille pas pour l'argent, mais pour l'expérience », assure-t-elle, un large sourire aux lèvres. Ses parents ont quitté le Fujian pour ouvrir une supérette à Canton. Ils lui ont donné naissance ici, avant de la renvoyer faire une partie de sa scolarité dans leur province natale. Revenue il y a dix ans afin de poursuivre ses études, elle appartient à cette dernière génération pour qui la vie en ville s'est imposée comme une évidence. Avec son pantalon noir évasé et ses accessoires assortis à son tee-shirt blanc imprimé, elle est la Cantonaise type. Comme Zhang, Dai et les autres, elle a la tête pleine de projets. Elle voudrait ouvrir un jour une échoppe de thé glacé. « Absolument certaine » qu'elle aura une vie plus facile que ses parents, elle lance avec enthousiasme : « C'est une nouvelle ère ! »

Concours étudiants 2016

L'association des Amis du Monde diplomatique (9), qui regroupe les lecteurs du mensuel, a organisé cette année son cinquième concours destiné aux étudiants, doté de 1 000 euros (10). Le jury, présidé par Denise Decornoy (directrice de collection littéraire) et composé de Mireille Azzoug (maîtresse de conférences hors classe, ancienne directrice de l'Institut d'études européennes de l'université Paris-VIII), Philippe Leymarie (ancien journaliste à Radio France Internationale, animateur du blog Défense en ligne) et Mathieu O'Neil (chercheur, collaborateur du Monde diplomatique), a étudié les 41 reportages et enquêtes reçus. Les cinq meilleurs articles ont été soumis à la direction et à la rédaction en chef du Monde diplomatique. Les lauréats voient leur texte publié ici.

(1) Statistiques 2015 fournies par le China Labour Bulletin, Hongkong, www.clb.org.hk

(2) Bureau national des statistiques de la République populaire de Chine, Pékin, www.stats.gov.cn

(3) « La croissance chinoise au plus bas depuis un quart de siècle », Le Monde, 20 janvier 2016.

(4) « Wages, productivity and labour share in China » (PDF), bureau régional pour l'Asie et le Pacifique de l'Organisation mondiale du travail, Bangkok, avril 2016.

(5) Lire Martine Bulard, « Le Parti communiste aux prises avec le mécontentement social », Le Monde diplomatique, septembre 2012.

(6) Lire Han Dongfang, « En Chine, colère cherche syndicats », Le Monde diplomatique, septembre 2014.

(7) Lire Isabelle Thireau, « Les cahiers de doléances du peuple chinois », Le Monde diplomatique, septembre 2010.

(8) Bureau national des statistiques, www.stats. gov.cn

(9) www.amis.monde-diplomatique.fr

(10) Pour tout renseignement sur le concours 2017 : amis@monde-diplomatique.fr

Les deux photographies n'ont pas été publiées dans la version papier.

11 novembre 1916, création d’un hopital miltaire belge près de Rouen

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:27
À Bonsecours, du 10 au 14 novembre 2016, une série d’animations, conférences et expositions rappellent qu’en 1916 un hôpital militaire belge était créé dans cette commune.   Du 10 au 14 novembre 2016, le centre culturel Le Casino de Bonsecours, sur le plateau est de Rouen (Seine-Maritime), est le cadre d’une exposition et de différentes ...
Categories: Défense

Despite progress, hundreds of children still die of measles every day – UN-backed report

UN News Centre - Thu, 10/11/2016 - 20:24
A United Nations-backed report issued today has revealed that despite a 79 per cent worldwide decrease in measles deaths between 2000 and 2015, nearly 400 children still die from the disease every day.

Alain Juppé expose son opposition à Nicolas Sarkozy

Aumilitaire.com - Thu, 10/11/2016 - 20:23
« N’essayez pas de me ramener à un match de catch avec Nicolas Sarkozy » a prévenu Alain Juppé aux journalistes dans Territoires d’Infos sur Public Sénat et Sud Radio. Mais le maire de Bordeaux a tout de même lancé quelques piques à l’ancien président de la République, à 11 jours du premier tour de ...
Categories: Défense

Economie circulaire : réconcilier croissance et environnement

Institut Montaigne - Thu, 10/11/2016 - 20:06
Date de publication: Jeudi 10 Novembre 2016Couverture: Type de publication: RapportRésumé long: Huit propositions pour un nouveau modèle de croissance compatible avec les équilibres naturels de notre environnement, le développement économique et la responsabilisation des citoyens et consommateurs.

Les livrets des As 1914-1918 sont disponibles !

Après l’Histoire de l’Armée de l’Air et l’Histoire de la Patrouille de France, l’Armée de l’Air et la maison d’édition Quelle Histoire poursuivent leur partenariat pour produire des livrets et un coffret des As 1914-1918.
Categories: Défense

Heydar Aliyev Foundation arranges entertainment program for children - PHOTOS

News.Az - Thu, 10/11/2016 - 20:04
The Heydar Aliyev Foundation has organized an entertainment program for children deprived of parental care and children with Down Syndrome.
Categories: Russia & CIS

MARRAKECH: Cities are striving to play key role in implementing Paris climate accord

UN News Centre - Thu, 10/11/2016 - 20:00
The United Nations Climate Change Conference in Marrakech (COP 22), put its spotlight today on cities, towns and regions around the world that are striving to play a key role in implementing the Paris Agreement, which entered into force on 4 November, including by reducing their carbon emissions.

CEWE FOTÓKÖNYV

PAFI - Thu, 10/11/2016 - 19:58
Ismét Magyarország legszebb CEWE FOTÓKÖNYVÉT keressük!
Categories: Pályázatok

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