Le Figaro / Politique

Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI, le député Insoumis a souligné les désaccords de son parti avec le projet présidentiel, tout en précisant qu'il pourrait voter en faveur de certaines lois.

RÉCIT - Un arrangement inédit aurait été conclu pour obtenir la présidence de cette puissante commission, aux prérogatives nombreuses.

Invité de France info, le député de l'Oise Philippe Ballard a refusé de commenter la décision de la Cour suprême américaine d'annuler la jurisprudence garantissant le droit des Américaines à avorter.

Parmi ces nouveaux visages de l’Hémicycle, deux d’entre eux ont fait campagne au côté de la Nupes, et remporté leur circonscription en éliminant un candidat de la majorité présidentielle.

CONTRE-POINT - L’élection à la présidence de la commission des finances avait toujours été une formalité et le choix de son titulaire une évidence. Cette fois, la bataille qui s’engage révèle les complexités de la nouvelle donne sortie des urnes.

Souvent issus des rangs de LFI et du RN, ils veulent porter la voix de «la réalité».

RÉCIT - Habitués à faire adopter leurs textes sans accroc, les députés macronistes sont désormais obligés de trouver des accords avec les oppositions. Mais ils s’interrogent sur leur stratégie vis-à-vis du RN et de LFI.

PORTRAIT - L’ancien débatteur d’«On n’est pas couché», antispéciste radical habitué aux polémiques, a été élu député Insoumis.

«Je suis à l'action» et «je sais faire preuve de beaucoup de sang-froid», assure la première ministre, bousculée par l'absence d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale. «S'il y a quelqu'un qui pense qu'il est providentiel, j'attends de voir», dit-elle.

RÉCIT - La politique étant souvent liée à la littérature, l’écrivain Marc Lambron convoque les mânes de Flaubert, Hugo, Rimbaud, Beckett et Sartre pour expliquer ou interpréter les caractères, comportements et attitudes de nos acteurs politiques.

ENTRETIEN - Le philosophe et essayiste réfléchit depuis plusieurs années sur les vertus de la démocratie représentative, et la faiblesse des gouvernements. Les travaux pratiques commencent.

CHRONIQUE - Petites phrases et coulisses de la semaine politique, par Carl Meeus.

SONDAGE - 7 Français sur 10 imputent à Emmanuel Macron la responsabilité de l'absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale, selon une étude Odoxa Backbone Consulting pour Le Figaro.

CONTRE-POINT - Emmanuel Macron admet ne pas avoir la main et être dépendant du bon vouloir des formations politiques dans l’espoir d’un accord de coalition ou, plus modestement, d’un appoint au cas par cas.

Le député LFI Éric Coquerel revendique le poste comme la socialiste Valérie Rabault, mais les partis de la Nupes ont décidé de s'entendre pour éviter que la puissante commission ne revienne au RN.

DÉCRYPTAGE - À ce stade, aucun ralliement n’a été officialisé, et les partis ont plutôt tendance à insister sur leur statut d’opposants en position de force.

RÉCIT - Les Républicains, le RN et la Nupes ont opposé une fin de non-recevoir aux demandes de clarification formulées par le chef de l’État. L’impasse demeure.

ANALYSE - En entrant à l’Assemblée nationale avec son important groupe, Marine Le Pen a moins idée de s’opposer au chef de l’État que de lui succéder.

RÉCIT - La réponse à l’intervention télévisée du chef de l’Etat est unanime, même si des nuances existent en fonction des partis.

C'est ce qu'a annoncé le chef de l'État lors de son allocution, hier soir.