Le Figaro / Politique

VIDÉO - Après la démission de Macron, le candidat à la primaire a pointé un affaiblissement de l'autorité de l'exécutif.

LE CONTRE-POINT DE GUILLAUME TABARD - La démission d'Emmanuel Macron est d'autant plus embarrassante pour le chef de l'État qu'elle n'apporte aucune clarification.

INTERVIEW - Pour le président de l'institut Elabe, Bernard Sananès, en démissionnant, le ministre de l'Économie risque de «venir concurrencer le président» sur l'axe politique de la gauche réformiste et du social-libéralisme.

La majorité des partis français approuve la demande de l'arrêt des négociations concernant le traité de libre-échange entre Européens et Américains.

Le président de l'Assemblée de Corse a reconnu un accord avec le ministre Jean-Michel Baylet sur le calendrier, mais il estime que certains aspects financiers doivent être réglés.

RÉCIT - Inconnu du grand public à son arrivée au ministère de l'Économie en août 2014, Emmanuel Macron a toujours rêvé d'une destinée présidentielle.

 

INFOGRAPHIES - À trois mois du scrutin, le décalage reste fort entre la popularité de Juppé, Sarkozy, Fillon, Le Maire, NKM et Copé, et leurs intentions de vote pour la primaire.

Après avoir reçu Emmanuel Macron à l'Elysée, le chef de l'Etat a accepté sa démission et nommé Michel Sapin au poste de ministre de l'Économie.

VIDÉO - En marge du meeting de rentrée de la majorité à Colomiers, Manuel Valls a fait feu sur l'ancien président et appelé la gauche à la «responsabilité».

VIDÉO - Entouré de nombreux ministres, Manuel Valls a prévenu qu'il faudra «dire clairement les raisons de donner un nouveau quinquennat à la gauche» dans l'optique de 2017.

VIDÉO - Le président, qui veut rester au-dessus de la mêlée, fera un grand discours le 8 septembre sur la démocratie, l'État de droit et les valeurs républicaines. Des thèmes qui, croit-il, seront au cœur de la campagne de 2017.

PORTRAIT - L'ancien ministre de l'Intérieur a été nommé à la tête de la Fondation pour l'islam de France.

ANALYSE - Faute de candidat naturel à la présidentielle, gauche et droite se sont soumis à ce mode de désignation qui non seulement transforme les divergences en abysses, mais en plus fournit des arguments à l'adversaire.

VIDÉO - Sarkozy affirme qu'il ne se donnera «pas le ridicule d'attaquer» son ancien premier ministre.

Le contre-point de Guillaume Tabard.

Déterminé à ne jamais se laisser dicter sa ligne de conduite, celui qui va diriger la Fondation pour l'islam de France a claqué de nombreuses portes au cours de sa carrière politique.

Le ministre de l'Intérieur reçoit lundi les membres du Conseil français du culte musulman. Dans un entretien à La Croix, il dit vouloir «réussir la construction d'un islam de France dans le respect des valeurs de la République».

À trois mois de la primaire à droite, le favori et son challenger sont prêts à en découdre et se livrent à de premiers échanges musclés, au grand dam des autres candidats.

Le patron du PS a appelé à refuser «le pacte réactionnaire» incarné par Nicolas Sarkozy.