Comme à la fin de chaque trimestre, l’association Robin des bois éditait en début d’été son bulletin « A la casse » établissant entre autres une liste des navires terminant leurs vies dans les divers chantiers de démolition à travers le monde. A cette occasion, l’association est revenue sur le cas du paquebot Henna, parti pour sa déconstruction sur l’île de Qugang, près de Daishan, en Chine.
Le Goulphar, troisième caboteur de la Compagnie TMC, est en construction aux Pays-Bas. Il sera livré en mars et va permettre à l'entreprise de se diversifier en approvisionnant les GMS, commerces et artisans.
Implantée à Nantes, dans le même bâtiment vétuste que l’Ecole Nationale Supérieure Maritime, l’Ecole Nationale de Sécurité et d’Administration de la Mer (ENSAM) pourrait bien déménager avec l’ENSM sur le site de l’Ecole Centrale, implantée au cœur du campus universitaire nantais. Une solution évoquée la semaine dernière par le directeur de l’ECN, lors de l’assemblée générale de rentrée de l’école d’ingénieurs.
C'est la tradition : depuis le début de la semaine, une hélice de bateau accueille les visiteurs de l'immense centre des congrès de Hambourg à l'occasion du salon SMM. Rendez-vous biennal de l'industrie maritime mondial, il fait autorité depuis près de 60 ans dans le secteur. Et même si le secteur maritime n'est pas au meilleur de sa forme en ce moment, le salon, lui, n'a jamais autant attiré de monde.
L'armement sud-coréen Hanjin Shipping, septième transporteur mondial, a déposé le bilan, suite au refus de ses créanciers de l'aider à faire face à sa dette de 4.79 milliards d'euros. Une bonne partie de sa flotte, qui compte actuellement 79 navires, est immobilisée, soit dans les ports soit au large, par crainte de factures impayées. En tout 540.000 conteneurs sont coincés. Hanjin a demandé son placement en redressement judiciaire aux Etats-Unis pour éviter la saisie de ses navires et négocie avec une quarantaine d'Etats du port pour les mêmes raisons.
Alors que la crise du transport maritime se poursuit, CMA CGM n’échappe pas aux tensions très fortes qui étrillent actuellement le marché du conteneur. Le groupe français, numéro 3 mondial du secteur, a vu son chiffre d’affaires chuter de 18.6% au second trimestre (3.3 milliards dollars) par rapport à la même période de 2015, et accuse 109 millions de dollars de pertes. Cela, malgré une hausse de 0.2% des volumes transportés (3.3 millions d’EVP).
Installé sur 8500 m² au cœur du domaine du château Saint-Léger, à Saint-Germain-en-Laye, iXcampus a été officiellement inauguré le 2 septembre en présence du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Le nouveau site du groupe français iXBlue, spécialisé dans le développement et la production d’outils de haute technologie (navigation, positionnement, imagerie, océanographie), accueille près de 210 ingénieurs et techniciens.
La compagnie danoise Mols-Linien vient de passer commande d’un ferry à Rauma Marine Constructions. Le chantier finlandais a été créé suite à la décision de STX Europe de se séparer de son ancien site (qui employait 600 personnes), vendu en janvier 2014 pour 18 millions d’euros à la ville de Rauma. Un groupe d’investisseurs, soutenus par les collectivités locales, a décidé de relancer la navale, activité séculaire de la cité portuaire finlandaise.
Le système d’alimentation des navires en courant quai de la société française NG3 continue de se développer en Norvège. En mai dernier, un quatrième système a été mis en service au profit des navires de la compagnie Color Line. Cette fois, il s’agissait de fournir le ferry rapide Superspeed 2 lors de ses escales à Larvik. « La capacité d’échange, de 2.5 MVA sous 11 kV est utilisée chaque nuit pendant une huitaine d’heures, évitant une pollution équivalente à celle de 1700 voitures.
La compagnie de croisière MSC Cruises prévoit d’exploiter l’un de ses nouveaux paquebots du programme Vista en Europe du nord à partir de 2019. Le premier navire de la série, le MSC Meraviglia, vient d’être mis à l’eau au chantier de Saint-Nazaire et fera ses débuts en Méditerranée en juin 2017 après son baptême au Havre. La seconde unité de ce type, le futur MSC Bellissima, entrera quant à elle en service au printemps 2019. « L’avantage de cette nouvelle génération de paquebots est qu’ils peuvent être exploités dans tous les ports, y compris à Saint-Pétersbourg.
Cruise360, la grande réunion des professionnels européens de la croisière qui devait se tenir pour la première fois à Marseille le mois prochain, a finalement été annulée. L’évènement a été reporté par ses organiseurs à 2017. En cause, les conséquences du Brexit, qui a ralenti l’activité des agences de voyages britanniques. Or, celles-ci constituaient une part très importante des inscrits (le Royaume-Uni est le premier marché européen de l’industrie de la croisière).
Réalisé sur fonds propres par DCNS et mis à disposition de la flotte française depuis octobre 2011, le patrouilleur hauturier L’Adroit devait être restitué en juillet à son propriétaire. Seulement voilà, bien qu’à l’état-major de la marine on ait largement fait savoir ces derniers mois que l’expérience n’irait pas plus loin que l’été, la convention de prêt a finalement été prolongée pour la troisième fois. Le bâtiment continuera donc d’opérer au sein de la Force d’Action Navale au moins jusqu’en juillet 2017.
Pour nos lecteurs qui n’auraient pas vu le rectificatif apporté à notre article du 2 juin sur l’Anwar el-Sadate, le second bâtiment de projection et de commandement égyptien, parti jeudi dernier, doit rentrer ce mardi de sa seconde sortie d’entrainement et de formation de son équipage. Elle suit une première campagne en mer d’une semaine, qui s’est déroulée fin août au large de Saint-Nazaire et que nous avions par erreur présentée comme étant la dernière.
En provenance de Brest, l’ex-patrouilleur La Railleuse a été remorqué par le TSM Bréhat jusqu’au Havre, où il va être déconstruit par Gardet et Debezenac. Retiré du service il y a cinq ans, ce bâtiment fait partie d’un important lot de vieilles coques de la Marine nationale dont le démantèlement a été confié à l’été 2015 au chantier normand.
L'ex-La Railleuse en remorque du TSM Bréhat @ FABIEN MONTREUIL
@ FABIEN MONTREUIL
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L’épave du paquebot Costa Concordia a navigué une dernière fois le 1er septembre à Gênes. Le reste de la structure a été remorquée vers le bassin numéro 4, où son démantèlement va s’achever. Un court trajet d’à peine 2 milles, placé sous haute surveillance et réalisé à l’occasion d’une fenêtre météo favorable.
Du 20 mars 2017 au 24 avril 2017, le Zénith restera aux Antilles et continuera de parcourir les mers turquoises des Caraïbes avec six nouveaux départs en formule tout inclus (vols A/R Paris Saint-Martin compris).
L’itinéraire concerné est le programme : « Iles Caraïbes ».
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Moins de 10 mois après sa mise sur cale, le paquebot MSC Meraviglia est sorti samedi, au petit matin, de son berceau au chantier STX France. Le navire de 315.8 mètres de long pour 43 mètres de large à la flottaison (51.8 au niveau des superstructures) avait été mis à l’eau dans la nuit après le remplissage de la forme B, débuté peu après 18 heures, la veille, à l'issue d'une cérémonie organisée par MSC Cruises.
Naissance d’une nouvelle génération de paquebots, confiance renouvelée dans les chantiers nazairiens avec un plan d’investissement sur 10 ans, discussions pour passer la flotte sous pavillon français… Les liens sont de plus en plus étroits entre MSC Cruises et l’Hexagone. Il faut dire que l’histoire de la compagnie de croisière est intimement liée à Saint-Nazaire, où l’intégralité de sa flotte, soit 12 unités actuellement, a été construite.