A jó néhány évvel ezelőtt félbeszakadt Alkotók sorozat fonalát újra felvéve, ezúttal egy művész hagyatékának néhány darabja következik. Ma már alig emlékszik valaki Tankó Béla grafikusművészre, aki az ötvenes évektől kezdődően a nyolcvanas évek elejéig alkotott. Számos, a kor elvárásainak megfelelő vállalati arculat, könyv és társasjáték grafikája került ki a keze alól. Mielőtt alkotó tevékenységét megkezdhette volna, Tankó Béla a Magyar Királyi Honvédség állományában teljesített katonai szolgálatot. Túlélte a háborút, 1982-ben, 60 évesen hunyt el.
The establishment of a new Loss and Damage Fund and Funding Arrangements at COP27 and the Fund’s operationalization and initial capitalization at COP28 were milestones in the UN climate regime. The World Bank engaged in the Transitional Committee (TC) process as a potential host and trustee for the Fund, a member of a new “High-Level Dialogue,” and a direct provider of loss and damage (L&D) support. The implementation of the Fund and Funding Arrangements—the mosaic—is the first big test of the World Bank’s commitment to evolving its policies, practices, and relationships.
This paper discusses the World Bank’s engagement with loss and damage, including the context of broader reforms aiming to modernize the Bank, such as the Bank’s Evolution Roadmap, which identifies three guiding elements for the Bank’s evolution: a new mission and vision, a new playbook, and new resources. One of the key components of the Bank’s evolution is the introduction of climate-resilient debt clauses (CRDCs) or “pause clauses.” Pause clauses feature prominently in recent initiatives to reform the international financial architecture, such as Bridgetown 2.0, the Africa Climate Summit’s Nairobi Declaration, and the Vulnerable Twenty Group’s (V20) Accra-Marrakech Agenda.
The paper also discusses the debate over the World Bank’s hosting of the Fund and the set of conditions and safeguards, determined by developing countries, that the Bank would have to meet in order to host the Fund. Finally, the paper discusses priority actions for the High-Level Dialogue, including resource mobilization, institutional protocols, and the losses and damages of the future.
(B2) L'opération maritime militaire européenne au large de la Somalie a confirmé lundi (15 avril) la libération des 23 membres d'équipage du navire marchand Adbullah et du navire. Mais elle n'a rien précisé sur les conditions de cette libération.
Le navire Abdullah escorté par les navires européens (Photo : EUNAVFOR Atalanta)
Un vraquier du Bangladesh suivi à la trace par Atalanta
Ce navire qui transportait plus de 55 000 tonnes de charbon du Mozambique vers les Émirats arabes unis (1) avait été capturé le 12 mars dernier (lire : [Actualité] Un navire bangladais piraté dans l’Océan indien. Ancré au large de la Somalie). Tout au long des 32 jours de captivité des marins, EUNAVFOR Atalanta « s'est activement engagée », assurant notamment la surveillance continue du navire, indique le QG de l'opération à La Rota.
Une rançon de cinq millions de dollars
Cette libération n'est pas inopinée. Les propriétaires bangladais auraient payé une rançon de 5 millions de dollars (environ 4,7 millions d'euros), indique l'agence de presse Reuters. « L'argent nous a été apporté il y a deux nuits. Comme d'habitude... nous avons vérifié si l'argent était faux ou non. Ensuite, nous avons divisé l'argent en groupes et sommes partis en évitant les forces gouvernementales », a déclaré Abdirashiid Yusuf, l'un des pirates à l'agence britannique.
Versée par avion
« Un avion a largué trois sacs remplis de dollars américains sur le navire » a précisé Fahmida Akter Anny l'épouse du capitaine du navire, Mohammed Abdur Rashid à l'Agence France Presse, repris par le Marin. « Les pirates nous ont appelés lorsqu'ils sont arrivés près des côtes somaliennes ». Et l'un d'eux parlait anglais, a confirmé dimanche Meherul Karim, PDG de KSRM aux journalistes à Chittagong, au Bangladesh. « Il a communiqué avec nous jusqu'à ce que nous finalisions les négociations », a-t-il ajouté. Ne voulant pas confirmer le montant de la rançon.
Une autre libération
Selon nos informations, un autre navire, le Al-Kambar battant pavillon iranien, capturé le 28 mars a été libéré également, peu de temps après sa capture.
(Nicolas Gros-Verheyde)
La famille Đukanović a perdu le pouvoir, mais pas la main. Même si les bénéfices des nombreuses sociétés appartenant à Milo, son frère Aco et son fils Blažo ont chuté entre 2022 et 2023, les investissements se concentrent dans des secteurs plein d'avenir comme l'énergie solaire ou la station de ski de Kolašin.
- Articles / Monitor (Monténégro), Monténégro, Corruption Monténégro, Economie, Politique intérieure, Défense, police et justice