par Yazid Alilat
L’Algérie, troisième importateur de poudre de lait au monde derrière la Chine et le Mexique, est en train de mettre en place une stratégie efficace pour s’affranchir des importations.C’est ce qu’a laissé entendre, hier lundi, le directeur général de l’Office national interprofessionnel du lait (ONIL), Mourad Alim.
Il a expliqué dans une intervention à la Radio nationale que «nous avons mis en place une stratégie de développement de la production du lait avec l’installation, le 12 février denier, du Conseil national interprofessionnel du lait (CNIFLAIT)». Le CNIFLAIT a pour mission, a-t-il dit, «de gérer la filière avec différents secteurs du lait (producteurs, collecteurs et laiteries)». M. Alim a rappelé que «le développement de la production laitière est une industrie très importante, la plus grosse de l’agriculture», avant de souligner que «nous avons 900.000 vaches laitières, 1/3 moderne, et le reste sont des vaches laitières locales.
En plus, nous avons 200.000 producteurs laitiers». Pour les approvisionnements en poudre de lait, il a affirmé que «nous sommes à l’heure actuelle à près de 600 millions de dollars d’importations, et on était il y a trois ans à 400 millions de dollars. Nous importons une moyenne de 200.000 tonnes de poudre de lait par an, alors que le secteur privé et les laiteries importent 60% de la facture de lait, et vont directement vers les dérivés du lait». C’est ce qui explique, a-t-il indiqué, que «la facture des importations du lait atteint 1,3 milliard de dollars». Selon le DG de l’ONIL, «60% des importations de poudre de lait sont entre les mains du secteur privé». Pourtant, la production locale de lait cru peut atteindre de bons niveaux de rendement, explique-t-il, car il y a dans le sud du pays «des exploitations avec des élevages de 200, 300, voire 1.000 vaches laitières». D’autre part, il a souligné que l’Etat a mis en place des mesures incitatives pour le développement de la filière, dont des primes de 12 DA/l pour les éleveurs, de 5 DA/l pour les collecteurs, de 4 DA/l pour la laiterie qui utilise la poudre de lait et 6 DA/l pour les laiteries qui utilisent le lait de vache cru, en plus des aides pour le matériel d’irrigation, de traction et de mise en place des étables. Dans ce schéma de production, le DG de l’ONIL a indiqué qu’il y a au niveau national trois groupes d’appui à la production d’élevage (Gapel) installés dans les bassins laitiers de Souk Ahras, à Blida et Relizane. Pour atteindre les besoins de la demande nationale en lait, il a expliqué par ailleurs que «nous avons besoin de 200.000 têtes bovines, qui produiraient autour de 20 litres/jour par vache, et donc une moyenne de 6.000 l/an». «C’est faisable à moyen terme», estime-t-il, et «on pourrait régler le problème de l’importation de la facture de lait». «Nous avons de très bons élevages à Naâma et Adrar», a-t-il ajouté, avant de souligner que «l’adaptation de la vache moderne au sud du pays permet d’atteindre les 90 l/an par habitant.
Cela peut être atteint et peut se faire très facilement, car nous produisons actuellement 70% de nos besoins». D’autre part, M. Alim a indiqué que le sachet de lait à 25 dinars pose des problèmes pour ceux qui font de l’élevage, car «tous les laits produits en Algérie partent vers les produits dérivés, c’est très lucratif». Il a annoncé également qu’il n’y aura pas de hausse du prix du lait, qui reste à 25 dinars.
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La valeur de la production agricole nationale a atteint, l’an dernier, plus de 3.000 milliards DA, a indiqué jeudi à Mostaganem le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazgui.
Intervenant lors d’un colloque national sur la filière maraichère, organisée à l’université « Abdelhamid Ibn Badis » de Mostaganem, le ministre a souligné que la production nationale végétale et animale a atteint, en 2018, plus de 3.000 milliards DA dont 29 % pour le maraîchage.
La production nationale de maraîchage a augmenté 5 à 6 fois plus dans les vingt dernières années et pas seulement pour ce qui est de la pomme de terre et de la tomate mais d’autres variétés qui ne sont plus importées de l’étranger, a-til fait savoir, signalant que cette a atteint, l’année dernière, 152 millions de quintaux contre 38 millions q en 2000, relevant le ratio de consommation à 320 kg/an par personne.
La production nationale de pomme de terre est passée de 12 millions qx en 2000 à 47 millions q en 2018, celle de la tomate de consommation de 4 millions à 14 millions q à la même période, a indiqué Abdelkader Bouazgui. Il a par ailleurs affirmé que le secteur agricole a franchi, dans les vingt dernières années de grandes étapes et a connu une mue quantitative et qualitative et une diversification du produit. « Aujourd’hui nous n’importons plus de fruits et de légumes et nous exportons même de petites quantités », a-t-il déclaré.
Par la même occasion, le ministre a appelé les agriculteurs à produire 10 à 15 % plus pour doubler les capacités d’exportation dans les prochaines années, surtout que les produits algériens ont une bonne place sur les marchés européens et d’autres, soutenant que la filière maraichère sera le fer de lance de l’agriculture et de l’économie en Algérie.
Abdelkader Bouazgui a inspecté, lors de la deuxième journée de sa visite dans la wilaya de Mostaganem, la ferme pilote de l’arganier relevant de la fondation méditerranéenne de développement durable « Djanattu El Arif » à Debdaba (commune de Sayada), ainsi qu’une exploitation agricole de production de plants et arbustes pour une capacité de 130 millions d’arbustes par an et la forêt de divertissement et de repos d’El Fnar (Phare) dans la commune de Benabdelmalek Ramdane, d’un coût de réalisation de 790 millions DA.
La wilaya de Mostaganem occupe la 4e place au niveau national en terme de valeur de production nationale (121 milliards DA) et la 14e en terme de croissance avec 9,6 % pour une production de plus de 15 millions q de produits végétaux et animaux dont 11 millions q de maraîchage.
Installation du Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchère
Le ministre, a par ailleurs présidé, l’installation du Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchère.
Lors de la cérémonie d’installation, M. Bouazgui a indiqué que la structuration du secteur agricole a permis, à ce jour, d’installer 572 conseils de wilayas interprofessionnels de différentes filières agricoles, signalant que son département ministériel a procédé à l’installation de 20 conseils nationaux interprofessionnels de l’agriculture.
« Cette opération intervient suite aux instructions du Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, qui avait affirmé lors des assises nationales sur l’agriculture, que le secteur a besoin de structuration et d’organisation qui permettent la modernisation de l’agriculture et sa promotion en tant qu’alternative aux hydrocarbures », a souligné le ministre, soutenant que la structuration de l’agriculture permettra la création d’un cadre propice pour améliorer la production.
Abdelkader Bouazgui a exhorté le Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchage à s’engager à cesser l’importation des semences dans les délais impartis afin de maîtriser le produit dans tout le processus technique, à augmenter les opérations d’exportation et à développer les industries agroalimentaires et de transformation.
« Nous importons 25 % (entre 115.000 et 120.000 tonnes) de nos besoins nationaux en semences de pomme de terre et nous comptons mettre fin à l’importation de ces semences dans trois ans et finir aussi avec l’importation des semences d’autres produits maraîchers », a-t-il déclaré dans ce sens. Pour sa part, le président du Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchère, Bachir Naga Abdelkader, a affirmé que cet organisme constituera un espace de concertation et de dialogue entre différents intervenants, déclarant « nous nous engageons d’accompagner les producteurs et prendre en charge leurs préoccupations. »
M. Bachir Naga a souligné que le Conseil œuvrera à développer cette filière en augmentant la superficie agricole, adoptant les techniques modernes, développant les industries de transformation, améliorant la qualité du produit, l’adaptant aux normes et l’orientant vers les marchés étrangers.
Ce conseil aura un rôle de créer un espace d’information et de concertation avec les pouvoirs publics par la revue « Khoudraouate bladi » (Maraîchers de mon pays) dont le premier numéro a été publié, ainsi que des espaces électroniques qui renforceront la communication et une banque de données nationale sur le maraîchage. Lors de la cérémonie d’installation, une convention de coopération a été signée entre le Conseil national interprofessionnel de la filière maraîchère et la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA).
Recenser des espaces forestiers pour leur exploitation
M. Bouazgui a insisté, sur le recensement des espaces forestiers vagues pour leur exploitation dans le domaine agricole.
Dans une déclaration à la presse en marge de sa visite de travail et d’inspection dans la wilaya de deux jours, M. Bouazgui a souligné qu’il ne faut laisser inexploitée aucune parcelle dans aucune wilaya, que ce soient des terres agricoles ou des espaces forestiers ou même relevant de la pêche pour contribuer à une agriculture forte.
Le ministre a déclaré qu’il faut recenser des terres relevant du secteur des forêts inexploitées et non plantées pour les attribuer aux jeunes désirant investir surtout en arboriculture fruitière qui s’adapte à l’espace forestier.
A cet effet, Abdelkader Bouazgui a exhorté les responsables du secteur des forêts à collaborer avec les collectivités locales pour recenser les jeunes désirant investir dans ce domaine et à les encadrer en coopératives afin de résorber le chômage d’une part et préserver la forêt et accroître la production agricole d’autre part.
Le ministre a souligné que la forêt produit des fruits ayant un impact écologique et peuvent contribuer à l’augmentation de la production agricole et des industries de transformation à l’avenir.
M. Bouazgui a inspecté, lors de la première journée de cette visite, une exploitation agricole de production d’arbrisseaux de maraichers au bassin de Hassiane (Sud de Mostaganem) devant produire 30 millions d’arbustes par an pour un investissement de 120 millions DA.
Il a inspecté aussi le projet de réalisation de la forêt de loisirs et de repos sur une aire de 17 ha à El Fnar (Phare) dans la commune de Benabdelmalek Ramdane (Est de Mostaganem), où il a instruit les opérateurs économiques bénéficiaires de permis d’exploitation de ces espaces boisés du respect des engagements contractuels du projet notamment les délais de éalisation et l’application des cahiers de charges.
A.K.
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Des chutes de neige sont prévues aujourd’hui mardi, sur les reliefs de l’est du pays dépassant les 900 mètres d’altitude, selon un Bulletin météorologique spécial (BMS),
de l’Office national de météorologie (ONM). Ces chutes de neigeaffecteront les wilayas de Batna, Khenchela, Tébessa, Oum El Bouaghi et Souk Ahras, où l’épaisseur de la neige cumulée devrait atteindre ou dépasser localement 15 cm, durant la validité de ceBMS en cours mardi de 3h à 12h, précisela même source.
Par : R. N.The post Alerte météo : Retour des chutes de neige à l’est du pays appeared first on .
Le jeune attaquant algérien Said Benrahma a frappé fort en Champion’ship samedi, soir en inscrivant un Hat-trick (33′, 43′,81′) lors de la 23ème journée face à Hull City.
Logiquement désigné homme du match, l’ancien niçois a permis à son équipe de s’imposer sur un score large de (5-1). Benrahma augmente son compteur à 10 réalisations, toutes compétitions confondues, cette saison et envoie un message fort au sélectionneur national Djamel Belmadi à un mois du prochain rassemblement des Verts. Titulaire sur le côté gauche de l’attaque de Brentford, club qu’il a rejoint l’été passé, lors de la réception de Hull City, l’ailier algérien Saïd Benrahma a réalisé une prestation énorme.
Malgré un début difficile après le but des visiteurs à la 24e minute de jeu, Brentford est revenu dans le match quelques minutes après grâce à un but de son milieu terrain Mokotjo après un superbe travail de Said Benrahma (28e). Ce dernier donne l’avantage aux siens d’un but somptueux après avoir dribblé plusieurs joueurs dans la surface (33e), avant d’en ajouter un autre juste avant la mi-temps après avoir reçu un ballon dans la surface qu’il a concrétisé par une frappe immédiate avec son extérieur du pied qui ne laisse aucune chance au gardien (43e), score de la première période 3-1 pour Brentford.
En deuxième mi-temps les abeilles ont un peu reculé pour conserver leur avantage et compter sur les contre-attaques rapides, ce qui a donné un autre but pour Brentford grâce à l’attaquant français Maupay à la 52e minute, une demi-heure après, Benrahma revient encore une fois et marque son troisième but d’une superbe frappe enroulée qui a laissé le gardien scotché sur sa ligne (81e) . Après ce magnifique triplé et sa passe décisive, Benrahma a été remplacé sous une énorme ovation du public, score final 5-1 pour Brentford qui remonte à la 16e place et un Benrahma tonitruant impliqué dans 18 buts en Championship cette saison (7 buts et 11 passes décisives).
De quoi lui permettre d’avoir des ambitions des plus légitimes pour aspirer à retrouver la sélection algérienne dès le mois de mars prochain, au cours duquel les Verts joueront deux matchs contre la Gambie et la Tunisie devant être décisifs dans le choix des 23 joueurs qui seront concernés par la CAN-2019 prévue l’été prochain en Egypte.
Hakim S.
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Le président de la Fédération algérienne d’escrime, Raouf Bernaoui, s’est félicité des «progrès notables» réalisés par l’escrime algérienne au plan africain, après la deuxième place obtenue par l’Algérie au championnat continental «jeunes catégories» dans les trois armes (Epée, fleuret, sabre) clôturé vendredi à Alger.
«Aujourd’hui, l’escrime algérienne s’est hissée au deuxième rang africain juste derrière l’Egypte, après avoir occupé auparavant la troisième place derrière le Sénégal», a affirmé Raouf Bernaoui à l’APS, en marge du championnat d’Afrique «jeunes catégories» filles et garçons, tenu à la salle Harcha-Hacène d’Alger, remportée par l’Egypte devant l’Algérie qui a récolté 28 médailles (5 or, 10 argent et 13 bronze). Le tournoi continental d’Alger a été marqué, selon le président de la Fédération algérienne, par la domination de l’Egypte et de l’Algérie qui «ont remporté la plus grosse part des médailles mises en jeu, ce qui illustre notre avancée notable dans la hiérarchie africaine».
Louant la prestation des escrimeurs algériens lors de la compétition d’Alger, Bernaoui a estimé que la révélation de la saison, est incontestablement l’athlète Nora Kahli qui, malgré sa blessure, a atteint les quarts de finale «sabre-juniors», sachant que cette athlète a fait sensation lors des récents championnats méditerranéens en décrochant une médaille d’or. Il a également mis en exergue les qualités et potentialités affichées par quelques jeunes athlètes, à l’image Fellah Adam Dani et Meriem Mebarki (Fleuret) qui se sont brillamment illustrés.
Bernaoui a expliqué l’importante présence d’athlètes issus de la catégorie minimes (garçons et filles) par la volonté de la FAE de «les mettre dans le bain et les faire gagner en expérience», ajoutant que personnellement, il a été «très satisfait de leur rendement», surtout que les concernant, «le but principal n’était pas en premier lieu de gagner des titres, mais de se frotter au haut niveau» et de s’aguerrir ainsi en prévision de l’avenir. Le président de la FAE a évoqué par la même occasion sa «joie» de revoir l’international junior en fleuret masculin Salim Haroui «revenir à son meilleur niveau», lui qui a été absent pendant deux ans à cause d’une blessure.
Certes, Haroui s’est contenté de la médaille d’argent lors de ces championnats d’Afrique, après sa défaite en finale, toujours est-il que son rendement a épaté Bernaoui. «Haroui a perdu contre l’Egyptien Hamza Mohamed, qui n’est autre que l’actuel champion du monde de la catégorie. Donc, pour un retour, après deux ans d’absence, sa médaille d’argent peut-être considérée comme un très bon résultat» lui a-t-il accordé comme circonstances atténuantes.
Relance de l’Union nord-africaine et organisation de championnats U13 et U15
Dans un autre registre, Bernaoui a annoncé la relance de l’Union nord-africaine d’escrime (UNAE), comportant quatre pays membres, à savoir : l’Algérie, l’Egypte, la Tunisie et la Libye. «C’est un grand pas que nous venons de franchir avec la relance de cette instance, surtout que cela permettra l’organisation de compétitions nord-africaines pour les moins de 13 ans et les moins de 15 ans», a-t-il ajouté, en précisant que la direction de l’UNAE sera périodique. C’est-à-dire que les pays membres se succèderont à tour de rôles sur sa présidence.
Celle-ci «commencera par l’Egypte» avant de passer dans un autre pays, au moment où «le secrétariat général sera assuré à partir d’Alger, par le biais de Hocine Ameziane», a-t-il encore précisé. L’Algérie et l’Egypte ont profité de l’occasion pour signer un accord de partenariat, ciblant à promouvoir la discipline à travers l’échange d’expériences, aussi bien en termes d’athlètes, d’entraîneurs et d’arbitres. «On se réjouit de la signature de cet accord avec l’Egypte, car elle représente un vrai pôle de l’escrime en Afrique.
Ce partenariat devrait donc nous apporter énormément» a espéré Bernaoui, qui a confié au passage avoir d’autres propositions de partenariat après l’accord signé déjà avec l’Italie, qui est aussi une grande nation d’escrime. Un total de 300 athlètes (garçons et filles) représentant 12 pays ont pris part à cette étape d’Alger, comptant pour les Championnats d’Afrique des jeunes catégories (trois armes). Il s’agit de l’Algérie (pays organisateur), la Tunisie, le Maroc, l’Egypte, le Nigeria, le Ghana, le Cameroun, l’Afrique du Sud, la RD Congo, la Libye, le Mali et le Sénégal.
L’Algérie a engagé un total de 54 athlètes, dont 27 filles, qui étaient encadrés par un staff de six entraîneurs, à savoir : Chahira Soudani et Anis Hamami (fleuret), Ahmed Ben Yahia et Zoheïr Terkhani (épée), ainsi que le Sénégalais Mamadou Keita et la Sud-Coréenne Shin Me Lee (sabre).
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Kim Jong-un traverse la Chine pour le sommet avec Donald Trump à Hanoï. Un long voyage, qui n’est pas le premier, de soixante heures dans son train blindé.
Son train blindé est arrivé samedi soir en Chine. À quelques jours du deuxième sommet avec Donald Trump, Kim Jong-un pourrait parcourir une distance de près de 4 000 kilomètres par le rail. Un voyage qui représenterait une soixantaine d’heures pour le dirigeant nord-coréen. Kim Jong-un s’était déjà rendu en janvier à Pékin à bord d’un train blindé vert olive barré d’un liséré jaune. La locomotive et les wagons ressemblaient à ceux qu’il avait empruntés en mars 2018 afin de se rendre dans la capitale chinoise pour ce qui était sa première visite officielle à l’étranger.
Ses prédécesseurs, son père Kim Jong-il et son grand-père Kim Il-sung, avaient aussi une préférence pour le rail quand il s’agissait de se déplacer, en Corée du Nord comme au-delà. Kim Jong-un prend parfois l’avion. En juin 2018, c’est à bord d’un Boeing 747 prêté par la Chine qu’il s’était rendu à Singapour pour son premier sommet avec le président américain Donald Trump.
Enfance expatriée
Kim Jong-un a poursuivi des études en Suisse dans les années 1980, y compris à l’International School de Berne, aux côtés de son frère et de sa sœur. Durant cette période, il se serait rendu en France et en Allemagne. D’après des informations non confirmées de la presse sud-coréenne, Jong-un et son frère Jong-chol ont visité Disneyland Tokyo en 1991, se servant de faux passeports. Son demi-frère Jon-nam – assassiné en 2017 à l’aéroport international de Kuala Lumpur lors d’une opération largement imputée à Pyongyang – avait tenté de faire de même en 2011, muni d’un passeport de la République dominicaine, mais avait été intercepté par l’immigration japonaise.
En 2011, Kim Jong-un aurait accompagné son père en train jusqu’en Chine. Mais jusqu’à sa visite à Pékin l’année dernière, on ne lui connaissait pas d’autre déplacement officiel à l’étranger. En 2015, le Kremlin avait annoncé que Kim Jong-un assisterait aux cérémonies célébrant les 70 ans de la victoire alliée dans la Seconde Guerre mondiale. Finalement, le voyage avait été annulé sans qu’aucune raison ne soit donnée.
Peur de l’avion
Kim Jong-il détestait prendre l’avion, et se limitait à des voyages en train blindé en Chine et en Russie. En 2011, il effectua un véritable marathon de 6 000 kilomètres qui le conduisit, entre autres, à Pékin, Nanjing et Shanghaï. Onze ans plus tôt, il s’était déjà rendu en Chine, peu avant le premier sommet intercoréen avec le président Kim Dae-jung. Kim Jong-il s’était aussi rendu en train en Russie, à Moscou en 2001, puis dans la ville sibérienne d’Ulan-Ude en 2011, où il avait rencontré le président Dmitri Medvedev.
Un fondateur voyageur
Des trois Kim, le fondateur du pays Kim Il-sung était celui qui sortait le plus souvent des frontières. Il s’était secrètement rendu à Moscou en 1949 pour y rencontrer Staline et demander son soutien en vue de réunifier par la force la péninsule coréenne divisée. L’année suivante, les troupes de Kim Il-sung envahirent le Sud, donnant le départ de la guerre de Corée qui opposa les troupes nord-coréennes soutenues par la Chine et l’URSS et celles d’une alliance de l’ONU emmenée par les États-Unis.
En 1961, le père fondateur était retourné à Moscou, signant avec le secrétaire général Nikita Khrouchtchev un pacte de défense mutuelle. Figure du Mouvement des non alignés, il avait assisté en 1965 à une conférence des pays africains et asiatiques à Bandung, en Indonésie, en compagnie de son fils. En 1990, il était parti en secret en Chine pour discuter selon la presse du réchauffement des relations entre la Corée du Sud et l’URSS.
Son plus long voyage ferroviaire l’emmena en 1984 en tournée en URSS, en Pologne, Allemagne de l’Est, Tchécoslovaquie, Hongrie, Yougoslavie, Bulgarie et Roumanie. Les wagons dans lesquels avaient voyagé Kim Il-sung et Kim Jong-il trônent au mausolée Kumsusan de Pyongyang où reposent également leur dépouille.
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Les épisodes itératifs de forte pluviosité avec en toile de fond des oueds en furie et une extension des zones inondables ont incité les autorités à engager une vaste opération de calibrage «budgétivore» des cours d’eau de la wilaya de Constantine, qui reste néanmoins impactée par des actes d’incivisme préjudiciables.
Nonobstant les efforts consentis par le ministère des Ressources en eau par l’entremise d’une stratégie nationale de gestion des risques d’inondations en injectant des sommes considérables afin de nettoyer les lits des oueds, les pollueurs de tous bords ne désarment pas en se débarrassant à tire-larigot d’une «kyrielle» de déchets qui obstruent les cours d’eau et entrainent, parfois, l’irréparable.
Dès lors, des travaux consistant notamment à traiter les talus et à réaliser des berges avec des matériaux de construction divers tout au long des oueds ont été engagés aux fins de contrer les risques d’inondations. Zakaria Sellam, chef du service assainissement à la direction des Ressources en eau (DRE) de Constantine, a estimé, dans une déclaration à l’APS, qu’un oued calibré réduit à néant les risques de crue et protège les habitations des inondations, d’où l’importance, selon lui, d’effectuer des aménagements et des travaux de calibrage des cours d’eau en tissu urbain.
Il a précisé que le calibrage des 20 cours d’eau recensés à travers le territoire de la wilaya, d’une longueur totale de 267 400 mètres linéaires (ml), nécessite un montant estimé à 24 milliards de DA, rappelant qu’environ 26 000 ml de ces oueds ont bénéficié, jusqu’à fin 2018, de travaux de calibrage et d’aménagement des berges en béton armé. Ces opérations ont notamment ciblé 6000 ml en tissu urbain de l’Oued Rhumel et 6500 ml de celui de Boumerzoug, lesquels s’étendent respectivement sur une longueur totale de 53 000 et 31 500 ml, en plus de l’Oued Mellah (Benchergui) dont les 4000 ml ont été entièrement calibrés, a-t-il indiqué.
Signalant que les travaux de calibrage de l’Oued Rhumel ont été achevés «à 100%», M. Sellam a fait également savoir que l’opération de calibrage de l’Oued Ziad (Hamma Bouziane), d’une longueur totale de 6500 ml, sera lancée au cours de cette année. Ce même cours d’eau (affluent du Rhumel) avait été à l’origine, en septembre 2018, d’importantes inondations occasionnées par des pluies diluviennes au niveau de la cité Ahmed Djebli (ex-El Kantoli), dans la commune de Hamma Bouziane, entrainant le décès de deux personnes sur la RN 27 et faisant plusieurs blessés.
Outre les fortes précipitations, l’incivisme de certains citoyens déversant des déchets inertes (gravats et autres déchets produits par l’activité du BTP) dans les oueds, est également relevé par les responsables du secteur comme un facteur aggravant des risques de crues. Approché par l’APS, le président de l’Assemblée populaire communale (APC) de Constantine, Nadjib Arab, a assuré que les services de la commune prennent des mesures contre les contrevenants à partir du moment où ces derniers sont surpris et identifiés, se traduisant le plus souvent par des poursuites judiciaires. Evoquant, par ailleurs, la problématique des inondations en milieu urbain, observées après de fortes averses de pluie, M. Arab a estimé qu’un volume d’eau trop important qui s’abat sur une région en quelques minutes, peut dépasser, sur le coup, la «capacité d’absorption» des avaloirs et des regards de la ville.
La problématique des malfaçons et de l’incivisme
Du côté de la Société de l’eau et d’assainissement de Constantine (Seaco), des responsables pointent du doigt «les malfaçons» signalées parfois au niveau de certains avaloirs ou regards qui sont totalement «obstrués par des pierres et des gravats lors des travaux de construction». Etant ainsi non conformes aux normes techniques en vigueur, ces avaloirs et regards représentent, a-t-on précisé, une «réelle problématique» à laquelle les services de la Seaco tentent de remédier progressivement en procédant au traitement des dysfonctionnements observés, ajoutant dans ce contexte que plus de 260 points noirs ont été traités en 2018.
Selon cette même source, «l’incivisme de citoyens qui jettent n’importe quoi dans les avaloirs» fait que ces dispositifs, destinés à assurer le bon écoulement et l’évacuation des eaux pluviales, ne puissent pas remplir leur rôle. Des vérifications et des contrôles sont toutefois régulièrement opérés sur l’ensemble du réseau d’assainissement de la wilaya de Constantine, a-t-on ajouté, en vue de l’identification et l’élaboration d’un inventaire relatif aux points de dysfonctionnement visant à mettre en place un programme d’intervention efficient au niveau du réseau.
A ce titre, conformément au programme de lutte contre les crues mis en œuvre chaque année, les services de la Seaco ont procédé au curage de 86 938 avaloirs et regards durant l’année 2018 dans le cadre de la maintenance du réseau d’assainissement à travers la wilaya, a-t-on détaillé. Durant cette même période, les services concernés ont procédé également au curage de 13 749 mètres linéaires (ml) de caniveaux, relève-t-on, en plus de travaux de réhabilitation ayant ciblé 6 269 ml du réseau d’assainissement.
Selon la même source, les équipes de la Seaco ont également opéré 5 910 interventions, durant l’exercice 2018, au niveau des points de dysfonctionnement identifiés ou signalés sur le territoire de la wilaya, et procédé au ramassage de 4 322 m3 de déchets de curage. La Société de l’eau et d’assainissement de Constantine compte un total de 29 294 avaloirs et 17 070 regards, répartis sur un réseau d’assainissement long de 1 500 km, dont l’entretien est assuré par 17 unités d’intervention rattachées à 5 zones d’exploitation, couvrant les 12 communes de la wilaya.
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Dans une missive adressée au directeur de la Radio nationale, Chaâbane Lounakel, des journalistes opiniâtres, travaillant pour le compte des Chaîne III, Chaîne II, Chaîne I et Raj, dénoncent l’impasse imposée par leur hiérarchie sur les marches nationales de protestation organisées vendredi dernier. Les signataires de ce document témoignent «du non-respect de la neutralité dans le traitement de l’information» au sein de leurs rédactions respectives.
Ainsi, ces journalistes, animés par leur devoir professionnel d’informer l’opinion publique, comme tout journaliste qui se respecte, qualifient le silence dicté par la hiérarchie de la Radio nationale sur les manifestations du 22 février de «l’illustration de l’enfer de l’exercice au quotidien de notre métier». Les rédacteurs du document accusent la direction de la Radio de parti-pris en faveur du président-sortant dans le traitement de l’information sur les élections présidentielles. Dès lors, disent-ils, «nous refusons le traitement exceptionnel dérogatoire imposé par la hiérarchie au profit du président et de l’alliance présidentielle et restrictif quand il s’agit de l’opposition».
Dans ce document mis sous le titre évocateur : «Journalistes étatiques ou de service public, quels journalistes sommes-nous ? », ce collectif affirme que le journaliste du service public «a perdu tous les moyens sûrs de sauvegarde de sa dignité.» Et devant cette situation, «il nous reste, nous journalistes de la Radio nationale, le droit de nous disposer nous mêmes», pouvait-on lire sur le document. Et à eux de rappeler encore que la Radio algérienne, en tant que média public, «appartient à tous les Algériens» et non pas uniquement un service à mettre au profit d’une partie au détriment d’une autre.
Autrement, «un média national auquel chaque Algérien doit s’identifier. Notre devoir est de tous les informer», écrivent ces journalistes, qui s’affirment être «le service public» et non pas «journalistes étatiques». Enfin, ce collectif des journalistes, qui disent s’adresser à leur hiérarchie dans «des circonstances d’extrêmes tensions au sein des rédactions», à l’effet qu’elles interviennent pour «apaiser et travailler à l’avenir avec nous dans le seul intérêt d’informer en toute objectivité nos concitoyens.»
Farid Guellil
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Dans l’attente de trancher sur la question de sa participation aux élections présidentielles du 18 avril prochain, le PT a jugé utile de fournir sa propre lecture des manifestations du 22 février dernier. Alors que le Comité central du Parti des travailleurs (PT), devra se réunir le 1er mars prochain en session extraordinaire pour décider de sa participation ou non à l’élection présidentielle, le parti dirigé par Louisa Hanoune a, dans une déclaration rendue publique, à l’issue de la réunion du secrétariat permanant, affirmé que «le peuple s’est réapproprié le droit démocratique et constitutionnel de manifester pacifiquement».
Ainsi, en réaction aux manifestations du 22 février dernier, le PT a soutenu que «le droit de manifester a été confisqué par les gouvernements successifs depuis deux décennies, notamment à Alger sous des prétextes sécuritaires». Par conséquent, le parti de Louisa Hanoune a considéré qu’au cours de «la journée du vendredi, il a été prouvé que le système périmé et putréfié n’a pas réussi à briser les ressorts de la majorité du peuple et donc de la nation».
Tout en soulignant qu’«il s’agit d’un processus politique de recomposition amorçant un tournant politique pour la nation», le Parti des travailleurs a précisé que «comme tout processus, celui-ci ne s’arrêtera pas». «Des centaines de milliers de citoyens ont exprimé, dans une journée historique, l’aspiration profonde au changement, au départ d’un système qui les étouffe depuis des années», a écrit le parti de Hanoune. Toujours dans le rôle de l’opposant, la déclaration du secrétariat permanent a tenu à souligner que «les manifestants ont prouvé et démontré leur union et leur grande capacité d’auto-organisation.
Ils ont empêché toute forme de dérapage et de provocation qui pourrait fausser leur travail historique et ouvrir la voie au chaos et donc aux ingérences étrangères».Ces derniers savent, selon la même source, que «le maintien de la nation est une condition préalable à tout changement positif et légitime à l’avenir». Ainsi, «ils ont affirmé leur engagement en faveur de la paix et de la souveraineté nationale». «Pour le secrétariat permanent du bureau politique du parti des travailleurs, il ne s’agit guère d’un orage d’été, mais d’un contexte qui reflète le profond désir de mettre fin à ce régime, le désir de la majorité d’exercer pleinement sa souveraineté et de vaincre le déclin des institutions étatiques après avoir perdu leur légitimité et leur crédibilité», a encore analysé la même source. Pour le PT, il y a «désormais l’avant 22 février et l’après 22 février 2019».
«Les partisans de la «continuité» assumeront seuls la responsabilité devant toute attitude provocatrice allant à l’encontre de l’aspiration profonde au changement qui s’est exprimée dans tout le pays ce 22 février 2019», a conclu la déclaration du PT. Dans tous les cas de figures, le Parti des travailleurs est plutôt attendu quant à sa décision de participer ou non aux élections présidentielles. Louisa Hanoune avait exprimé son «point de vue personnel», soutenant que «le parti ne doit pas aller, cette fois-ci, à la prochaine élection présidentielle».
Toutefois, elle «se soumettra» à toute décision que prendra le Comité central, prévu pour le 1er mars prochain. Bien que le parti n’ait pas encore pris sa décision finale, il n’en demeure pas moins qu’il a retiré le dossier de candidature, laissant planer le doute jusqu’au début mars, soit à peine trois jours avant la date butoir de dépôt des dossiers auprès du Conseil constitutionnel.
Lamia Boufassa
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Les habitants de la wilaya de Sétif n’ont désormais plus à se rendre dans les wilayas alentour ou dans des cliniques privées pour pratiquer une IRM ou un scanner.
Depuis quelques jours, le CHU Saâdna-Mohamed-Abdenour de Sétif est doté d’un équipement d’imagerie par résonance magnétique (IRM) de dernière génération et d’un scanner, a-t-on appris auprès de la direction de la santé et de la population de la wilaya de Sétif.
Ces équipements sophistiqués ont nécessité une enveloppe de près de 23 milliards de centimes. Outre le personnel existant, le service de radiologie du CHU de Sétif vient de se renforcer par le recrutement de 6 radiologues, 3 médecins hospitalo-universitaires et 3 médecins spécialistes en santé publique, et ce, pour faire fonctionner les appareils et développer ce plateau technique.
Les patients de l’hôpital pourront désormais passer une IRM ou un scanner sur place mais aussi des patients externes, valides ou non valides.
«Nous avons à l’hôpital des personnes âgées, des personnes souffrant de maladies graves, ou des cas d’urgence absolue. Cela ne constitue qu’une partie de la patientèle mais c’est bien qu’ils puissent faire une IRM ou un scanner sur place. L’installation de ces équipements participe à l’amélioration du parcours des patients, à l’économie des frais de transport et à la réduction des délais de prise en charge en imagerie de coupe», affirme le professeur Mourad Baabouche, médecin-chef du service de radiologie.
Notons que l’IRM qui ne fait pas appel à des prélèvements de sang préalables permet d’obtenir des vues en deux et trois dimensions de tout le corps humain et s’applique notamment à l’exploration du système nerveux central pour diagnostiquer les maladies du cerveau et de la moelle épinière, des systèmes musculo-squelettiques, cardiovasculaires et des affections tumorales.
Imed Sellami
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C’est dans le calme absolu et loin de toute contestation de la population locale que s’est déroulée la distribution des 256 logements sociaux-locatifs de Ouled Slama, commune située à 25 kilomètres à l’est de Blida.
Cette attribution sans heurt est une première dans la wilaya d’autant que les habitants de Ouled Slama étaient unanimes à dire que les bénéficiaires étaient réellement dans le besoin de logements puisqu’ils en avaient souffert auparavant.
Cela s’est caractérisé par l’absence d’aucun recours ou de contestation, et ce, jusqu’à l’heure où nous mettons sous presse. Il y a lieu aussi de noter que les élus de l’APC de Ouled Slama étaient présents lors de l’affichage des listes et ne se sont nullement éclipsés comme nous avions eu à le constater, en pareil cas, dans d’autres communes.
M. B.
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