Le gouvernement hongrois avait promis d'attendre l'avis de la Commission de Venise avant de passer la loi devant le parlement. Celle-ci a rendu un avis préliminaire le 2 juin dans lequel elle reconnaissait les objectifs légitimes poursuivis par le projet de loi, mais estimait que celui-ci prévoyait des contraintes excessives et des sanctions disproportionnées. En réponse, le gouvernement a retiré la disposition prévoyant à titre de sanction la « dissolution » de toute ONG, fondation, association, qui ne respecterait pas les obligations prévues par la loi . . .
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Radio Prague relaie une information de l’agence de presse tchèque ČTK selon laquelle le président français Emmanuel Macron participera à une réunion des Premiers ministres du groupe V4, jeudi à Bruxelles. Transport européen et dumping social sont notamment au programme.
Le président français Emmanuel Macron prendra part à une réunion des Premiers ministres du Groupe de Visegrád (République tchèque, Hongrie, Pologne, Slovaquie), qui se tiendra ce jeudi avant le sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’UE à Bruxelles. L’information a été annoncée par l’agence de presse ČTK . . .
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Le ministre autrichien de la Défense Hans Peter Doskozil s'est rendu vendredi sur la frontière Schengen entre la Hongrie et la Serbie pour saluer les soldats autrichiens et soutenir les autorités hongroises. Dimanche, 1 200 policiers hongrois ont prêté serment à Budapest.
Hans Peter Doskozil, ministre issu Parti social-démocrate d'Autriche (SPÖ), a estimé que la construction de la clôture hongroise pour bloquer la progression des migrants vers l'Europe du Nord et de l'Ouest était une "bonne étape" dans la sécurisation des frontières de la zone Schengen. Il a également déclaré que le dispositif frontalier hongrois devait être maintenu, la route des Balkans n'étant pas complètement fermée . . .
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Helmut Kohl, chancelier allemand pendant seize ans de 1982 à 1998, est décédé vendredi à Ludwigshafen, dans l'ouest de l'Allemagne, à l'âge de 87 ans. Voici quelques-unes des réactions suscitées en Europe centrale à la mort de ce grand artisan de la réunification allemande et de l'un des grands artisans de l'intégration européenne.
La Première ministre polonaise Beata Szydlo a réagit à la mort du politicien allemand vendredi sur Twitter en le qualifiant de "personnage remarquable" et de "grand politicien dans des moments exceptionnels . . .
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Le nouveau vote sur le controversé projet de loi concernant les campagnes d’affichage des partis politiques pourrait avoir lieu dès la semaine prochaine.
Ce jeudi, le Président de la République János Áder a décidé de renvoyer devant le Parlement le projet de loi concernant l’affichage politique dont l’adoption a été rejetée à une voix près mercredi. La raison officielle de cette décision est la présence d’importants problèmes de forme dans le texte de loi et le fait que certains passages ne nécessitaient qu’une majorité absolue tandis que d’autres nécessitaient une majorité aux deux tiers . . .
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Les nuisances liées au "tourisme de cuite" qui s'est développé dans le 7e arrondissement de Budapest sont devenues insupportables pour certain de ses habitants et ceux-ci commencent à s'organiser, rapporte le site d'actualités 444.hu.
Le tourisme de fête a explosé ces cinq dernières années à Budapest. Des jeunes vingtenaires, majoritairement venus de l'Europe de l'Ouest, convergent au printemps et en été dans le 7e arrondissement de la capitale hongroise (Erzsébetváros) pour profiter des fameux ruin pubs ayant acquis une réputation mondiale . . .
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Cher Stag-doer à Budapest,
Il y a certaines choses dont nous aimerions te parler, avant que tu n’arrives ici pour faire la meilleure fête de ta vie. Il y a certaines choses que tu pourrais avoir mal compris à propos de nous, les locaux, et de notre ville.
1. Budapest, c’est une ville historique, pas ton terrain de jeu
On comprend bien. Tu veux passer un bon moment, mais tu dois comprendre que nous vivons ici depuis des siècles et que nous avons l’intention de continuer. Nos rues ne sont pas tes toilettes et pas un bar où tu peux brailler avec tes amis.
2. Et nous, les filles hongroises, on est pas là non plus pour te divertir
Il m’est arrivé plusieurs fois que tu t’approches de moi pour me demander d’avoir une relation sexuelle avec toi. En fait, les mots que tu as utilisé étaient un peu différents. Quand je me suis excusée, en te disant que j’aimerais d’abord finir ma conversation avec ma mère, tu t’es offusqué que je ne réagisse pas comme ces filles que tu as vu dans les films que tu consommes. Les filles de l’Europe de l’Est ne sont pas toutes à ranger dans la catégorie porno. Donc non, nous ne faisons pas partie de ta soirée. En fait, ça pourrait être le cas, si tu nous traitais avec respect, si tu avais quelque chose d’intéressant à dire, si toutefois tu n’étais pas trop bourré pour articuler.
3. Ce n’est pas une plage
S’il te plait, portes un T-shirt quand tu te promènes dans la rue. Il ne fait pas si chaud.
4. Si, nous avons le sens de l’humour…
… mais quand on croise des gars habillés en Borat chevauchant un énorme ballon en forme de gode… Ça nous a fait rire la première fois quand un gars l’a fait il y a dix ans, mais on vient de croiser le même il y a deux minutes. Et hier. Et vendredi dernier aussi. Si on fait les gros yeux c’est parce que pour nous, tu n’es pas original. Juste pathétique. Non, tes tétons ne sont pas drôles. Désolée.
5. Il faut vraiment que vous arrêtiez de vous battre
Avant votre arrivée, on ne voyait quasiment jamais de bagarre dans nos rues. Personnellement, je n’en ai jamais vu à Budapest. Nous aussi on boit de la pálinka pourtant, et même beaucoup. Ensuite, on entre dans des conversations vraiment profondes (en tout cas c’est ce qui nous semble dans un tel moment), et puis on chante, et on pleure, et on va se coucher comme un bébé innocent. La bagarre n’est pas au programme. On ne veut pas avoir à se battre avec vous.
6. Nous aimons les touristes
Je veux vraiment le souligner. On aime quand vous venez et vous étonnez par le charme de la ville, les rues, l’architecture. On aime quand les voyageurs viennent ici et font de Budapest leur ville préférée. On aime vous voir y passer un bon moment. Mais vous devez comprendre que si vous ne nous respectez pas, on ne vous respectera pas non plus. […] Vous devez aussi comprendre que vous ne pourrissez pas seulement notre ville et notre comportement, mais aussi le séjour des voyageurs respectueux. Ce n’est ni une boite de nuit, ni un zoo.
Cordialement.
Ahmed Hamed a obtenu l'annulation du jugement de première instance, par la Cour d'appel, ce jeudi à Szeged. Il sera rejugé par un nouveau jury mais reste en détention, rapporte Index.hu.
Le procès en appel d'Ahmed Hamed était très attendu ce jeudi 15 juin à Szeged, dans le sud de la Hongrie. Cet homme syrien de quarante ans a été condamné à dix ans de détention pour "actes de terrorisme" par le Tribunal de Szeged, le 30 novembre 2016, après quatorze mois de détention préventive, « pour avoir commis un acte de terrorisme . . .
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L’odeur âcre du métal en fusion pénètre dans les narines. Les oreilles, elles, sifflent sous la respiration d’énormes presses qui battent le métal, inlassablement, depuis 1882. Le sol de la rue Színesfém tremble. En ce samedi matin de mai 2017, Csepel Művek, transpire, crache, halète. Au rythme des machines. Et des hommes.
« CSM n’est plus que l’ombre d’elle même »
Sur 250 hectares, s’étendent usines, entrepôts et des foyers d’ouvriers. Aujourd’hui, près de 10.000 ouvriers y vivent. Y dorment. Y travaillent. Lorsque l’Union Soviétique a réquisitionné CSM au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, près de 20.000 ouvriers travaillaient dans la zone industrielle construite par Manfred Weiss. « C’est une ville dans la ville, qui ne dort jamais vraiment, mais qui n’est plus que l’ombre d’elle même. CSM est à l’automne de sa vie. Sauf qu’à la place des feuilles mortes, on y trouve des cheminées rouillées », médite Anikó Toth, architecte. Aujourd’hui, près de 75% des usines sont désaffectées.
Le destin de la jeune femme est doublement lié à cette CSM : une thèse, soutenue en 2014 et inspirée des études du « Retina Project« , sur la revalorisation de cette frange urbaine en décrépitude, ainsi qu’un père directeur d’usines spécialisées dans la conception de tubes ignifugés – 4.000 tonnes d’acier sortent chaque année de ses 5 usines. « Lorsqu’Anikó était enfant, elle venait à l’usine chaque semaine », se souvient son père. « J’adorais me perdre dans cet enfer de rouille, d’acier et d’étincelles. Ma mère pensait que j’étais folle … », acquiesce-t-elle. Un beau sourire passe sur son visage.
“J’adorais me perdre dans cet enfer de rouille, d’acier et d’étincelles”
Temps figéAujourd’hui, pour l’architecte, « CSM est une plaie béante dans la ville. Parce que les propriétaires d’usines n’arrivent pas à se coordonner, rien ne bouge … Alors que le potentiel de cette zone est simplement énorme » se désole Anikó. En 2016, Marcel Wanders, fameux designer à qui l’on doit notamment l’aménagement du luxueux Hyatt Hotel à Amsterdam propose le rachat de 30 bâtiments désaffectés. Il se voit opposer une fin de non-recevoir par la poignée de propriétaires concernés. Non, CSM ne bougera pas.
Déli, Désza, Központi … Les rues désertes s’étirent à perte de vue sous le ciel menaçant. Il est midi. L’heure de la pause déjeuner. Partout, la rouille. Le poids de l’histoire. Bouts de ferraille, carcasses de voitures. Objets inanimés, reliques d’un temps figé. Parfois, des notes de musiques mêlées au bruit des machines qui tire le promeneur de sa rêverie solitaire, de sa déambulation historique.
Les mille vies de Csepel MűvekAu loin, une silhouette humaine se détache, solitaire. Derrick rentre de sa pause. Il travaille depuis 4 mois dans une usine d’engrais chimique. 600 euros par mois, 8 heures de travail chaque jour « Le travail est OK. Le plus dur, c’est l’isolement : je ne parle pas la langue, et ma famille vit toujours au Ghana ». Déjà, de sa démarche lourde, l’homme s’en va retrouver son usine, sa machine, son masque à gaz.
Quelques blocs plus loin, des notes d’acid techno – ou le bruit d’une perceuse et d’un marteau. L’atelier de Gábor Miklós, sculpteur basé à Budapest, a des allures d’arche de Noé : un loup, haut de 6 mètres, trône au fond de l’entrepôt. Son voisin ? Un hibou sombre et grave. Krisztián Kovács, ingénieur charpentier, travaille sur une gigantesque baleine de bois bleu. La sculpture ornera bientôt les bassins des 17e championnats du monde de natation à Budapest. Secret professionnel oblige, impossible de la prendre en photo
Un orage passe. Le tonnerre gronde. A l’abri d’un auvent, Attila et ses compagnons couturiers fument une clope, en silence. Première pause de la journée. Il leur reste 4 heures à tirer.
Leurs voisins ? Des potiers, dont l’atelier est noyé par les particules de terre cuite en suspension. « Mon travail est simple, presque poétique », sourit Mariska. Sculpter, polir, poncer. Ses mains caressent l’argile avec douceur.
Au hasard d’un bunker, les membres de Budapest Scene, l’organisation budapestoise de visite de lieux abandonnés, plie bagages. Quelques mots plus tard, on apprend qu’un concert de musique punk se déroule dans le bunker n°11. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les 17 bunkers ont permis de sauver la vie des 37.000 ouvriers qui travaillaient à CSM « alors que les membres de leurs familles, qui vivaient dans le centre ville, étaient menacés », explique Anikò.
Dans le dédale des couloirs sombres du bunker, les claquements de la batterie se répercutent, insolents : impossible d’en discerner l’origine. Les portes ouvertes mènent à des culs de sac. Désorientent le visiteur. Les portes scellées garderont leur secret.
Le grondement des machines s’est tu. Le jour se couche. La nuit avance. Avale les façades ternies. Et, avec elles, les mystères encore inviolés de Csepel Művek.
Le procès en appel de Ahmed Hamed doit débuter ce jeudi 15 juin devant la Cour de Szeged, dans le sud de la Hongrie.
Mercredi 30 novembre 2016, un homme syrien de quarante ans a été condamné à dix ans de prison par le Tribunal de Szeged, après quatorze mois de détention préventive, « pour avoir commis un acte de terrorisme ». Le 16 novembre 2017, il avait pénétré de force en Hongrie, lors d'échauffourées entre migrants et policiers au point de passage de Röszke à la frontière serbo-hongroise . . .
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Visite de la brasserie-musée de Dalešice immortalisée par le film Une blonde émoustillante de Jiří Menzel (1981), adapté du roman de Bohumil Hrabal . . .
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Les États qui refusent de mettre en œuvre les quotas de migrants sont soumis à "un chantage pur et simple, a déclaré Péter Szijjárt . . .
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Le très controversé projet de loi du FIDESz sur les campagnes d’affichages des partis politiques a été rejeté ce mercredi matin à l’issue d’un vote extrêmement serré.
La proposition initiale du parti gouvernemental visait à interdire aux partis politiques de faire des campagnes d’affichage à des prix en-dessous du marché en dehors des périodes électorales. Mais elle a ensuite été modifiée pour proposer l’interdiction totale pour les partis de faire des campagnes d’affichage en dehors des périodes électorales . . .
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Le gouvernement national-populiste de Viktor Orbán continue de circonscrire les influences étrangères en Hongrie, jugées néfastes.
130 voix pour (65,7%), 44 contre (22,2%) et 24 abstentions (12,1%). La loi sur les ONG qui crée la controverse depuis plusieurs semaines a été adoptée par le parlement hongrois ce mardi à la mi-journée. Ni les manifestations qui se sont succédées au printemps à Budapest, ni les critiques de la Commission européenne, du Conseil de l’Europe et de l’ONU, n’ont eu raison du projet du Fidesz de doter le pays d’une loi similaire aux législations en Russie et en Israël . . .
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Les championnats du monde de natation qui vont débuter d'ici un mois et se dérouleront la seconde quinzaine du mois de juillet ont presque occulté l'organisation d'une autre grande compétition internationale à Budapest cette année : les mondiaux de judo. La Fédération hongroise de judo a annoncé que le président russe Vladimir Poutine avait accepté son invitation à la cérémonie d'ouverture de la compétition, à la fin du mois d'août, en tant que président d'honneur de la Fédération internationale de judo, rapporte le Magyar Nemzet . . .
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Nous ne savons pas ce que Márton Gyulás veut en réalité, mais nous savons qu’il le veut pour de bon. Il y a peu, ce faiseur de « bazar » a divulgué le plan des réseaux internationaux du genre « Soros » et de ses acolytes hongrois, plan qui s’étale devant nous dans toute sa splendeur.
Il a en effet déclaré que si le gouvernement ne met pas d’eau dans son vin, ils cesseront leur coopération avec le pouvoir et Viktor Orbán devra se préparer à des blocus, des occupations de bâtiments et des chaînes humaines. Bien sûr, l’anarchiste génial a déjà trouver un nom : « l’automne chaud« , sous le signe de la non-violence.
Essayons de comprendre ce sur quoi nous pouvons compter en entendant ces déclarations. Ces libéraux de gauche extrémistes qui se tiennent derrière ces manifestations de rue d’ampleur variable mais qui irritent toujours plus le camp « national » ont compris que ces défilés accompagnés de danses et de musique, que ces fêtes destinées à faire tomber le régime, que ces manifestations pour faire tomber Orbán, n’ont pas apporté le résultat attendu.
L’envie de changer de gouvernement ne s’est pas emparée de la société, la manifestation contre la modification de la loi sur l’enseignement supérieur qui a réuni 60 000 personnes a représenté le climax, en attisant l’insatisfaction ils n’ont pas enflammé les braises révolutionnaires qui sommeille – pensent-ils – dans les couches profondes de la société.
Les partis de gouvernement dominent largement dans les récents sondages et l’actuel chef du gouvernement a toutes les chances de continuer à gouverner. [1]Allusion aux élections nationales qui auront lieu en 2018. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_3824_1").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_3824_1", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); Chez ceux qui ont la phobie d’Orbán, la situation n’est donc pas rose.
Selon le « livre des songes » des analystes politiques, dans ce cas, habituellement ils placent la barre plus haut. Quand Gyulás menace, cela ne signifie rien d’autre qu’il annonce sans scrupules la phase suivante du chambardement.
On frémit d’horreur à la pensée de ce que peut signifier dans la bouche rebelle de quelqu’un qui a été condamné en première instance à des travaux d’intérêt général pour vandalisme qu’il va mettre un terme à sa coopération avec le pouvoir.
Pour la bande de casseurs au siège du Fidesz et les gens soi-disant en colère « manœuvrant » dans le giron des policiers dans le bâtiment du Parlement, ce n’était donc qu’une répétition générale. Cela présage un sombre avenir. Et ces menaces de blocus, qui évoquent le très mauvais souvenir du « blocus des taxis » d’autrefois, ne sont pas fait pour rassurer les gens de bon sens. [2]Le « blocus des taxis » s’est déroulé peu après le changement de régime : en octobre 1990, suite à une augmentation très forte des prix de l’essence, les taxis ont bloqué la circulation à Budapest pendant 3 jours. La force du mouvement a marqué les esprits. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_3824_2").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_3824_2", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] });
Car il se peut que quelques milliers d’abrutis irresponsables, sexy et « dans le vent », chantent au milieu de la place Oktogon, bloquant la circulation et empêchant des gens exaspérés de rentrer chez eux. Il n’y a pas de raison que Gyulás et ceux qui sont à sa remorque et qui veulent tout mettre à terre aient le droit de placer leurs intérêts au-dessus de l’intérêt général de ceux qui veulent construire le pays.
Nous avons déjà eu un aperçu de cette « non-violence », sous la forme d’allusions répétées comme « passer par les armes » ou » pendre à la lanterne « , et de jets violents de peinture déjà mentionnés. N’oublions pas non plus la visite éclair d’András Fekete-Győr à la rédaction de Origo qui fut à proprement parler un précédent destiné à attiser l’envie de tout ce dont nous avons parlé chez ceux qui y sont réceptifs. [3]Origo.hu, portail d’actualités en ligne pro-gouvernemental. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_3824_3").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_3824_3", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] });
Il n’y a donc rien à faire, nous devons nous préparer d’ici l’automne à une campagne de haine encore plus provocante et agressive.
Les élèves de Charles Gati[4]Un historien américain d’origine hongroise réputé proche des Démocrates. jQuery("#footnote_plugin_tooltip_3824_4").tooltip({ tip: "#footnote_plugin_tooltip_text_3824_4", tipClass: "footnote_tooltip", effect: "fade", fadeOutSpeed: 100, predelay: 400, position: "top right", relative: true, offset: [10, 10] }); qui évoque la guerre civile en tant qu’option réaliste et ceux de Saul Alinsky qui professe un radicalisme agressif ne reculeront devant rien. Pour eux, il y aura argent, destrier et armes aussi, puisque George Soros a justement fait savoir que les actions des jeunes fauteurs de trouble lui donnent beaucoup d’espoir et qu’elles sont dignes d’admiration. Ce texte a valeur d’une franche déclaration de guerre. […]
Mais le spéculateur écrit également qu’il ne suffit pas de faire confiance à l’Etat de Droit, mais qu’il faut défendre ce en quoi nous croyons.
De cela justement, nous faisons le serment et nous commençons, nous aussi, à le mettre en pratique !
Notes [ + ]
1. ↑ Allusion aux élections nationales qui auront lieu en 2018. 2. ↑ Le « blocus des taxis » s’est déroulé peu après le changement de régime : en octobre 1990, suite à une augmentation très forte des prix de l’essence, les taxis ont bloqué la circulation à Budapest pendant 3 jours. La force du mouvement a marqué les esprits. 3. ↑ Origo.hu, portail d’actualités en ligne pro-gouvernemental. 4. ↑ Un historien américain d’origine hongroise réputé proche des Démocrates. function footnote_expand_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").show(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("-"); } function footnote_collapse_reference_container() { jQuery("#footnote_references_container").hide(); jQuery("#footnote_reference_container_collapse_button").text("+"); } function footnote_expand_collapse_reference_container() { if (jQuery("#footnote_references_container").is(":hidden")) { footnote_expand_reference_container(); } else { footnote_collapse_reference_container(); } } function footnote_moveToAnchor(p_str_TargetID) { footnote_expand_reference_container(); var l_obj_Target = jQuery("#" + p_str_TargetID); if(l_obj_Target.length) { jQuery('html, body').animate({ scrollTop: l_obj_Target.offset().top - window.innerHeight/2 }, 1000); } }La défaite de la Hongrie contre Andorre vendredi soir (1-0) suscite l’indignation des supporters. La Coupe du Monde 2018 est un rêve qui s'éloigne . . .
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Érdekes karácsonyi szokás Szerbiában a tábortűz. Szerbiában is a Julián-naptár szerint ünneplik, ezért január hatodikára esik szenteste, és január hetedike a karácsony napja. A történet szerint a pásztorok, amikor értesültek Jézus születéséről, ágakat vágtak, és azzal indultak el köszönteni a megváltót, hogy tüzet rakhassanak, és megmelegedjen az újszülött.
A szerbek (és mások is) ilyenkor kivágnak egy fiatal tölgyet, és annak az ágait teszik a kályhába vagy más tűzbe. Esetleg csokorba fognak kisebb ágacskákat belőle, azt feldíszítik és úgy égetik el. A tűzből kipattanó zsarátnok darabok, szikrák nagy száma szimbolizálja azt a gazdagságot és gyarapodást, ami az új évben vár a tűzrakókra. Van, hogy egészen sokan jönnek össze meggyújtani egy "badnjakot" vagy többet. A Telegraf szerint idén a Balkán legnagyobb badnjakját gyújtották meg péntek este Belgrádban a Szent Száva Székesegyháznál.
Akit no commentben érdekel, hogy a vidéki Szerbiában mit csinálnak ilyenkor, aki szereti a szerb zászlóval bőségesen megtűzdelt traktorokat, a pálinkát, és felebaráti szeretetet, az ezt a videót indítsa el.
Written by Suzana Elena Anghel,
koya979 / Shutterstock.comAt three recent European Councils (December 2012, December 2013 and June 2015), the Heads of State or government have called for a deepening of the Common Security and Defence Policy (CSDP) namely by strengthening its crisis management dimension and further developing civilian and military capabilities. The June 2016 European Council reverted to security and defence policy with particular attention to the strengthening of the relationship with NATO, including on the development of complementary and interoperable defence capabilities.
But what are the achievements? Is there a way of measuring progress made over the past years? Is there a gap between intentions/declarations and deeds? What are the challenges and how to address them?
The European Parliamentary Research Service (EPRS) will address these questions at a roundtable discussion on ‘The European Council and CSDP: success or failure?’ on 27 September 2016, 13h30-15h00, in the European Parliament’s Library main reading room in Brussels. Participants at this roundtable debate are: Elmar Brok MEP, Chair of the European Parliament’s Committee on Foreign Affairs, General Jean-Paul Perruche, Former Director-General of the European Union Military Staff, Professor Alexander Mattelaer, Institute for European Studies, Vrije Universiteit Brussel (VUB), and Elena Lazarou, Policy Analyst, EPRS.
Registration
If you do not have an access badge to the European Parliament and are interested in attending the event, it is essential to register by Friday 23 September, using this link.
At the event the EPRS study on ‘The European Council and CSDP: Orientation and Implementation in the field of Crisis Management’ will be presented and discussed. This study assesses the planning, command and control of civilian and military CSDP missions and operations, progress made in developing civilian and military capabilities, particularly rapid response capabilities in the form of the EU Battlegroups, as well as challenges encountered during the force generation process, areas in which the European Council repeatedly called for further progress to be made.
Conan O'Brien showjában mutatták be, hogy hogy nézett ki kívülről az USA - Szerbia kosárlabda összecsapás az olimpia döntőjében. És tényleg.