Le Figaro / Politique

RÉCIT - Le président de région sortant, Renaud Muselier, a déposé sa liste en préfecture et confirmé la présence de Marcheurs.

VIDÉO - Outre une stratégie de fond, le député de l’Oise regrette aussi l’absence de chef à la tête des Républicains.

L’ancienne co-animatrice du «grand débat national» milite pour muscler le volet social de la politique d’Emmanuel Macron.

ENTRETIEN - Le sénateur LR de l’Ardèche, corapporteur au Sénat sur le projet de loi 4D, souhaite tirer les grands enseignements de la crise en redonnant du pouvoir aux élus des territoires.

PORTRAIT - Elle a crevé l’écran aux municipales, et compte quelques interventions remarquées au Conseil de Paris. Nelly Garnier se présente désormais aux régionales.

Jacqueline Gourault s’est montrée particulièrement tenace pour que la loi soit inscrite dans un calendrier parlementaire chargé.

CONTRE-POINT - Avec la loi 4D sur la décentralisation, Emmanuel Macron ne croit pas aux grandes proclamations théoriques, mais aux petites avancées concrètes.

Depuis le refus des écologistes de faire candidature commune avec les Insoumis dans le Sud-Est, Jean-Luc Mélenchon multiplie les attaques.

Le Rassemblement national utilise les régionales pour tester sa stratégie aux présidentielles.

«Nous avons une évolution épidémique tout à fait favorable», a considéré Jean Castex sur France 2, mardi soir.

ANALYSE - Pour durer à son poste, le chef du gouvernement doit changer son image dans l’opinion.

LREM continue à croire en une alliance avec la liste de Renaud Muselier en Provence-Alpes-Côte d’Azur, mais les ténors LR de la région tentent de poser des lignes rouges.

Absents du conseil régional depuis 2015, les partis de gauche risquent pourtant de faire campagne en ordre dispersé.

VIDÉO - Le ministre pense qu’un arc républicain est «parfois nécessaire» pour empêcher le parti de Marine Le Pen d’accéder au pouvoir.

Le président sortant LR de la région Auvergne Rhône-Alpes s'est lancé, mardi, dans la bataille des régionales.

REPORTAGE - La région de Xavier Bertrand est le théâtre d’affrontements stratégiques en vue de 2022, parfois éloignés des préoccupations des électeurs.

CONTRE-POINT - Le garde des Sceaux se voit confronté dans les Hauts-de-France à deux difficultés: choisir de soutenir le candidat de droite au second tour ou bien se retirer, et assumer faire campagne en tant que ministre de la justice alors que la question de la sécurité enflamme l’opinion depuis plusieurs semaines.

Le président de la République se trouve confronté à un nouveau manifeste, anonyme cette fois, mais à la tonalité un peu plus rude.

Xavier Bertrand a, par exemple, réclamé, mi-avril, la mise en place d’une peine automatique et non-aménageable d’un an de prison minimum en cas d’agression contre les forces de l’ordre.

Le ministre Olivier Véran a prévenu que ce texte ne signifiait pas un «retour à la vie d’avant».