Le Figaro / Politique

VIDÉO - Après le départ du gouvernement de l'ex-ministre de l'Économie, les amis du premier ministre se plaisent à afficher une forme de sérénité.

LES TÊTES DE CARL MEEUS - Frédéric Péchenard est directeur général des Républicains. Proche de Nicolas Sarkozy, il s'astreint à un équilibre et assure que le parti sera neutre dans la primaire.

Lors de son premier déplacement depuis sa démission, l'ex-ministre de l'Économie a reçu des dizaines de messages de soutien.

VIDÉO - Le candidat à la primaire parie sur sa «fraîcheur» et son «enthousiasme» pour gagner.

VIDÉO - Pressés d'en découdre, les fidèles du chef de l'État s'organisent discrètement depuis des mois et veulent lancer la précampagne.

VIDÉO - Sarkozy et Juppé pointent les contradictions entre les déclarations de l'ex-ministre et son bilan à Bercy.

INTERVIEW - Pour la vice-présidente du MoDem, la démission d'Emmanuel Macron «n'est pas du tout ce qu'attendent les Français».

Le contre-point de Guillaume Tabard.

SONDAGE - Alors que le président de la République voit sa cote de confiance remonter, selon le baromètre du mois de septembre de TNS Sofres-OnePoint pour Le Figaro Magazine, la démission de son emblématique ministre de l'Économie pourrait le pénaliser.

Affaibli, le président a trois mois pour créer les conditions d'une candidature que beaucoup jugent improbable.

VIDÉO - Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire et François Fillon étaient mardi et mercredi les invités de la 18e université d'été de l'organisation patronale.

INFOGRAPHIE - Selon notre étude OpinionWay-Le Figaro, les Français jugent plutôt positivement le bilan du ministre de l'Économie sortant. Pour autant, 67% des sympathisants de gauche ne souhaitent pas sa candidature à la présidentielle.

Les ministres du gouvernement Valls jugent sévèrement l'attitude de leur ancien collègue chargé de l'économie.

D'autres responsables centristes sont beaucoup plus réservés.

Le contre-point de Guillaume Tabard.

L'homme de 92 ans d'inspiration rocardienne a fait fortune dans les supermarchés. Il se met aujourd'hui au service de l'ancien ministre de l'Économie, en activant des réseaux dans les milieux d'affaires et en lui mettant à disposition des moyens matériels et financiers.

La démission surprise du ministre de l'Économie, qui ne dissimule plus son ambition présidentielle, est un nouveau coup dur pour le chef de l'État, dans la perspective de 2017.

VIDÉOS - Pour la droite, la démission du ministre de l'Économie illustre la «débandade» face à laquelle se retrouve François Hollande.

Certains voient dans le départ d'Emmanuel Macron une menace pour Hollande, d'autres une clarification bienvenue.

Le député de la Drôme, qui fait son meeting de rentrée jeudi, estime avoir « de bonnes chances » de se qualifier le 9 septembre.