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Défense

Le SEDAC pousse les portes de l’ouvrage enterré de Lyon Mont-Verdun

M. Jean-Marc Todeschini, secrétaire d’état auprès du ministre de la Défense, chargé des anciens combattants et de la mémoire (SEDAC), s’est rendu sur la base aérienne (BA) 942 de Lyon Mont-Verdun le 22 avril 2015
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Premier stage IATA sur le détachement air 181 de La Réunion

Du 20 au 24 avril 2015, un instructeur du centre d’instruction du transit interarmées aérien 343 (CITIA) de la base aérienne 125 d’Istres s’est rendu sur le site du détachement air 181 de La Réunion. Il a ainsi dispensé une formation IATA (International air transport association) au profit du personnel de l’escale aérienne militaire 1D.181. Ce déplacement est une première sur un site ultramarin.
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Armée : le retour
 coûteux des gros
 bataillons

Blog Secret Défense - mer, 29/04/2015 - 10:28
La décision de préserver les effectifs militaires, pour les missions de sécurité intérieure et de cohésion sociale, est une impasse budgétaire et stratégique
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Le Japon et son allié américain s'inquiètent des poussées chinoises en mer de Chine

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - mar, 28/04/2015 - 12:11
Langue de boeuf et stratégie du chou. Deux expressions imagées pour figurer l'agressivité chinoise en mer de Chine. La région s'en inquiète vivement.
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Les ambassadeurs finissent leur préparation en Corse

Du 20 au 24 avril 2015, les ambassadeurs de l’armée de l’air se sont retrouvés sur la base aérienne 126 de Solenzara le temps d’une semaine d’entraînement commune. Une ultime préparation qui clôt leur préparation hivernale.
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Un chapitre important pour les élèves-officiers du CSFO

Vendredi 24 avril 2015, une cérémonie de baptême des promotions du cours spécial de formation des officiers (CSFO) s’est déroulée sur la base aérienne 701 de Salon-de-Provence.
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Recrutement : la base aérienne d’Avord a ouvert ses portes à 600 jeunes

Les 17 et 18 avril 2015, la base aérienne (BA) 702 d’Avord a ouvert ses portes à plusieurs centaines de jeunes de la région. L’occasion de leur présenter les différents métiers de l’armée de l’air.
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Active LIO

EGEABLOG - lun, 27/04/2015 - 23:13

Il y a quelques années, les choses étaient simples. Les spécialistes parlaient entre eux et inventaient des catégories qui avaient le mérite d'être claires. Ainsi, on parlait de Lutte informatique défensive (LID) et de Lutte Informatique Offensive (LIO). Tout le monde voyait à peu près ce dont il s'agissait. D'ailleurs, la LID demeure puisqu'il y a toujours un CALID.

source

Et puis les esprits se sont échauffés, le cyber est devenu à la mode, c'était l'affaire Stuxnet, tout le monde fantasmait sur la doctrine offensive américaine, tout le monde pressait les responsables : "mais nous, qu'est-ce qu'on fait en offensif ?". D'accord, ils n'avaient pas lu le LBDSN de 2008 qui en affirmait déjà le principe mais voilà, vous n'allez pas demander aux journalistes de tout lire, non plus. Ça coûte cher, des journalistes spécialistes défense, d'ailleurs il n'y en a quasiment plus dans les rédactions. Passons.

Bref, observant ça, un brillant esprit a pensé que le mot offensif n'était pas assez pudique et qu'il fallait trouver autre chose.

Du coup, on a inventé la LIA. Lutte informatique active. Vous savez, le genre de truc qui permet de ne pas dire qu'un aveugle est aveugle mais qu'il est mal voyant. Politiquement correct, ça passe bien sur les plateaux télé. Bon, LIA, après tout, pourquoi pas, ça ne mange pas de pain ...

Le problème c'est que c'est intraduisible. Et qu'en ce moment, dans les débats anglo-saxons, on discute beaucoup d'active cyberdefense. Quelque chose qui est entre la cyberdefense (comprendre : cyberprotection) et la cyberoffensive. Et quand vous vous mettez à discuter avec eux, vous n'essayez même pas de dire que la LIA c'est de la LIO et qu'on ne sait pas traduire cyberdefense active. Là, votre interlocuteur nous prendrait pour encore plus fou que notre réputation.

Bref, nos pudeurs nous compliquent la vie. Et si on revenait à la LIO ?

O Kempf

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Sergent-chef René Billottet : une vie au service de l’armée de l’air

Le sergent-chef René Billottet, réserviste de la base aérienne 942 de Lyon Mont-Verdun, vient de fêter ses 90 ans. Figure emblématique de la base lyonnaise, il a répondu à l’invitation du personnel de la base pour fêter dignement son anniversaire. L’occasion de revenir sur un parcours hors du commun. 
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Le Service militaire adapté sera expérimenté en métropole

Blog Secret Défense - lun, 27/04/2015 - 12:43
Une explication, en vidéo, alors que François Hollande doit annoncer la mise en place d'un tel dispositif
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Évacuation médicalisée par hélicoptère au large de la Nouvelle-Calédonie

Dans la nuit de dimanche 19 au lundi 20 avril 2015, un marin blessé à bord d’un porte-conteneur a été évacué par un hélicoptère Puma de l’escadron de transport 52 stationné sur la base aérienne 182 « Lieutenant Paul Kein » de La Tontouta en Nouvelle-Calédonie.
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Syrie : les services français ont-ils repris contact avec Bachar ?

Blog Secret Défense - lun, 27/04/2015 - 10:02
Selon nos informations, et contrairement aux récentes affirmations du président syrien sur France 2, un seul contact décrit comme «fortuit» a eu lieu en 2013
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G. Dorronsoro, O. Grojean (dirs.), Identité et politique. De la différenciation culturelle au conflit




G. Dorronsoro, O. Grojean (dirs.), Identité et politique. De la différenciation culturelle au conflit, Presses de Sciences Po, Paris, 2015 
L’identité est une ressource, même un capital, elle est mobilisable et convocable comme telle, et les conséquences sur les dynamiques nationales comme internationales, surtout conflictuelles, en sont importantes. Tel est le message de cet ouvrage à l’écriture précise, où la préoccupation empirique fait jeu égal avec le souci d’interprétation conceptuelle, et qui nous fait découvrir, autour des trois cas turc, iranien et pakistanais, des situations riches en enseignements, et inédites pour beaucoup de lecteurs (on découvre ainsi le Gilân en Iran, les alévis et les sunnites en Anatolie centrale, l’importation du conflit baloutche à Quetta. Démontant les simplismes de la plupart des lectures identitaires et ethniques des conflits, réintroduisant la trajectoire étatique et la forme d’organisation administrative et institutionnelle dans l’analyse, ce travail décrypte les implications du fait identitaire sur l’évolution des hiérarchies sociales et politiques, et reconstitue l’intérêt pour certains groupes d’avoir recours à ce registre. Limiter les défections, acquérir un monopole de la représentation, imposer une solidarité de fait à ceux qui seront étiquetés identitairement, le tout avec une grande souplesse, font partie des explications du succès de l’entreprise identitaire, mais également de son rapport à la violence. l’ensemble des problématiques situées entre culture, identité, conflit et violence, demeure un terrain miné. Le travail présenté ici constitue pourtant une contribution éclairée et particulièrement pertinente à ce secteur clef de la science politique contemporaine.

P. Alary, E. Lafaye de Micheaux, Capitalismes asiatiques et puissance chinoise



P. Alary, E. Lafaye de Micheaux, Capitalismes asiatiques et puissance chinoise, Presses de Sciences Po, Paris, 2014
(retrouvez l'ensemble des notes de lecture de la Lettre de l'IRSEM n°2-2015)
Les ouvrages s’assimilant à l’économie politique internationale sont trop rares en France pour ne pas se réjouir de la publication de ces Capitalismes asiatiques confrontés aujourd’hui à la montée en puissance chinoise. P. Alary et E. Lafaye de Micheaux, avec leurs co-auteurs, distinguent dans la région cinq types de capitalisme différents : le capitalisme-cité (de type Singapour et Hong Kong), le capitalisme semi-agraire insulaire (Indonésie, Philippines), le capitalisme tiré par l’innovation (Japon, Corée, Taïwan), le capitalisme industriel tiré par le commerce (Malaisie, Thaïlande), et le capitalisme continental mixte (Chine). A l’heure où l’Asie devient à la fois le centre de gravité économique du monde et peut-être son foyer de conflits potentiels, les trajectoires des acteurs régionaux sont d’importance. Les recompositions en cours sont analysées ici dans leur grande diversité, depuis le rapport de la Chine aux questions climatiques jusqu’au développement  de la finance islamique en Malaisie, en passant par les firmes agro-industrielles indonésiennes. Dans tous les cas de figure c’est la relation entre ces capitalisme et l’ombre de plus en plus pesante de Pékin, qui déclenche des basculements aux répercussions internationales. L’ouvrage aborde d’ailleurs de façon très pédagogique (avec tableaux à l’appui, comme pages 79 et 85), les répercussions sur les forces et faiblesses des autres acteurs, Etats-Unis en tête.

Relire Allison à l'heure de la crise ukrainienne



 Editorial de la Lettre de l'IRSEM n°2-2015
Dans Essence of Decision: Explaining the Cuban Missile Crisis, son célèbre ouvrage de référence publié en 1971, le politiste américain Graham T. Allison se lançait dans une audacieuse tentative d'explication de la crise des missiles de Cuba, qui en 1962 avait placé le monde au bord du gouffre nucléaire. Réédité et augmenté en 1999, avec son collègue Phillip Zelikow, à la lumière d'archives et de documents nouveaux, l'ouvrage gardait toute sa pertinence. La centralité durable d'Allison dans l'analyse de la politique étrangère et dans les bibliographies de science politique tient à la fois à l'importance de son objet d'étude (une crise internationale d'une gravité exceptionnelle) et à l'originalité de son approche. La question était double, la démonstration était triple, la leçon méthodologique, unique.
La double question était : a) pourquoi les Soviétiques ont-ils couru le risque insensé d'un acte inacceptable pour les Etats-Unis (en installant des missiles nucléaires à quelques encablures des côtes américaines) sans toujours prendre, du surcroît, toutes les précautions pour le dissimuler? b) Pourquoi les Etats-Unis ont-ils opté, en guise de riposte, pour un blocus naval dont les risques étaient multiples, et l'application, parfois hasardeuse? La réponse se conjuguait sur trois modes, ou suivant trois modèles d'explication. 1- le modèle rationnel, qui voudrait que toute décision soit mûrement pesée, et retenue in fine parce qu'optimale. 2- un modèle dit 'organisationnel', qui fait dépendre davantage la décision des procédures opérationnelles en vigueur dans un système administratif donné, pour répondre aux défis en suivant les chaînes de commandement prévues in abstracto à cet effet. 3- un modèle dit 'gouvernemental', qui introduit dans l'explication l'existence de rivalités entre différents acteurs de la décision, aux perceptions ou aux intérêts opposés. Enfin, la leçon méthodologique du travail d'Allison est on ne peut plus claire: en posant des questions différentes, on obtient des réponses différentes. En fonction de l'éclairage choisi, c'est une autre dimension explicative de la crise des missiles qui apparaît, et que les autres angles d'approches ne permettaient pas de percevoir.
On peut regretter que ce type d'approche n'ait pas été conduit plus fréquemment pour expliquer les crises internationales, même s'il est vrai que des telles enquêtes empiriques, pour être véritablement scientifiques et porteuses, exigent des ressources importantes que l'on ne peut réunir à répétition. A la relecture du Essence of Decision d'Allison, on est frappé par plusieurs  similitudes avec l'actuelle crise ukrainienne, comme en miroir avec la crise de Cuba puisque en 2014-2015, le théâtre du bras de fer - fort heureusement moins dramatisé par le paramètre nucléaire qu'en 1962 - a lieu dans le voisinage stratégique russe et non plus americain. Sur le pourquoi du déclenchement d'une crise par la Russie (cette fois l'annexion de la Crimée suivie d'une déstabilisation de l'est de l'Ukraine avec l'envoi non assumé mais mal dissimulé de troupes et de matériel), quelques-unes des interrogations posées par le modèle rationnel restent valables. Doit-on privilégier l'explication locale (jadis la défense de Cuba, aujourd'hui le contrôle de l'Ukraine), nationale (à l’époque comme aujourd’hui, un affaiblissement de l’économie russe qui pousse à une diversion par l’intransigeance extérieure), ou plutôt l'approche par la compétition globale (jadis le lien avec l'enjeu berlinois, aujourd'hui la réaction à l'extension de l'influence otanienne ou européenne dans l'ancien étranger proche de l'URSS) ? L'action russe est-elle encore le résultat de la perception d'une faiblesse occidentale, ouvrant la voie à une initiative hardie? Cette perception était encouragée en 1962 par le profil bas de l'administration Kennedy après l'échec du débarquement de la baie des Cochons (1961) ; elle a pu naître en 2014 du recul de l'administration Obama sur la fameuse 'ligne rouge' syrienne.
Mais surtout, Allison nous a appris que certaines des bizarreries observées dans le déroulement des opérations pouvaient être imputables à des mécanismes décisionnels peu adaptés à la réalisation du plan prévu (les acteurs russes chargés des différentes faces de l'opération ukrainienne sont-ils en mesure d'assurer la discrétion requise, ou de contrôler les groupes séparatistes sur lesquels la stratégie initiale s'appuie ?). Ou encore à des rivalités politiques internes (tous les acteurs associés à la décision de politique étrangère russe sont-ils en accord avec la stratégie mise en œuvre ?). Du côté occidental, les dilemmes de 1962 se retrouvent en partie plus d'un demi-siècle plus tard (encore une fois, avec moins d'intensité): doit-on traiter l'initiative russe, avec la gravité qu'elle comporte, comme un geste impulsif et politiquement isolable, ou comme la mise en œuvre d'un plan prémédité qui aura nécessairement d'autres séquences ? Doit-on tenir compte de la gravité de cet acte au risque de l'engrenage, ou mettre en place un dialogue visant au damage control, avec le risque d'une nouvelle perte de crédibilité aux yeux des alliés ? Quelles sont les options envisageables, et les plus pertinentes d'entre elles sont-elles réalisables compte tenu des possibles dysfonctionnements organisationnels ou politiques (comme la mise en place de sanctions véritablement contraignantes)?
Depuis 1962, de nombreux paramètres ont changé la donne de la prise de décision. A commencer par les moyens technologiques de suivi des actions de l'autre, et de la médiatisation des événements, laquelle à l'heure du web 2.0, donne une autre résonance à la diplomatie publique et au storytelling, changeant par-là même la marge de manœuvre temporelle de la décision stratégique. Plus que jamais, l'explication rationnelle de la politique étrangère est relativisée par les dysfonctionnements organisationnels possibles, par les intentionnalités concurrentes des acteurs, par les 'frictions' de la mise en œuvre, aurait dit Clausewitz. Par toutes ces dimensions, en tout cas, qui font que l'approche par le rational choice, oupar la seule figure d'un Vladimir Poutine réifié en joueur d'échecs aguerri, ne suffisent pas. Tout comme pour l'analyse de la crise de Cuba, l'enquête est plus difficile du côté russe que du côté occidental, et la différence de nature entre les deux processus décisionnels est forte (plus collective du côté occidental, davantage caractérisée en Russie par la puissance d'un homme, mais aussi par la solitude de celui-ci au milieu de clans complexes).
On l'aura compris, la leçon d'Allison plaide à la fois pour une sociologie fine de la décision et pour une multiplication des questionnements, plutôt que pour une réduction de ces derniers au seul décryptage spéculatif de choix supposés cyniques et rationnels. Tout comme la crise des fusées, la crise ukrainienne et la réponse qui y est apportée en Occident peuvent être le fruit combiné de calculs - et d'erreurs de calcul - cyniques, de dysfonctionnements ou d'effets non souhaités, de micro-dérapages dus à des procédures opérationnelles inadaptées, de mauvais compromis résultant de désaccords entre acteurs, de malentendus mutuels aggravés à la fois par la perte de confiance et la nécessité de ne pas perdre la face. C'est là l'autre leçon importante à tirer d'Essence of Décision: la rationalité seule ne prévaut jamais dans le déclenchement d'une crise, mais il est vital en revanche qu'elle prévale dans son règlement.

L’Aigle sécurise le détroit de Bab el-Mandeb

MARTOLOD (Blog d'information marine) - dim, 26/04/2015 - 18:12
Le chasseur de mines tripartite l’Aigle participe à la sécurisation du détroit de Bab el-Mandeb.

Le lundi 4 mai 2015, le CMT l’Aigle a appareillé du port de Djibouti afin d’être déployé dans le détroit de Bab al-Mandeb dans le cadre d’une mission de sécurisation de la zone maritime. Il a été intégré au groupe de guerre de mines, le task group 52.2. Cette coalition constituée également de bâtiments américains et britanniques a été mise en place pour faire face à la crise yéménite et les risques qu’elle pourrait faire peser sur la liberté de circulation dans le détroit.

En progressant vers le sud-ouest du Yémen, les miliciens chiites Houthis, proches de l’Iran, font planer une menace sur le détroit de Bab al-Mandeb, qui relie la mer Rouge et l’océan Indien. Ce passage stratégique par lequel transite une bonne partie du trafic maritime mondial, voit passer les grandes routes commerciales entre l’Asie, le Moyen-Orient et l’Europe. Des milliers de navires empruntent chaque année ce détroit avant et après le franchissement du canal de Suez. D’où le déploiement du Chasseur de Mines Tripartite (CMT) L’Aigle à proximité de ce détroit au sein du task group 52.2. Placé sous commandement américain, le task group compte quatre bâtiments, une unité de commandement britannique ainsi que trois chasseurs de mines, un britannique, un américain et le français Aigle. « La mission de ce task group est de s’assurer qu’aucune menace mines ne vienne entraver la libre circulation de ce détroit essentiel aux échanges économiques et qui voit passer un important trafic maritime entre la Méditerranée et l’océan Indien »
Le chasseur de mines l’Aigle avait été envoyé dans le golfe arabo-persique en janvier dernier, aux côtés du CMT Andromène et avec un état-major de guerre des mines. Et cela afin d’avoir une meilleure connaissance de cette région stratégique et à participer à des exercices avec les forces navales locales et alliées.

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L’USS Anzio et l’USNS Medgar Evers à Brest

MeretMarine.com - dim, 26/04/2015 - 13:32

Deux bâtiments de la marine américaine sont arrivés samedi à Brest. Il s’agit du croiseur lance-missiles USS Anzio et du ravitailleur USNS Medgar Evers. Ce dernier réalise d’ailleurs sa troisième escale brestoise en un peu plus d’un mois.

 

Le Medgar Evers à Brest fin mars (©  MICHEL FLOCH)

 

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Dassault vend des Falcon 2000 MSA aux garde-côtes japonais

MeretMarine.com - dim, 26/04/2015 - 13:31

Les Gardes-côtes du Japon ont sélectionné le Falcon 2000 MSA (Maritime Surveillance Aircraft) proposé par Dassault Aviation pour renforcer leurs moyens aériens de surveillance maritime.

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