Bien des ouvrages ont été écrits sur la guerre et la paix. Mais promouvoir cette dernière par des actions de protection environnementale dans des zones déchirées par les conflits – comme celles qui existent entre l’Inde et le Pakistan ou la Corée du Nord et la Corée du Sud – est assez récent. Cette initiative a aussi rencontré un écho favorable dans l’Afrique du Sud post-Apartheid où elle a pris la forme de zones de conservation transfrontalières appelées « parcs de la paix ».
Plusieurs spécialités dans l’agriculture sont offertes aux nouveaux stagiaires.
Contrairement aux sessions précédentes, l’agriculture est la formation la plus prisée par les nouveaux stagiaires à Oran, précédant la branche du BTPH, annonce le responsable de la direction locale. En effet, ce sont les chiffres fournis par la tutelle qui en témoignent, et pour 150 sièges pédagogiques en agriculture, 160 jeunes stagiaires ont formulé le choix au niveau du centre de formation professionnelle de Hassi-Bounif, le centre par excellence, spécialisé dans la vulgarisation agricole, de la filière de paysagiste.
Ceci est une nouvelle opportunité offerte aux jeunes intéressés par l’obtention d’un diplôme de technicien supérieur, poste très recherché sur le marché de l’emploi à Oran. A ce propos, il y a lieu de souligner que la wilaya a bénéficié de nombreux projets d’aménagement d’espaces verts, de jardins citadins et d’embellissement des cités. Une autre possibilité est offerte aux jeunes au centre de formation et de vulgarisation agricole de Misserghin par le biais d’une formation dans l’élevage ovin et bovin.
Ce dernier compte 225 demandes pour 350 sièges pédagogiques, indique-t-on. Le secteur de la Formation professionnelle à Oran compte un effectif estimé à près de 20 000 stagiaires inscrits dans une vingtaine de branches professionnelles, soit 110 spécialités encadrées par près de 500 formateurs-enseignants.
Les centres et instituts de formation professionnelle accueillent à chaque session 3 000 nouveaux stagiaires inscrits. Le secteur dispose aussi de 17 centres et trois instituts de formation.
Il offre également des stages de “formation passerelle” au niveau de l’établissement de Maraval où sont enseignés les métiers de modéliste et tailleur.
À cet effet, un cycle de formation permet au futur candidat une promotion avec un diplôme de technicien supérieur dans le métier qu’il exerce, après trois années d’expérience.
On signale également que des cours du soir sont programmés dans les métiers de coiffure dames, comptabilité et marketing.
Hadj Hamdouche
<< Djimba lui même a dit en 2015 de le lyncher s'il appelait autre nom que celui de ABT... >> Une scène de violence s'est produite dans la journée d'hier dimanche 21 Février 2016. Alors que des militants de l'Alliance républicaine "FCBE-PRD-RB" organisaient une géante caravane à travers la ville de Djougou en faveur du candidat Lionel Zinsou, ils ont été pris à partie par les militants d'un autre candidat. Ces derniers qui se réclamaient membres et sympathisants du candidat Abdoulaye Bio Tchane, un (...)
- PolitiqueLe Park Mall de Sétif, plus grand centre commercial devant ceux de Bab Ezzouar, Ardis et City Center à Alger, compte 40 000 visiteurs quotidiens depuis son inauguration le 4 février. Et samedi et dimanche, au premier week-end d'ouverture de l'hypermarché Uno du groupe Cevital qui est logé au sein du complexe, l'affluence s'est encore densifiée. Reportage.
Cet article [Reportage] Le plus grand centre commercial algérien ouvre ses portes est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Larmes, abattements, chocs émotionnels, dégâts matériels incommensurables, dettes…, l’incendie survenu le 31 octobre 2015 au marché Dantokpa, le plus grand du Bénin et d’Afrique de l’Ouest a été cruellement dévastateur.
TIARET – La Société nationale de véhicules industriels (SNVI) a bénéficié d’un financement gouvernemental de 91 milliards DA, destiné à la mise à niveau de ses structures, au renouvellement des moyens de travail et à l’extension de ses investissements, a-t-on appris dimanche à Tiaret du Président directeur général du groupe, Malek Salah.
Intervenant à l’occasion de la célébration du double anniversaire de la création de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA) et de la nationalisation des hydrocarbures à l’unité de fabrication des véhicules industriels à Ain Bouchekif (Tiaret), Malek Salah a souligné que ce financement permettra, aux cinq unités de ce groupe, de mettre à niveau leurs structures, les étendre et leur dotation en machines et matériel nouveau.
Le même responsable a indiqué que la priorité pour ce groupe sera l’utilisation des technologies de pointe dans la production à travers l’acquisition de machines et moyens sophistiqués.
Ce soutien financier accordé par le Gouvernement au groupe permettra d’élargir les investissements avec des partenaires étrangers, à l’instar du partenaire allemand « Daimler » aux unités de Rouiba et de Tiaret, le partenaire émirati de Tiaret à travers l’usine de fabrication de Mercedes 4×4 et de Mercedes Benz, ainsi qu’un partenaire français en matière de wagons du tramway, a-t-il ajoute.
Le même responsable a également évoqué la possibilité d’élargir les investissements et partenariats avec d’autres partenaires dans différents domaines liés à la fabrication de véhicules industriels dont des voitures, des camions, des wagons, des semi-remorques, des remorques et des rames du tramway.
Malek Salah a ajouté que parmi les projets du groupe, la création de sous-traitance en pièces à l’intérieur et à l’extérieur du groupe pour la fourniture de pièces maitresses de produits mécaniques fabriqués par les unités du groupe.
Le groupe de la SNVI emploie à travers, ses cinq unités, 7.000 travailleurs.
La célébration du double anniversaire de la création de l’UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures a été mise à profit pour honorer des travailleurs et des syndicalistes retraités, en présence de syndicalistes et d’autorités locales
Près de 300 étudiants ont répondu, hier, à l’appel du Comité autonome des étudiants de l’université Akli-Mohand-Oulhadj de Bouira, à l’organisation d’une marche pour “l’égalité entre les langues” arabe et tamazight. Cette initiative coïncide avec la Journée internationale des langues maternelles, célébrée le 21 février.
Le long de l’itinéraire, qui a débuté de l’université jusqu’au siège de la wilaya, les marcheurs ont scandé des slogans exhortant les hautes autorités de l’État à instaurer une “égalité” entre les deux langues officielles, dans tous les domaines. “L’État doit aller plus loin. Nous, nous ne voulons pas d’une officialisation biaisée”, affirment les manifestants. Ils précisent que l’officialisation de tamazight doit intégrer les domaines éducatif, administratif et politique.
En outre, ces étudiants appellent les plus hautes instances du pays, notamment le chef du gouvernement et la ministre de l’Éducation nationale, à œuvrer afin de faire annuler le caractère facultatif de l’enseignement de tamazight et sa généralisation à travers tout le territoire national.
Dans la même optique, les marcheurs ont aussi soulevé la problématique de la transcription de tamazight qui, selon eux, devrait se faire en caractères latins ou tifinagh et non en arabe. Ce dernier, qui a été expérimenté chez nos voisins marocains, est un véritable échec, selon nombre de spécialistes. Cette marche que les organisateurs voulaient apolitique n’a pas échappé aux slogans hostiles au pouvoir, lorsque les étudiants ont commencé à scander les habituels “Pouvoir assassin”, “Révisez l’histoire, l’Algérie n’est pas arabe” et autres “Système corrompu”.
Une fois devant le siège de la wilaya, l’un des organisateurs de la manifestation prendra la parole pour lire une plateforme de revendications, qui comprend, notamment, l’égalité entre l’arabe et tamazight, l’annulation du caractère facultatif de l’enseignent de tamazight, la mise en place d’une académie pour traiter des mécanismes de tamazight et l’augmentation des postes d’enseignement, etc. Enfin, il y a lieu de signaler que cette marche a été encadrée par un imposant dispositif sécuritaire et qu’elle s’est déroulée dans le calme.
RAMDANE B.
ALGER- Le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, a réaffirmé dimanche à Alger l’engagement des pouvoirs publics à accompagner les personnes en situation d’handicap.
Cette déclaration a été faite lors de la réunion tenue au siège de son département avec Mohamed Madoun, président de la Fédération sportive des sourds d’Algérie qui a présenté les grandes lignes du programme de son instance.
Le ministre de la Jeunesse et des Sports est revenu, à cette occasion, sur la convention signée entre son département ministériel et le ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme en vue de développer l’activité physique et sportive en faveur des personnes en situation d’handicap.
A cet effet, M. Ould Ali a encouragé la Fédération à travailler en étroite collaboration avec les Directions de la jeunesse et des sports et les Fédérations sportives spécialisées.
Il a également exprimé le soutien de son département à l’organisation en Algérie de l’assemblée générale élective de la Confédération africaine des sports des sourds.
La commission des lois, de l’administration et des droits de l’homme de l’Assemblée nationale est une fois encore mise devant ses responsabilités par rapport au dossier de démission d’office du député Jacques Yempabou.
Décidément, les histoires de Constitution se multiplient !
Cet article La règle du « je » est apparu en premier sur JeuneAfrique.com.
Pour la seconde fois face à la presse dans le cadre de l’initiative « Les mardis et vendredis de la Plateforme électorale des Osc » les acteurs de la société civile béninoise ont évoqué vendredi 19 février des situations inquiétantes dont le cafouillage dans la distribution des cartes d’électeurs devant permettre aux Béninois de voter le 06 mars prochain, jour du premier tour de la présidentielle.