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La mort de Mohamed Ali, nouvelle victime des abus policiers régulièrement dénoncés par les ONG de défense des droits de l'homme, soulève l'opinion publique égyptienne, dans la rue et sur les réseaux sociaux depuis vendredi.
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L’entraîneur de l’USM Alger, Miloud Hamdi, a estimé que son équipe traverse un passage à vide qu’il faudra surmonter lors des prochains rendez-vous. Pour le coach des Rouge et Noir, le déclic doit se faire à l’occasion du prochain rendez-vous face au MOB. “Je ne vais pas m’avancer en disant que nous allons ramener une victoire de Béjaïa. Cette rencontre s’annonce difficile face à un adversaire respectable. Nous voulons ramener un résultat positif qui nous permettra d’entrevoir l’avenir sous de bons auspices. J’avoue que nous traversons une période difficile, un passage à vide qu’il faudra surmonter”, a déclaré Hamdi dans une déclaration à Liberté.
Et d’ajouter : “Les meilleurs clubs au monde connaissent ce genre de situation. Je ne connais pas une équipe au monde qui ne soit épargnée par un passage à vide. L’important est de se ressaisir et au plus vite.”
Le coach des Rouge et Noir affirme que le facteur mental jouera un rôle déterminant pour la rencontre de demain. “Même si nous allons jouer devant un adversaire qui a été concerné par la Ligue des champions et le match de Coupe de samedi, il n’en demeure pas moins que notre adversaire sera animé d’une volonté farouche de nous battre.
Je l’ai dit et je le répète, l’USMA est devenue un club à battre. Donc, nous allons nous attendre à une confrontation difficile. Il ne faut pas oublier que nous en sommes à notre 31e match”, indique Hamdi qui ne semble pas inquiet outre mesure par cette série de mauvais résultats, encore moins par la défaite concédée lors du match amical face à l’O Médéa. “Au-delà du résultat enregistré, cette rencontre a été l’occasion pour moi de donner leur chance aux éléments qui n’ont pas eu suffisamment de temps de jeu.
Cela m’a permis de les voir à l’œuvre, comme c’est le cas de Bouchema et du revenant Meftah (ndlr, blessé lors du match face au NAHD). Le but recherché à travers ce match était de permettre à certains éléments de se retremper dans l’ambiance de la compétition”, a-t-il précisé.
Le premier responsable de la barre technique s’est réjoui à l’idée de récupérer pratiquement l’ensemble de l’effectif. “Pratiquement, les joueurs blessés ont tous repris. Zemmamouche a repris un travail spécifique en attendant de réintégrer le groupe alors que Darfelou s’entraîne le plus normalement du monde. C’est une bonne nouvelle pour la famille usmiste”, a-t-il indiqué. Darfelou devrait normalement reprendre la compétition à l’occasion de la réception du RCA.
le mot se dit d’une « petite voilette faciale triangulaire qui orne le visage des Algériennes ». Le a’adjâr est constitué de fine toile brodée, dont les deux petits côtés sont ornées de dentelles, de broderies ou parfois des deux. Les extrémités du grand côté sont munies d’un fin galon, qui permet de nouer ce A’ajar derrière la tête.
L’a’adjer est toujours associé au h’âïk, avec lequel il constitue la dernière touche du costume de sortie des algériennes. La tenue au complet fut portée par les femmes berbères dès le moyen âge*, et il convient de préciser que le h’âïk est un voile qui découle du peplos dorique grec (tunique antique grecque). Il fut adopté par les numides à partir du règne de massinissa et de son fils Micipsa.
Symbole d’une lutte, d’un combat, d’une révolution, et celle de d’une Algérie libre à l’époque coloniale, la tradition de cette tenue ancestrale, s’est éteinte avec l’accession à l’indépendance, pour être remplacée à l’époque moderne par le port du hidjab, djilbab et autres tenues orientales.
* De brèves, relation des voyages de Monsieur de Brèves, 1628
Oxford Business Group vient de publier The Report Algeria 2015, qui marque le dixième anniversaire de la présence du cabinet londonien d’intelligence économique et de conseil en Algérie.
Le document contient des analyses sur le secteur de l’énergie, des banques et services financiers, de l’industrie et des mines, du transport et de l’agriculture, entre autres. Le document comprend aussi l’interview de Boudjema Talaï, ministre des Transports, de Mohamed Chami, directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie d’Algérie, de Kaddour Bentahar, directeur général des Douanes algériennes, et de Boualem Djebbar, président de l’Association professionnelle des banques et institutions financières, et du Groupe d’intérêt économique.
Pour un bilan des dix ans d’existence, le directeur général d’OBG sera à Alger au mois de mars.